Voyeur d’une résidence étudiante

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Quel bonheur d’habiter en face d’une résidence étudiante ! Surtout quand on est un peu (beaucoup) voyeur, comme moi. En cherchant un appartement, je n’avais même pas songé à toutes les scènes érotiques que j’allais pouvoir apercevoir de ma fenêtre. Mais, depuis, je me suis bien rattrapé. J’ai même acheté une lunette astronomique, pour pouvoir me rincer l’œil dans tout le confort dont j’ai besoin.

 

De la rouquine du 4ème qui se balade toujours à poil dans sa chambre, trimbalant ses gros nichons laiteux à la timide brune du 6ème qui se masturbe sur son lit sans penser à fermer ses rideaux, là, juste en face de moi, je peux passer des heures entières à reluquer ces petites nanas impudiques et souvent candides, qui n’imaginent pas une seule seconde qu’un vieux pervers regarde tout ce qu’elles font.

La dernière fois, j’ai eu une chance extraordinaire. J’allais me coucher, non sans avoir jeté un coup d’œil par la fenêtre, quand j’ai repéré que la chambre de la blondinette du 5ème était allumée. Par acquis de conscience, j’ai regardé par ma longue vue, sans trop y croire. C’est une fille studieuse, pas du tout portée sur la chose. Le mieux que j’ai vu d’elle, c’est en petite tenue, soutien-gorge et culotte classiques et sages.

Tiens, ma blondinette reçoit. Je vous la décris : elle doit avoir 20 ans grand maximum, elle est petite, blonde donc, les yeux bleus, de petits seins et un petit cul très menu. Elle est avec une copine. Une grande brune latine et les deux nanas bossent. Sans doute à l’approche des partiels. Je n’ai plus qu’à aller dormir. A moins que…

Les deux filles sont allongées sur le lit, des livres lourds étalés un peu partout dans la pièce. Ma blondinette a les jambes nues et la main de la latina est posée sur l’une d’elle. Est-ce possible ? Ma blondinette serait lesbienne ?

A en voir la main de la brune qui remonte le long de la cuisse de la blonde, quelque chose se trame dans cette chambre d’étudiante. Ni une, ni deux, je troque ma longue vue pour ma lunette astronomique, beaucoup plus puissante. Le temps de passer de l’un à l’autre de ces deux instruments, et voilà que la brune méditerranéenne se retrouve à rouler une jolie pelle très érotique à la blondinette !

Et ce baiser qui n’en finit pas. Les mains des deux filles qui courent sur le corps de l’une et de l’autre, se déshabillant au passage. C’est que ma voisine est plus entreprenante qu’il n’y parait : elle a tôt fait de faire jaillir deux beaux seins ronds du soutien gorge de son invitée, et de les suçoter avec une gourmandise qui fait plaisir à voir.

Très vite, les deux étudiantes se retrouvent entièrement nues. La pâleur de la blondinette contre la peau matte de sa copine est tout simplement magnifique. Les deux filles se mettent têtes bèches et s’offrent un 69 qui va durer de longues minutes, avant qu’elles n’éteignent finalement la lumière.

A ce moment là je me dis que j’ai bien fait de ne pas aller me coucher tout de suite, moi.
Mais cette scène entre jeunes lesbiennes n’est même pas la plus belle qu’il m’ait été donné de mater, depuis que j’habite en face de la résidence étudiante. C’était il y a peu, quelques semaines en fait, chez l’une des locataires les plus chaudes de la résidence. Il m’arrive régulièrement de l’espionner, car elle ramène souvent des garçons à la maison.

Il se trouve que je connais son prénom, car j’ai pu la croiser avec ses copines en bas de mon immeuble. Elle s’appelle Maria. Maria est une petite brune, très menue, avec de jolies formes qui contrastent avec son corps svelte. Maria, donc, sans dire qu’elle est la salope de la résidence, est une vraie coquine, plutôt le genre croqueuse d’hommes.

Ce soir-là, comme presque tous les vendredis soirs, un mec était invité chez elle. Un grand blond, genre minet sportif et tombeur. Tous les deux ont bu un verre, puis deux, puis trois. Bref, je m’impatientais. Car ce grand dadais ne tentait absolument rien pour se rapprocher de Maria qui, pourtant, n’attendait que ça.

C’est finalement elle qui a pris les devants. Je revenais des toilettes, après deux bonnes heure d’attente sans rien de bien croustillant à me mettre sous la dent. Et là, j’ai pu observer la prédatrice dans toute sa splendeur. En deux temps, trois mouvements, le gars s’est retrouvé pris au piège, prisonnier volontaire de la toile de séduction tissée par ma jolie voisine.

Il s’est retrouvé à genoux, devant le canapé, à lécher la chatte de Maria, entièrement nue, bien lovée dans le sofa. En zoomant, je pouvais observer tous les rictus de plaisir que cette caresse buccale lui procurait. En même temps, elle palpait sa lourde poitrine de jeune femme gironde.

Ce soir là, ce fut un véritable festival de sexe. Bien qu’un peu trop passif à mon goût, le gars se retrouva à prendre la belle brune dans toutes les positions que permettait le petit canapé d’étudiante. Levrette, amazone, missionnaire et plein de positions aussi acrobatiques qu’asymétriques. Quelle santé, ces jeunes !

Au bout de trois bonnes heures de gymnastique érotique à deux, Maria reprit place sur le canapé. Elle tendit son cul à son invité, qui n’en revenait pas. Il approcha sa bite de la raie culière de la jeune femme et la pénétra. En tant que voyeur, c’était ma toute première sodomie. Et je regardais surtout le joli visage de Maria déformé par ce mélange de douleur et de jouissance que lui procurait cette intromission anale.

Il ne fut plus long à jouir. Et elle non plus. Quand elle se redressa et se dirigea vers la fenêtre, la joue encore pleine du sperme que le gars lui avait éjaculé en plein visage, je m’aperçus que j’avais oublié d’éteindre ma propre lumière, en revenant des toilettes. Il était trop tard, j’allais être démasqué.

Je fis mine de redresser l’angle de ma lunette astronomique, comme si j’observais les étoiles. Mais rien n’y fit. J’étais repéré. Pour preuve, Maria m’adressa un coucou à travers la vitre de sa fenêtre, un grand sourire aux lèvres. Ces lèvres sur lesquelles j’ai cru lire cette phrase : « ça vous a plu ? ».


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