L’inconnu du métro est bien monté

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Jessica, mariée depuis deux ans maintenant, sans enfant. Ce que je vais vous raconter maintenant est arrivé l’année dernière, au mois de juin me semble-t-il. J’ai mis pas mal de temps à accepter d’avoir trompé l’homme de ma vie. J’étais rongée par la culpabilité, mais avec l’aide de ma meilleure amie et de mon psy, j’ai réussi à passer au-dessus de tout ça. Je suis aujourd’hui en accord avec moi-même. Je suis une femme qui s’assume et qui n’a pas peur de prendre des décisions. Il faut parfois être égoïste, et ne penser qu’à son propre plaisir. J’ai mis des années à comprendre cela, et maintenant je suis une personne différente. Je suis une femme heureuse et qui croque la vie à pleines dents.

Mon homme, Ludovic, est un chéri aimant et qui fait tout pour me satisfaire. Nous vivons ensemble depuis le début et le quotidien se passe plutôt bien. Le seul problème, si je peux dire cela ainsi, est notre vie sexuelle. Nous faisons rarement l’amour. Certes, nos travails respectifs nous restreignent beaucoup au niveau de la fatigue et des horaires, mais tout de même. Je vais bientôt avoir 35 ans, et j’estime qu’une femme de mon âge doit pouvoir s’épanouir sexuellement. Cela fait quelques mois maintenant que nos parties de jambes en l’air sont devenues de moins en moins fréquentes. Ludovic n’est pas du genre à prendre les devants, et c’est constamment moi qui dois venir vers lui, qui doit choisir les positions, et qui doit me donner à fond. Lui ne bouge pas souvent, comme s’il n’avait pas vraiment de désir pour moi.

Cette situation a duré longtemps, et j’en ai beaucoup souffert. Mais maintenant, tout ceci est derrière moi, et je suis une femme accomplie. J’ai enfin réalisé un de mes fantasmes, sans que personne ne m’empêche de vivre mes envies. Je suis encore assez excitée à l’idée de vous raconter ma première infidélité. Je ne sais pas si vous pouvez vous en rendre compte, mais la fidélité était pour moi le choix de toute une vie. Et transgresser cette ligne morale a été très perturbant pour moi. Je sens doucement mon sexe s’humidifier, mais je vais essayer de finir le récit d’un coup sans aller me masturber, car cela risque d’être long. Je vais me décrire un peu physiquement pour vous aider à me visualiser. J’ai des origines espagnoles, et je suis très brune.
J’ai la peau mate, je suis d’une taille moyenne et assez bien faite. Je fais beaucoup de sport, j’ai toujours refusé de me laisser aller comme beaucoup de personnes de mon entourage. Vous devez vous dire que j’ai tout pour séduire un homme, et que c’est incompréhensible que mon mari me mette de côté. Et bien je suis tout à fait d’accord avec vous. C’est même cette incompréhension qui m’a empêché de le tromper pendant de longs mois. Mais j’ai finalement franchi le pas, et j’en suis très heureuse. Les mecs me qualifient souvent de : « petits seins et petit cul ». Ça me va plutôt bien. Je ne suis pas du genre à complexer sur ma poitrine, et je suis très fière de l’apparence de mon fessier. C’est un vrai aimant à garçon, et je sens souvent des regards pervers posés sur mon petit cul, ce qui a le don de beaucoup me troubler.

J’ai tout le temps refusé d’apprécier tous ces regards me reluquant l’arrière-train avec l’envie de le bouffer, mais maintenant, j’en profite bien. L’envie d’un autre homme a commencé de cette façon. Je rentrais souvent à la maison après avoir pris le métro. Des hommes avaient frôlé mes fesses et je sentais même parfois un gars presser son sexe sur moi, profitant de la foule pour se coller à mon cul et se faire du bien. C’était toujours le même gars, mais je n’en étais pas certaine au début. Je ne disais rien, j’étais comme paralysée par ce truc dur dans le bas de mon dos. Ça avait l’air si énorme, et si dur. Je rentrais ensuite chez moi, et je trouvais souvent mon mari Ludovic devant la console de jeux, seul ou avec des potes à lui.

