Ma femme baisée par un collègue de travail

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Cette histoire s’était passée la veille du réveillon de l’année 2014. Ma femme avait invité des collègues de travail avec qui elle avait sympathisé durant l’année à notre domicile, afin de terminer l’année car un de ces collègues de travail rentrait définitivement dans son pays natal. Il y avait Laurent et Betty, un couple très jovial et sympathique, puis trois autres collègues masculins, James, Jarod et Sam. Ce dernier, black, bien foutu, est celui qui rentre dans son pays natal.

 

Après avoir terminer l’apéro, nous passons à table, mais Sam demanda à ce que les femmes puissent s’asseoir à côté de lui. En riant, nos deux femmes s’assirent près de lui, Betty à sa droite et la mienne à sa gauche. Pendant, le repas, les verres ne furent jamais vides et tout le monde était joyeux, surtout notre Sam. Et pour cause, Laurent et moi-même n’avons pas réaliser à ce moment-là qu’il avait ces deux mains sous la table. J’ai fait mine de ne rien voir jusqu’à la fin du repas. En allant me soulager la vessie, j’ai pu voir ces deux mains qui bougeaient et nos deux femmes qui faisaient comme si rien n’était. J’étais sûr qu’il les caressait toutes les deux. Là, j’ai eu une déformation au niveau du bas ventre et je le laissais faire.

 

Prétextant d’aller nous chercher à boire, je sortis. Je suis monté dans ma voiture et je suis allé me garer un peu plus loin. Je suis revenu près de la maison et passa par la porte de la cuisine. Je les entendais rires, tout en accompagnant la chanson qui résonnait dans la maison. Puis je vis Sam se penché vers ma femme pour lui dire quelque chose à l’oreille, elle se leva et l’aida à se diriger vers les toilettes. Tous deux marchaient en titubant, l’une s’agrippant à l’autre ou l’inverse, mais je voyais très bien le bras de Sam qui entourait la nuque de ma femme se balancer et toucher un de ses seins à chaque mouvement; Laurent et Betty étaient maintenant côte à côte et s’embrassaient.

 

Arrivé à la porte des toilettes, Sam chuchota encore une fois à l’oreille de ma femme et tous deux entrèrent. J’étais abasourdi; ma femme était entrée dans les toilettes avec un autre homme que moi. Je restais dans l’entrebâillement de la porte et ne bougeais plus. Mon érection me faisait mal en pensant à ce qu’ils faisaient dans les toilettes. Maintenant, Laurent avait sorti un sein de sa femme et le suçait, tandis que Betty lui caressait la bosse par dessus son pantalon. Aux bout d’une dizaine de minutes, je la vis sortir et monter à l’étage, elle était toute mouillée. Laurent l’appela pour lui dire qu’ils rentraient et qu’ils seraient là au départ de Sam. Ils se levèrent tout en joie et partirent. Je la vis leur faire un geste par la main et continua de monter les escaliers. Dans sa robe mouillée, on pouvait apercevoir son string de couleur bleue et ses tétons durcis qui pointaient par dessus sa robe.

Soudain, je vis Sam sortir des toilettes, tout nu qui cherchait du regard où était passé les autres. La musique remplissait toujours la maison. Il alla au salon où j’ai pu constaté qu’il avait une belle érection et très bien monté. Il revint à la porte des toilettes, mais ne rentra pas. Il regarda les escaliers et décida de monter. Je voulus l’en empêcher mais je décidais de connaître où tout cela va nous mener. Il monta les escaliers et arriva devant la porte de notre chambre. Il l’ouvrit et entra sans la refermer derrière lui. Je décidais de le suivre.

 

À pas de loup, je montais les marches et arrivé à la porte de notre chambre, j’entendais des chuchotements. Je referma la porte sans qu’ils ne me voient, assez pour que moi je les vois et que je puisse les entendre. Puis j’entendis des gémissements; j’ai cru défaillir et tomber en regardant par la porte que Sam avait sa tête enfouie entre les jambes de ma femme. Je ne sais pas si elle a un souvenir du fait qu’elle a un mari et qu’il était sorti pour chercher à boire, mais là, je crois qu’elle a perdu toute notion de la réalité. Sam lui faisait du bien avec sa langue et je voyais cela sur son visage; elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte. J’ai sorti ma queue de mon pantalon et je me suis caressé en les regardant.

