L’autostoppeuse

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Dans la catégorie Récits hétéros

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Il est 23h00, il pleut à verse et je suis sur une route nationale, dans une voiture de location, je me rends à un séminaire pour mon travail qui a lieu toute la fin de semaine, il me reste encore environ 25 km avant d’arriver à l’hôtel où ma secrétaire a réservé une chambre pour moi.

À la sortie d’un virage, je distingue une silhouette, une femme toute trempée par la pluie, et qui fait du stop, en général je suis contre le fait de prendre des autostoppeurs, mais quelque chose en cette femme m’intrigue, et aussi à cause de cette pluie torrentielle, je décide donc de m’arrêter.

Une fois à la hauteur de cette femme, je me rends compte que c’est une belle brune d’environ 30 ans, elle est tellement mouillée que je distingue toutes ses courbes à travers ses vêtements qui lui collent maintenant à la peau. Elle me demande si elle peut faire un bout de chemin avec moi, je lui propose donc de faire les prochains 25 km ensemble.

Elle s’appelle Sylvie, elle a quitté sa ville natale pour se rendre à Nice pour un nouvel emploi. Sylvie sort quelques vêtements de son sac à dos et sans me prévenir, commence à se changer sur le siège passager, elle commence par enlever son pantalon découvrant de superbes jambes bien bronzées, elle enfile une petite jupe, ensuite elle enlève sa veste et son pull, du côté de l’œil je peux voir ses seins sous son soutien gorge qui est maintenant transparent à cause de la pluie. Elle décide donc de changer de soutien gorge et sans aucune pudeur met ses seins à nu et les couvre en prenant son temps avec un t-shirt, s’apercevant que je la regarde du coin de l’œil, elle me fait un petit sourire coquin qui me fait bander immédiatement et je commence à imaginer toutes sortes de choses.

Nous bavardons tout le long, mais mon esprit est ailleurs, je ne peux pas m’empêcher de penser à ses magnifiques jambes et surtout aux deux superbes seins gros et fermes que j’ai eu le temps d’admirer quelques instants.
Je lui demande ce qu’elle compte faire une fois que je l’aurais déposée, arrivée a l’hôtel, Sylvie me dit qu’elle essaierait probablement de se trouver un coin où dormir dans une gare ou un métro car elle n’a pas suffisamment d’argent pour un Hôtel.

Je lui propose donc de venir avec moi à l’hôtel, que je dormirais sur le canapé ou par terre s’il n’y en a pas et elle sur le lit, elle me dit qu’elle accepterait avec plaisir mais à la condition que nous partagions le lit, après tout nous sommes des adultes, nous pouvons dormir sans se toucher, qu’elle me dit en souriant.

Arrivée dans la chambre d’hôtel, Sylvie décide de prendre une douche. Nous nous sommes ensuite couchés à minuit et comme prévu chacun de son côté, j’ai eu de la difficulté à m’endormir avec cette beauté à mes côtés, mais penser à ma femme et ce quelle penserait si elle savait que je partage mon lit d’hôtel avec cette inconnue m’a aidé à ne pas approcher de Sylvie.

Je fus réveillé par une sensation de bonheur et je compris que cette sensation m’était procurée par le corps chaud de Sylvie qui était maintenant collé de dos à moi, j’étais en érection, ma verge en contact avec sa fesse gauche et surtout, dans mon sommeil j’avais passé ma main gauche par dessous son t-shirt et je tenais fermement son sein gauche, Sylvie était couchée sur mon épaule droite et de ma main droite je tenais sa main droite.
Je me suis senti très gêné et décidai de retirer mes mains et de me replacer dos à elle avant qu’elle ne se réveille, mais lentement, Sylvie se mit à bouger et glissa sa main gauche dans mon slip et commença à caresser mon gland, de sa main droite elle prit ma main gauche et la descendit jusqu’à l’élastique de sa culotte, je fis le reste du chemin jusqu’à son clitoris et commençai à masser et caresser son gros clito, j’avais une envie folle de la pénétrer. Elle gémissait tellement fort que j’ai à peine senti venir son premier orgasme qui la fit vibrer de tout son corps, je commençai à prendre son clitoris entre mes lèvres et caresser sa vulve lorsqu’elle tira sur ma verge pour que je me déplace à portée de sa bouche, elle me suçait d’une vigueur incroyable, plus elle me suçait fort plus je compressais son clitoris et enfonçais mes deux doigts dans sa chatte et plus elle augmentait le va-et-vient de ma queue dans sa bouche.

