Une tante qui reprend goût à la vie

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Dans la catégorie Récits incestueux

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Rebecca, veuve depuis de nombreuses années, reçoit son neveu Nico pour quelques jours de vacances. Elle possède un petit mas avec piscine dans le sud de la France.
Cela fait un bail que les deux ne se sont pas revus. Ils se regardent longuement comme deux étrangers, puis se lacent dans les bras l’un de l’autre Les retrouvailles sont chaleureuses, les étreintes et les baisers interminables. Le petit gamin qu’elle avait connue a bien changé, il est devenu un homme. Elle a pris des rides, mais reste désirable malgré les années.

Elle est émerveillée par la stature de son neveu, elle le regarde sous tous les angles. Ils ne cessent de se sourire. Elle lui montre sa chambre et lui dit :

– Tu es ici chez toi, tu peux user de tout !

Nicol la regarde en souriant et lui répond un peu provocateur :

– User de tout, de toi aussi tante ?

Elle éclate de rire, hausse les épaules et repique :

– Tu es un coquin, cela ne te dérangerait pas de coucher avec une vieille !

– Oh, vieille, vieille, pas si vieille que ça, tu as de beaux restes, je suis sûr que tu as un amant !

Elle sursaute et répond :

– Perdu, je n’ai pas d’amant depuis bien longtemps, le dernier que j’aie eu était un macho donc je crois que j’ai assez donné !

Les deux deviennent rapidement très fusionnels. Avec une pointe de curiosité, Nico sourit et dit :

– Tante, si je comprends bien, tu es un cœur à prendre !

Elle secoue la tête et réplique en riant à gorge déployée :

– Je n’ai pas besoin de mâle macho, j’ai mes doigts pour me satisfaire !

Le neveu est ravi de voir que sa tante à beaucoup d’humour. Elle lui fait visiter la maison, puis retourne à ses occupations. Le coquin prend une douche rapide et enfile son maillot de bain. Il descend l’escalier quatre à quatre et plonge dans la piscine. Il fait quelques bras, puis s’accroche au bord de la piscine. Il regarde sa tante dresser la table sous un olivier, son déhanchement félin ne le laisse pas indifférent. Sa jupe légère virevolte à chacun de ses mouvements en découvrant ses cuisses. Le jeune homme dit avec une pointe d’ironie :

– D’où je suis, j’ai une vue imprenable, tu as de magnifiques jambes Rebecca hum, j’en mangerai !

La tante sourit et réplique :

– Mais je crois bien que tu dragues ta tante petit coquin !

Nico en riant répond :

– Mais tu as tout pour plaire ma tante, il n’y a rien à jeter, crois- moi !

Rebecca hausse les épaules en dodelinant de la tête et dit :

– Il est temps de passer à table Nico, mais avant va prendre une douche froide, cela te calmera !

Elle éclate rire en regardant son neveu s’approcher d’elle. Il l’enlace, la serre très fort contre lui, et clame :

– Tu mérites que je te punisse pour une telle arrogance !

Il la prend à bras le corps et l’emporte jusqu’à la piscine. Rebecca ne dit rien, elle sait ce qui va se passer. Elle soupire fortement, Nico la jette dans l’eau sans aucun remord. En quelques brasses, Rebecca rejoint le bord, elle se hisse à la force du poignet. Son neveu la regarde en souriant, elle se jette sur lui, les deux roulent sur l’herbe tendre, ils rient aux éclats, la lutte ne dure un bon moment. C’est essoufflé, que les deux cessent le combat amical, mais restent accrochés l’un à l’autre. Nico est sûr sa tante, les deux se regardent longuement, leurs visages sont très près.

Rebecca sent sur son visage, le souffle chauds de son neveu, leurs lèvres s’approchent, et se frôlent dangereusement, Rebecca détourne la tête pour éviter le contacte des lèvres de son neveu. Lentement, Nico desserre l’étreinte qui maintient au sol sa tante. Il se relève et l’aide à se relever. Le t- shirt trempé, moule parfaitement les seins de Rebecca qui ne porte pas de soutien- gorge. Les mamelons larges et épais appuient sur le tissu comme pour le percer. Sa jupe qui est devenue transparente à cause de l’eau, elle colle sur ses cuisses et son ventre. Nico reste sans voix, le tissu trempé, c’est inséré dans le sillon des grandes lèvres de la vulve et les moule parfaitement.