Puis Sam s’est levé, et j’ai vu la tête de ma femme quand elle a vu l’engin qui pendait entre ses jambes. Grosse, très grosse même. Elle a eu un mouvement de recul mais Sam attrapa sa tête pour la maintenir face à son sexe et s’approcha assez près pour que celui-ci vienne buter contre les lèvres de ma femme. Elle ouvrit ses lèvres et petit à petit commença à lui faire belle fellation. Elle y alla doucement au début puis commença à aimer cette belle et grosse bite qui commençait à rentrer entièrement dans sa bouche. Puis elle l’aspira entièrement et Sam appuya sur sa tête puis baisa sa bouche. Elle n’arrêtait pas de bouger car elle suffoquait avec cette bite dans la bouche, mais Sam prenait à plaisir à prendre sa bouche comme une chatte; il la baisait par la bouche. Au bout d’une vingtaine de minutes, il se mit sur le dos et demanda à ma femme de venir sur lui, mais elle avait peur qu’il lui fasse mal. Il l’attrapa par les bras, la souleva et la posa sur son manche; celui-ci entra entièrement dans sa chatte et je l’entendis pour la première fois crier, gueuler comme ça. C’était comme si, on éventrait quelqu’un. Et il souleva encore ma femme pour la faire tomber sur lui; elle n’était plus elle-même, elle avait les yeux fermés, des larmes coulaient sur son visage, la bouche grande ouverte. Elle gémissait, criait à chaque mouvement de haut en bas. Sam la pilonnait comme jamais; j’entendais comme des succions à chaque fois que sa bite rentrait et sortait de la chatte de ma femme puis elle eu un orgasme qui la fit basculer en arrière. Sam continua de la baiser encore et encore sans s’arrêter. Il était très en forme.

 

Puis je le vis mettre ma femme à genoux sur le lit, les fesses relevées et Sam vint se placer derrière elle. Puis les mouvements de son bassin me fit comprendre qu’il était en elle. Il la prenait vraiment comme une chienne, sans retenue, sans craindre que je rentrerais. Il la baisait bien et ma femme criait toujours. Au bout d’un moment, j’entendis ma femme lui crier de la baiser comme une pute, comme une chienne en chaleur. Alors là, je ne la reconnaissais plus. Jamais dans nos rapports, je l’ai entendu parler comme cela; mais là, elle commençait à aimer cette bite, et du plaisir qu’elle lui procurait. Sans crier gare, Sam sortit sa bite de sa chatte et la présenta devant son petit trou, puis l’enfonça brusquement et totalement.

 

Ma femme cria tellement fort que sa voix couvrit celle de la musique. Sam la retenait pas les hanches et la prenait comme une chienne. Aucun mot ne sortit de la bouche de ma femme, elle se laissa faire et je la vis venir entièrement sur toute la longueur de la bite de Sam. Pour la première fois de sa vie, ma femme se faisait enculer. Elle qui m’a toujours refusé cela, là, elle est servie. Sam prenait à plaisir encore et encore à l’enculer puis parfois revenait dans sa chatte. Je descendis les escaliers, je sortis de la cuisine et partis à ma voiture. J’attendis quelques minutes avant de revenir.

 

En entrant, je ne les vis pas, mais j’entendais de l’eau qui coulait. J’appelais ma femme et elle descendit de l’étage. Je lui demandais où étaient passés les autres; elle me dit que Laurent et Betty étaient déjà rentrés et que Sam était dans les toilettes. Il n’a fait que de vomir après être sorti de table. Je lui demanda si il avait des vêtements propres au cas où; elle n’en savait rien. Je lui dis alors qu’il faudrait mieux le garder et le faire dormir à la maison car il n’avait pas de moyen pour rentrer. Elle n’était pas vraiment emballée par cette proposition, mais j’ai insisté sur la sécurité de notre invité, et elle accepta. Je lui dis de préparer la chambre d’amis qui était à l’étage et faisait face à notre chambre. Elle me dit qu’il pouvait dormir le canapé, mais sur mon insistance, elle se plia. Sam sorti des toilettes avec sur les hanches, une serviette qui lui servait de cache-sexe; il nous sourit et après lui avoir expliquer la suite des événements, il suivit ma femme pour lui montrer sa chambre. Ma femme me rejoignit et m’aida à débarrasser la table.

J’ouvris encore une bouteille et lui servit. Ne voyant pas Sam descendre, je l’appelle, pas de réponse. Je suis monté le voir; en frappant à sa porte et n’obtenant aucune réponse, j’ouvris: il était affalé sur le lit et une partie de la serviette était remontée au-dessus des fesses, on pouvait apercevoir ses testicules et le gland de son sexe. Je baissa un peu la lumière et ne ferma pas entièrement la porte, et descendit. Je dis à ma femme que Sam était complètement out et qu’après avoir vidé la bouteille, j’irais prendre ma douche et faire un bon dodo.

 

Au milieu de la nuit, j’ai été réveillé par des gémissements qui provenaient du couloir. Je tâtais à côté, personne; ma femme a découché. Sans allumer les lumières, j’ouvris la porte de notre chambre; mais les gémissements venaient du salon; j’avançais sur les doigts de pied vers le haut des marches. Je me pencha et je vis ma femme empalée sur le sexe de Sam et qui suçait, devinez qui, et oui, Laurent. Ma femme se faisait baiser par ces deux collègues de travail. J’ai vite compris la suite des événements: ils vont durer toute la nuit. Ma femme avait décidé de faire plaisir à ces deux amants d’un soir. Qu’elle leur appartenait, qu’ils pourront faire d’elle ce qu’ils voulaient et qu’ils pouvaient faire du bruit car je ne pouvais pas les entendre, trop saoul et déconnecté. Je suis reparti me coucher. Je ne savais pas jusqu’à ce soir que ma femme était très gourmande et que Sam avait réveillé en elle, la femme qui désormais me demande encore de l’enculer à chaque fois que je lui parle de cette soirée.

 

Merci à Homme Libertin pour le partage de ce récit !


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