J’ai toujours ressenti un dégoût profond pour les hommes pervers, ceux qui vous observent de haut en bas, qui vous reluquent le cul lorsque vous marchez dans la rue, ceux qui regardent par le trou de la serrure lorsque vous faites pipi dans les toilettes publiques. Je n’aurais jamais cru qu’un jour je subirais le jeu malsain d’un voyeur, et encore moins que j’aurais l’envie et le courage de lui offrir mon corps.
Je suis une jeune femme dynamique (enfin c’est ce qu’on dit de moi), je m’appelle Lisa et je suis étudiante en commerce. J’ai un petit copain actuellement, mais je ne me prends pas la tête avec les histoires d’amour. Je me concentre principalement sur les études, j’ai vraiment envie de réussir et de devenir quelqu’un, et le sport. Je n’ai que 20 ans, et j’ai beaucoup de choses à découvrir, surtout sur le plan sexuel. Pour autant j’ai déjà vécu quelques plans assez délurés, mais rien de fou non plus. Je me considère comme une coquine curieuse, mais pas salope pour autant. Bon, lorsque j’ai bu deux ou trois verres, c’est vrai que je peux devenir assez chaude, comme c’est le cas pour beaucoup de mes copines. De toute manière, je n’ai pas beaucoup le temps pour me laisser aller à des plans culs avec n’importe qui, car je prépare une compétition de natation. Je nage depuis trois ans maintenant, et c’est devenue une véritable drogue. Je me sens comme un poisson dans l’eau. Mais je limite la durée de mes entraînements pour ne pas finir comme les nageuses trop musclées. Je trouve ça très moche. J’ai un corps dont je suis plutôt satisfaite, je suis fine, mais avec des formes là où il faut, et je ne veux pas les perdre. Et puis ça me ferait chier d’avoir plus de biceps que mon petit copain, et il risquerait de mal le vivre… Malgré ça, je vais tout de même à la piscine deux fois par semaine, le lundi soir et le vendredi matin tôt, juste avant d’aller à la fac. Le lundi, c’est un peu chiant, car il y a du monde dans le bassin. Il faut faire attention de ne pas rentrer dans une vieille ou un gosse. Le vendredi matin c’est différent, il n’y a que deux ou trois nageuses et quelques hommes d’entretien. C’est un de ces matins-là que j’ai commencé à remarquer que quelque chose ne tournait pas rond dans les vestiaires et au bord du bassin. Je venais pour mon entraînement habituel. J’ai un accès privilégié pour perdre moins de temps à l’accueil. J’étais donc aux vestiaires pour enlever mes habits et enfiler mon maillot de bain. Je regardais vers le bas pour passer les pieds dans les trous du maillot lorsque j’ai vu un une ombre par-dessous la paroi qui me séparait de la cabine voisine. Je n’y ai pas prêté plus attention que cela et je suis allée dans l’eau pour faire mes longueurs prévues. Je faisais de la brasse et je voyais un mec m’observer sur le bord du bassin.
C’était un gars de l’équipe de maintenance. Il avait l’air d’avoir la cinquantaine, mais il été encore bien bâti pour son âge. Il portait un vieux bleu de travail et il avait une casquette vissée sur la tête. Son regard sur moi n’était pas anodin. Il y avait quelque chose qui n’était pas normal. J’ai demandé à mes copines si elles aussi ressentaient le regard malsain de cet employé municipal, mais aucune d’elles n’avaient remarqué un truc louche. Il faut croire qu’il avait jeté son dévolu sur moi. Après cet incident, à chaque fois que je me rendais à la piscine, je remarquais cet homme qui me matait. Il se régalait vraiment lorsque je sortais de l’eau et il s’arrangeait toujours pour être à côté de l’échelle. Il regardait ma poitrine visible sous le tissu de mon maillot, puis ma chatte et mon cul. Je me suis retournée une fois pour en avoir le cœur net, et je l’ai bien surpris en train de reluquer mon fessier, quel pervers !
