Dépucelée par l’intello

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Dans la catégorie Récits hétéros

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J’aime le sexe. C’est comme ça depuis toujours, en fait depuis la première fois où j’ai fait l’amour avec un homme. J’avais alors à peine dix-huit ans. C’était un mercredi après-midi, je m’en souviens très bien. On n’oublie pas ce genre d’expérience. J’avais fait venir un camarade de lycée à la maison car nous devions préparer un exposé ensemble, un truc sur la seconde guerre mondiale, rébarbatif au possible. Je n’avais choisi ni le sujet, ni mon partenaire qui m’avaient tous les deux été imposés par la prof d’histoire. En attendant la venue du mec, un binoclard toujours parmi les premiers de la classe, je ressassai le mauvais coup qu’elle m’avait joué. Je n’étais pas de bonne humeur, c’est le moins qu’on puisse dire. Je n’avais qu’une envie, c’était d’expédier bien vite cette corvée et de partir retrouver mes amies qui m’attendaient au centre ville pour aller draguer de beaux mecs. C’est la raison pour laquelle j’avais demandé à Tim de venir dès 14 heures. Je voulais encore avoir du temps devant moi pour profiter de ma journée.

Au début, on a commencé à travailler comme prévu. C’était d’un chiant. Tim était vraiment coincé et obnubilé par le boulot. Moi, je voulais avancer mais, en même temps, je n’avais aucune motivation. Si je m’étais écoutée, je l’aurai laissé planté là pour qu’il finisse tout seul. Mais nous devions présenter notre travail à la classe seulement deux jours plus tard, alors j’ai essayé de faire un effort. Et puis, nous étions dans l’appartement de mes parents et je ne pouvais pas décemment m’absenter en le laissant seul. Alors j’ai pris mon mal en patience mais je suis quand même allée mettre de la musique sur la chaîne pour essayer de détendre l’atmosphère. Je crois que ça lui a plu car il est devenu tout de suite plus cool. En fait, il est devenu si cool qu’il a commencé à se coller à moi pendant que nous travaillions autour de la table. Je n’ai rien dit car j’avais avant tout envie que cela se termine. Ça faisait bientôt une heure que nous planchions sur le sujet et je voyais l’heure tourner. Le problème, c’est qu’il ne l’entendait pas de cette oreille. Je sentais sa cuisse qui cherchait le contact avec la mienne et ça commençait à me faire bizarre.

Il se fit insistant et je me mis à le regarder d’un autre œil. J’ai essayé de l’imaginer sans ses lunettes, fringué et coiffé autrement, relooké quoi ! Je me suis dis que, finalement, il n’était pas si mal que ça derrière ses airs de fayot. En plus, il était grand et fort. Ça ne m’avait jamais frappée. J’ai accepté qu’il se colle contre moi et, même, je me suis serrée un peu plus contre lui. Il ne pouvait ne pas sentir mon changement de comportement. Alors, il s’est enhardit un peu et a posé sa main sur moi à plusieurs reprises. Je me suis laissée faire. Il faisait mine de travailler, penché sur la table, mais moi je sentais bien sa main qui se posait de plus en plus fréquemment sur mes épaules, mon dos et, bientôt, le creux de mes reins. Quand il la mise sur mes fesses, je ne l’ai pas rejeté. C’était un fameux hypocrite ! Il me parlait de la bataille des Ardennes tout en me caressant directement le cul, comme si de rien n’était. Je crois qu’il était un peu intimidé et que les choses allaient trop bien pour lui. Moi, la situation commençait à m’exciter. Alors je lui ai donné un petit signe et j’ai aussi mis ma main sur son cul. Nous étions presque affalés sur la table du salon.

On a travaillé encore un moment, tant bien que mal, en se touchant les fesses de plus en plus. Puis, j’ai fait partir ma main entre ses cuisses. Il portait un short car nous étions au début du mois de juin et il faisait très chaud cette année là. Moi-même, j’avais enfilé une jupe assez courte, en prévision de ma sortie en ville. J’ai fait remonter mes doigts dans une des jambes de son short et je suis allée carrément lui tâter les boules. Il n’a presque pas réagit. Du moins, il n’a rien dit et il ne s’est pas redressé. Par contre, dans son slip, j’ai bien senti que ça s’agitait. Et puis, il a tout de même commencé à remuer un peu du cul. Mais le meilleur, c’est qu’il m’a imitée. Sa main qui était posée sur mon derrière est descendue se faufiler sous ma jupe et il a passé un doigt sur ma chatte, à travers mon slip. Je me suis mise à couler comme une source vive. Je l’entendais qui soufflait, la tête à quelques centimètres de la mienne.

