Motard gai (2)

Une fois rentré chez moi j’ai pris une douche et me suis lavé surtout le visage puis les dents. Mon portable ne me servant qu’à appeler j’ai entendu le « bip » d’un message. Toujours nu et encore humide je suis allé sur la terrasse le lire.
J’ai eu ma surprise de ma vie. Les deux mecs qui m’avaient piégé m’écrivaient.

– « Salut lopette on a envoyé ta photo où tu suces à ceux que l’on connaissait du collège qui pouvaient te connaître et en effet ils t’ont reconnus. Deux ou trois se rappellent t’avoir vu mater dans les douches. Alors, t’as le choix. Pour le moment on n’a pas donné ton numéro et soit tu obéis à nos demandes , soit on le donne à tous et déjà que ta photo circule, t’auras des problèmes. Répond avant vendredi soir. »

Ils étaient fous ! Je me balade près d’une tour que je croyais abandonnée , ils me chopent et me forcent à sucer, prennent des photos et sont prêts à donner mon numéros si j’obéis pas. Mais à quoi ? J’avais une idée mais folle. Devoir les sucer quand ils le voudraient. C’est trop con ! je suis hétéros même si je vis seul , j’ai en effet maté les corps de quelques jeunes sous la douche mais pour le plaisir. C’est tout.
On était mercredi soir et j’avais deux jours avant de répondre. Le corps est ainsi fait que repensant au moment où j’avais sucé je me suis mis à bander. Autant traiter l’affaire de suite et j’ai répondu « Ok » et envoyé.

Une heure après le portable a sonné. C’était un des deux jeunes.

– Salut suceur de bite. T’as bien fait d’appeler de suite on va avoir le temps de te donner nos consignes.

Mais attendez, j’ai sucé une fois et je n’ai pas envie de le refaire.

– Là c’est pas la bonne réponse. T’obéis ou j’envoie ton numéro.

– Ok dis toujours.

– Premièrement tu mets ton portable en localisable que l’on puisse venir te voir et vendredi soir tu restes torse nu et avec juste un short. Deuxièmement tu te laves bien l’intérieur de l’anus. Si tu sais pas faire je t’envoie une vidéo.

– Vous voulez me sodomiser ? Je suis puceau du cul moi !

– Et alors. Il ne faut pas mourir idiot. T’as un portail pour entrer ?

Non une barrière cadenassée.

– Alors tu attends à la barrière je crois que tu connais le bruit de nos bécanes. Je suis sûr que tu bandes en ce moment. Mais évite de te branler, pense à vendredi et pas de faux bonds sinon ton tel va être diffusé. J’ai hâte de te voir salope.

Il a raccroché sur ces mots un message est arrivé peu après avec une vidéo montrant un mec démontant le tuyau de douche pour l’enfiler dans l’anus avant d’aller aux toilettes éjecter le contenu du rectum et recommencer jusqu’à l’eau claire.
Les salauds allaient me baiser sans gêne. J’ai pensé aux solutions mais il n’y en avait pas. J’avais préparé un sandwich mais j’avais plus très faim. En plus ils avaient raison, je bandais à en avoir mal. Et tant pis je me suis branlé comme un fou sur la terrasse. Giclant sur le sol cimenté.

Vivant seul je ne faisais pas trop de ménage et le lendemain après déjeuner j’ai un peu arrangé les pièces et rangé les bibelots. Tout tournait dans ma tête. Imaginant les trucs les plus fous. J’ai même tondu un bout de pelouse. La nuit de jeudi soir j’ai dû résister pour ne pas me branler. Finalement j’ai pris un des cachets pour dormir dont je me passais depuis longtemps. J’ai dormi bien plus que je pensais et il était midi quand j’ai émergé. J’ai dû pisser sous la douche, ma queue trop raide pour le faire ailleurs. J’ai aussi suivi leur système pour l’anus. Un dernier tour de la maison, tout était bien. De retour j’avais un message.

– « On devrait être chez toi vers dix-huit heures Fait bien ce que je t’ai dit. À la barrière torse nu en short et tu nous ouvre. »

J’avais plus beaucoup de temps et je me suis lavé une dernière fois l’anus. Une fois sec j’ai mis un short mais je ne bandais plus en allant à la barrière. J’ai entendu le bruit caractéristique des petites 125cc approcher et j’ai ouvert. Sous le casque je ne voyais pas mais j’ai entendu  » referme lopette ». J’ai refermé et suis allé les rejoindre, pas très fier. En fait ils étaient trois. Ebloui par les phares je n’avais pas vu le passager. Ils ont ôtés les casques. les deux premiers étaient ceux de la tour , le troisième je l’ai vite reconnu , c’était le seul beur du collège.

– C’est pas mal ton chez toi ! Maintenant tu peux te foutre à poil. Une lope avec un short avec des mecs , c’est pas correct. Aller, dépêche !

Les salauds me mataient baisser mon froc en se marrant.

– Alors lopette on bande plus ? Pourtant on vient te donner du plaisir !

J’ai senti une main caresser mes fesses et donner une bonne claque dessus me faisant sursauter.

– T’as une belle vue de ta terrasse. Imagine que tu vas sucer et te faire enculer devant tout Grenoble. Il a ouvert sa braguette et sorti sa queue. Aller ! Travailles là. Accroupi qu’un pote te mate le trou ou on va s’envoyer en l’air.

Cette fois je ne pouvais plus reculer et j’ai sucé la queue raide pendant qu’une main passait le long de ma raie jusqu’à l’anus. ou il a poussé un peu le doigt.

– Mets- toi à genoux ce sera plus pratique, on a su tes problèmes et on ne va pas t’épuiser , juste bien se servir.

J’étais appuyé des deux mains sur ses cuisses mais à deux ils ont passé mes mains dans le dos et les ont attaché. Tout en suçant j’ai senti passer un collier autour de mon cou. Un lien a raccordé mes poignets au collier. J’ai entendu des froissements de vêtements et de côté j’ai vus les deux autres nus.

– Je crois que maintenant tu ne résisteras pas. Jean, prends ma place. Il suce pas si mal pour un soit disant hétéro.

Jean l’avait plus épaisse mais aussi plus courte et sentait le savon.

– La salope il suce vachement bien ! Mieux que ma nana. Arrête ,c’est pas là que je veux jouir !

J’avais les lèvres luisantes et heureusement car même et surtout à cause de son manque de prépuce le beur avait sans conteste le plus gros gland.

– Prends ton temps la lope et creuse les reins.

J’ai senti une main passer dans ma raie…

À suivre :  Motard gai épisode 3