Je me rendais ensuite aux vestiaires, et je voyais très bien qu’il me suivait l’air de rien. Il n’était vraiment pas discret. Cela m’étonnait d’ailleurs qu’il ne fût jamais attraper par une autre fille. Peut-être que c’était un voyeur occasionnel, et qu’il avait vraiment flashé sur moi. Je dois avouer que je commençais tout doucement à être troublée par cette situation. Je n’ai jamais connu un truc du genre auparavant, et j’ai toujours imaginé les voyeurs comme de véritables détraqués sexuels. Mais peut-être que je m’étais trompée, et que ce genre d’homme était juste un peu en manque de cul. Bref, je trouvais une cabine pour me changer, c’était toujours la même, une sorte d’habitude que je détestais bouleverser. J’enlevais mon maillot de bain et je voyais bien qu’une ombre s’agitait dans la cabine voisine, et se répercutait juste à côté de mes pieds. L’enfoiré était certainement en train de se faire des films à côté. Je ne savais pas quoi faire sur le moment, et je n’ai rien osé dire. J’étais confuse et troublée à la fois, mais je pris mes affaires et partis en cours. Je n’ai ensuite pas arrêté de repenser à ce qui s’était passé à la piscine. En fait, ça m’excitait complètement de savoir qu’un sale cochon fantasmait sur moi au point de me suivre quand j’étais en train de me changer. Je me suis même doigtée plusieurs fois en imaginant que j’ouvrais la porte de la cabine à cet inconnu pour lui faire des choses pas très catholiques. Mais cela restait du domaine de l’imaginaire, et je ne pensais sérieusement pas avoir le courage de faire un truc du genre. Mais que m’arrivait-il ? J’avais un petit copain et des amies formidables, j’avais tout pour être heureuse, et je n’avais rien d’autre à foutre que de fantasmer sur un sale porc qui me reluquait à la piscine municipale. Je commençais à culpabiliser de ressentir cette excitation, et j’ai même failli en parler à mon mec.
Mais je me suis retenue, heureusement, et je décidais de continuer ma vie comme si de rien n’était. Le lundi, pour l’entraînement du soir, le coquin voyeur était bien présent, mais il y avait trop de monde pour qu’il se mette dans la cabine d’à côté. Je l’ai tout de même capté plusieurs fois en train de lancer des regards sur mes fesses rondes lorsque je marchais au bord du bassin. J’étais maintenant persuadée qu’il ne lâcherait pas le morceau de sitôt. J’avais presque hâte d’être vendredi pour me retrouver en comité restreint au bassin. J’étais certaine que cette fois-ci, il se passerait un truc. Je venais à la piscine avec une boule au ventre. Je savais très bien que je n’allais pas pouvoir me contrôler très longtemps, et que je n’allais pas tarder à faire une proposition indécente au petit voyeur pervers. J’étais au bord de l’eau, et comme prévu, le mec était là, toujours dans sa tenue d’ouvrier de maintenance. Il faisait semblant de nettoyer la surface du bassin avec sa longue épuisette, mais il regardait plutôt mon cul que les débris flottants. Je n’étais même pas encore dans l’eau que mon maillot était déjà trempé par ma mouille. Je glissais vite dans le bassin pour éviter que la tâche de cyprine ne se voit. Je commençais mon entraînement habituel : deux longueurs de brasse, puis deux longueurs de crawl, puis deux longueurs de papillon, et ainsi de suite pendant une heure. J’étais bien épuisée, mais j’avais toujours cette envie qui me collait à la chatte. Je me rendais donc avec excitation et empressement dans les vestiaires. Est-ce que l’enfoiré de voyeur serait là pour m’observer à poil ? J’allais vite le savoir. Je rentrais dans la cabine et commençais par me sécher un peu les cheveux, lorsque j’entendis des bruits de pas. Il s’agissait certainement d’un homme travaillant là, car personne ne porte de chaussures dans cette zone de la piscine. J’étais certaine que c’était lui, mais je devais encore attendre. J’entendis la porte de la cabine voisine grincer doucement, et quelqu’un ouvrir une braguette. J’étais maintenant certaine que c’était lui, et je mouillais de plus en plus, mais j’étais paralysée. Je me rendis compte qu’il y avait en fait un petit trou dans la paroi, à la hauteur de mes hanches, et je jetais un coup d’œil dedans. C’est certainement par là que le détraqué a commencé à m’observer il y a plusieurs semaines.