Elle me donnait tellement de plaisir avec sa langue que je faillis lui éjaculer dans la gorge à deux reprises, je me suis retenu, malgré moi, car je voulais la prendre dans plusieurs positions avant de jouir en elle.
Sans l’avertir, je me plaçais sur elle et en léchant ses gros seins à tour de rôle, je frottais mon gland sur le long de sa vulve en prenant bien soin de frotter son clitoris, après quelques minutes, je la pénétrai d’un coup sec jusqu’au fond et commençai mes va-et-vient en mordillant son cou, ses seins et ses oreilles à tour de rôle.

Je la fis ensuite tourner sur le ventre, écartant ses jambes et je lui fis plier sa jambe gauche pour la pénétrer encore plus profondément, le fait d’avoir une jambe pliée et relevée, resserrait un peu sa vulve ce qui nous donna une plus grande sensation, après quelques minutes de bon ramonage, Sylvie eut son troisième orgasme et décida de prendre le contrôle, elle me jeta littéralement sur le dos, prit ma verge dans sa bouche et me suça à un rythme infernal lorsqu’elle sentit que j’allais presque jouir arrêta ses mouvements et m’avertit de ne pas encore éjaculer, elle me dit «je n’ai pas encore fini avec toi»
Sylvie vint lentement s’asseoir sur moi juste sur mon nombril de façon à sentir mon gland toucher ses fesses et faisait des va-et-vient en attendant que mon envie d’éjaculer s’estompe, elle m’embrassait et me léchait partout.

Elle releva son bassin et vint placer mon gland juste sous sa vulve et, avec des mouvements du bassin, commença à enfoncer ma verge dans son vagin, elle avait l’air d’adorer le fait de contrôler l’action, avec son bassin et le dos arqués vers l’arrière je pouvais sentir mon gland toucher toutes les parois internes de son vagin, elle commença à gémir de plus en plus fort et accentua ses mouvements de bassin jusquà un orgasme incroyablement fort et bruyant, j’avais tellement eu de plaisir que je finis par éjaculer et remplir son intérieur, elle continua ses mouvements de bassin jusquà ce que ses spasmes s’arrêtent et vint sucer le restant de sperme sur mon gland.
Après quelques minutes, je la couchais sur le dos et lui caressais les seins en l’embrassant tendrement sur la bouche.

À ce moment mon téléphone sonna, c’était ma femme, je n’ai pas eu besoin de l’expliquer à Sylvie, elle comprit qu’elle ne devait pas faire de bruit et pendant que je parlais à ma femme, comme si elle voulait me faire craquer se mit à me sucer et me branler, ce qui commença à m’exciter et me donna une érection d’enfer.
Voyant mon érection revenue, Sylvie se rassit à nouveau et mit ma verge dans son petit trou, il fallait que je raccroche avec ma femme avant que nous commencions à gémir et à jouir, ce ne devait pas être la première fois pour elle car elle montait et descendait son corps pour que je la ramone à un tel rythme que j’ai failli crier de plaisir au téléphone à plusieurs reprises. Heureusement j’avais fermé le téléphone depuis quelques minutes lorsque Sylvie se mit jouir à nouveau.

Mais moi je n’en avais pas encore fini, elle se coucha sur le ventre et je la pénétrais à nouveau dans son petit trou encore ouvert, après quelques minutes je lui éjaculai dans son trou. Une fois sur le dos Sylvie vint me sucer pour ne pas perdre une goutte de ma semence.

Étant donné que j’avais la chambre pour la fin de semaine et que Sylvie ne commençait pas son travail avant lundi, nous décidâmes qu’elle resterait avec moi encore ce soir. Je ne sais pas si je pourrais me concentrer aujourd’hui en sachant ce qui m’attendait à l’hôtel ce soir…


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