Il ne se rendait même pas compte que j’existais, et je commençais à le détester, à haïr cette vie de femme mariée mais malheureuse. Je filais dans ma chambre, je la fermais à double tour et je me masturbais pendant des heures, repensant à ces hommes dans le métro, et surtout à celui qui avait l’audace de se caler sur mon cul avec son gros engin. Je m’imaginais en train de glisser ma main derrière moi pour aider cet inconnu à se faire du bien, et risquant de me faire surprendre par un autre voyageur. Je me faisais vraiment du bien avec mes doigts et un gode reçu pour mon anniversaire, mais il me fallait nécessairement une bonne queue. Tout ceci n’était qu’un fantasme, et je restais plus ou moins malheureuse de ne pas me faire prendre pour de vrai.
Comme je le disais, je prenais constamment la même ligne de métro pour rentrer du travail, et j’espérais inconsciemment recroiser cet homme, alors que toute femme normalement constituée devrait être dégoutée par ce type de personnage pervers et lubrique. Je me disais de toute façon que tout ceci n’irait jamais plus loin que le simple frottage de fesses. Le soir venu, je m’installais dans la rame, au même emplacement que d’habitude. Je me mettais debout contre une barre, car j’avais les jambes engourdies par une journée entière assise à mon bureau. Comme je le pressentais, l’homme à grosse queue était à nouveau présent. Pour une fois, j’osai me tourner avant qu’il ne me colle, et je croisai son regard. Il me toisait avec de beaux yeux noisette, les cheveux bruns et semblait plutôt sportif. Il était habillé d’un jogging avait le teint mat comme moi et semblait d’origine arabe.

Cela m’excitait encore plus de savoir que c’était une petite racaille qui me frottait le fessier. Il portait un jogging bleu avec le crocodile vert dessus, et semblait avoir tout au plus 25 ans. Il était donc beaucoup plus jeune que moi, et je semblais toute petite face à cette brute. Ce rapport de soumission me fit directement mouiller, et ma chatte dégoulinait à flots dans mon string serré. Comme d’habitude, il se colla à moi et commença à bouger doucement. Son chibre était encore mou mais je pouvais déjà sentir une bosse assez conséquente s’appuyer sur moi. Le trajet durait environ une vingtaine de minutes, et j’allais pouvoir en profiter à fond. Il y avait du monde et nous étions tous serrés comme des sardines. Les à-coups produits par le freinage et l’accélération de la rame ajoutaient de la profondeur à cette danse discrète entre lui et moi.

Son nœud était tout dur et je pouvais le sentir dans ma raie. Je portais un legging noir ultra moulant, non pas pour faire la salope, mais car j’adore ce genre de tenue où je me sens très bien pour affronter mon quotidien. Je pense que mon pantalon serré devait l’exciter encore plus, et c’est à cause de mon petit cul moulé que ce salaud m’a repéré. Je sentais cette queue presque en moi tellement il appuyait fort, et je voulais la toucher. Je commençais à glisser ma main dans mon dos. Je sentais son ventre et la douceur de son jogging. Je descendais doucement la main, et juste au moment ou j’allais lui toucher la tige, la rame s’arrêta. C’était là que je descendais, et je lui frôla discrètement la bosse avant de m’en aller s’en me retourner. Je mouillais comme une folle et je rentrai précipitamment pour pouvoir me soulager.