Rebecca tente de décoller tant bien que mal le tissu qui sculpte son anatomie. Elle regarde Nico et dit en riant :

– À la guerre comme à la guerre !

Elle retire sans gêne sa jupe et son t- shirt trempés. Elle dit :

– Eh bien nous voilà à égalité maintenant !

Elle étend ses vêtements mouillés sur l’herbe, puis sert l’apéro. À table, ils sont l’un en face de l’autre. Nico a les yeux rivés sur les seins de sa tante, ils sont petits, mais semblent très fermes. Les regards se croisent, Rebecca s’aperçoit de l’émoi de son neveu. Elle décide de se changer. Elle revient peu de temps après sa disparition, avec une bande de tissu qui lui ceint les seins outrageusement, et un short très court en jeans, qui laisse voir une partie des lobes fessiers.

Nico sursaute et ne peut s’empêcher de dire :

– Ouah tante, tu es magnifique, une vraie bombe !

Flattée par ce compliment, elle le remercie en lui souriant. Ses formes affolent Nico qui ne la quitte plus des yeux. Le repas se passe très bien, surtout extrêmement arrosé. Rebecca annonce à son neveu que ce soir, un bal est donné sur la place du village et qu’elle souhaite si rendre avec lui.

Fou de joie, Nico accepte, il se lève, passe derrière sa tante et pose ses mains sur ses épaules, il les masse avec douceur en lui donnant de petits baisers sur la nuque et le cou. Rebecca frissonne et dit faiblement :

– Cesse petit coquin, je ne suis pas de bois !

Un peu découragé, il renonce au massage. L’heure tourne. Il est temps de se préparer pour le bal. Une douche s’impose, Rebecca se vêt d’une robe légère, Nico d’un pantalon et d’une chemisette.

La place n’est pas très loin, les deux arrivent bras dessus bras dessous, ils trouvent une table en bord de piste. Seuls des lampions éclairent la petite place. La commande et vite prise, c’est jour de fête, le champagne est de rigueur. Les deux sont souriants, encore un peu euphoriques par l’alcool qu’ils ont ingurgités pendant le repas, ils ne cessent de rire pour un oui, pour un non. Nico est un bon vivant, il prend plaisir à faire rire sa tante. La musique commence, c’est un slow. Nico poliment se lève et invite sa tante, elle se lève à son tour, elle prend la main que son cavalier lui tend et se dirige sur la piste. Nico enlace sa tante et la serre très fort dans ses bras.

Les corps ondulent, les bassins se frottent au rythme de la musique, les joues sont l’une contre l’autre, Rebecca sent le souffle chaud de son neveu sur son cou, elle frémit. Le coquin dépose sur son épaule un baiser très appuyé, les lèvres brulantes sur sa peau, la font soupirer profondément. Nico tire sur les hanches de sa tante pour bien sentir son bassin onduler contre le sien.

Nico s’enhardit, il relève la tête et donne une multitude de petits de baisers sur le visage de Rebecca, le bougre n’omet pas les lèvres, qu’il écrase fortement avec les siennes. La tante soupire en murmurant faiblement :

– Nico, je t’en prie, cesse ce petit jeu !

Pour se faire pardonner, il lui donne un gros baiser sur le front. La danse cesse. Les deux rejoignent leur table et vide rapidement leur verre, que Nico se charge de remplir à nouveau. Le neveu se place si près de sa tante que leurs cuisses se touchent. Le gredin à quelque chose derrière la tête, il la regarde dans les yeux et lui dit :

– Tu as des yeux de braises Rebecca, tu mets le feu à mon cœur !

Elle lui sourit et réplique avec une pointe d’humour :

– Seulement au cœur, tu es sûr petit monstre ?

Il se penche et lui dit à l’oreille :

– Non pas que !

La danse reprend, c’est le même scénario, il l’enlace, se plaque contre elle et agite son bassin. Lentement, une érection se fait ressentir. Rebecca murmure à l’oreille de son cavalier :

– Tu bon petit cochon hein, je te fais tant d’effet !

– Il répond un peu embarrassé :

– Je ne peux rien te cacher, c’est toi qui me fais bander !

