Mme Besson – Livre 1

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Voici une histoire sexy… pleine d’orgasmes, de pipes, de plaisirs érotiques, de sexe, de sextoy, de sodomies, de soumises … l’histoire du long cheminement d’une femme, qui après s’être fait piéger, restera sans résistance et se laissera mener vers toutes transgressions et donnera libre court à tous ses fantasmes. Elle sombrera peu à peu dans les plaisirs, que certains trouveront sombres, que son sexe lui impose, jusqu’à devenir une indécente addicte pour son bonheur. Encadrée, esclave dressée par une jeune fille, puis par toute sa famille, père, mère, frère, elle subira tous les outrages, toutes les souillures… fouet, fessées, exhibée et pour finir pute mise sur le trottoir…
Le récit se déroulera en trois livres et 19 chapitres.


MADAME BESSON
Livre premier

CHAPITRE 01

Mme Besson était assise à son bureau et corrigeait les devoirs de ses élèves de terminale. Elle n’était pas pressée de rentrer chez elle, son mari était en déplacement et sa fille en camps de vacances jusqu’à la fin du weekend.
Mme Besson était mariée avec Gabriel depuis 14 ans. Depuis qu’il avait eu sa dernière promotion, Gabriel partait souvent en déplacement à l’étranger pour de longues durées. Il était absent depuis maintenant deux mois et ne savait pas encore lorsqu’il il rentrerait, quant à Chloé leur fille, qui venait juste de fêter son 13ème anniversaire, entre l’école et ses activités diverses, elle était rarement à la maison.
Avec des cheveux blonds, des yeux scintillants, un petit nez, quelques taches de rousseurs discrètes, une jolie bouche, des seins légers et fermes, un beau cul souvent moulé dans une jupe élégante, même si elle s’en défendait, Mme Besson sous ses airs bourgeois est bon chic bon genre. Elle disposait de beaucoup de temps libre.
Aujourd’hui, elle en profitait pour terminer la correction des devoirs de sa classe et envisageait d’aller à la salle de gym après avoir terminé. Elle portait ce jour-là, un pull sur une jupe et des chaussures à petits talons. À 32 ans elle entretenait son corps avec régularité, elle était fière de ses 45 kg pour 1 m 67, mince, avec une superbe poitrine (95 C) qui attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. Ses jambes longues étaient galbées et sa taille fine.
Mme Besson sortit de ses pensées en entendant un coup à la porte. Elle vit Léa Fournier, l’une de ses élèves de classes terminales. À 18 ans Léa était une élève intellectuellement brillante et qui avait un corps parfait. En raison de son attitude un peu arrogante, elle n’avait ni amie, ni copain et se sentait souvent seule.
— Rentre Léa, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos devoirs.
— Ce n’est pas ce pourquoi je suis là Mme Besson. Il y a quelque chose que je voudrais vous montrer.
— Bien sûr Léa, qu’est-ce ?
— J’ai fait du rangement dans les archives en vrac du collège et regardez ce que j’ai trouvé…
Léa chercha dans son sac et tendit un vieux magazine à sa prof. Mme Besson fut suffoquée, elle avait reconnu le journal… C’était un journal de nu des années 80 et Mme Besson avait toujours espéré que ce mauvais souvenir ne réapparaitrait pas.
Léa ouvrit le magazine à la page central, on y voyait sa prof dévoilant complètement ses charmes, sans pudeur. Mme Besson avait posé nue, il y avait des années dans le collège, dans cette même classe pour des photos plus qu’érotiques, elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait. Mme Besson essaya de se calmer et avala sa salive.
— C’est bien vieux et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, mais j’avais besoin d’argent pour terminer mes études, laissons cela, laissons le passé où il est. Léa reprit le magazine.
— Je ne pense pas comme vous Mme Besson. Il faut que nous parlions.
— Allez fermer cette porte Mme Besson, c’est un ordre !
Un peu agacée par le ton de son élève, Mme Besson se leva et alla fermer la porte le plus calmement possible.
— À clef Mme Besson ! Dit Léa d’une voix forte en s’asseyant sur la chaise de sa prof derrière le bureau.
Dès la porte close Mme Besson se retourna et vit Léa à sa place. Elle alla donc s’asseoir au premier rang des élèves.
Ce qu’elle voyait sur le visage de Léa ne semblait pas encourageant.
— Allez devant le tableau Mme Besson.
— Je peux m’asseoir ici Léa.
— J’ai dit devant le tableau Mme Besson ! Dit Léa d’un ton ferme.
Mme Besson se dirigea sur l’estrade, fit face à son élève, assise dans le fauteuil de l’enseignante, ce n’était pas une position confortable, pour une prof… tout était inversé.
— Aimez-vous enseigner ici ?
— Oui Léa, j’aime enseigner ici.
— Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos étaient connues de tous ?
— Non, je ne vois pas,
— Voulez-vous que Chloé, les voit ? Demanda Léa en montrant les photos.
— Non, dit Mme Besson en prenant conscience de sa situation vulnérable.
— Bien Mme Besson, voilà donc trois raisons qui doivent vous faire réfléchir à ce que je vais vous dire et vous proposer.
Désormais vous ferez et je dis bien TOUT ce que je vous ordonnerai. Si vous refusez ou si n’obéissez pas bien à mes ordres, que peut-il se passer ? Plus de travail, plus de famille et plus d’enfant car Chloé n’étant pas majeur, sera confiée à la DDASS.
— Que voulez-vous Léa ? Dit Mme Besson d’une voix tremblante.
— Vous, répliqua calmement Léa.
-— Je veux que vous m’apparteniez, je veux que vous soyez mon jouet, je veux que vous m’obéissiez, que vous fassiez tout ce que je vous ordonne et sans vous poser de questions ! Je vais vous dresser et puis, je vais réfléchir pour voir ce que je ferai de vous après.
Si vous refusez ou si vous obéissez mal, ce magazine sera rendu public, dans l’école, à vos amis, vos parents, votre mari et à son patron. Mais si vous acceptez cela restera notre secret. Mme Besson sentit ses genoux trembler, elle ne pouvait permettre que ces photos soient rendues publiques, elle tournait ses pensées dans la tête ne sachant comment s’en sortir.
