« Oh madame, excusez-moi mais ces toilettes sont occupées. J’ai oublié de verrouiller la porte. Pardonnez-moi !
Mais, que faites-vous ? Vous refermez derrière vous ? Mais, madame, je ne vous permets pas, veuillez sortir tout de suite ou j’appelle !
Vous passez votre main dans la cuvette maintenant ? Que cherchez-vous ? Ma chatte pleine de pisse dites-vous ? Arrêtez, arrêtez, je sens vos doigts qui fouillent dans mes poils. Non, maintenant ils passent entre mes lèvres humides. Cessez tout de suite ce petit jeu je vous prie madame !
Vos doigts coulissent entre les lèvres de mon sexe. De votre autre main vous me maintenez assise de force sur les chiottes. Je commence à mouiller malgré moi. Je ne veux pas, non, je ne veux pas ! Laissez moi sortir, laissez moi partir !
Je sens maintenant votre index qui cherche mon bourgeon, tout en haut de ma vulve. Plus haut, un peu plus haut. Oui, c’est là ! Mais, qu’est ce que je dis moi ? Arrêtez, je vais devenir folle !
Vous avez trouvé mon clito et maintenant je sens vos doigts qui le masturbent agilement. Vous êtes douée quand même. Oh, oh, je commence à gémir. Vous êtes contente de vous ? Moi d’ordinaire si prude, je suis en train de me faire branler dans les chiottes de la gare par une femme qui pourrait être ma fille.
Comment ? Je parle trop ? Je ne pourrai bientôt plus parler si vous continuez à m’exciter de la sorte. Vos doigts sur mon petit bouton sont trop agiles, je ressens leur délicat travail, juste sur le bout. Il est tout mouillé maintenant, votre pouce glisse bien dessus. Oui, oui, c’est là que c’est le meilleur ! Le pouce sur le bout et les autres doigts dans ma chatte. Ils me grattent la paroi, jusqu’au fond. Oh ! Votre main me branle comme jamais.
De l’autre, vous me tirez sur les seins, sur mes grosses mamelles pendantes. Comment ? Que dites-vous ? Comme une vache qu’on trait ? Oui, j’aime quand vous me dîtes ça.! Trayez moi encore s’il vous plaît ! Prenez les à pleines mains et tirez dessus, surtout sur mes gros tétons. Oh ! Oh !Oui, trayez moi les seins, je suis une grosse vache qui le mérite bien ! Et continuez à me branler la foune !
Ah, se faire prendre de la sorte sur les toilettes, quelle grosse pute je suis ! Écartelée sur les chiottes, mon trou à merde est une proie facile pour vos doigts. Je sens maintenant votre main qui passe le long de ma raie et remonte jusqu’à mon sexe. Ce massage est délicieux. Prenez un peu de mouille sur ma vulve et graissez moi le fion avec ! C’est le bord de votre main qui glisse le long de ma raie culière et jusqu’entre les lèvres de mon sexe. Un mouvement circulaire m’écartèle peu à peu encore plus les globes de mes fesses.
Oh ! Votre index vient fureter tout autour de mon anus maintenant. Arrêtez ! Je n’ai pas l’habitude qu’on me touche l’œillet ! Vous allez trop loin cette fois-ci ! Je vous demande de me laisser et de sortir. Comment ? Je ne suis qu’une sale vicieuse qui s’ignore ? Je crois que vous devez avoir raison après tout !
Vos doigts me font de l’effet et j’ai du mal à me contrôler ! Oh, oui, vous me graissez le trou avec la pulpe de votre pouce ! Je le sens qui rentre un peu ! Oh ! Oh Non, n’arrêtez pas, pas encore ! On ne m’a jamais fait ça. C’est bon, c’est trop bon !
Je dois me lever ? Mais pourquoi ? Me taire ? D’accord, mais pourquoi dois-je me lever et me retourner ? Vous plaquez les paumes de mes mains contre le mur des toilettes et d’un coup de pied, m’écartez les jambes au maximum. Ainsi cambrée mes fesses ressortent de manière obscène. De part et d’autre de la cuvette des chiottes, mes jambes forment une arche et je pose la joue sur le mur délavé. Je suis toute entière à votre merci. Et vous le savez bien.
Agenouillée derrière mon cul, vous profitez de ma position pour faire voyager vos mains tous le long de mon sillon d’amour. Mon anus est presque autant inondé que ma chatte. Les va-et-vient de votre main me procurent extase et plaisir. C’est surtout le trouble de la situation qui m’excite. Je prie pour que nous ne soyons pas surprises. Nous sommes ici depuis bien longtemps.
Votre bouche vient de remplacer vos mains dans mon entrejambe. C’est trop bon ! Vos lèvres ventouses sont sur ma vulve. Elles mordillent mes lèvres vaginales, engloutissent mon clitoris, frôlent mon anus dégoulinant de mouille. Pendant ce temps vos mains ont repris la traite de mes gros seins tombants. Je vous imagine, à genoux, la bouche furetant entre mes cuisses et mes fesses et les mains tirant sur mes mamelles gonflées.
Cette évocation m’entraîne vers le plaisir ! Plus encore quand je sens vos mains m’écarter les globes fessiers et votre langue s’appliquer à me titiller le trou vicieux qui s’y cache. Oh oui ! Votre langue m’effleure l’anus ! Écartez mes fesses, encore ! Attendez, je vais vous aider ! D’une main je tire sur ma fesse droite pour que vous puissiez toujours plus me sucer le cul. Je n’en peux plus de bonheur. Je crois que je reviendrai souvent. Oui ! Oui ! Lappez mon trou à merde, entrez votre langue dans le conduit ! Ah ! Je suis une vieille pute qui se fait bourrer le cul par une gamine d’à peine 20 ans dans les chiottes publiques ! Oh ! Oh ! Encore, encore, plus fort…
Tout en m’écartant les fesses, vous tentez d »y faire entrer vos deux pouces. Je les sens qui parviennent à forcer mon intimité. Et le bout de votre langue pointue qui s’y risque. Elle tourne sur le pourtour de la cavité anale. Pas besoin de rentrer plus, c’est déjà l’extase. Oh oui ! Oh oui ! Appuyez bien le plat de la langue sur le trou ! C’est bon, c’est trop bon ! Je vais m’effondrer de bonheur.
Votre main droite tire sur mon clito tandis que votre langue visite mon cul. Plus vite, plus vite ! Faites plus vite ! Je vais jouir encore, encore, encore… OooooooooooooooH ! Ouiiiiiiiiiiiii !Ouiii ! Oui ! Ça y est, je jouis, je jute de partout, je pisse de plaisir ! C’est bon ! C’est bon ! Je jouis comme une pute, comme une chienne vicieuse, écartelée dans les wc de la gare ! Baisée par une salope à peine majeure ! Ah ! Ah ! Oui ! Oui ! Oh ! Oooooooooooh ! Je pars ! »
A peine remise de mon extase je me retourne pour constater que la jeune gouine perverse a disparu, sans laisser de traces. Comme pour me narguer ou m’avilir définitivement, elle a laissé la porte des chiottes grande ouverte. Je suis pantelante et à demi-nue sur le carrelage, la moule et le cul maculés de mes sécrétions intimes, offerte à la vue de tous. Rouge de honte, je tire la porte avec le pied et éclate en sanglots.
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