Coiffeuse baisée à domicile

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Dans la catégorie Récits triolisme

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Super histoire sur une coiffeuse à domicile, profitez !


Je suis coiffeuse à domicile. J’ai choisi de travailler de cette manière pour préserver autant que possible ma vie de famille et mon indépendance. J’exerce depuis quelques années maintenant et je commence à bien connaître un certain nombre de mes clients. Je peux même dire que je suis devenue assez familière avec certains d’entre eux, voire très intime. Il faut dire que je sais me montrer conciliante et que le service du client est une seconde nature chez moi. A l’occasion, je ne refuse pas non plus de joindre l’utile à l’agréable. C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de faire mieux connaissance avec Mathieu et sa femme, Jenny. Aujourd’hui, je suis venue chez eux pour leur couper les cheveux, bien sur, mais pas seulement…

Je viens de terminer de rafraîchir la coupe de Jenny après avoir rasé la nuque de son mari. Comme d’habitude, je vais maintenant devoir lui nettoyer la chatte. Il est assez fréquent que j’exécute ce genre de tâche, impossible en salon. C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles on fait appel à moi.

Tout en me mettant au travail, entre les cuisses relevées de ma cliente, je me souviens de ma première visite chez le couple. Elle avait débuté de la même manière qu’aujourd’hui. Je m’étais retrouvée, pour finir, face au sexe de madame, le rasoir à la main, admirant le beau travail que je venais d’accomplir.

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  • Vous avez bien travaillé Sandrine. Mais j’ai un peu chaud au ventre, pouvez-vous calmer le feu qui brûle mon abricot s’il vous plaît ?

La cliente venait de se saisir de ma tête et la tirait vers elle, juste entre ses jambes. J’avais déjà eu des expériences lesbiennes par le passé, mais jamais en présence du mari. Or celui-ci se trouvait dans mon dos et ça me gênait un peu qu’il me regarde obéir à sa femme. Je crois qu’elle comprit mes réticences.

  • Ne vous inquiétez pas ! Mathieu est compréhensif et tolérant. Il sait que j’ai besoin de sentir une bouche de femme sur ma chatte de temps à autre. Ca fait partie de notre accord. Si vous voulez, vous pouvez aussi être gentille avec lui en le laissant vous tripoter un peu par derrière.

Je n’en reviens pas. Ces deux pervers veulent profiter de moi. Et après tout, pourquoi pas ? j’ai fini ma journée et je peux bien me payer du bon temps moi aussi. Je penche ma bouche vers la figue nue de Jenny. J’y colle les lèvres dans un baiser indécent. Elle ne lâche

pas ma tête, tirant dessus pour obtenir un contact total. Je pointe la langue entre mes lèvres et je la sens qui, à peine sortie de ma bouche, vient goûter le suc intime de ma cliente, déjà bien humide. Les petites lèvres de sa vulve s’écartent délicatement sous la pression de mon muscle. Je fais aller et venir le bout de ma langue tout au long de sa fente. Je lui roule une pelle, de bouche à bouche. Faute d’une autre langue à caresser, la mienne se focalise peu à peu sur le clito bandé qui sort de sa tanière.

Derrière moi, qui suis maintenant à quatre pattes sur le parquet, je perçois une présence. C’est Mathieu qui me renifle le cul. Il a relevé ma petite jupe sur mon dos. Je sens son souffle court sur mes fesses. Ses mains viennent m’écarter les genoux sans douceur. Ainsi parée, je peux ouvrir les cuisses au maximum et mon petit bijou fendu lui apparaît dans toute sa splendeur.

Mathieu passe la main sous mon ventre et vient soupeser mon abricot avec sa paume. Je coule instantanément. Il doit sentir le jus de femme qui glisse de ma vulve sur sa main. J’ai un peu honte de me donner si rapidement. Il doit me prendre pour une sacrée cochonne habituée à se faire tripoter par le premier venu. Tant pis ! Si déjà je dois faire jouir sa femme, autant que j’en profite aussi un peu. Je tends donc la croupe pour lui faciliter la tâche et il en profite pour passer ses doigts dans ma fente.

  • Chérie, elle est toute mouillée. Elle pisse le jus dans ma main. C’est une belle salope que tu nous as trouvée là. Je crois que je vais pouvoir l’enfiler rapidement, elle est prête !

Ce salaud espère m’humilier avec ses paroles ordurières. Il ne sait pas que j’en ai entendu d’autres. J’aime assez qu’on me traite comme une chienne quand je baise. Mes amants le savent et ne s’en privent pas. A mon tour de lui montrer que je ne suis pas une oie blanche. Je cesse un instant de brouter sa femme.