La voix de Mlle Fournier était douce et autoritaire en même temps, elle marquait son territoire. Mme Besson serait sa soumise.
— Viens ici, approche ton cul ! Mme Besson voulait protester, mais les protestations restèrent dans sa tête. Elle s’est approché de son élève, le corps lui, était déjà soumis, ses jambes se sont écartées lorsque la main de Mlle Fournier a glissé à l’intérieur de ses cuisses. C’était la première fois que Mme Besson se faisait caressait par une femme. Mlle Fournier a su la tenir excitée, proche de l’orgasme, mais sans qu’elle l’atteigne. Ça a duré… Mme Besson, tu dois te maintenir ouverte, ouverte en permanence, ton sexe toujours à la disposition pour travailler, puis lui demanda,
— Ai-je été assez clair Mme Besson ?
— Je ne comprends pas, dis une Mme Besson déroutée. Je suis ton prof, tu ne peux pas agir comme cela.
Écoutez Mme Besson, je me fous de ce que vous pensez, c’est très simple, si vous ne m’obéissez pas, vous ne seras plus la prof de personne, même plus une mère, ni une épouse. Vous me comprenez bien ?
— Combien de temps cela durera-t-il ?
— Aussi longtemps que je le voudrais Mme Besson, … le temps de ton éducation, le temps nécessaire à ton dressage pour devenir une belle salope.
— Assez parlé. Tiens-toi droite. Les mains sur la tête,
Ne sachant que faire, que dire et ne voulant pas contrarier sa jeune élève, Mme Besson fit ce qu’elle lui demandait. Léa se leva, alla vers prof qui tremblait et commença à lui tourner autour.
— Vous comprenez bien que si vous me désobéissez, vous êtes ruinée, perdue ? Dit Léa en regardant sa prof dans les yeux, des yeux en pleurs.
— Oui Léa, dit la pauvre Mme Besson, perdue, prise au piège de son passé, ne voulant risquer de ruiner son avenir et celui des siens. Une larme coula sur sa joue.
— Bien ma petite salope, commençons, les rôles sont dorénavant inversés, désormais tu devras toujours m’appeler Mlle Fournier et me vouvoyer et moi je te tutoie. Sommes-nous d’accord ?
— Oui Mlle Fournier, je comprends.
Léa retourna derrière le bureau.
— Ouvre ton chemisier et déshabille-toi, je veux voir comment tu es foutue !
— Mme Besson hésita.
— S’il vous plait Léa, non, pas cela,
Sautant de son siège, Léa gifla violemment sa prof,
— C’est cela, ou je fais des dizaines de photocopie et tes photos seront largement diffusées ! Dépêche-toi salope !
— Tu es une putain. Tu fais ce que je dis et tu le fais maintenant !
Mme Besson se sentait comme gelée, elle ne pouvait bouger.
— C’est bien, dès lundi les photos seront distribuées.
Léa se dirigea vers la porte.
— Attendez !
Léa s’arrêta, se tourna devant sa prof tremblante.
— Oui ?
— S’il te plait, Léa tu ne peux pas faire cela, je te donnerai de l’argent, s’il te plaît Léa, pleurnicha la prof en larmes.
— Eh bien au revoir Mme Besson, dit Léa calmement en allant vers la porte.
— S’il te plaît, Léa… Mlle Fournier, je vais le faire, ne partez pas, cria la prof terrifiée.
Léa s’arrêta, se retourna devant sa prof qui s’inclinait.
— Eh bien?
Les mains de Mme Besson se dirigèrent vers les boutons de son chemisier. Elle commença à les défaire tous et se tint droite devant son élève, le visage en feu, perdue de honte.
— Enlevez-le, dit Mlle Fournier en retournant au bureau.
Mme Besson enleva son chemisier et le posa sur le bureau. Elle se tenait devant son élève, se demandant jusqu’où cela irait.
— Maintenant le soutien-gorge, Mme Besson…
Mme Besson enleva les agrafes et le soutien-gorge, dévoilant une poitrine avec de jolis seins fermes et opulents.
— Allez la prof, tu mets ton soutien-gorge dans la poubelle, cela fera plaisir à l’homme d’entretien.
Nue jusqu’à la ceinture, la prof se tenait devant son élève. Elle se sentait horriblement embarrassée, comment avait pu se retrouver dans une telle situation, pourquoi avait-elle accepté de poser pour ces photos et dans ce collège ?
— Maintenant, Mme Besson, je veux que tu poses ta jupe sur le bureau.
Sans plus réfléchir, Mme Besson ouvrit sa jupe, la laissa glisser sur le sol puis la posa sur le bureau.
— Bien Mme Besson. Je vois que tu mets des dessous horrible, enlève immédiatement ces saloperies, collants et culotte et hop poubelle !
Mme Besson enleva ses collants et sa culotte et se tenait maintenant nue devant son élève âgée de 18 ans qui lui ordonnait des choses choquantes. Elle cherchait mais ne voyait pas comment se sortir de ce piège et… quelle serait la suite ?
— Fais attention, tiens-toi droite, fais ressortir ta poitrine en mettant les mains sur la tête.
Flash !
Léa se leva et fit le tour de sa prof pétrifiée de honte et lui pinça un téton.
— Ils sont en érection, tu aimes donc cela Mme Besson ?
Mary garda le silence, elle se sentait très excitée mais ne voulait pas l’admettre. Léa pinça plus fort la pointe des seins jusqu’à ce que Mme Besson gémisse.
— Répond moi, Mme Besson,
— Non, je n’aime pas cela, répondit-elle.
Bien qu’elle dise ne pas aimer cela, elle se sentait inexplicablement excitée par ce traitement et elle sentait son sexe s’humidifier. Léa relâcha les seins de Mme Besson.
Flash !
— Je pense que tu me mens Mme Besson et tu seras battue pour cela. Sans mari et sans fille, j’ai tout le temps pour commencer à m’occuper de ta formation pour le weekend.
Mary fut terrifiée parce qu’elle croyait comprendre.
— Après, je suis certaine que lundi, tu comprendras vraiment ce que je veux de toi,
Car je crois que tu n’as pas compris ce que l’on attend de toi. Je vais t’apprendre à obéir. Tu dois être à genoux et tête baissée devant moi ou tes Maîtres à chaque fois qu’on s’approche de toi.
Tu mets ton chemisier, ta jupe et tes chaussures, laisse deux boutons ouverts de ton chemisier et tu me suis. Habillée ainsi, Mary se sentait encore plus vulnérable. Nue sous son chemisier elle sentait ses tétons en érection danser sous le tissu du chemisier et cela la blessait. Le courant d’air qui caressait ses cuisses et son sexe nu sous sa jupe la déroutait…
Les deux femmes se dirigèrent vers la sortie…
Elles allaient commencer une nouvelle aventure…

