Mon épouse

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Dans la catégorie Récits cocufiage

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On sonne ; tiens qui est -ce ? Patrice, mon meilleur copain, petit gros sympa, beau gosse amateur de photographie et (de femmes) ;

– Salut entre ; mon épouse Thérèse arrive ils se font un bisou, comme d’habitude Patrice en profite pour lui effleurer les lèvres avec les siennes et lui tapoter les fesses qu’elle a rebondies…je ne me formalise pas, ce ne sont qu’amusettes ;
– Je viens de récupérer mon appareil me lance –t-il en me montrant son magnifique 24/36 avec lequel il aime faire des clichés soignés, bien meilleurs selon lui que ceux effectués avec les portables ; il développe bien sur lui-même ses photos mais en noir et blanc ; la couleur c’est trop complexe !
– Dis donc, du coup j’ai bien envie de prendre ta petite Thérèse en photo ; qu’en dis tu ? Quelques clichés sympas, juste pour nous ? Ma femme me regarde à la fois fière et un peu intimidée ;

– Euh je fais si tu veux ; mais pas de truc, euh … enfin tu vois ce que je veux dire… il sourit ; allons on est entre nous, et puis tu sais que je développe moi-même ça ne sortira pas d’ici !
– Je regarde mon épouse qui a un peu rougit, comme si elle se doutait de ses intentions ; ma petite femme :de grands yeux bleus un visage fin des lèvres pulpeuses, des petits seins en pomme et un fessier rebondi qui se fait souvent retourner les hommes !; vêtue ce jour-là d’un jupette plissée d’un corsage à fleurs avec je suppose un soutien-gorge et une culotte assortie ;
– Il a déjà sorti l’appareil, il tripote quelques réglages, vise au hasard et marmonne bon ça devrait aller ; j’ai une pelloche pleine, et deux autres de secours, il sourit ;
Allez Thérèse met toi devant moi je vais faire quelques prises debout ; clic clic ; tourne toi, clic clic ;
– Bien assied toi maintenant, croise les jambes, elle obéit sans broncher, on voit les genoux ronds découverts, et un bout de cuisse dévoilé par le mouvement ;
– C’est bien ça, croise plus haut ;
– Ma femme obéit et les cuisses se dévoilent un peu plus, clic clic ;
– Je me sens un peu drôle à la fois excité, gêné, impatient, je ne sais comment me tenir, j’ai l’impression que je commence à bander ; pourtant rien d’extraordinaire jusque-là ; une question cependant commence à me hanter jusqu’où va-t-il aller ?
– Bien décroise les jambes et reste comme ça avec les genoux un peu ouverts s’il te plait ; la jupette est restée relevée ; il s’agenouille face à elle, clic clic ;
– Écarte un peu plus, allez juste pour qu’on aperçoive ta petite culotte, il rigole ;
Thérèse, le visage un peu rouge me regarde ; je baisse les yeux ne sachant quelle attitude avoir, je me rends compte que cette situation m’excite au plus haut point je bande carrément ,et l’idée que ma femme montre sa culotte à mon copain …
Elle a écarté les jambes et clic clic les photos sont prise ;

– Lève-toi ; le ton est devenu plus grave on dirait que Patrice vient de prendre le contrôle, comme s(il n’admettait plus de refus ; ma femme est debout devant lui, tourne toi et relève ta jupe, allez trousse toi ; je suis subjugué, ma femme soulève l’ourlet de sa jupe et dévoile ses grosses fesses serrées dans une culotte blanche ;
– Plus haut, allez trousse toi bien ; de nouveau elle obéit à ma grande surprise ; tourne toi vers nous ; clic clic jolie vue sur le devant, la petite bosse du sexe bien dessinée ;
– Laisse retomber ta jupe, et baisse ta culotte !
– J’ai une boule dans la gorge ; là ça devient sérieux, il veut que ma femme se déculotte quand même ; je devrais intervenir, mais je reste coi ; Patrice me jette un coup, devine mon trouble quand son regard se pose sur ma braguette gonflée, un sourire sur le visage ;
– Ma femme hésite elle essaie de croiser mon regard, je baisse les yeux, honteux de ma veulerie, elle se mordille les lèvres, visage un peu plus rouge ; Patrice l’encourage, allez c’est entre nous va, baisse la ; alors ma femme se décide et, plongeant ses mains sous sa jupe, elle descend sa culotte ;

