Prise par tous les trous en gang-bang

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Il m’a arrêtée d’un geste juste avant que je sois en place. Je l’ai regardé avec un peu d’incompréhension mais il m’a vite fait comprendre où il voulait en venir. En fait, il est allé s’asseoir sur le canapé, là où je voulais me mettre. D’une main ferme et volontaire, il m’a prise par les hanches et m’a invitée à venir me percher sur ses cuisses. Sa bite était bien raide et il la tenait encore plus droite avec les doigts de son autre main. J’ai regardé un moment ce beau pieu dressé avec des yeux emplis de gourmandise. Il allait me la mettre bien à fond dans la chatte. J’ai quitté définitivement le torchon humide qui me servait de culotte et qui n’avait plus de slip que le nom pour venir me présenter au-dessus de son manche veineux. Le gland n’était pas encore complètement apparent mais je savais que le capuchon de peau qui le recouvrait encore partiellement se retirerait aussitôt que ma vulve affamée viendrait s’empaler dessus.

Je ressentis un grand bonheur à prendre en moi le gros mandrin du gars. Avant de m’abaisser, j’avais enjambé ses cuisses et placé mes pieds de part et d’autre de lui. J’avais aussi asticoté un peu son gland en le frottant contre mes grosses lèvres gorgées de désir. Il en avait profité pour faire bouger son bout tout au long de ma fente maintenue entrouverte par ma position. C’était un peu comme s’il me tartinait avec mon propre jus. Quand il toucha mon clitoris la sensation fut trop intense et je m’empalai subitement sur sa bite. Je commençai à faire rouler mes fesses sur son bas ventre dans tous les sens car je voulais qu’il se loge le mieux possible dans mon trou.

Les deux autres gars se sont approchés à cet instant et m’ont donné leurs queues à travailler. C’était tout ce que j’attendais. Je me suis jetée de côté, sur la verge du mec qui n’avait pas encore joui, pour commencer à le sucer. J’avais apprécié la saveur de sa bite la première fois. Je l’ai pompé un petit moment tout en caressant à l’aveugle, avec mes doigts, le sexe du troisième gaillard. Celui-ci reprenait peu à peu de la vigueur sous mes attouchements. C’était nécessaire pour ce que je voulais obtenir de lui. Je n’oubliais pas la raison pour laquelle je me retrouvais enfermée dans mon appartement avec les trois lascars, malgré l’effet terrible que me procurait la pine qui me ramonait le con.

Le gars qui se trouvait sous mon cul était très agité, il faisait jouer les muscles de ses jambes et de son ventre pour me bourrer la chatte violemment. Ses mouvements lancinants me faisaient monter et descendre à une cadence de plus en plus accélérée. Je sentis sa main qui essayait de se faufiler entre son ventre et mes fesses. Un doigt, puis deux, se glissèrent dans la raie de mon cul. Le vicieux cherchait à me triturer l’anus. Je me suis penché légèrement en avant pour lui faciliter la tache. En même temps, cela me fit ressentir combien il était gros et long dans mon sexe. Le fourreau de ma chatte était complètement rempli par sa grosse bite vigoureuse. Il devait être très serré dans la gaine chaude qui lui servait de trou à vidange. J’appréciais son idée de me fourrer le cul avec ses doigts. Cela collait parfaitement avec ce que je souhaitais pour mon petit orifice intime.

Quand je me suis sentie prête, j’ai retiré son zob de ma moule et je me suis retournée vers lui. L’excitation était encore montée d’un cran dans mon ventre. J’ai repris ma place sur son pieu et il s’est mis à me masser les nichons sans douceur. Le sexe de son copain, que je branlais depuis quelques minutes déjà, avait pris des proportions tout à fait correctes et je l’estimai suffisamment raide pour s’introduire dans mon cul. J’ai tiré dessus pour guider son propriétaire vers l’endroit où je voulais qu’il le mette, juste derrière moi. J’ai aussi fait comprendre au troisième larron que je voulais qu’il se mette devant moi, debout sur le canapé, afin que je puisse continuer à le sucer au mieux. Dix secondes plus tard, tout le monde était en place pour jouer la partition que j’avais écrite depuis longtemps.

