Maman cède à son fils 2

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Dans la catégorie Récits incestueux

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Juliette a les yeux pleins de larmes, mais accepte en tremblant le baiser brulant de son fils Marc. Un peu grisée par la soirée qu’ils ont passé ensemble, Juliette n’a pas la force de repousser son fils. Les langues se nouent, comme des reptiles qui s’accouplent. Le baiser est très long, Juliette soupire d’innombrables fois. Ses mains, fébriles, s’accrochent à la taille de son fils, elle tremble de plus en plus. Le baiser ne cesse que pour reprendre de plus bel.

Enfin les lèvres se séparent, leurs yeux se cherchent et s’accrochent un long moment. Marc sourit à sa maman et lui dit tendrement :

– Maman, mon amour, je vais t’aimer à en mourir !

Juliette le regarde, et se met à sangloter. Marc l’enlace et la serre très fort contre lui en lui disant :

– Reprends- toi maman chérie, ce n’est pas un crime que de s’aimer !

Entre deux sanglots, Juliette répond :

– C’est immoral mon chéri, une maman et son fils doivent s’aimer d’un amour platonique, rien de plus !

Marc hausse les épaules et réplique :

– Je me fous de la morale, au diable les préjugés, je t’aime un point c’est tout, d’ailleurs toi aussi, tu m’as avoué que tu m’aimais alors pourquoi tant de réticence !

Juliette ravale sa salive et baisse les yeux. Marc se veut rassurant, il lui dit en souriant :

– Si, notre amour est sincère, prouvons- le !

Sans attendre la réponse de sa maman, l’amoureux fait glisser d’un geste lent la fermeture éclaire de la robe, il fait glisser la robe sur le corps frémissant de sa maman, honteuse de ce qui se passe. La robe tombe sur les sol, Juliette apparait aux yeux de son fils en soutien- gorge et petite culotte.  Marc lui prend la main et la fait tourner sur elle- même en sifflant d’admiration. Les courbes, presque parfaites, lui font battre le cœur si fort qu’il bégué :

– Oh maman, maman, comme tu es belle !

Il l’enlace, et la serre très fort contre lui et l’embrasse avec amour. Pendant le baiser, le coquin d’un geste habile dégrafe le soutien- gorge. Juliette se cabre. Son corps fébrile est secoué par de nombreux frissons. Marc s’écarte et fait tomber le carcan qui enserrait les seins magnifiques de sa maman. Il les caresse avec douceur, et agace les mamelons qui rapidement se durcissent. Ses doigts tournent sur les aréoles brunes, les petits mats de chair enflent fortement. Marc regarde sa maman qui cherche à éviter son regard, il gobe à tour de rôle les mamelons larges et épais. Il tète comme un bébé qui se gave du lait maternel. Juliette pousse des soupirs profonds, en répétant faiblement :

– Non, non mon chéri, non, je t’en prie !

La bouche tendre de son enfant, embrasse chaque parcelle de son torse. Elle n’a pas la force de le repousser, elle se remet à sangloter doucement.
Marc se laisse tomber à genoux. Il s’agrippe à la culotte et la descend lentement, pendant la descente du tissu, il lui fouille le nombril avec sa langue et lui embrasse le ventre. Juliette défaille, petit à petit, l’intimité se dévoile. Marc hume les effluves odorantes que s’échappe du puits d’amour, il ne peut s’empêcher de donner un coup de langue sur la petite toison soyeuse qui cache difficilement la fente légèrement humide.

Marc attrape sa maman à bras le corps et la bascule sur la table basse du salon. Il lui écarte sans brusquerie les genoux, sa maman ferme les yeux de honte, elle halète comme une bête blessée. Marc écarte les grandes lèvres, place sa tête entre les cuisses et aspire la perle d’amour. Juliette se cabre, cela fait un très long moment qu’un homme ne la pas touchée. La bouche avide de douceur suce délicatement le bouton de tous les plaisirs. Juliette commence à geindre, elle proteste faiblement sans conviction :

– Oh, non, non, il ne faut pas mon chéri, mon Dieu, je deviens folle !