CHAPITRE 02

Léa se dirigea vers la porte, se retourna et dit à Mme Besson,
— Tu me suis à deux pas derrière et sois normale,
Comment pouvait-elle être normale ? À chaque pas, ses seins étaient blessés par le tissu de son chemisier, sa chatte nue sous sa jupe commençait à devenir humide pour sa plus grande honte. Avec les boutons ouverts de son chemisier, elle en montrait plus qu’elle ne l’avait jamais fait et que la respectabilité n’autorisait.
— Oui Mlle Fournier, répondit-elle soumise.
Léa ouvrit la porte et précéda sa prof dans le hall de l’école vers le parking.
— Donnez-moi les clefs ! demanda Léa.
Léa s’installa derrière le volant et Mme Besson se mit sur le siège passager.
— Remonte ta jupe,
Mme Besson remonta sa jupe à mi-cuisse.
— Plus haut salope ! Tu n’es qu’une pute !
Mme Besson remonta si haut sa jupe qu’elle ne couvrait plus sa chatte humide. On pouvait voir ses cuisses blanches, bien ouvertes exhibant son sexe, sa fente et des poils fins.
Léa démarra la voiture et se dirigea vers la maison des Besson.
— Nous allons faire des courses sur le chemin.
Le cœur de Mme Besson se serra en espérant que Léa ne l’obligerait pas à aller dans le magasin, sans soutien-gorge et sans culotte.
— Dites-moi Mme Besson. Qu’as-tu comme sextoys chez toi ?
Mme Besson ne pouvait croire que son élève ose lui poser cette question. Et pourtant elle répondit :
— J’ai un gode, Mlle Fournier.
— C’est tout ?
C’est tout, Mlle Fournier.
— Tu te branles ?
— Oui Mlle Fournier, quelques fois dans les toilettes des filles du lycée.
Léa gara la voiture sur le parking, c’était un super marché avec un rayon bricolage.
— Viens, nous avons des achats à faire et n’oubliez pas de marcher deux pas derrière !
Mme Besson abaissa sa jupe sur ses cuisses et sortit de la voiture. L’air frais agressa ses tétons en érection et lorsqu’elle écarta les cuisses pour sortir de la voiture, son sexe dénudé s’ouvrit en dévoilant des lèvres luisantes et roses.
Léa ne l’autorisa pas à mettre sa veste, elle dut courir pour suivre et les seins de la jeune femme étaient à la torture.
— As-tu une carte de crédit ou de l’argent sur toi ?
— Oui Léa, j’ai les deux.
Léa s’arrêta et la fixa.
— Je te l’ai dit deux fois! Qu’as-tu dit ? Comment m’as-tu appelée ?
— Lé… Je suis désolée Mlle Fournier.
— Ouvre un autre bouton !
— S’il vous plait Mlle Fournier, je suis désolée.
— Tu ne veux pas ouvrir trois boutons ?
— Si ! cria presque Mme Besson en ouvrant le troisième bouton de son chemisier.
Si elle bougeait trop, Mme Besson savait qu’elle allait dévoiler entièrement sa poitrine. Elle comprit qu’elle allait devoir faire attention en marchant.
— Prends un chariot ordonna Léa, comme elles entraient dans le magasin.
Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait et la suivit dans les rayons jusqu’au département des animaux.
— Trouvons un collier pour mon nouvel animal. Essaye celui-ci, dit Léa en lui tendant un collier de chien blanc avec des pierres de couleurs.
— Ici ! ?
— Mme Besson. Je n’aime pas avoir à me répéter, si tu ne fais pas ce que je te demande, je te le répète une dernière fois, tu peux rentrer chez toi, mais dès lundi matin toutes les photos, les anciennes, mais aussi les nouvelles seront distribuées, maintenant essaye ce collier !
Regardant autour d’elle Mme Fournier plaça rapidement le collier autour de son cou.
— Cela semble aller, Mlle Fournier.
— Mieux vaut s’en assurer, après tout c’est toi qui le porteras, ferme-le.
Il lui allait parfaitement.
— Maintenant, une laisse… attrape la rouge.
Mme Besson voulut enlever le collier avant qu’on ne la voit, mais Léa lui tapa violemment sur les doigts.
— Tu ne touches pas, c’est TON collier de chienne !
Mme Besson leva les bras pour attraper la laisse qui était en hauteur, elle comprit qu’en faisant cela elle dévoilait presque entièrement sa poitrine ! Mme Besson descendit rapidement, prit la laisse d’une main, l’autre fermant son chemisier pour cacher ses seins exposés, une claque sur sa main. Ne touche pas à ce chemisier… et le chemisier s’ouvrit laissant généreusement apparaître la poitrine et les superbes avantages de Mme Besson.
Léa accrocha la laisse au collier.
— Cela te va à merveille. Met-le dans le panier, dit Léa en partant.
Mme Besson se dépêcha d’enlever le collier avant qu’on ne la voit et courut pour rattraper Léa, pour ne pas la mettre en colère parce qu’elle ne la suivait pas à la distance requise.
Léa alla dans le rayon bricolage et acheta des chaines, des barres de fer, des cadenas… Léa lui dit d’aller payer à la caisse et de ne pas traîner. Mme Besson était gênée, car bien que ces objets semblaient innocents, elle se doutait de leur usage… et puis se présenter à la caisse avec son chemisier si ouvert… Elle paya le visage en feu, la chatte incroyablement humide et les tétons que l’on voyait sous l’étoffe avaient la pointe en érection.
Mme Besson prit les achats et courut à la voiture où l’attendait Léa.
— Jupe ! dit Léa et Mme Besson remonta vite sa jupe au ras de son volcan.
— Nous allons dîner, que veux-tu manger ?
— Je n’ai pas faim.
Une claque.
— Mlle Fournier ! ! ! Oh, je suis désolée Mlle Fournier…
— Lève tes fesses et remonte ta jupe encore plus haut,
Tu dois comprendre que tu y perdras toujours quelque chose lorsque tu ne me feras pas plaisir et bien sûr tu sais ce qui t’arrivera si tu refuses complètement de m’obéir.
Léa quitta le parking pendant que Mme Besson remontait sa jupe si haut qu’elle dévoilait complètement sa chatte nue, son visage était rouge brique. Elle se sentait comme une enfant punie pour avoir mal agit. Mme Besson plongea dans le silence pendant que Léa conduisait.
Elle commença à paniquer en voyant Léa entrer dans le parking d’un « drive in ».
— Ne touche pas à cette jupe Mme Besson, que veux-tu manger ?
— Rien, Mlle Fournier.
La prof morte de honte plongea dans son siège pendant que Léa commandait un sandwich, des frites, et deux glaces au chocolat. En arrivant au guichet de paiement, Léa tendit sa main vers Mme Besson pour avoir de l’argent, Mme Besson plongea vite dans son sac et donna à Léa l’argent demandé en espérant que personne ne la reconnaisse. Il faisait noir et l’employé ne devrait pas y voir grand-chose, mais elle crut mourir en l’entendant dire:
— Bonjour Mme Besson.
Le type reconnaissait la voiture,
— Bonjour, répondit Mme Besson. Elle aurait voulu disparaître dans le siège.
Léa gara la voiture dans un coin sombre et commença à manger son sandwich.
— Ouvre complètement ton chemisier.
Mme Besson ouvrit avec appréhension son chemisier et dévoila sa poitrine nue.
— Pendant que je mange, je veux que tu me distraies en te couvrant avec cette glace au chocolat. Fais attention de ne pas salir ton si joli chemisier…
La prof humiliée assise dans la voiture sur un emplacement de parking, le chemisier grand ouvert obéit à son élève et commença à se frotter la glace sur les seins. Mme Besson ne voulait pas contrarier l’adolescente, car elle savait que celle-ci pouvait lui imposer, pouvait être encore pire, le froid de la glace sur ses seins les gonfla.
— Mets en aussi sur ta chatte.
Les doigts de la prof pleins de chocolat posèrent le bâton de glace sur son vagin.
— Rentre le dedans.
Son cœur se serra lorsque le chocolat glacé stimula sa chatte brûlante, ses doigts semblèrent échapper à son contrôle… cela dura dix minutes le temps que Léa termine son repas, Mme Besson jouait avec elle-même, se masturbait et elle se sentait de plus en plus chaude, malgré elle, elle arrivait au point de jouissance… mais Léa lui dit de s’arrêter et de lécher ses doigts pour les nettoyer.
Lorsque Mme Besson commence à jouir, Léa le senti, elle jouait avec la frustration de Mme Besson, Léa est très douée.
— Ne touchez plus à rien ! dit Léa en remettant la voiture en route.
Mme Besson était là, torse nu, sa chatte exposée, bien visible et son corps couvert de chocolat…
Elle avait léché ses doigts, pour les nettoyer, comme lui avait ordonné son étudiante et le goût du chocolat et de sa jouissance, la troublait. Elle était heureuse de n’avoir pas joui devant Léa, cela l’aurait tellement humiliée, mais son sexe était en feu, sa chatte voulait être satisfaite ! Elle voulait du sexe.
Elles prirent le chemin de la maison de Mme Besson. La maison était un peu en retrait de la route, le jardin était derrière, mais avec un jardinet sur le devant. Il y avait peu de trafic dans la rue.
— Ramasse toutes ces ordures et montre-moi la salle de bains, tu es un tas de merde Mme Besson !