Les regards luisent, les lèvres se frôlent. Nico dit :

– J’ai envie de toi tante, depuis que je t’ai revu, je suis fou !

Rebecca se serre encore plus fort contre lui, elle appuie son bas ventre sur l’énorme bosse qui déforme le pantalon de son neveu. Elle passe difficilement la main entre les deux ventres collés l’un à l’autre. Elle saisit à travers le pantalon la verge qui devient douloureuse dans son carcan de tissu. Elle la presse plusieurs fois, elle lui dit au creux de l’oreille :

– Mon Dieu ce qu’elle est grosse, tu dois pouvoir combler une femme avec ça hein petit coquin !

Nico répète plusieurs fois en soufflant fortement :

– Je te veux, je te veux mon amour !

D’un geste habile, le bougre passe sa main dans l’échancrure de la robe de sa tante, et lui caresse délicatement un sein. Il doit y renoncer, car la danse prend fin. Ils prennent encore une coupe de champagne sans se quitter des yeux. Le neveu amoureux pose sa main sur la cuisse de sa tante et la passe sous la robe, la glisse jusqu’à l’aine. Ses doigts appuient sur la vulve que seule culotte protège. inconsciemment, la tante ouvre lentement les cuisses. Sa culotte s’humidifie de plus en plus. Elle pousse de nombreux soupirs en fermant les yeux. Nico inséré le tissu de la culotte entre les grandes lèvres. Son doigt voyage dans la fente, en faisant geindre doucement la tante consentante. Il lui presse le clito, puis le branle en l’enserrant dans le tissu trempé. Rebecca frissonne, elle rejette sa tête en arrière puis se mord la main pour étouffer le gémissement de jouissance qu’elle pousse. Nico retire sa main, il offre encore un verre à sa tante et lui dit  :

– Rentrons mon amour, j’en peux plus !

Rebecca, sans dire un mot, se lève, prend son neveu par la main et les deux prennent le chemin du retour. Sa chatte brulante laisse échapper un filet continue de cyprine, le jus divin coule le long de ses cuisses. À chaque instant, le couple s’arrête pour s’embrasser. Enfin, ils arrivent, une fois la porte franchit, Nico aide Rebecca à se mettre nue, la coquine et chaude comme un volcan, en un tour de main, les deux sont nus. Nico bascule sa tante sur le sol, il lui suce avec rage les mamelons, tout en lui passant sa main sur la chatte. La tante, geint fortement, elle agite son bassin en implorant son neveu :

– Prends- moi, Nico, prends- moi, fais- moi jouir comme une bête mon chéri !

Le neveu suce et tète les mats de chair qui ne cessent de grossir, il passe sa langue sur les aréoles grenelées, titilles du bout de la langue les tétons qui s’épaississent encore. La chatte de la tante est en feu, elle répète sans cesse :

– Baise- moi, baise- moi mon chéri !

Il délaisse la poitrine et plaque sa bouche sur la fontaine intarissable, il suce voracement les grandes lèvres, et les étire avec ses dents. Rebecca devient fébrile, elle défaille. Le neveu gobe le clito de la tante impatiente et le suce comme un bonbon. C’en est trop pour Rebecca, elle se cabre et pousse un long râle en jouissant fortement. Dans un sursaut, elle saisit le mat de chair, le décalotte et gobe le gland. Elle tète comme une affamée, en faisant des hum, hum bruyants.

Nico la regarde en serrant les dents, il lui dit en tirant sur ses cheveux :

– Oh putain ce que tu es bonne tante !

Il ajoute :

– Le manque de queue se fait ressentir, maintenant, tu vas rattraper le temps perdu ma salope d’amour !

Le neveu, excité à mort, lui baise la bouche avec violence. Sa queue gonflée bute au fond de la gorge de l’excellente suceuse qu’est sa tante. Il tire fortement sur l’abondante chevelure, se bloque et envoie un flot interminable de sperme au fond du gosier de la tante gourmande. Elle étouffe, Nico la maintient fermement, il se vide les couilles dans la bouche de son amante en grognant comme une bête blessée.