Les succions deviennent plus intenses, Marc devient plus vorace, il aspire le clito avec force, sa maman gémit, sous les aspirations brutales de son enfant amant. Elle commence à onduler du bassin, en appuyant inconsciemment sur la tête de son fils. Marc lui dévore le clito comme un affamé. Soudain Juliette pousse un long râle, la langue de son fils vient de s’enfoncer profondément dans son vagin et le fouille monstrueusement. Juliette a le souffle, court. Sa respiration et rapide. Marc la fait délirer, elle agite sa croupe de plus en plus vite. Marc reprend en bouche la boule sensible, et lui fait subir tous les outrages buccaux inimaginables.

Juliette semble délirer, elle pousse un gémissement terrible, elle se tend comme un arc en jouissant fortement. Elle marmonne :

– Mon chéri, mon chéri !

Son corps se couvre de sueur, Marc retire ses vêtements, sa verge est dressée comme un glaive. Il l’agite sous les yeux de sa maman en souriant. Juliette regarde l’engin qui lui parait monstrueux, avec une certaine anxiété. Marc demande :

Prends- la dans ta main maman, j’ai trop envie qui tu me branles !

Juliette tend timidement la main. Hésitante, sa main moite enserre la verge vivante, gorgée de sang. Elle sent dans sa main, battre le sang dans les grosses veines apparentes du membre. Elle observe un long moment le mandrin dressé, avant de le presser comme pour en connaitre la texture.
Elle commence un doux branlage, en ne quittant pas des yeux l’engin secoué par de petits frissonnements. Marc souffle comme un bœuf, sa maman s’en hardie, la cadence augmente, il est heureux de constater que sa maman se décoince enfin. Juliette pratique la masturbation comme une professionnelle. Elle serre les dents, à chaque descente, son poignet, frappe brutalement les couilles apparemment pleines de semence. Marc rugit et grogne :

– Maman, je vais jouir, oh oui ma chérie continue !

À cette annonce, Juliette décalotte le gland et le gobe, elle le suce avec voracité, la femme privée de queue depuis longtemps se rattrape pleinement. Sa bouche gourmande fait de merveille sur la queue de son enfant qui geint comme un animal blessé. Il se raidit et remplit la bouche de sa maman avec son sperme épais, il lui crie :

– Avale, maman avale !

Juliette recrache le gland, déglutie difficilement et fini par avaler la totalité de la décharge onctueuse. Marc est aux anges, il est fier que sa maman se gave de son jus, il répète sans cesse :

– Oh maman, maman, toi, toi comme je t’aime !

Juliette essuie ses lèvres d’un revers de la main, ses yeux brillent d’amour pour son enfant amant. Marc prend place entre les cuisses accueillantes de sa maman, il frotte contre la fente suintante, son gland encore englué. Il saisit par les hanches sa maman et pousse. Juliette grimace, l’engin dur comme du bois écarte les grandes lèvres et s’engage dans la gaine brulante, la maman consentante serre les dents, la queue de bon diamètre, s’enfonce dans son ventre en lui dilatant l’étui de chair. Une fois bien en place, Marc commence un va- et- vient, la vitesse augmente, ainsi que les gémissements de la maman. Elle s’accroche à son fils comme une bête sur sa proie. Son bassin s’agite de plus en plus rapidement. Juliette, donne des coups de reins pour être totalement empalée.

La queue de son enfant qui voyage dans son ventre la fait grogner de plaisir et dit en serrant les dents :

– Oui, mon chéri, bourre bien ta maman avec ta queue monstrueuse qui lui donne tant de plaisir, oui, oui mon chéri, dilate- moi les entrailles !

Marc se déchaîne, ses assauts violents font gémir sa maman comme une bête malade. Elle pousse un râle à chaque enfoncement de la queue dans son ventre. Elle ne se retient plus, elle s’agite comme une forcenée, se cabre et jouit fortement.

Elle clame :

Oh mon chéri, tu es un amant merveilleux, baise- moi encore mon chéri, fais- moi mourir de plaisir !

Marc démonte sa maman comme un soudard, il ne faiblit pas le bougre, Juliette jouit encore plusieurs fois sous le pilonnage violent de son amant de fils. Soudain Marc se bloque, c’est en rugissant comme un fauve, qu’il remplit le ventre de sa maman, avec sa semence visqueuse.

Oui mon amour, remplit maman avec ton sperme, c’est si bon, donne- moi tout mon chéri !

 

À suivre : Maman cède à son fils 3


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