CHAPITRE 03

Léa sortit de la voiture et sans jeter un regard sur la prof humiliée entra dans la maison, laissant Mme Besson, la poitrine à l’air, la jupe retroussée et le corps couvert de chocolat…
Léa, lui avait interdit de salir ses vêtements, aussi elle ne pouvait pas s’habiller !
Léa était à la maison et l’attendait. Mme Besson ne voulait pas la contrarier encore, elle regarda autour d’elle, il n’y avait personne dans la rue, elle pouvait tenter de courir nue vers la maison. Elle ouvrit la portière et se précipita sous le porche, elle essaya d’ouvrir la porte.
Fermée !
Mme Besson, sonna et frappa à la porte, un vent glacial courait sur son corps nu, elle commença à paniquer.
— S’il vous plait Mlle Fournier, laissez-moi entrer !
Léa se tenait derrière la porte et quand, après dix minutes, elle l’ouvrit enfin…
Flash
— Tu as pris tes bagages Mme Besson ? Passe par la porte de service, par-derrière !
Et elle lui claqua la porte au nez.
Bon sang pensa Mme Besson, elle courut quasiment nue vers la voiture. Elle prit son sac, ses achats, une voiture s’approchait, de justesse elle put atteindre la porte de service avec ses bras surchargés. La porte était ouverte et elle trouva Léa installée dans la cuisine.
— Léa, je ne veux plus que vous preniez de photos !
Léa la gifla magistralement,
— Combien de fois, faudra-t-il que je te dise, d’appeler ta supérieure par son nom de famille ! Et je n’ai rien à faire de ce que tu peux vouloir !
— Maintenant dépose ces affaires dans la chambre et viens me rejoindre dans la salle de bains et vite fait !
Mme Besson courut dans l’escalier jusqu’à sa chambre, déposa ses vêtements sur le lit et rejoignit Léa dans la salle de bains. Là coulait déjà une eau chaude…
— Déshabille-toi, mon animal et prend une douche rapide. Laisse la porte ouverte !
Mme Besson enleva sa jupe, son chemisier et ses chaussures et se glissa avec délice sous l’eau. Léa s’approcha d’elle, baissa la puissance du jet, démonta le pommeau de douche, lui demanda d’écarter largement les jambes, puis fit remonter l’embout du tuyau verticalement entre les cuisses pour nettoyer ses orifices, jusqu’à pénétrer le vagin, puis aussi l’anus ! Le plaisir de sentir propre était loin de compenser l’humiliation éprouvée d’être ainsi traitée.
Puis, après le nettoyage des trous de Mme Besson, Léa lui dit,
— Savonne plus fort ta poitrine Mme Besson !
Mme Besson rougit et se savonna encore plus fort, insistant sur ses seins.
Flash !
— Maintenant, assurez-toi que ta chatte est enfin propre !
Les mains de Mme Besson savonnèrent son pubis en insistant sur le vagin. Elle passa une main dans son sexe pour s’assurer d’avoir bien enlevé tout le savon.
Flash !
Une sorte de choc électrique la parcourut lorsqu’elle effleura son clitoris. Qu’est-ce qui m’arrive, je deviens folle ! pensa-t-elle en retirant vite son doigt de sa chatte bien baveuse.
Léa sourit et ordonna à la prof de sortir de la douche.
— Lubrifie-toi le cul et met ce Plug anal,
— Maintenant assied-toi sur le lavabo,
Mme Besson s’assied sur le lavabo, en se demanda pourquoi.
— Écarte tes cuisses, aussi grand que tu peux,
Mme Besson fut choquée, mais elle écarta les cuisses.
Mme Besson j’ai dit ouvre tes cuisses, le plus grand possible ! Écarte plus… Ouvre-toi plus chienne ! La voix était calme, directe, péremptoire…
— Tu veux goûter du martinet ?
Bien sûr, Mme Besson obéit immédiatement et en tremblant écarta au plus grand les cuisses…
— Garde cette pose…
Flash
Léa posa une chaise entre les jambes ouverte de Mme Besson et s’approcha, un rasoir et une crème à raser à la main…
— S’il vous plait Mme Fournier, ne faites pas cela, bafouilla, la pauvre prof.
— Silence Mme Besson, dit Léa en couvrant avec insistance la jolie chatte de Mme Besson avec de la crème à raser.
Cette caresse la fit tressaillir, elle n’avait jamais connu l’attouchement d’une autre femme. C’était si différent de ceux de son mari. Mme Besson sentit de nouveau ses tétons se dresser et une étrange sensation délicieuse l’envahir pendant que Léa, faisait courir le rasoir sur son pubis. Léa passa et repassa le rasoir sur le sexe de sa prof et peu à peu, au fur et à mesure que la mousse disparaissait, Mme Besson distingua ses lèvres vaginales complètement nues. Puis ce fut au tour du pubis. Léa lui demande de se retourner pour lui enlever le plug et c’est le rasage au tour de la raie entre les fesses. Lorsque tous les poils eurent été coupés, Léa passa une lingette tiède sur le sexe de Mme Besson et lui renfonça le plug.
Mme Besson se regarde, elle est toute lisse. Léa s’approche d’elle et lui passa la main entre les cuisses, tout en lui caressant le clitoris Léa remarque que Mme Besson est fendue très haut. Mme Besson frémit sous la caresse… Que m’arrive-t-il, suis-je folle ?
Léa se recula et lui dit,
— Sourire Mme Besson,
Flash !
— Ouvre ta chatte, écarte tes lèvres,
Mme Besson savait qu’elle n’avait pas le choix et avec ses doigts ouvrit son sexe comme le lui demandait son étudiante. En fait, elle était surprise de désirer d’être ainsi offerte.
Flash !
— Mme Besson, ta chatte coule… dit Léa en lui montrant la mouille qui s’écoulait du sexe rasé de sa prof. La mouille faisait briller les lèvres.
Léa tendit un miroir à sa prof humiliée.
— Regarde bien Mme Besson.
Mme Besson regarda et vit son sexe rasé et étouffa un sanglot d’humiliation. Son corps lui semblait étranger et ne lui appartenait plus.
— À partir de maintenant, en permanence, c’est un ordre, tu dois avoir le sexe rasé et bien épilé.
Compris ?
— Oui, Mlle Fournier.
— Maintenant, assied-toi ici ! dit Léa en lui désignant une chaise.
— Vous n’allez pas me tondre les cheveux, cria la prof paniquée !
— Bien sûr que non, je vais juste te faire une coupe. J’adore la coiffure et je pense que tu seras bien plus sexy avec les cheveux courts. Nouveau statut, nouvelle présentation !
Léa tailla les cheveux de Mme Besson… Léa lui ordonna de se regarder dans la glace, avec ses cheveux courts, elle semblait dix ans plus jeune et son sexe rasé lui donnait l’air d’une femelle très  »chaude », elle ne se reconnaissait plus ! Elle ne pouvait en croire ses yeux !
Flash !
Léa lui tendit le collier.
— Met cela Mme Besson, tu dois le garder toujours avec toi, lorsque tu seras seule tu devras le porter et si tu n’es pas seule, garde le dans ton sac, au cas où je t’ordonnerai de le porter !
— Oui Mlle Fournier, répondit la prof confuse en mettant le collier autour de son cou.
Flash !
Léa attacha la laisse au collier.
— Faisons le tour de la maison, Mme Besson
— Oui Mlle Fournier. Répondit la prof en laisse, en se levant pour aller à la porte.
Elle fut rapidement stoppée, par un coup sec sur le collier.
— À genoux, animal,
Mme Besson se jeta à genoux.
— Maintenant, faisons la visite.
La prof humiliée commença à se traîner de la chambre en chambre, au bout d’une laisse, tenue par son étudiante… Elle n’aurait jamais dû faire ces fameuses photos…
— Commençons par la cave, nous reviendrons ici après, ordonna Léa qui contrôlait la situation. La descente fut pénible pour la pauvre prof. La cave était un endroit froid et désagréable. Mme Besson nue, les genoux sur le béton, tremblait de froid.
Léa étudia, l’endroit et pensa à une utilisation ultérieure.
Quand elle eut fini, elle ordonna à Mme Besson de remonter pour terminer la visite. Elle suivait Léa sur le côté et Léa souriante admirait la poitrine qui dansait et les fesses qui se tordaient en montant l’escalier.
— Tu as un beau cul et tu sais bien le mettre en mouvement ! Tu vas avoir des admirateurs mon animal,
Mme Besson aurait voulu être invisible, elle ne s’était jamais sentie aussi gênée de toute sa vie. Tout allait de mal en pis depuis qu’elle obéissait aux ordres de son élève qui la tenait sous son contrôle.
— Allons, voir les chambres.
Mme Besson rampa jusqu’au premier étage, toujours tenue en laisse par son élève. Elle sentait le regard de Léa sur ses fesses, ses seins qui ballotaient avec ses tétons dressés… Léa examina les chambres d’amis, celle de Chloé, la fille de Mme Besson et ordonna d’aller dans celle de Mme Besson.
— Je suis curieuse de voir tes vêtements.

