Mon phantasme d’homme cocu

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Ma femme Nadia se sentait un peu délaissée ces derniers temps par moi (son mari, « lailatvx sur le net »).

Cette jeune femme de 26 ans, les cheveux mi-longs d’une belle couleur dorée, avait décidé de redonner un peu de piquant à notre relation, en assouvissant un de mes plus grands phantasmes. Elle s’était appliquée pour que cette soirée reste à jamais gravée dans ma mémoire.
Tout d’abord, il y eut à prévoir les détails d’ordre pratique : elle avait porté un soin particulier à son corps. Épilée de près, comme j’aime, le corps enduit d’une huile parfumée qui laissait sa peau luisante et satinée, elle enfila la robe noire fendue jusqu’en haut des cuisses, et dont le décolleté se terminait par un lacet, ce qui permettait à tout moment de transformer cette robe sexy en robe provocante.

Ma femme était allée jusqu’à Casablanca, dans une boutique spécialisée dans les vêtements sexy (nous habitons Rabat). Elle y était déjà allée plusieurs fois pour acheter, mais surtout pour se jouer du vendeur qui se précipitait à sa caisse dès qu’une femme entrait dans la cabine d’essayage.
Et pour cause, il pouvait ainsi profiter au mieux de la vue plongeante que lui apportait le miroir antivol ! Ma femme prenait alors bien soin de lui en donner pour son argent, en se cambrant pour mettre en valeur ses jolies fesses, et en essayant et réessayant plusieurs fois les tenues. Cela m’excitait autant que le vendeur.
Elle finit sa toilette en relevant ses cheveux en un chignon vaguement négligé, elle se doutait de toute manière qu’elle ne resterait pas coiffée longtemps ! Elle enfila enfin ses chaussures à talons, celles qui s’attachaient à la cheville à l’aide d’une lanière en forme de serpent. Elle aimait ces chaussures particulièrement, car elles lui permettaient de sembler plus grande que son 1 mètre soixante, tout en étant suggestive à ceux qui portaient attention aux détails.
Ensuite, il fallait soigner la mise en scène et, là aussi, l’organisation se devait d’être parfaite. Nous n’étions qu’en milieu d’après-midi, cela lui laissait logiquement le temps.
Nadia m’envoya un texto : RDV ce soir 19h précises à la maison, je te prépare une surprise plus que bandante.
Cela suffirait à éveiller mon imagination et m’occuper le reste de la journée. Puis elle prit les clés de sa voiture, direction un hôtel où elle devait rejoindre son complice.
Elle avait rencontré Rachid lors d’une soirée. Elle avait apprécié ses caresses expertes et l’art avec lequel il se servait de sa queue. Elle avait coutume de dire que rien ne sert d’avoir une queue particulièrement grosse ou longue, non, l’important était de savoir s’en servir !
Et si on en jugeait par le plaisir que Rémi avait su donner à ma femme, oui c’est sûr, il entrait bien dans cette catégorie.
Elle avait contacté Rachid, et lui avait expliqué en détail le scénario de la soirée. Malgré les longs mois qui venaient de s’écouler depuis leur dernière rencontre, il avait finalement accepté de se prêter au jeu.
Nadia était arrivée sur le parking de l’hôtel, elle vérifia son maquillage dans le rétroviseur, puis jeta un coup d’œil dans son sac à main, le numéro de la chambre ainsi que l’appareil photo y étaient bien.
Elle sortit de la voiture et s’engagea d’un pas décidé vers l’hôtel. Elle frappa une fois à la porte de la chambre, et Rachid lui ouvrit en l’accueillant avec un large sourire. Grand, les cheveux châtains, ses yeux marron brillaient déjà d’excitation :

— Tu es très en beauté ce soir, lui dit-il en mettant un bras autour de sa taille pour la faire entrer dans la chambre.
— Merci.

Il prit grand soin de la mettre à l’aise avec des caresses tendres et des baisers au creux de son cou. Il sentait qu’elle était un peu tendue. Il décida de relancer la conversation sur le scénario de la soirée :

— Alors, comme cela, tu veux faire une surprise à ton mari ?
— Oui, un de ses phantasmes est que je le fasse cocu et que je m’en serve pour l’exciter.
— Et qu’attends-tu de moi exactement ce soir ?
— Je veux qu’on s’excite mutuellement, que tu me fasses jouir, que tu prennes des photos de mon sexe trempé d’excitation. Je veux également te faire jouir… Mais attention, que ce soit clair, des photos, de la jouissance mais pas de pénétration. Pas aujourd’hui en tout cas, lui glissa-t-elle avec un air malicieux.

