Pendant que je suçais le beur, qui me donnait la cadence en me tenant par le collier. Les deux autres ont défait le lien de mes poignets pour les remplacer par des cordes plus larges et j’ai sucé les bras écartés la grosse bite du beur. Il allait pas trop loin , j’avais le nez dans ses poils.
– Arrête je vois que tu prends du plaisir ! (Je bandais, la situation humiliante pour moi était nouvelle).
– Recule jusqu’à ta porte fenêtre.
Ils se sont servi des gonds de la porte pour coincer les cordes des poignets, laissant juste assez de mou.
– Écarte les fesses, montre ton cul de PD même si tu dis que t’es pas comme ça tu suces, c’est un bon début. Cambre toi !
J’ai ramassé une claque sèche sur les fesses. J’ai dû montrer ce que je n’avais montré sauf mes fesses aux infirmières mais pas mon cul.
– La vache, t’es poilu du cul lopette. T’as surement un rasoir pour te faire les pattes ?
Un petit « oui dans la salle de bain ».
– Ben on va dégager un peu l’emplacement pour voir où on va mettre la queue.
J’ai entendu le ronronnement du rasoir puis le moment où il a coupé mes poils , les regardant tomber sous moi.
– Ha cette fois on voit bien ton trou du cul qui va être un trou à bites. On va être gentil et pour le premier on va mettre du gel que j’ai apporté.
J’ai senti un doigt passer juste sur mon anus, tourner dessus, et chercher à s’enfoncer. Comme je résistais j’ai reçu une super claque qui m’a surpris et d’un coup le doigt a glissé avec le gel
– Hum ! T’as le cul tout chaud , on va être bien et tu peux gueuler j’ai pas vu de voisin
Le doigt est sorti mais remplacé par un gland que je voyais pas mais que j’ai senti forcer l’anus, qui d’un coup a cédé et j’ai été pénétré. La sensation première je ne peux la décrire. Un déchirement, Une gêne inconnue comme si au lieu de chier je recevais un boudin dans l’anus. Il a très vite commencé à limer mon anus je ne pouvais résister.
– Il est serré les mecs, c’est bon, ça change des putes. Jean qui était devant moi a ricané.
Pour une première en tour cas ne dis pas que t’aimes pas ! tu bandes comme un fou, baisse la tête regarde, tu as de la bave qui sort du prépuce.
Il avait raison, ça m’arrivait de mouiller comme ça quand j’étais seul et excité. J’ai senti sa main serrer ma queue et tirer la peau.
– Le panard les mecs. Il bande de plaisir ! Il a passé les doigts sur mon gland baveux puis les a passé sur mes lèvres. Lèche lopette. Quand t’es tout seul t’as surement dû goûter !
Oui c’est vrai je l’avais déjà fait mais là c’était vicieux devant lui mais j’ai léché. Alain derrière moi donnait de grands coups de reins et s’est arrêté. J’ai senti sa bite sursauter en moi.
– La salope ! Je viens de jouir dans son cul !
Il s’est retiré facilement mais me laissant une sensation de vide soudain. Jean a disparu derrière moi et Jean est passé devant moi, posant un tabouret il m’a tendu sa bite.
– Nettoie là ! Si t’as bien lavé ton trou il ne reste que tes glaires.
Sa tige se pressait sur mes lèvres et je ne sentais presque rien , j’ai sucé , poussant un cri car Jean lui s’enfilait déjà dans mon cul. Alain en a profité pour s’enfoncer plus loin sur ma langue, puis une fois propre il s’est assis et m’a chopé les couilles.
– T’es couillu pour une lope qui va bientôt être notre chienne.
Il les a entouré puis serrée me faisant crier encore . Jean lui, un peu plus long allait plus loin dans mes fesses . Son sexe passait mieux avec le jus d’Alain mais j’appréhendais Le beur qui regardait tranquilles se caressant la queue. Une fois encore j’ai senti le sexe se contracter et son jus se répandre an moi. Une fois sorti il a remplacé Alain devant moi. Cette fois j’ai moins hésité à lécher et nettoyer sa tige. J’ai reçu une claque sur les fesses.
