Partouzes de bourgeoises

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Tous les mois, le premier samedi, un dîner se déroule dans une très belle maison bourgeoise proche d’Avignon. Le repas réunit une quinzaine de couples de la haute bourgeoisie locale ainsi que quelques femmes seules (mais très jolies) et des jeunes hommes cooptés par ces dames en raison de leur charme et de leur savoir-faire.

Ces dîners mensuels tournent le plus souvent autour d’un thème varié, mais toujours liés aux tenues des femmes : lingerie, transparence, bas et porte-jarretelles, guêpières, sans culotte, etc, etc… Bref, le sujet est toujours très explicite.

Mon mari m’a fait connaître ces soirées il y a une dizaine d’années et, bien que surprise, voire choquée au début, j’ai très vite su apprécier ces rencontres. Elles m’ont fait découvrir des gens très divers et m’ont révélé m’a véritable personnalité et mes goûts sexuels les plus insoupçonnés. Grâce à elles, j’ai pu donner libre cours à tous mes désirs et réaliser mes fantasmes les plus secrets. Je me suis découvert comme une femme vraiment très sensuelle, sexuelle, aimant les jeux de sexe et d’exhibition.

Mon mari a su m’initier et me faire découvrir tout ce que j’aimais sans oser le réaliser. Je suis exhibitionniste et lui voyeur et il m’a fait apprécier les jeux d’exhibition, puis m’a offerte aux voyeurs. Il m’a présenté des hommes souhaitant être accompagnés d’une belle femme pour leurs rendez-vous d’affaire. Il a fait de moi une bourgeoise complètement libérée, aimant se montrer, s’offrir et jouer les call-girls avec délice et passion.

Chaque premier samedi du mois je me prépare donc pendant des heures pour le dîner : je me rase la chatte, prends un bain parfumé, prépare un maquillage raffiné et enfile des tenues soigneusement choisies et essayées en fonction du thème.

Vers vingt heures, les plus belles voitures se rangent dans le parc et on assiste alors à un véritable défilé de mode sexy et provocant à ne pas montrer aux âmes sensibles : mini-robes, très minis, laissant apparaître de superbes fesses, robes transparentes ou savamment découpées pour montrer paires de seins, chattes ou f esses, selon les goûts des unes et des autres, vestes en fourrure sur guêpière ou lingerie très sexy, des appels au viol permanents.

Au cours du repas, le Champagne coule à flot et entre chaque plat une femme, tirée au hasard, doit se soumettre à un gage qui toujours entraîne des démonstrations chaudes : strip-tease, masturbation, fellation. De quoi faire monter la tension très haut entre les convives ! J’aime être désignée par le sort et me retrouver le point de mire de tous les regards quand je réalise mes gages. J’aime par-dessus tout être sur la table, à moitié nue devant l’assistance qui me dévore des yeux et qui ne se prive pas de commentaires sur mon physique ou sur mes prestations. Cela m’excite toujours beaucoup et ma chatte est alors trempée ce qui, bien sûr, se remarque très vite, me valant de nouvelles remarques très flatteuses sur mes dispositions naturelles de salope.

Bien avant le dessert, de nombreuses femmes sont à peu prés nues et ouvertes aux caresses des hommes assis à leurs cotés. La tension monte graduellement et les quelques danses qui clôturent le dîner sont le signal de la partouze que tous les convives attendent, moi la première.

J’aime ce moment ou les derniers interdits disparaissent et ou je me sens enfin livrée à mes pulsions et désirs, prête à toutes les folies de mon corps. Les personnes présentes me connaissent très bien et savent la femelle que je suis. Alors, très vite, je suis entourée de plusieurs hommes et femmes qui me caressent, m’embrassent, m’ouvrent, me pelotent sans ménagement. En général, mon mari assiste à ce début de partouze en voyeur. Il adore me voir ainsi livrée à mes penchants et aux attouchements impudiques de nos camarades d’orgie.

Rapidement, je deviens une des attractions de la soirée et je me retrouve au centre d’un groupe de voyeurs qui me regardent me laisser aller à toutes les caresses, toutes les positions, toutes les pratiques perverses de mes partenaires. Je suis alors dans un monde de pure folie sensuelle et sexuelle qui me pousse à me conduire en véritable chienne.

La nuit se termine vers cinq ou six heures du matin et me laisse épuisée, comblée sexuellement, couverte de sperme de la chatte jusqu’au cul, la bouche enflée d’avoir trop sucé des queues bandées et des chattes baveuses.

Ces rendez-vous mensuels sont un vrai délice pour moi. Je m’y livre à mes pulsions les plus folles, sans tabou aucun. Mais ces soirées ne sont pas les seules où mes désirs sexuels sont comblés. En effet, depuis plusieurs années, mon mari m’ayant progressivement initiée aux plaisirs de l’exhibition, il n’hésite plus à me présenter des hommes et à m’offrir à eux (disposé pour vide-couilles de la femme d’un notable de province flatte certains ego.) J’apprécie vraiment ces situations de soumission consentie et d’exhibition avec des hommes qui parfois « m’empruntent « pour une soirée ou un week-end. J’aime être offerte par mon mari et que mes amants abusent de moi avec sensualité et perversité acceptée, y compris devant lui.


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