CHAPITRE 04

En entrant dans la chambre, Léa ordonna à sa prof, vêtue d’un seul collier de chien, de rester à genoux au milieu de la pièce et de mettre les mains sur la tête. Léa ouvrit les armoires, les tiroirs, elle ne fit pas attention aux vêtements de monsieur Besson, mais elle trouva les sous-vêtements de Mme Besson, ses slips, ses soutient gorges. Ils furent tous jeté au milieu de la pièce.
Mme Besson était embarrassée de voir un étranger fouiller dans ses affaires intimes. Léa s’intéressa à l’autre tiroir qui contenait des bas, des porte-jarretelles et des collants. Les collants furent jetés sur le sol, le reste fut remis en place dans l’armoire. Le dernier tiroir, contenait des chemises de nuits et des déshabillés, ils furent tous jetés sur le sol, excepté un petit ensemble qui lui avait été offert par son mari. Léa, lui ordonna de le mettre. Dans cette tenue, elle semblait encore plus nue.
Flash !
Léa lui ordonna de marcher autour de la pièce. C’était un petit ensemble en dentelle noire, le haut était très moulant et contenait avec peine son 95 C, ses tétons pointaient au travers du fin tissus. L’ensemble s’arrêtait juste au-dessus de sa chatte épilée. Le string, très serré s’enfonçait dans ses fesses, ou il disparaissait, donnant encore plus de galbe à ses fesses hautes. Le devant dans un tissu presque arachnéen, moulait sa chatte et ne laissait rien ignorer de ses lèvres épilée…
Léa s’intéressa ensuite aux chaussures de sa pauvre prof, elle écarta ballerines et autres chaussures, pour s’intéresser à une paire de sandales, à talon de 10 cm… Ainsi qu’à des chaussures de soirée noire au talon vertigineux…
— Dites-moi, Mme Fournier ces talons ?
— Je ne les ai mises qu’une fois, c’était pour Halloween, mais elles m’ont fait si mal aux pieds que je ne les plus jamais remises, dit la prof, à genoux sur le sol. Léa lui ordonna de se lever et de les mettre. Son étudiante, tourna autour d’elle en la regardant attentivement.
— Elles sont très jolies, elles te font de jolies et grandes jambes et vos fesses sont encore plus rebondies, tentantes, marche un peu.
Mme Besson se mit à marcher en faisant attention, elle se sentait comme une prostituée, elle essayait de faire attention, mais ses fesses se balançaient en un mouvement dansant, sa poitrine nue ballottait à chaque pas. Ses pieds la firent souffrir immédiatement et pour sa grande honte, elle sentait que son sexe rasé qui commençait à mouiller… Mais que m’arrive-t-il ? se demandait-elle. Qu’est ce qui se passe, je suis folle !
— Mlle Fournier, je crois que je ne pourrais pas marcher avec ces chaussures…
— Ne t’inquiète pas, tu vas prendre l’habitude.
Il ne restait sur le lit que quelques jupes et chemisiers ainsi que son vibromasseur et un livre sexy qu’elle lisait. Personne n’avait jamais vu ce vibromasseur, personne, même pas son mari.
— Dites-moi Mme Besson, tu t’en sers souvent… ?
— Uniquement lorsque mon mari est absent.
— Et encore ?
— Presque toutes les nuits, dit la pauvre Mme Besson cramoisie…
— Allez sur le lit et montrez-moi comment tu t’en sers.
Les mains de Mme Besson refusaient de lui obéir, elle avait froid et tremblait. C’en était trop !
— S’il vous plait, Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela…
—Tu ne veux pas, ou tu ne peux pas ? Tu le fais, ou bien je pars d’ici, avec les photos… les anciennes… et les nouvelles… Tout le monde connaitra tes petits secrets !
Mme Besson en tremblant saisit le gode et les cuisses serrées, le posa sur le sexe.
— Allons Mme Besson, ouvre moi ces jambes, je veux te voir en action, je suis sûre que tu sais y faire…
Mme Besson essaya de se concentrer, depuis que son mari était en voyage, ce vibrateur était son unique moyen de plaisir. Elle écarta les jambes et s’introduisit le gode, dans son intimité si nue…
Flash !
La pauvre prof qui se masturbait comprit en un instant que son destin était scellé !
Elle commença à faire entrer et sortir le sexe de plastique, une onde de plaisir la parcourue. Avec son autre main, elle se caressait la poitrine, ses tétons étaient en érection… Elle les pinçait…
Flash !
Son sexe rasé lui semblait réagir différemment, les sensations étaient plus fortes. Sa respiration se fit plus intense au fur et à mesure qu’elle se masturbait plus fort, que le gode entrait de plus en plus dans sa chatte.
Flash !
Son corps se couvrit de transpiration, elle oubliait tout, rien ne comptait que la jouissance que lui apportait ce sexe de plastique.
Plus, plus fort…
Flash !
Soudain Léa se leva et arracha le sexe factice de la chatte détrempée de sa prof.
— Quoiiii ?
— Mme Besson, je veux que tu comprennes vraiment la situation, tu êtes désormais totalement sous mon contrôle, lorsque tu manges, lorsque tu jouis, lorsque tu vas aux toilettes, tout ce que tu porteras, tout ce que tu feras, tout est sous mon contrôle ! Ta vie entière est sous mon contrôle !
— Avec ces photos, je suis la propriétaire de ton corps, mais aussi ton âme ! Tu me comprends bien ?
Mme Besson comprit soudain que sa vie était ruinée, tout cela à cause de ces stupides photos, elle ne s’appartenait plus !
— Allons, ne sois pas en peine, Mme Besson. Aussi longtemps que tu feras ce que je t’ordonnerai, tout ira bien entre nous, évidemment si tu ne m’obéis pas, je serais contrainte de sévir…
— Je suis à vous Mlle Fournier, je suis votre propriété, votre pute, votre salope, mais ne laissez personne voir ces photos, pleurnicha la prof honteuse et vaincue.
— Maintenant Mme Besson, je veux que tu nettoies la salle de bains et que tu ailles mettre tous ces vêtements dans la cave, puis tu me feras à manger. Tu ne mettras qu’un seul couvert et tu porteras tes talons en permanence.
— Oui Mlle Fournier.
Encore une chose, Mme Besson n’essaye pas de te toucher, jamais, du moins sans ma permission. Tu as compris je l’espère. Si tu me désobéis, en quoique ce soit, tu seras fouettée !
Maintenant en route ! dit Léa en poussant Mme Besson hors de la chambre.