Ludovic, mon mari, était toujours en train de jouer à Fifa avec son meilleur pote. Je crois qu’ils ne m’ont même pas entendu rentrer. J’entrai dans ma chambre et je ressorti une demi-heure plus tard, rouge comme une tomate. J’avais joui bien fort, mais je n’étais toujours pas satisfaite. Je priai Ludo de me mettre un coup, mais il préférait rester avec son pote et boire des bières, l’angoisse totale… Je finissais ma soirée toute seule en imaginant mon trajet en métro du lendemain. Est-ce que j’allai oser lui toucher concrètement le sexe ? Est-ce que cet arabe inconnu et plutôt racaille voulait juste se frotter ou osera-t-il me faire le cul pour de bon ? Je me posais pas mal de questions, mais elles restaient pour le moment sans réponses concrètes.
Le lendemain, comme à mon habitude, je me trouvais sur la ligne C, dans ma rame habituelle, au même emplacement que tous les soirs, en espérant que le salaud revienne se plaquer contre moi. Je consultais mes messages sur mon smartphone lorsque je sentis quelqu’un se presser contre moi. Je le reconnus tout de suite à la taille de cette bosse poser sur mon derrière. Je me tournais pour le fixer dans les yeux. Il ne bougeait pas, n’esquissant aucun sourire. Il n’avait pas l’air très commode, mais j’avais très envie de le sentir en moi. J’écrivis un message sur mon smartphone et je lui passai pour qu’il le lise.

J’avais écrit: « descendons au prochain arrêt, j’ai envie de toi ». Il me redonna le téléphone mais ne me dit rien. J’étais déçue et je pensais sur le coup que ce n’était qu’un mec frustré qui ne pouvait que se satisfaire en se frottant à des petits culs dans les transports en commun. La rame se stoppa à l’arrêt suivant, et je sentis un gros coup de bassin dans les fesses. L’arabe me poussait et m’invitait à descendre. Sur le coup, j’étais comme paralysée, mais je me mis à le suivre. Il ne disait pas un mot, c’était très bizarre et je commençais limite à avoir peur. Je pensais à mon mari, à ma famille, et je m’imaginais le pire. Qu’avais-je fait, pourquoi l’avais-je suivi ? J’étais tout de même très excitée, c’était incontrôlable et je mouillais grave. Il m’emmena dans une ruelle sombre. Il semblait bien connaître le quartier, et je ne devais pas être la première à venir ici avec lui.

Cette idée de n’être rien d’autre qu’une salope en plus sur sa liste m’excitait encore un peu plus. Nous entrâmes dans le hall d’un vieil immeuble désaffecté. Il semblait en travaux, ou sur le point de se faire démolir, je ne savais pas trop. En tous les cas, les lieux semblaient servir de squat. Il y avait des cannettes de bière, des mégots de cigarettes et des capotes usagées un peu partout sur le sol. J’étais certainement dans la tanière de ce prédateur sexuel, et j’en tremblais de partout. En plus, je m’apprêtais à tromper mon mari pour la première fois de ma vie. Sans ménagement, il sortit sa queue de son jogging. Elle était tout simplement énorme, un vrai serpent. Sa couleur était presque celle de l’ébène, et elle semblait douce ma forte à la fois.
Des veines impressionnantes couraient tout le long de sa tige, de la naissance de ses couilles jusqu’au début du gland. Il était circoncis, et je n’avais qu’une envie: tenter de la mettre en bouche. Il m’ordonna sèchement de le sucer. Je le regardais avec un air de fille timide et lui bafouillai faiblement que j’étais une femme mariée. Il s’en fichait totalement. Je jouais faussement la fille apeurée, mais je n’avais qu’une envie, qu’il me foute sa queue dans la gorge. Il avança vers moi avec un air déterminé. J’étais à genoux et je fermais les yeux. Il commença à passer le bout de sa queue sur mes lèvres et mes joues. Il me disait des mots crus et des insultes.

J’ouvris alors les yeux et la bouche. Immédiatement, il enfonça son chibre dans ma cavité buccale et je faillis perdre mon souffle. J’avais énormément de mal à tout avaler tant sa verge était longue et épaisse. J’ai toujours voulu me taper un arabe de cité, et j’étais en train de sucer ce gars dans un endroit glauque. Un vrai scénario de film de cul. Je mouillais à fond. Je sentais que ça dégoulinait jusqu’à mon trou du cul. Toute ma raie était humide et je le pompais à fond. Je passais ma langue le long de son dard comme si je léchais un esquimau. Sa queue était bonne et légèrement sucrée. Elle sentait l’huile de coco ou de vanille.