Ce sont les yeux pleins de larmes que Rebecca repousse violemment son neveu. Elle avale avec peine l’abondante giclée que lui a offert généreusement son neveu intentionné, elle le regarde et dit :

– Oh la vache, tu voulais faire mourir ta tante, cochon, je n’arrivais plus respirer !
Viens n’embrocher et me défoncer comme un sauvage, depuis le temps que je n’ai pas eu de queues, elles me manquent, vas- y ne me fait pas languir !

Nico prend place entre les cuisses de la demandeuse et lui enfonce sa queue jusqu’aux couilles dans le ventre. Rebecca pousse un long râle de satisfaction, elle s’agrippe à son baiseur et agite son bassin comme une forcenée. Le neveu puissant lui laboure les entrailles le plus fort possible. Le bougre veut dans sa rage sexuelle faire hurler sa tante de plaisir. Sa queue infatigable, entre et ressort de la chatte en ébullition en prenant de la vitesse. Rebecca couine de bonheur en murmurant :

– Oh mon chéri, je revis, oui baise- moi bien fort, je veux mourir dans tes bras, mon Dieu comme c’est bon !

Encouragé, Nico redouble ses assauts, il pilonne sa tante comme un marteau- piqueur, le coquin sait la faire défaillir. La tante soumise gémit en incitant son neveu :

– Plus fort mon chéri, fais- moi mal, défonce- moi la chatte, oui, oui encore !

Le ramonage, violent, mais bien dosé, fait hurler la tante qui tremble de tous ses membres. Elle se ploie comme un pont sous la tempête, pour un hurlement et jouit comme une diablesse. Elle ne se souvient pas d’avoir joui comme cela depuis des années. Nico cesse de lui ramoner la chatte, mais reste ancré en elle. Il lui gobe les mamelons avec fureur, il martyrise les bouts en les étirant, et le mordillant. Les bouts deviennent monstrueux, Rebecca est presque en transe, ses yeux sont révulsés, son corps est parcouru de frissons constants. Elle geint comme un animal pris dans un piège. Elle se cambre et jouit encore une fois,
sous les abominables succions. Elle hurle :

– Mon chéri, tu me rends folle, je t’aime, je t’aime !

Le neveu baiseur reprend le va-et-vient, il s’accroche aux hanches de sa tante et la démonte comme jamais, elle ne l’a été. Sa queue aux veines apparentes voyage dans le ventre en prenant de la vitesse. Rebecca est au bord de la syncope, elle ne cesse de répéter :

– Oui, oui, oui, oh, oui, mon Dieu, mon Dieu !

Nico se raidit, il se bloque et remplit le ventre de sa tante bien aimée, avec sa semence visqueuse. Insatiable, elle donne de violents coups de reins pour s’empaler totalement sur la queue de son neveu. Elle agite son corps frénétiquement, en réclamant :

– Fais- moi mal, oui, frappe- moi !

Nico n’en croit pas ses oreilles, sa tante et une maso. Il lui tord fortement les mamelons, la douleur violente fait jouir encore une fois la tante assoiffée de sexe. Elle se contorsionne, en grimaçant, elle halète fortement. Nico lui donne encore quelques coups de reins avant de se retirer de la fournaise.

Elle à le regard vitreux, son souffle et rapide, elle dit entre deux respirations :

– Oh mon chéri, tu es un amant formidable, tante te remercie de lui redonner goût à la vie !

Elle ajoute :

– Suis-moi, je vais te montrer, quelque chose !

Elle sort de dessous du lit, une valise qu’elle pose sur le lit et l’ouvre. Nico sursaute, à l’intérieur se trouve des objets de plaisir de tous genres. Des badines en bambou, un martinet, une lanière de cuir fine, des pinces à tétons, à clito, des menottes et une panoplie de godes monstrueux. Elle regarde son neveu et dit :

– J’aime que l’acte soit brutal, c’est avec ça que ton oncle et moi nous nous envoyons en l’air, il savait les utiliser le cochon !
Si tu veux mon chéri, tu peux en user, je suis friande de ce genre d’actes !

Nico reste un moment sans voix puis répond :

– Je ferai tout pour assouvir ta sexualité débordante ma salope chérie !
Mais pas immédiatement je suis crevé, il faut que je recharge les batteries, mais prépares ton cul tu vas déguster !

Rebecca souriante réplique :

– Oh mon chéri je sens qu’avec toi je vais avoir des jouissances exceptionnelles !


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