– Cette fois tu vas vraiment gueuler.
Derrière moi mon pauvre anus a bien senti que le diamètre était supérieur mais je ne pouvais rien faire et en forçant tout le gland est passé. Il a lie un peu avant de jouer à entrer et sortir détruisant mon pauvre cul , je gémissais mais ils se marraient de m’entendre il a joué un bon moment avant d’aller au fond de moi pour se répandre lui aussi.
Ben s’est dégagé de mon trou. les deux autres m’ont détachés les bras.
– À genoux, lopette. tu suces Ben, regarde il a même ramené du sperme sur le gland. Lee sien ou un autre! Oui je sais tu connais pas Ben, Ils ont cherché un remplaçant pour toi mais le premier n’était pas à la hauteur et c’est Ben qui a ta place. Lui ce ne sont pas les gamins qu’il mate mais plutôt les culs de mecs. T’as envie de jouir la chienne ?
– J’en peux plus, oui.
– Tu attendras un peu. Ouvre ton ordi. Mot de passe aussi qu’on voie ce que tu mates le plus.
Il titillait le bout du gland, le pinçant le temps que j’ouvre tout. À genoux ce n’était pas facile.
– Ouvre tes favoris. Ha , voilà. Ben on a bien fait de te choper, t’es plein de fantasmes de soumission. Matez un peu il regarde même des nans se servir de mecs comme des chiennes. Putain les godes qu’elles enfoncent dans les culs des mecs! Y en a même qui les sodomisent avec un plug moitié dans leur chatte et l’autre morceau dans le cul de la lopette.
Tout en matant il avait sorti un petit collier de chat et jouait avec mon sac à couilles. Il le tirait vers le bas me faisant me courber pour suivre sa main.
– Comme le jus sort des couilles, on va te les attacher bien serrées et on va relier le tout à ton collier en passant entre tes fesses.
Il a passé le collier à Jean qui l’a serré un maximum, fixant une cordelette au collier de chat qu’il a passé entre mes fesses et remonté en tirant sur le collier de mon cou. Je n’ai eu d’autre choix que de me cambrer et mettre la tête en arrière. Du coup mes couilles étaient coincées entre mes cuisses et ma queue raide devant moi.
– T’es mignon comme ça ! Mais t’as un compte sur des ventes d’articles de sexe ? Ouvre le !
Il a pu voir ce que j’avais déjà acheté et ce que j’avais mis dans le panier an attente.
– T’es un vrai petit maso en plus. Tu caches ton matériel où ? Lèves toi et montre nous.
Je suis allé dans la chambre et j’ai ouvert une valise posée sur l’armoire. A chacun de mes pas mes boules frottaient entre mes cuisses et je bavais comme un fou.
– Tu as déjà utilisé tout ça ?
Non , mais de les voir me suffisait pour jouir.
– Bref t’es une lopette maso. Il sortait des trucs en rigolant. Et une culotte de fille fendue, un plug mais qui n’a pas trop servi vu comme ton cul est serré, un autre plus gros. Et la barre là , c’est quoi ?
C’est un truc pour maintenir bras ou cuisses ouverts. Regarde les anneaux de chaque côté et au centre est intervenu Ben.
Je n’en pouvais plus de voir mes trésors dévoilés et je n’ai pu retenir une petite giclée, passée quand même malgré le collier.
– Petite chienne ! J’ai reçu une baffe sur la queue encore secouée de spasmes. Bon on va repartir , on te laisse Ben, le samedi le collège est fermé donc il bosse pas, Jean doit rentrer chez lui et moi je dois aller bosser dans une boîte de nuit, il faut que je me change. Comme Ben a de gros besoins de culs t’auras pleine satisfaction. Demain on revient , il y a deux mecs intéressés par ta photo et un autre plutôt par ta bite.
À suivre : Motard gai épisode 4
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