Tout en disant ces derniers mots, ma femme s’était rapprochée de Rachid et caressait maintenant son sexe qu’elle sentait durcir à travers son pantalon. Il profita de cette proximité pour glisser à son tour sa main le long de sa cuisse. Il souleva la robe légère et caressa sa douce toison. Il s’agenouilla et lui retira son string avec sa bouche habile.
L’humidité de son sexe et les gémissements de Nadia l’encourageaient. Il la bascula doucement sur le lit, et lui écarta les cuisses d’un geste doux mais ferme.
Il lui retira son string puis il enfonça alors profondément sa langue dans sa chatte chaude et humide, prenant soin d’exciter son clito par des ronds de langue.
Elle était trempée de plaisir. Rachid saisit l’appareil et fit quelques clichés souvenir, en zoomant bien sur sa chatte trempée et ses lèvres toutes excitées et gonflées de désir.
Nadia lui prit sa main et la guida jusque dans les profondeurs de son intimité. Un doigt, puis deux, puis trois faisant des va-et-vient, elle plongeait de plus en plus dans le plaisir.

— Vas-y, fais-moi jouir rien qu’avec ta bouche et tes doigts, lui dit-elle d’une voix rauque entre deux gémissements. Montre-moi que tu en es capable…

Il continua ses caresses jusqu’à ce qu’elle jouisse.
À peine remise, ma femme décida de remercier son amant à sa façon.
C’était à lui maintenant de se retrouver sur le lit, et elle à genoux, s’appliquait à faire durcir son membre viril. Déjà bien excité, elle n’eut aucun mal à le mener au bord de la jouissance. Sa queue dans sa bouche, elle faisait des allers-retours avec application. Elle remonta un instant à la hauteur de son visage pour lui susurrer à l’oreille :

— Préviens-moi quand tu seras sur le point de venir, je veux que tu viennes sur mes seins et que tu étales bien ton plaisir sur ma poitrine…

Ces quelques mots excitèrent encore davantage Rachid qui, pour toute réponse, enfonça encore plus profondément sa queue dans sa bouche d’un coup de rein. Il ne la quittait pas des yeux, elle prenait visiblement beaucoup de plaisir à le sucer, et elle le regardait avec son regard de garce. Oh comme il aurait aimé lui enfoncer sa bite dans un autre endroit de son anatomie…
Il se contenta de prendre quelques photos. C’est alors que Nadia mit ses deux mains autour de sa queue pour parfaire l’excitation de son beau mâle. Ses mains et sa bouche suivaient le même rythme, d’avant en arrière. C’était trop bon, et Rachid sentit le plaisir monter, il n’allait plus pouvoir se retenir longtemps.

— Je vais venir, lâcha-t-il dans un souffle.

Sans arrêter ses caresses avec ses mains, elle délaça le décolleté de sa robe, pour offrir ses seins à sa semence. La vue de ses seins pointus et fermes finit d’exciter Rachid. Elle sentit son sperme chaud sur sa poitrine. Elle prit sa queue pour étaler son plaisir partout sur sa poitrine dénudée.
Elle était maintenant trempée de plaisir, le sien mais aussi celui de son amant.
Tout à son plaisir, mon épouse chérie ne perdait pas de vue l’essentiel, le temps avait passé, il fallait maintenant se presser. Elle se doutait que son mari (moi Karim) serait en avance, impatient de découvrir sa « surprise ». Elle reprit donc le sourire aux lèvres, le chemin de son domicile.
19 h 30. Elle entra et trouva son mari (moi) dans l’entrée :

— Bonjour mon cœur, lui dit-elle.
— Bonjour, mais d’où viens-tu habillée comme cela ? Lui répondit-il étonné et légèrement agacé.
— De chez mon amant, répondit-elle du tac au tac, avec un grand sourire.

Elle voyait bien que son mari Karim ne savait plus quoi penser, un mélange de jalousie mais aussi d’excitation se mêler dans ses beaux yeux noirs. Il était grand, brun, et il était habillé d’une chemise blanche qui mettait son bronzage, et ses yeux en valeur. Il était assez bien bâti et ses 32 ans n’avaient rien enlevé à son charme un peu efféminé, bien au contraire.
Nadia s’approcha de lui, elle se colla tout contre son torse pour l’embrasser. Il se pencha pour rejoindre ses lèvres, mais releva sa tête presque aussitôt.

— Tu sens le sexe, s’exclama-t-il !
— Ah ça oui, puisque je viens de te dire que je reviens de chez mon amant.

Un éclair de colère passa dans ses yeux, mais elle ne se laissa pas impressionner et elle glissa une main dans l’entrejambe de son pantalon. Ses soupçons se trouvèrent confirmés, il bandait déjà à moitié.