Mais son gland sentait plus fort, une odeur difficilement descriptible, comme s’il avait enculé une fille juste avant. Cette idée ne me dégoûta pas pour autant et je redoublais d’efforts pour le piper comme une reine. Il me complimentait sur ma façon de lui téter le bout. J’étais plutôt fière de moi, mais il m’en fallait plus. C’est alors qu’il me demanda de me mettre de dos contre des palettes en bois et de cambrer mon cul. Mon dieu, il allait me faire mal avec ce gros calibre. Je pensais encore un peu à Ludovic, mais plus de la même manière maintenant. J’étais heureuse de le tromper, d’être rien d’autre qu’une grosse pute infidèle en train de baiser avec un rebeu de cité dans un hall d’immeuble crasseux. J’étais maintenant penchée en avant et je tendais le croupion le plus possible. Il s’approcha et saisissait l’élastique de mon legging et de mon string. Il me baissa le tout d’un seul coup jusqu’au niveau des chevilles. Le geste était si violent et rapide que je poussai un petit cri.
Il m’ordonna de fermer ma gueule et d’écarter le cul. Je pris mes fesses à pleines mains et tirai sur la peau pour tenter d’offrir ma raie au maximum. Ma chatte et mon cul n’étaient pas épilés depuis plusieurs jours. Je n’avais plus de vie sexuelle avec Ludovic et je ne pensais pas faire du sexe avec un inconnu. J’avais un peu honte de lui offrir une raie velue, mais il n’avait pas l’air de s’en préoccuper. Il m’annonça qu’il devait me lubrifier le cul et se penchant sur mon boule pour me bouffer le trou. Je compris alors qu’il désirait m’enculer. J’allais prendre très cher. Je ne pouvais plus reculer maintenant, coincée contre ces palettes le froc baissé et le cul exposé à cet inconnu. Je ne pouvais que subir et tenter de prendre du plaisir. Je sentais sa langue chaude me fouiller les orifices.

Il m’annonça que je puais un peu de la chatte et que ça lui donner envie de m’enculer encore plus fort. J’avais pourtant pris une douche le matin même. Bref, mon trou était maintenant lubrifié et je sentais que le salaud posait son gland dessus. Il était énorme, de la taille d’une petite pomme, et je ne pensais pas pouvoir encaisser un truc pareil. Pourtant, il poussa son bassin vers l’avant et son missile commença à se frayer un chemin à travers mon rectum. Je me sentais presque déchirer mais mon anus avait l’air de tenir le coup. Le corps humain est une machine impressionnante. Enfoncé en moi jusqu’à la moitié de sa tige, il s’arrêta et fit chemin arrière. Il sortait et plantait ainsi sa queue plusieurs fois d’affilé. Mon cul était béant, je le sentais, et il n’y allait pas de main morte.
Je commençais tout de même à prendre du plaisir. Il m’enculait maintenant bien à fond, car je sentais ses couilles me toucher les fesses à chaque coup de reins. Il commençait à pousser des râles de plaisir, et je sentais son engin palpiter doucement en moi. Je bougeais moi aussi le cul pour tenter de prendre encore plus de plaisir en m’empalant directement sur lui. Il m’annonça vouloir gicler en moi. Avais-je le choix ? Je ne pense pas. Mais l’idée de recevoir son foutre dans les fesses me rendis au bord de l’orgasme anal. Je le sentais accélérer encore plus vite et plus fort. Ses burnes se contractèrent d’un coup et sa queue se mis à vibrer légèrement.

C’est alors que je sentis une grosse décharge de sperme me percuter le fond du trou et remplir mon anus à ras-bord. Il éjacula en quatre ou cinq va-et-vient et se retira de mes fesses. Il se rhabilla et partit sans un mot, me laissant ici, le pantalon en bas, les fesses à l’air et du sperme dégoulinant par mon anus. Ma raie était littéralement pleine de foutre. Heureusement que j’avais des mouchoirs sur moi. Je repris mon chemin l’air de rien. Heureusement que la station de métro n’était pas si loin. Depuis ce jour de tromperie, je n’ai plus jamais croisé l’arabe du métro, mais j’espère toujours le revoir se coller à moi…


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