Il a dû s’en taper des queues avec l’œil vissé sur ce trou. Je suis même sûre que c’est lui qui l’a fait avec un de ces outils. Lorsque je collai mon œil à mon tour sur l’orifice, je pu voir le mec en train de se masturber. Il ne se doutait certainement pas qu’il s’était fait prendre à son propre jeu, et que moi aussi j’étais devenue une voyeuse à mon tour. Je regardais avec envie cette bite qui n’était qu’à un mètre tout au plus de moi et ma bouche gourmande.
Il avait une assez jolie queue pour son âge. Elle n’était pas très longue mais bien épaisse, comme une saucisse. J’avais faim après cette séance de natation intense, et une bonne pipe aurait certainement calée ce petit creux. Mais je n’osais toujours pas bouger. C’est alors que le gars se baissa pour jeter un œil lui aussi dans le trou, et nous sommes tombés face à face. La situation était vraiment insolite, du grand n’importe quoi, et je décidai alors d’engager la conversation.
– Je sais que tu me regardes depuis longtemps sale cochon !
– Non madame, excusez-moi, c’est la première fois que je fais une chose comme ça.
– Oui c’est ça, et la dernière fois, lorsque tu étais dans la même cabine ?
Le mec ne savait plus quoi répondre. Il était pris au piège, et j’allais maintenant pouvoir faire ce que je voulais de lui. Je n’étais plus la proie du voyeur pervers, mais c’était moi la patronne maintenant, et je me sentais toute puissante.
– C’est simple mon gars, si tu ne veux pas que je te balance, tu vas faire ce que je dis, c’est compris ?
– Mais, madame, ce n’est pas raisonnable !
– Ferme ta putain de gueule et viens dans ma cabine maintenant, depuis le temps que tu en as envie !
Le gars était perplexe, il ne pensait certainement pas que sa victime allait se transformer en une belle salope autoritaire, et c’est pourtant ce qui était en train de se passer. Il s’écoula bien une bonne minute sans qu’il ne bouge de sa tanière. Les voyeurs n’ont pas l’habitude de se faire bousculer ainsi, et je lui laissai un petit laps de temps pour se faire à l’idée que la jeune fille innocente qu’il matait depuis des semaines allait lui faire des sévices sexuels dans la cabine du vestiaire des femmes. Je l’encourageai une dernière fois à venir sous peine de filer directement chez les flics. Il toqua tout de suite à la porte et je lui ouvris sans tarder. Je devais commencer les cours dans une heure, et je n’avais plus de temps à perdre, il me fallait la queue de ce vieux porc. Il avait d’ailleurs encore le zizi à l’air, mais le pauvre avait totalement débandé sous le stress de la situation. Je fermai la porte et la verrouillai derrière lui. Je n’avais pas envie de me faire voir en cabine par quelqu’un avec un vieux voyeur.
– Maintenant, tu ne dis plus un mot, et tu te laisses faire, tu as pigé ?