— C’est bien ce que tu voulais mon amour, que je te trompe.
— Oui, mais je veux des preuves, répondit Karim avec un regard cette fois brillant d’excitation.
— J’y ai pensé. Descends vers mon string et regarde…

Il s’exécuta sans attendre, se mit à genoux et releva doucement et sensuellement la robe de sa femme. Il l’embrassa langoureusement le long des ses jambes, jusqu’à son string.
Là, il le lui retira doucement. Il vit, ce qui était sans aucun doute possible les traces de son plaisir. Il renifla son sous-vêtement. Fou de désir, il la fit asseoir sur la malle de l’entrée, et lui écarta les jambes. Là encore, il vit son plaisir couler entre ses lèvres épilées.

— Alors, tu l’as fait, tu es vraiment une salope, ma salope.

D’un geste rapide, elle défit les boutons de chemise de son mari, découvrant son torse presque imberbe.

— Mais tout ça n’est rien, tu ne veux pas savoir comment cela s’est passé, ni qui est-il ?

Je veux te rendre fou, fou de désir, dit Nadia avant de l’embrasser à pleine bouche.

— Oh oui, je veux tout savoir, je veux que tu m’excites encore.
— Alors, regarde, j’ai fait quelques photos souvenir pour toi.

Karim regarda avec avidité toutes les photos, il n’en pouvait plus d’excitation.
Il voulait la prendre là, maintenant, pour effacer le plaisir de l’autre. Il la releva et la colla au mur en l’embrassant encore et encore. Sur son visage d’abord, puis sur son cou. Il défit le lacet de sa robe, et ses seins apparurent. Il les caressa et remarqua leur aspect un peu collant, il comprit grâce aux photos qu’il s’agissait du plaisir de son amant.
Il s’appliqua alors à lui lécher les seins, les tétons aussi bien pour récolter le plaisir qu’elle venait d’avoir, que pour effacer toute trace.
Quand il sentit qu’elle était bien excitée, il fit glisser sa robe jusqu’à terre. Nadia était maintenant nue à l’exception de ses escarpins. Qu’elle était belle et excitante !
Toujours collée au mur, elle se contentait de donner à son mari tous les détails de son après-midi.

— Tu ne peux pas savoir comme tu m’excites, j’aime quand tu es salope avec moi.
— Si je suis ta salope, et que je t’excite, il faut que tu me prennes comme une salope, une vraie, alors vas-y, montre-le moi.

Il n’en pouvait plus, il en aurait presque joui dans l’instant, des images lui venaient à l’esprit, il avait envie de la posséder plus que jamais. Il la fit accroupir, dans cette position, il voyait sa croupe, et son beau petit cul. Elle sentit sa queue plus dure que du bois sur ses fesses, ce contact la ravit et l’excita de plus belle.

— Vas-y, prends-moi comme une salope, prends-moi la chatte, le cul mais prends-moi sauvagement, fais-moi jouir, autant qu’il a pu me faire jouir, plus si tu peux. Mais tu n’en es peut être pas capable après tout, lui dit-elle pour le provoquer.

Karim serra sa mâchoire, et caressa sa chatte avec ses doigts, une fois bien humide, il lubrifia son petit trou. Il y introduit un doigt, puis deux, tout en continuant de stimuler son clitoris. C’était dur car son excitation était à son comble.
Puis quand son petit trou fut bien dilaté, alors il introduit sa petite queue, épaisse. Quelques centimètres pour commencer, mais après quelques va-et-vient, il put l’introduire plus profondément.
Il pouvait enfin se laisser aller à son désir. Sa femme gémissait sous ses coups de queue, elle aimait ça et lui faisait savoir. Karim prêt à exploser en elle, lui prit les cheveux pour la cambrer un peu plus encore.

— Tu aimes ça, tu aimes le cul, dis-le-moi, lui ordonna-t-il.
— Oui j’aime quand tu me prends par le cul, vas-y encule-moi encore, je vais jouir, oui, maintenant…

Karim jouit en elle alors qu’il pouvait sentir son plaisir à elle couler le long de ses jambes. Ils s’embrassèrent longuement, allongés sur le tapis de l’entrée. Ils rirent ensemble de la situation aussi bien que de plaisir.

— On est fous, dit Karim, les yeux plein d’amour et de désir pour cette femme qui savait si bien l’exciter.
— Oui, on est fous d’amour, mais la soirée ne fait que commencer, j’espère que tu es en forme ! dit Nadia en se relevant et en l’invitant à le suivre dans leur chambre à coucher.


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