CHAPITRE 05

Léa descendit dans le salon et s’installa confortablement en allumant la télévision. Mme Besson, nettoya la salle de bains de ses cheveux et de ses poils pubiens. Elle était frustrée de n’avoir pas pu terminer ce qu’elle avait commencé, son sexe lui semblait en feu, mais elle ne voulait pas prendre le risque de contrarier Léa. Léa ne montrait aucun signe de tendresse ou de compassion et elle ne voulait surtout pas la mettre en colère.
Ses pieds commençaient vraiment à lui faire très mal avec ces hauts talons ridicules, mais elle savait qu’elle devait les porter. Elle alla dans la chambre et ramassa tous ses vêtements jetés sur le sol et les descendit à la cave, elle dut faire trois voyages, et comme elle n’avait rien pour les ranger, elle les posa à même le sol.
— Mme Besson, je commence à avoir très faim !
Après tous ces voyages et avec ces talons de 12 cm, les pieds de Mme Besson étaient en feu, mais elle se précipita vers la cuisine,
Que pouvait bien vouloir manger Léa, se demanda Mme Besson ? Tous les jeunes aiment les hamburgers et les frites… Elle prépara deux hamburgers, des frites et se rendit compte qu’elle avait faim, elle aussi.
Elle mit la table et se rappela que Léa lui avait dit d mettre un seul couvert.
Je ne mange, pas ?
Lorsque le dîner fut prêt, elle appela Léa.
— Mlle Fournier, votre dîner est prêt.
Lorsque Léa entra dans la cuisine, elle vit celle qui avait été une prof respectable, désormais nue, en hauts talons, avec un collier de chien autour du cou… Cela la fit sourire.
— Mets-toi devant moi, à genoux, les mains sur la tête pendant que je mange,
La pauvre prof, affamée, assoiffée se mit à genoux devant son élève et la regarda manger toutes ces choses délicieuses.
— Tu as soif Mme Besson ? Tiens,
Léa verse le contenu d’un verre dans un grand plat et dit à Mme Besson de laper le liquide comme un animal.
— Donne-moi un coca, Mme Besson.
— Je n’ai que du Pepsi, Mlle Fournier.
— Désormais, tu achèteras du Coca !
— Oui Mlle Fournier.
— C’est très bon, veux-tu des frites ?
— Oui, s’il vous plait Mlle Fournier.
— Ouvre tes jambes Mme Besson,
La prof, confuse et honteuse, écarta les cuisses. Léa prit une frite et la fit tourner autour, puis dans la chatte de Mme Besson… et la porta à hauteur de la bouche de sa prof.
Mme Besson était morte de honte de sentir la caresse intime, qu’elle avait supportée de la part de son élève.
— On ouvre grand ! Maintenant mâche !
La prof essaya de ne pas recracher pendant qu’elle mâchait la frite, trempée de sa mouille…
— Maintenant Mme Besson, c’est à toi de continuer.
Dans un état second, Mme Besson, saisit une frite, la trempa dans sa chatte humide.
Flash !
Et la porta à sa bouche.
Flash !
— Tu veux du hamburger, Mme Besson ?
La pauvre prof, défaite, secoua la tête.
— Non Mlle Fournier,
— On le fait quand, même ! dit Léa en lui tendant un gros morceau de hamburger.
— Et on trempe avant, bien entendu.
— Mme Besson obéit mais elle était vraiment sur le point de vomir à cause du gout… mais aussi de l’humiliation de devoir faire cette chose horrible.
— Nettoie la cuisine et viens me rejoindre avec un mètre, du papier et un crayon. Et ne traîne pas !
Mme Besson nettoya la cuisine et rejoignit Léa dans le salon.
— Tiens-toi droite devant moi, tu baisses la tête avec tes mains dans le dos.
Elle prit les mesures de la prof, nue devant elle. Elle les nota soigneusement.
Poitrine, taille, et aussi longueur des jambes. Elle prit la mesure d’un point que Mme Besson estima à trente cm au-dessus de ses genoux.
— Nous disons donc, trente cm… Désormais, tu ne porteras que des jupes arrivant trente centimètres au-dessus de tes genoux. Demain tu t’occuperas des robes et des jupes que j’ai posées sur la chaise et tu ferras les ourlets, d’autre part, tu couperas les trois premiers boutons de tes chemisiers.
— Oui, Mlle Fournier.
— Dites-moi, Mme Besson, as-tu aimé ton dîner ?
— Non, Mlle Fournier, je ne l’ai pas aimé.
— Dommage, tu devras apprendre à aimer ce goût. Est-ce que ton mari est un bon amant ?
— Oui Mlle Fournier.
Mme Besson était vraiment embarrassée de devoir parler de ses relations sexuelles avec une étudiante.
— Est-ce qu’il t’encule ?
— Absolument pas, je n’ai jamais eu ce type de relations.
Léa sourit.
— Est-ce que tu aimes le sexe ?
La prof, nue devant son étudiante toute habillée, ne pouvait croire qu’elle répondait à ces questions.
— Oui Mlle Fournier.
— As-tu déjà sucé le sexe de ton mari ?
Mari devint pivoine.
— Oui Mlle Fournier.
— Tu as aimé, cela ?
— Oui Mlle Fournier.
— Tu as avalé son sperme ?
— Non Mlle Fournier, mais s’il vous plait, ne me posez plus ce genre de questions.
— As-tu déjà trompé ton mari ? Avant ton mariage, combien as-tu eu d’amants ?
La prof, nue devant son élève, dont la chatte était maintenant très mouillée, compta mentalement.
— Trois
— Et tu as sucé leur sexe?
— Oui, mais je n’aimais pas, ils voulaient et je voulais leur faire plaisir.
L’interrogatoire dura plus d’une heure.
— Je suis très fatiguée, Mme Besson et nous avons à faire demain, nous allons élargir vos expériences. Venez en haut.
En entrant dans la chambre Mme Besson remarqua les choses qu’elles avaient achetées.
Léa prit la barre métallique et y glissa les cordes et Léa lui ordonna de se mettre à genoux au milieu de la pièce.
Elle attacha chaque poignet de Mme Besson à ses chevilles et glissa la barre de fer au milieu.
Cela eut pour effet de faire tomber Mme Besson, face contre terre, les jambes grandes écartées, les fesses en l’air.
Maintenant Mme Besson, cette position, à deux avantages, elle t’empêchera de te tripoter cette nuit. Je vais te fouetter sur les fesses pour te rappeler que tu dois me respecter, que tu me dois reconnaissance, dévouement en toutes circonstances. obéir sans poser de questions !
Léa prit le fouet.
Smack
— Un,
— Aie, s’il vous plait Mlle Fournier, NON,
— Deux,
Ses fesses étaient en feu, ses larmes coulaient…
Léa souriait en voyant les fesses de sa prof rougir.
— Sept. Cela suffira pour ce soir, Mme Besson, remercie-moi de t’apprendre le respect. Pour souligner la hiérarchie qui s’impose, tu dormiras au pied du lit… Léa se déshabille et se glisse dans le lit, laissant sa prof, attachée et pleurant sur la moquette.
— Bonne nuit, Mme Besson.
Et elle tend sa main et Mme Besson lèche consciencieusement la main qui la martyrise. Elle n’est plus qu’une pauvre prof brisée, les fesses en feu.