Arrête toi à mi -cuisse lance Patrice et lève ta jupe ; Thérèse sort ses mains de sous la jupe et la soulève ; voilà son pubis à l’air, jolie petite touffe de poils fins et frisés bruns, pas trop fournis ; clic clic ;
– Tourne toi ma chérie ; elle se tourne et c’est son gros cul nu que l’on a maintenant sous les yeux ; clic clic !
– Enlève la complètement ; ma femme se penche pour ôter son slip ; la voici sans rien dessous ;

Bon on pourrait s’intéresser aux petits nichons maintenant qu’on a vu le bas ; Patrice exulte il vient de photographier la chatte et le cul de ma femme et je n’ai pas bronché ; je respire fort j’ai la queue raide dans le slip ; il me regarde, alors sympa, non ?

– Il s’est approché de ma femme et entreprend lui-même de déboutonner le corsage de Thérèse qui le laisse faire ; elle a prit sans doute le parti de se laisser prendre en photo nue ; il fait glisser le chemisier doucement sur ses épaules rondes lui effleure celles-ci des lèvres, je vois ma femme frissonner ; il fait 2où 3 clichés, puis passe dans son dos et il dégrafe habilement d’une main le soutif de ma femme, qu’il glisse et fait chuter, Thérèse a ses petits seins à l’air ; clic clic ; mignons ces petits nichons murmure Patrice qui pose son appareil pour venir embrasser les seins de ma femme je vois ses lèvres gober les petits bouts les aspirer tandis que ses mains palpent et malaxent sans vergogne les jolis globes nus ; il pose alors ses lèvres sur la bouche de ma femme et lui roule une pelle ma femme a fermé les yeux et je devine leurs langues qui se mêlent ; on est déjà plus dans la photo et sans volonté je laisse ma femme à demi nue se faire peloter et embrasser ) pleine bouche, et le pire c’est que ça m’excite ;

– Il s’écarte d’elle doucement et ses mains viennent chercher la fermeture éclair de la jupe ; zip ; puis il tire celle-ci vers le bas, passe les hanches, tire encore ; revoici le pubis, la jupe chute à ses pieds, il se penche pour lui ôter, ça y est est ma femme est entièrement nue sous nos yeux ; il reprend son appareil, clic clic,la fait tourner clic clic ; mets tes bras sur la tête clic tourne toi et écarte les jambes clic écarte plus ! Clic clic penche toi en avant pose tes mains sur tes fesses et écarte les !et ma femme obéit, nue, penchée fesses écartées, on lui voit tout ; son petit trou, son sexe avec les grandes lèvres qui pendent un peu, la touffe de poils :clic clic clic ! Mon cœur bat à tout rompre.
Il vient vers elle lui prend la main et la dirige vers le canapé ; assieds toi écarte bien les cuisses ma chérie, relève les jambes et tiens tes chevilles ; ma femme s’exécute offrant ainsi la vue de nouveau de son sexe et de son anus ;

– Depuis le temps que j’ai envie de te bouffer le cul ma petite Thérèse murmure-t-il en ma souriant ; il a posé son appareil s’agenouille entre ses cuisses écartées et plonge son visage vers son sexe je ne vois plus que sa nuque et le mouvement de sa tête qui bouge un peu de haut en bas, j’entends ma petite femme qui commence à couiner humm humm… il met une main entre ses cuisses, il doit la branler en même temps qu’il la suce, et je suis là à regarder ma femme se faire bouffer la chatte et je bande ! Il se relève, me regarde de nouveau, ouvre sa braguette et sort son sexe raire, dur, décalotté, il se rapproche, soulève un peu plus les hanches de ma femme et l’enfile !!! Hummmmm râle mon épouse, il va la baiser devant moi !


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