Réconciliation lesbienne sous la douche

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Le tournoi se terminait bien pour moi. Depuis mes débuts en badminton, c’était le troisième que je gagnai, mais le premier contre cette fille, Léana. C’était la joueuse la plus redoutée du circuit, encore jamais vaincue en finale.

Je n’étais pas peu fière d’avoir ébranlé aujourd’hui la statue de celle que beaucoup de joueuses craignaient de rencontrer, sur les terrains ou en dehors d’ailleurs. Cette fille était vraiment une teigne et mis à part son entraîneur de père et sa famille proche, bien peu nombreux étaient ses supporters.

Je me retrouvai bientôt seule avec Léana dans les sanitaires du gymnase. La salle s’était peu à peu vidée de ses spectateurs. Quelques bénévoles du club étaient encore occupés à ranger le matériel et je profitai de ce moment pour me délasser un peu sous l’ondée bienfaisante de la douche. Les yeux fermés, je savourai ma victoire sur la rude Léana.

Brusquement, l’eau froide me rappela à la réalité. J’ouvris les yeux pour apercevoir mon adversaire malheureuse en train de couper l’arrivée d’eau chaude. Elle lâcha le robinet pour me coller sa main sur la bouche. D’une poigne vigoureuse elle me bâillonna et me colla contre le mur carrelé. Surprise, je me laissai faire.

« Alors comme ça on a gagné petite conne ? Savoure ta victoire, car elle sera de courte durée. Tu as triché, à plusieurs reprises. Mon père a posé des réserves et tu ne t’en tireras pas comme ça. J’ai des témoins sympas qui jureront que ta victoire est volée. »

Je veux répondre et me débats. Léana est forte, mais je ne suis pas une faible femme. La voilà qui recule. Elle me maintient toujours la bouche fermée, mais je sens qu’elle a du mal à résister à mes mouvements. Elle m’agrippe par les cheveux et me les tire en arrière. En désespoir de cause, je la mords violemment et elle relâche son étreinte. J’en profite pour lui répondre, crâneuse :

« Tu rêves ma grande. Tout le monde a bien vu comment je t’ai matée aujourd’hui. Tu ne faisais pas le poids sur le terrain. Tu étais aussi souple qu’un éléphant et rapide qu’une tortue. »

Ces mots ont pour effet de décupler sa rage. Elle tire plus fort sur ma crinière et commence à me frapper de son poing resté libre. Elle tente d’atteindre mon visage, mais sa main ne parvient qu’à effleurer mon buste, juste au-dessus des seins. Je me défends et de coups en esquives, nous glissons peu à peu sur le sol mouillé de la douche. Nos corps nus s’emmêlent et les coups pleuvent, autant que les injures.

« Sale pute ! Tu as triché. C’est tout. Je suis la meilleure et je le serai toujours. T’es qu’une nulle, comme toutes les autres. »

« Salope, lâche-moi ! Tu as perdu et tout le monde le sait. Il faut te réveiller. Tu as grossi, c’est peut-être pour ça ? »

Décidément, la hargne de Léana me rend méchante. Son comportement déteint sur moi, d’ordinaire si gentille. Le crêpage de chignons tourne peu à peu à mon avantage. Pour la deuxième fois aujourd’hui, je vais sans doute prendre l’ascendant sur mon adversaire. Ce n‘est décidément pas son jour. Elle est maintenant couchée à même le carrelage. A califourchon sur son ventre, je lui tiens les deux bras fermement. Elle lutte encore pour que je la lâche, mais je sens que ses forces, déjà mises à mal par le match de 2 heures 15 que nous venons de livrer, l’abandonnent. Ses forces, oui, mais pas sa méchanceté.

« T’es qu’une salope de tricheuse. Tu n’as toujours gagné que contre des nulles. Si tu m’as battu aujourd’hui, c’est louche. Tu as sûrement pris quelque chose. T’es shootée ? Oui, c’est ça, tu t’es shootée avant de jouer. T’es nulle de faire ça, tout le monde le saura, poufiasse ! »

Et pour finir, elle me crache au visage. La coupe est pleine. Je ne me contrôle plus. Je la gifle violemment mais elle profite de ce geste pour se dégager. Nous roulons dans un corps à corps impudique, totalement nues sur le sol mouillé. Bizarrement, cette situation commence à m’exciter. Le contact de ma peau sur celle de Léana m’électrise. Je sens sa cuisse qui se glisse entre les miennes. Je perçois par instants le frôlement de sa toison pubienne sur le haut de ma jambe. Je me retrouve à plusieurs reprises avec l’un de ses seins contre ma poitrine ou sous ma main. Peu à peu germe dans mon esprit l’idée d’une punition bien méritée pour cette conne.

Je garde de mes années de pratique du judo, dans l’enfance, quelques souvenirs de positions bien pratiques pour maîtriser un adversaire récalcitrant. J’en use donc pour coincer la jeune fille. De tout mon poids, je pèse sur son corps. Je pivote, afin de bloquer entre mes genoux le haut de son torse. Mes bras musclés enserrent ses deux jambes. Ainsi elle est à ma merci. Je n’ai qu’à resserrer encore un peu plus mes cuisses pour lui ôter toute velléité de rébellion. Elle tente bien de se débattre, mais je suis décidément la plus forte aujourd’hui. L’épuisement la guette alors que je dispose encore de quelques réserves.