CHAPITRE 06

Léa fut réveillée vers 8h30 par les gémissements de son enseignante, les yeux rouges et le visage marqué par les larmes. Gisant au sol près du lit, les bras et jambes toujours entravées et écartées par les liens et les menottes.
— Qu’est-ce qui ne va pas, Mme Besson ?
Mme Besson leva les yeux et vit Léa nue devant elle, qu’elle était belle, c’était une très jolie jeune femme, la poitrine ronde et les cuisses longues, fuselées, le sexe appelant la caresse.
— Je n’en peux plus Léa. C’est trop pour moi, tout le monde pourra comprendre pourquoi j’ai fait ces photos.
— Bien Mme Besson, alors regardons ces photos.
Elle se leva, prit son livre et l’ouvrit devant Mme Besson.
— Maintenant, tu vas me dire, comment tu pourras les expliquer.
Elle lui mit sous le nez, la photo de Mme Besson en train de masturber son sexe rasé et sur son visage se lisait la jouissance…
— Et celle-ci ?
Elle lui présenta les pires photos et Mme Besson comprit qu’elle était vaincue et se mit à pleurer.
Maintenant Mme Besson, que penses-tu pouvoir faire ?
— S’il te plaît Léa, ne montre pas ces photos, je ferai tout ce que tu voudras.
— C’est bien, mais je constate que tu as oublié les règles minimales de respect ordonnées. Comme les mains derrière le dos lorsque je te parle, les yeux toujours baissés, etc…
Je crois devoir te rafraîchir la mémoire… Tu seras fouettée,
Léa saisit violemment Mme Besson par les cheveux et lui mit la tête contre la moquette, les fesses tendues en l’air, les cuisses écartées. Tu es mignonne présentée comme cela, Tu as un beau cul, le sais-tu ?
— S’il vous plaît, Mlle Fournier, ne me battez pas.
— Ecarte tes cuisses,
— Je veux bien te croire mais ne penses-tu pas que tu devrais être punie pour ce manquement ?
Mme Besson ne savait que dire, elle voulait bien faire plaisir à son étudiante, mais ne voulait pas être encore frappée.
D’une toute petite voix, elle dit,
— Oui Mlle Fournier.
— Tu n’as pas mérité une punition ?
— Si Mlle Fournier,
— Si quoi, salope !
— J’ai …mérité une punition Mlle Fournier.
Bien, alors demande-moi de te flageller les fesses avec ce martinet afin de t’enseigner le respect.
— la prof sanglotait…
— S’il vous plaît Mlle Fournier, fouettez-moi, je dois apprendre à vous respecter, pleurnicha la pauvre prof.
Léa avait le martinet en main et commença la flagellation tout le devant du corps. Les lanières s’abattaient sur son ventre, ses cuisses, ses seins et même parfois atteignaient des points extrêmement sensibles entre les cuisses. Cette correction faisait un mal de chien et rapidement, Mme Besson hurla, pleura, supplia Léa d’arrêter… en pure perte. La correction dura. Et quand elle cessa, elle demanda à Mme Besson, sans élever la voix,
— Tu oublieras encore ma petite pute ? Veux-tu que je continue à la cravache sur tes mamelles ?
— Oh non, par pitié, bégaya Mme Besson entre deux sanglots, ne me battez plus, je serai attentive, je ferai tout ce que vous voudrez, pleura la prof en larmes.
Ses fesses étaient en feu.
— S’il vous plaît Mlle Fournier, arrêtez.
Léa retourna Mme Besson, la fit assoir, puis elle plongea un doigt dans le sexe ouvert de Mme Besson et le ressortit couvert de mouille…
— Qu’est-ce que c’est que cela Mme Besson, tu aimes te faire battre demanda sa jeune élève ?
Mme Besson ne sut que répondre, elle était si honteuse. Léa la détacha du pied du lit, lui enleva ses liens et la remit debout.
— Maintenant Mme Besson, pendant que je vais prendre une douche, je veux que tu me prépares le petit déjeuner avec des toasts. Tu ne te touche pas, tu restes nue et tu mets tes talons ! ordonna Léa, en claquant les fesses rouges de Mme Besson.
— S’il vous plaît, je voudrai aller aux toilettes Mlle Fournier.
— Allez, prépare mes toasts. Si tu es sage, je t’autoriserai peut-être à faire pipi, après.
Mme Besson descendit à la cuisine et Léa prit une longue douche et descendit à son tour, seulement vêtue d’un long débardeur. En entrant dans la cuisine, elle trouva Mme Besson, assise à table, en train de boire une tasse de café,
— Qui t’as autorisée à t’asseoir ? Qui t’a donné la permission de boire un café ?
Mme Besson, sauta sur ses jambes.
— J’avais oublié, excusez-moi, Mlle Fournier.
— Jette ce café et allonge-toi sur la table avec tes nichons à l’air. Immédiatement !
Smash ! Gifle,
— Écarte grand tes cuisses.
Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait mais cette position, avec ses talons de 12 cm, lui faisait atrocement mal aux jambes.
Maintenant, reste comme cela, pendant que je bois mon café et que je réfléchisse à la façon de te faire enfin comprendre… Je t’ai dit que tu devais me demander ma permission en toute chose !
— Oui Mlle Fournier, j’avais oublié, Mlle Fournier.
Léa s’assit et bu tranquillement son café et mangea les toasts préparés par Mme Besson.
Dans cette position, Mme Besson commençait à avoir vraiment très mal, ses jambes la torturaient. Et sa vessie, son sexe ouvert… elle devait aller aux toilettes !
— Mlle Fournier, puis-je utiliser la salle de bains ?
— Du calme, je prends mon petit déjeuner, encore une marque de ton manque de respect et c’est le fouet. Tu oses m’interrompre pendant que je déjeune…
Mme Besson essaya de se contrôler, de penser à autre chose… Léa finit tranquillement son déjeuner et commença à marcher dans la cuisine.
Flash !
Mme Besson ferma les yeux en imaginant ce qu’elle montrait sur cette photo. Elle entendit Léa ouvrir un tiroir,
Smack !
La cuillère de bois s’abattit sur les fesses de Mme Besson qui sursauta et quitta sa position, pour protéger ses fesses.