Le gars que je chevauchais m’a aidée à me faire enculer. Il a posé ses doigts sur mes fesses et les a écartées pour son pote. Celui-ci devait avoir une vue imprenable sur mon oeillet violacé qui palpitait à l’idée de se faire défoncer bientôt. Il s’est approché encore un peu et a posé son gros gland humide et nu sur le petit trou gourmand. Je roulais tellement des hanches que c’est moi-même qui frottais mon anus sur son nœud. Il n’avait même pas besoin de bouger pour me préparer. Je sentais ses chairs tuméfiées qui glissaient tout autour de mon puits, tartinant la margelle de mouille. Le cratère s’évasait peu à peu mais c’était trop lent pour moi, je voulais me sentir pleine de sa bite, aussi pleine que je l’étais déjà par-devant. Alors je me suis brutalement poussée en arrière et la tête de la queue s’est frayée un passage vers mes entrailles. J’ai poussé un petit cri quand le plus gros du champignon est passé, mais c’était supportable. Ce n’était pas la première fois que je me faisais sodomiser et, l’excitation aidant, j’étais prête à en supporter beaucoup.

J’étais enfin dans la situation que j’attendais de vivre depuis si longtemps. Cette simple constatation augmenta encore mon désir dans des proportions que vous auriez du mal à imaginer. Jamais je n’aurai cru qu’une telle force puisse se déclencher dans le bas de mon ventre et remonter jusqu’à mon cerveau, excitant mes plus bas instincts.

Les deux phallus qui me taraudaient cognaient l’un contre l’autre de plus en plus violemment à mesure que leurs propriétaires accéléraient le rythme de leurs coups de lime. J’étais ballottée dans tous les sens à tel point que j’avais du mal à conserver le troisième sexe dans ma bouche. C’était dommage pour le mec qui se trouvait au bout, mais, tout compte fait, il n’était pas indispensable qu’il jouisse dans ma gueule dès à présent. C’était l’idée de le sucer qui m’excitait plus que le désir de le faire jouir. Pour être honnête, il faut ajouter que j’étais plus tournée vers mon propre plaisir que vers celui de mes compagnons à ce moment-là. Il devait en être de même pour eux car ils n’attendirent pas mon propre orgasme pour se laisser aller à juter en moi. Les deux qui me tiraient jouir presque simultanément. C’était vraiment fantastique de sentir leurs deux bites qui se contracter dans mes chairs avant d’expulser le trop-plein de leurs couilles. Leurs glands battaient au fond de mes trous indécents, les inondant de jus bouillant. Quand il a vu ses amis se répandre dans mes orifices, le gars que je suçais tant bien que mal n’a plus été en mesure de se retenir. J’imagine que le spectacle que je lui offrais bien plus que mes attouchements buccaux maladroits sur son chibre furent la cause de son orgasme. Un peu confuse de ne pas lui avoir accordé autant d’attention qu’il le méritait, et comme une forme de dédommagement, j’ai tout avalé de la quantité phénoménale de sperme qu’il a expulsé de ses couilles. Puis, je l’ai nettoyé jusqu’à enlever de son sexe les dernières traces de sa crème.

J’ai profité de mes trois compagnons de luxure durant toute la nuit et bien au-delà. Ils n’en avaient jamais assez et, ça tombait bien, moi non plus. Ils m’ont baisée jusqu’au milieu de l’après-midi sans s’arrêter autrement que pour boire un verre. J’ai été niquée à d’innombrables reprises par chacun d’entre eux et par tous les trous. Mon cul a été visité par les trois bites, tout comme ma chatte et ma bouche. Ils m’ont enculée debout, couchée, à quatre pattes. Je les ai sucés l’un après l’autre et parfois deux en même temps pendant que le troisième me trouait le cul. J’aurai voulu que cela ne s’arrête jamais mais il est arrivé un moment où les ressources des uns et des autres sont devenues quasiment inexistantes.

Quand ils sont partis, vers dix-sept heures, mon corps était exsangue. J’étais complètement dégueulasse, maculée de sperme et de mouille, souillée des pieds à la tête. Mes amants avaient juté partout, sur moi et en moi. Je me sentais crade mais tellement heureuse d’avoir enfin exaucé mon souhait le plus cher. Je pensais déjà à remettre ça avec, peut-être, plus de partenaires encore. Pourquoi pas quatre ou cinq hommes entièrement voués à mon plaisir ? J’avais entendu parler, au détour d’une conversation, d’un endroit où des couples libertins et des voyeurs pervers se donnaient rendez-vous, à quelques kilomètres de chez moi. Je venais à peine de réaliser mon fantasme que, déjà, de nouvelles envies naissaient dans mon esprit torturé de jeune salope. La nuit qui suivi cette journée mémorable fut peuplée de rêves encore plus explicites et excitants que tous ceux que j’avais pu faire auparavant. En me réveillant le demain, je savais déjà qu’il me faudrait prochainement passer à une nouvelle étape de ma dépravation sexuelle.

 

 

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