– Oui madame, je crois que je n’ai pas le choix de toute façon…
Je lui ordonnai alors de reprendre sa branlette là où il l’avait laissé quelques minutes plus tôt. Pendant qu’il se tirait sur sa queue, je le regardais avec insistance tout en me pinçant le bout des seins. Je pointais bien à fond, et je lui pris la tête pour qu’il me suce le bout des nichons. C’est une partie très sensible chez moi, j’adore sentir une langue me parcourir les seins. Il léchait plutôt bien pour un pervers impuissant. Enfin, pas si impuissant que cela, car il bandait maintenant comme un âne. Je lui pris la bite entre les mains et je commençai à le branler moi-même, sauf que j’y allais beaucoup plus vite et plus fort que lui. Il ouvrait la bouche et faisait des grimaces sous le plaisir que lui donnaient mes petits doigts de fille exigeante. J’en profitais aussi pour lui tirer sur la peau des couilles afin de les extraire de son slip. Il avait une bonne paire, et je m’amusais à les presser dans une main pendant que l’autre faisait des va-et-vient sur sa verge. Il n’était pas circoncis, et à chaque fois que je ramenais son prépuce en arrière, des effluves salés me remontaient dans les narines. Ça sentait la queue mal lavée dans toute la cabine, quel porc de merde !
Mais cette odeur me rendait folle, je voulais lui laver la bite avec ma bouche. J’adore l’odeur d’un homme, un vrai, pas le genre de gars qui passe tout son temps sous la douche. J’eus tout à coup l’image de mon copain qui apparut dans mon esprit. Ça me faisait penser que j’étais vraiment en train de faire la pute. Mais je ne pouvais plus reculer, c’était trop tard maintenant, et l’envie était trop forte, impossible de la réprimer. Je me mis à genoux, et je commençai à passer lentement ma langue de la naissance de ses couilles jusqu’au bout de sa queue. Son dard tremblait de désir sous ma langue humide et râpeuse. Il n’était pas épilé, et j’avais souvent un poil qui se glissait dans ma bouche. Ça ne me dérangeait pas dans la mesure ou je kiffe les hommes virils. J’en avais assez de lui lécher, je voulais maintenant l’aspirer en entier. Mais je dus m’arrêter un coup car un de ses collègues passaient juste à côté des cabines. Ce n’était pas le moment pour que quelqu’un vienne interrompre mes ébats.
Fausse alerte ! Le gars s’éloignait et je repris donc ma besogne. Son sexe était facile à avaler en entier. Il avait la verge courte, mais au niveau du diamètre, il n’avait pas à se plaindre. Elle faisait presque la circonférence de mon poignet. C’était dur à sucer comme je le fais habituellement, et je choisis l’option de le pomper en aspirant son truc. Il avait les yeux fermés et prenait assurément son pied. Il faut dire que j’aime piper un gars, et que je fais ça plutôt bien, mais c’était la première fois que je suçais un total inconnu. Je me découvrais progressivement de vrais talents de perverse, et j’aimais ça. Je me sentais libre et indépendante. Je contrôlais parfaitement la situation.
Son sexe enflé me remplissait toute la bouche, et j’avais du mal à retenir la salive qui finissait par couler sur mes seins. J’essayais de ne pas faire trop de bruits, mais j’avoue que c’était probablement suspect pour quelqu’un qui passait devant la cabine. Heureusement qu’à cette heure-ci, la piscine était presque déserte. Je le suçais maintenant de plus en plus vite tout en lui branlant la base de la pine. Je sentais bien que sa trompe n’allait pas tarder à m’offrir une giclée, et j’accélérai encore le mouvement pour le faire jouir. Son ventre et ses cuisses devenaient subitement tout durs, et la première lampée de sperme frappa le fond de ma gorge. Je toussai un peu puis repris immédiatement sa tige en bouche pour finir le boulot. Il mordait dans la manche de son bleu de travail pour éviter de crier sous le plaisir que ma langue lui imposait. Plusieurs giclées vinrent me percuter les amygdales, et je les avalais toutes avec délectation.
Après avoir fini de le vider, je lui promis de ne rien dire s’il venait me voir après mes entraînements, dans les vestiaires. Cette fois ce serait à lui de montrer ce qu’il savait faire, il était de toute façon complètement en mon pouvoir. Il accepta. Je me rhabillai ensuite et me rendis en cours. Il était presque 9h et j’étais en retard. Mais ça valait bien le coup de chambouler un peu mon planning. Je me souviendrai longtemps de cette journée passée en cours avec ce goût de sperme en bouche.
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