— Remets tes mains en place, tu dois apprendre à obéir et à être respectueuse.
Smack !
— Je suis désolée, Mlle Fournier.
Smack !
Sa deuxième correction en début de journée Mme Besson était effondrée, par la douleur,
— Tu veux toujours utiliser les toilettes, Mme Besson ?
— Oui, je le veux Mlle Fournier,
Répondit la pauvre prof en larmes, elle espérait ne pas manquer de respect à son élève. Léa prit la laisse et l’accrocha au collier de sa prof. Elle se dirigea, vers la porte de derrière.
— Allons faire ce que me demande mon animal, vas faire tes besoins…
Mme Besson ne put croire qu’elle allait uriner dans le jardin et devant son élève ! Léa amena la prof écarlate au milieu de la pelouse et dit,
— Faits tout ce que tu as à faire, c’est ta dernière possibilité avant que nous partions faire des courses.
— Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela, ici, dit Mme Besson éperdue de honte.
Mais elle n’avait pas été aux toilettes depuis hier soir et aujourd’hui cela lui était interdit. Elle en avait désespérément besoin.
— Bien alors nous attendrons ce soir… Nous devons y aller.
— Attendez ! Vaincue,
— Oui,
— Ne me corrigez plus Mlle Fournier, je vais le faire.
— Alors vas-y, nous n’avons pas toute la journée !
Mme Besson essaya d’être gracieuse, écarta les jambes et commença à uriner devant son élève… sur la pelouse, sa propre pelouse, devant son élève, une élève de 18 ans… Ayant satisfait ses besoins, la prof humiliée mais soulagée dit,
— J’ai terminé, Mlle Fournier.
— Viens faire un câlin à ta maitresse mon animal et me remercier d’être si attentive à tes désirs,
Mme Besson nue, avec son collier et la laisse pendante, roulant des fesses, vint se coller et frotter son sexe au corps de Léa qui lui caressa la croupe, comme on récompense une bête obéissante. Léa glissa sa jambe entre les cuisses de la prof pour venir en contact du sexe gonflé de Mme Besson.
Mme Besson se frottait comme une chienne contre cette jambe. Emportée dans un tourbillon de plaisir Mme Besson pensait que Léa ne dira rien, mais elle savait aussi qu’il lui faut attendre l’ordre de sa maitresse. La réaction de Léa pouvait être imprévisible et violente. Mme Besson devait attendre avant de jouir.
Léa devine tout, comme si elle détenait le pouvoir de lire dans les pensées de la prof.
— Salope ! Tu meurs d’envie de te branler comme une chienne, hein ?…
— Oui Mlle Fournier,
― Tu n’es pas là pour te branler petite salope, mais pour me servir.
— Supplie-moi, salope !
La voix de Mme Besson est presque inaudible, tellement son émotion est intense,
— Je vous en supplie Mlle Fournier, autorisez-moi à me branler sur votre cuisse ? Cette caresse qui ne peut aller jusqu’au bout devient un supplice.
— Je peux Mlle Fournier ? Je vous en prie…
Léa fait non de la tête, un petit sourire au coin des lèvres.
— Continue de te branler comme ça, mais surtout, tu ne jouis pas pétasse ! Le plaisir est pour moi, pas pour toi !
Léa regrettait de n’avoir eu qu’une cuillère pour battre sa prof, mais elle savait que les coups appliqués sur le sexe auraient donné encore plus d’envies à sa prof… La menace d’une punition la rendait obéissante.
Flash !
— Alors allons-y, nous allons faire bon usage de ta carte de crédit, Mme Besson. Mais il va falloir t’habiller car la plupart de tes vêtements ont été mis à la décharge. Tenu en laisse, elle entraîna sa prof dans la maison.
— Prends une douche et rejoins-moi dans notre chambre et ne joue surtout pas avec ta chatte déjà bien humide !
Après une douche rapide, Mme Besson rejoignit Léa qu’elle trouva en jean et petit chemisier.
— Assied toi ici, nous allons nous occuper de tes cheveux et de ton maquillage.
Léa la coiffa et la maquilla beaucoup, dans un style qui lui donnait l’air d’une putain. Se regardant dans la glace, Mme Besson eut du mal à se reconnaître.
— Maintenant, nous allons t’habiller, met ceci ! dit Léa, en lui jetant le porte jarretelle noire et des bas fumés.
— Puis-je m’asseoir sur le lit. Mlle Fournier ? demanda Mme Besson, craignant de se faire encore punir.
— Bien sûr, dit Léa en la regardant mettre ses bas.
Flash !
— Met tes talons ! Nous veillerons à t’en acheter d’autres.
Mme Besson attacha ses bas et glissa ses pieds douloureux dans les hauts talons. Se regarda dans la glace, elle put voir une femme nue vêtue de bas et d’une porte jarretelle, sans culote, ni soutien-gorge… l’image de la dépravation, de sa honte !
— Mme Besson, puisque tu n’as pas pu reprendre les ourlets de tes robes, il va falloir en acheter d’autres. En attendant, allons dans la chambre de Chloé.
— Mlle Fournier, les affaires de Chloé sont bien trop petites pour moi.
— Je sais madame Besson, mais tu portes des vêtements bien trop amples !
Léa entraîna Mme Besson dans la chambre de Chloé et attrapa une petite jupe vraiment très courte qui arrivait à peine à hauteur de ses bas et un petit top qui moulait sa poitrine. Ses tétons se dessinaient et marquaient le tissu.
Flash !
C’était une tenue de salope, de putain… Se regardant dans le miroir, Mme Besson savait qu’elle allait devoir porter cette tenue infâme et perdre encore plus de sa dignité… Bien entendu, elle ne fut pas autorisée à mettre un slip ou un soutien-gorge. Léa lui mit ses lunettes de soleil, elle n’était plus reconnaissable, au moins personne ne pourrait reconnaître la digne Mme Besson…
— Met ton collier et sa laisse dans ton sac à main et allons-y.

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