  • Mais oui gros cochon, tu vas pouvoir me la mettre ta petite queue de gentil mari. Mais, s’il te plaît, fourre là moi dans le cul ! Elle sera trop petite pour ma chatte.

Voilà qui est envoyé. Je ne le vois pas, mais j’imagine sans peine son visage décontenancé. Un partout ! Ca lui apprendra à être impoli avec les femmes. Je reprends la séance de broute minou avec madame où je l’avais laissée et je lui offre encore un peu plus mon cul.

Mathieu prend le jus qu’il a recueillit dans sa main et m’en badigeonne la fente, m’en tartine le fion. Il me graisse le cul et bientôt je sens quelque chose de dur qui vient buter sur mon trou. C’est sans doute sa petite queue (en réalité je ne l’ai pas vue) qu’il va me fourrer dans l’anus. Sentant qu’il hésite un peu au moment d’entrer, je vais au devant de la pénétration. Je pousse mon cul en arrière pour venir m’empaler sur la tige de chair. Effectivement, elle ne doit pas être énorme car elle entre sans aucune difficulté dans mon fourreau anal. Il faut dire que je me suis branlée la chatte et le cul avec mes godes juste avant de venir et que la dilatation précédente a laissé quelques traces. D’ailleurs, Mathieu s’en est rendu compte.

  • Jenny, ma chérie. Il me semble que je ne suis pas le premier à passer par ce côté aujourd’hui. Elle a le tour du fion tout rouge et un peu gonflé. Je suis entré dedans comme dans du beurre. C’est vraiment une petite traînée que tu nous a dégoté là. Il faudra la faire revenir. On invitera Pierre et sa femme.

C’est quand vous voulez mes amis. Ca ne m’effraye pas. Mais je ne peux pas laisser Mathieu prendre trop d’ascendant sur moi avec ses allégations. J’ai ma fierté tout de même.

  • J’espère que ton copain Pierre a une vraie queue lui. Parce que là, je ne peux pas dire que tu me combles totalement. Tu es sur de bander ? C’est ta bite qui est entrée ou juste un doigt ? Si c’est ton petit zizi, essaye au moins de le bouger un peu plus. A défaut de me remplir, montre-toi actif !

Je ne sais pas si ce sont mes paroles qui l’ont piqué au vif ou plutôt les rires étouffés de sa femme, toujours est-il qu’il se montre plus efficace à présent. Il faut dire que j’exagère un peu et que je force le trait. Sa bite a des proportions tout à fait raisonnables et j’avoue qu’il sait plutôt bien en user. Il me ramone le cul avec ardeur et je ressens les premiers frissons du plaisir dans mon ventre. Il se penche sur moi et me caresse le clito d’une main, les mamelles de l’autre. De mon côté, je suce toujours avec avidité la moule de Jenny. Sa sève coule sur mon menton tant elle mouille. D’une main, péniblement, je viens ramasser quelques gouttes de jus pour lui en barbouiller le cul. Elle comprend ce que je cherche à faire et soulève un peu ses fesses.

  • Oui, viens me foutre tes doigts dans le cul ! Taraude-moi les boyaux comme Mathieu te le fait. Bourre-moi à fond la rondelle ! Eclate-moi la pastille !

Cette salope sait ce qu’elle veut. Je ne vais pas la décevoir. D’un coup, j’enfile deux doigts dans son trou à merde. Je ne lui laisse pas le temps de souffler. Déjà mes doigts coulissent dans son conduit anal tandis que je lui tête le clito. Elle se secoue d’avant en arrière pour mieux accompagner le mouvement de ma main. Je crois qu’elle devient folle. A chaque fois que son mari me bourre, je pousse plus loin en elle mon index et mon majeur réunis. En fait, nous bougeons tous les trois comme un seul homme.

A ce rythme, nous n’allons pas pouvoir tenir bien longtemps avant d’exploser. Quelques secondes à peine suffisent à amener Mathieu à l’orgasme. Il expulse une longue giclée de foutre dans mon cul et s’effondre sur mon dos. Mon sexe se liquéfie puis se contracte violemment. Je sens dans tout mon ventre la douce torture du plaisir, comme une onde venue du plus profond. Jenny n’est pas en reste. Elle se laisse glisser au sol, vaincue, elle aussi, par le traitement délicieux que lui ont fait subir ma bouche et mes doigts. Nous gisons tous les trois sur le sol, repus mais exténués.

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En me rappelant cet épisode, je ne peux m’empêcher d’espérer que quelque chose de plus chaud encore se produise aujourd’hui. Quelle surprise mes hôtes m’ont ils réservée ? Quelle perversion vont-ils m’imposer cette fois-ci ?

Le carillon de la porte d’entrée sonne trois fois…


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