J’ai frotté son sexe avec ma main, impressionnée par la taille de celui-ci. Il faut dire que c’était la toute première fois que je touchais la bite d’un homme. Ensuite, c’est allé très vite. J’ai profité d’un moment où il a légèrement tourné la tête vers moi pour l’embrasser. Nous étions toujours penchés sur la table, chacun la main entre les cuisses de l’autre. Il avait glissé un doigt dans mon slip et me massait la vulve avec. Il semblait un peu plus expérimenté que moi et ça remettait aussi en question mon appréciation sur lui. Il ne tarda guère à m’enfiler son majeur dans la fente. J’étais toute dégoulinante et son doigt est entré sans rencontrer la moindre résistance de la part de mon sexe. J’agitais mon bassin et mon cul se balançait derrière moi. J’ai voulu lui faire plaisir et j’ai rentré ma main dans sa culotte. J’ai pris sa queue entre mes doigts et je l’ai branlée un peu, comme je pouvais. Nous ne pouvions pas rester dans cette position. C’est moi qui l’ai entraîné sur le canapé parental. J’avais le feu au cul t besoin de passer à autre chose.

Nous nous sommes quand même masturbés mutuellement en nous embrassant un bon moment encore. Mais Tim en voulait plus. Il a pris la direction des opérations. Maintenant que nous étions lancés et qu’il se rendait bien compte qu’il n’avait pas à craindre mes réactions, il paraissait libéré d’un poids. Il s’est déchaîné et n’avait plus rien à voir avec l’image qu’il traînait au lycée. Je lui ai ôté sa chemise et j’ai enlevé mes vêtements. J’étais complètement à poil et lui aussi.

Il m’a allongée sur le canapé et, tout en continuant de me limer avec son doigt, il est venu se mettre entre mes cuisses avec sa tête. Il m’a mangé la chatte avec sa langue et ses lèvres. C’était divin ! J’ai l’impression qu’il a dû boire des litres de ma mouille tant il me faisait couler de bonheur. Il est resté quelques minutes dans cette position, le temps de m’échauffer complètement. Ensuite, il est remonté sur le canapé sans cesser de me lécher mais il a pivoté pour me présenter son pubis et, surtout, son gros engin qui bandait sec. Trop excitée pour réfléchir, j’ai pris son pénis dans ma bouche et je me suis mise à le sucer. Ses couilles battaient sur mon front. J’ai fait du mieux que je pouvais avec ma bouche vierge. C’était mon tout premier soixante-neuf. Il y en a eu bien d’autres depuis. Si j’aime ça aujourd’hui, c’est en grande partie à Tim que je le dois.

Nous nous sommes sucés ainsi pendant de longues, de très longues minutes. J’explorais en détail la bite de mon amant. Il en faisait de même avec mon sexe de son côté. Sa langue visitait la moindre parcelle de ma moule. Il n’oubliait pas non plus de me sucer le clitoris. Il était vraiment doué, plus que beaucoup de mes futurs amants plus âgés. Je nous entendais gémir tous les deux et cela ajoutait encore à mon excitation. Finalement, je lui ai demandé de me prendre tellement j’étais chaude.

Il s’est redressé, à tiré sur mes jambes pour les faire pendre au pied du canapé. Il s’est mis entre mes cuisses, à genoux. Puis, sans brutalité inutile, il a placé mes mollets sur ses épaules et pointé sa queue au centre de ma fourche. Je me sentais complètement à sa merci. D’un coup de rein puissant mais retenu, il s’est enfilé dans la gaine brûlante de mon vagin. Il m’a perforée comme jamais mes doigts ne me l’avaient fait. Dès qu’il a été en place, il s’est mis à me limer en cadence, de plus en plus vite. Je gigotais des fesses sur mon siège tant je voulais le sentir au fond de moi. Il remuait comme un fou et ça me faisait du bien. Malheureusement, je ne réussis pas à me retenir très longtemps. Le traitement de choc qu’il m’infligeait était trop efficace pour ma jeune chatte vierge. J’ai joui très vite, trop vite, mais très fort aussi. Je me suis presque évanouie de plaisir. Il m’a suivie immédiatement en prenant la louable précaution de se vider sur mon ventre et pas dans mon sexe. Quelques gouttes de son sperme ont giclé jusqu’à mon visage, sur mon menton et sur mes lèvres.

Ce jour-là, mes amies m’ont attendue en vain. Nous avons refait l’amour jusqu’au moment où mes parents devaient rentrer, en début de soirée.


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