Nous sommes maintenant tête-bêche, par terre. J’en profite donc pour la punir comme elle le mérite. Je saisi vivement mon tube de shampoing, tombé au sol durant la lutte. J’en apprécie les formes. Les designers sont vraiment des as. Ce flacon est vraiment tout ce qu’il me faut. Long et fin, le bout juste assez arrondi pour l’usage que je lui réserve. Au passage, j’enduis ma main de savon et en badigeonne l’objet. J’ai beau être rancunière, je ne suis pas une sauvage tout de même.

Léana, vaincue, a presque fini de se débattre. J’en profite pour lui écarter les cuisses au maximum. Je fais glisser le flacon sous son cul. Je cherche le chemin de son petit trou entre les fesses. Comprenant où je veux en venir, elle tente de se libérer, dans un ultime effort. Mais je suis la plus forte. Une simple pression supplémentaire sur son buste la fait renoncer. Je l’entends qui râle :

« Oh salope ! Que fais-tu ? Non, laisse-moi ! Laisse-moi je te dis ! Pas ça ! Mais, tu m’encules ? Sale pute ! Tricheuse et violeuse en plus. Ah ! Doucement ! »

Ses suppliques me laissent de marbre. Le bout du tube de shampoing vient de lui perforer l’œillet. Cela n’a pas été sans mal, mais cette fois-ci il est bien entré. Et il n’est pas prêt de ressortir. Du moins pas entièrement. D’un mouvement souple, je commence à le faire aller et venir dans le fondement dans Léana. De temps à autre j’effectue une petite rotation qui écarte encore un peu plus ses deux fesses. Le sexe factice la pilonne avec constance. Je ne peux pas résister à l’envie d’en rajouter en paroles :

« Au moins maintenant, quand les autres te traiteront d’enculée ils seront dans le vrai. Si seulement ils pouvaient te voir avec ce flacon dans le cul ! Une salope de première ! »

La réaction de Léana à ces mots est troublante et inattendue. J’attendais une rebuffade, mais il en va tout différemment. Oui, pas de doute, c’est bien une langue que je sens s’immiscer entre les lèvres de mon sexe ! Cette cochonne doit trouver du plaisir dans mon massage anal et la voilà qui commence à me lécher la fente. Je dois dire que sa tâche est facilitée par l’excitation qui commence à me tenailler le bas-ventre à la vue du gode improvisé qui la fouille. Je relâche un peu la pression de mes jambes et soulève mon derrière pour lui permettre de laper ma vulve en entier.

La salope sait y faire. Ses lèvres font ventouse sur ma chatte et sa langue agile asticote mon clitoris. Je sens un doigt qui vient s’introduire dans mon vagin, juste assez longtemps pour y prendre un peu de mouille. Il ne s’y attarde pas longtemps. A peine ressorti, il vient se poser sur mon anus pour le caresser. Je lèche à mon tour le sexe de Léana. Nos corps s’emmêlent dans un soixante-neuf torride. Il n’y a plus d’adversaires, plus de gagnante ni de perdante. Plus que deux jeunes sportives avides de sexe qui se bouffent la chatte et se taraudent le cul.

Nous roulons sur le côté pour mieux encore nous pénétrer mutuellement de nos langues et de nos doigts. Je n’ai plus besoin de contraindre Léana à l’immobilité. Elle consent maintenant totalement aux explorations que je lui imposai encore il y a peu. Sa moule dégouline de jus dans ma bouche, se mêlant à ma salive. Je sais qu’elle aussi boit ma mouille avec délectation. Les bruits de succion qui emplissent la douche ne laissent planer aucun doute sur ses activités. Son doigt fureteur, après s’être concentré sur le pourtour de mon trou à merde, coulisse agréablement dans mes boyaux.

Pour ma part, j’ai remplacé le flacon par un index et un majeur joints. Deux doigts rivés dans son cul, une main presque entière dans son vagin, elle est clouée sur le sol de la douche. Je l’entends qui gémit dans mon dos. Elle a du mal à rester discrète. Ma langue, qui accompagne sur son bouton le jeu vicieux de mes mains en elle, lui fait de l’effet. Le petit organe sensible se dresse tel un micro-pénis, entre mes lèvres. Je le tête avec délectation, l’aspire, le suce. En un mot, je le branle avec ma bouche. Il grossit un peu et devient très dur. Le tout petit gland, légèrement décalotté, semble tendu à exploser. J’en profite pour le faire tourner, tantôt avec le plat de ma langue, tantôt avec le bout.

Quelques minutes de ce traitement suffisent à déclencher chez ma partenaire les frémissements annonciateurs d’un orgasme ravageur. Elle ne peut résister bien longtemps et je sens ses cuisses qui se referment sur ma tête, comme un étau. Les deux doigts qui fouillaient toujours son cul sont expulsés en même temps. Le plaisir qui envahit Léana se transmet violemment à mon corps. Quand, sous l’effet de sa propre jouissance elle mordille mon bouton, je la rejoins dans l’extase. Je pousse un peu plus mon derrière vers sa main et ma motte vient écraser son visage de gouine. Un dernier soubresaut nous amène l’une contre l’autre, la tête sur le sol.

Dans un souffle, je l’entends qui murmure : « Il faudra qu’on refasse ce genre de double, à l’occasion ! »


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