J’offre mon corps à mon demi-frère lors d’une séance initiatique

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Je m’appelle Émilie, j’ai 22 ans, et je partage actuellement ma vie amoureuse et sexuelle avec une autre fille. Je n’ai pas toujours été attirée par les femmes, je préfère même me qualifier de bisexuelle. Je vis actuellement dans une famille recomposée. Mon père a quitté ma mère, comme ça se fait beaucoup de nos jours, et il s’est trouvé une nouvelle dulcinée. Je ne lui en veux pas, ma mère est particulièrement chiante, limite bipolaire, un peu portée sur la bouteille de bon matin, et c’est d’ailleurs pour ces raisons que j’ai choisi de vivre avec mon paternel, quitte à devoir me farcir les gosses de ma nouvelle belle-mère. De ce côté-là, ça va encore, façon de parler.

Janice, ma belle maman, a un fils, Cyril. C’est un gosse de 18 ans. Il est super maladroit, et tout le monde l’appelle « le manche ». En fait, ce surnom n’est même pas à la hauteur de ses maladresses si on cherche à le décrire. « Le manche moche et maladroit » serait un meilleur qualificatif pour tenter de retranscrire sa vie et ses attitudes. C’est le genre de geek qui n’a aucun ami. En fait, je ne l’ai jamais vu avec personne. C’est triste à dire, mais c’est la vie. Je ne l’ai jamais vu avec une fille. En fait, s’il n’avait pas sa mère, il ne saurait même pas à quoi ressemble une femme, c’est pour vous dire… Il ne semble pas gay pour autant, mais seulement psychologiquement retiré et timide. Il vit en marge de la société et sort uniquement pour se rendre au lycée. Il a une voix super bruyante qui vous donne tout de suite envie de le taper. Et son rire, franchement, on dirait celui d’un canard en train de vomir. C’est un mec vraiment repoussant, plein d’acné sur la tronche. C’est difficile pour moi d’imaginer que ce garçon possède un pénis. Et je m’imagine encore moins la façon dont il va pouvoir l’utiliser. Je sais très bien qu’il est puceau, ça ne fait aucun doute. C’est étrange, car il n’a rien en commun avec sa mère, et heureusement pour mon père. C’est une très belle femme, avec un bon job et des goûts de luxe. Je suis contente pour mon vieux qu’il ait réussi à refaire sa vie. Il a l’air heureux, et c’est ce qui compte le plus pour moi. Cyril ne me dérange pas trop. J’ai ma propre chambre dans ma nouvelle maison, et je fais un peu ce que je veux. J’aime sortir, voir du monde et prendre du plaisir. Je croque la vie à pleines dents. Ce n’est pas à 50 ans que je vais pouvoir en profiter. Niveau cul, j’aime tenter de nouvelles choses. Je veux repousser mes limites, mais sans abuser non plus. Je fume des joints de temps à autre, et j’aime bien m’enfiler quelques bières en soirée. Rien de très abusé.

Je pense que beaucoup de jeunes filles ont le même style de vie que moi. C’est en tout cas ce que j’aime chez ma nouvelle copine Manon. Au moins une fois par semaine (plus si je n’avais pas autant d’amis), nous sortons en ville pour prendre quelques verres dans un bar branché. Ils nous arrive souvent de sortir un peu pompette de là, limite chancelantes, et de rentrer dans ma nouvelle demeure pour une séance de sexe chaud. Manon est une amante formidable, et elle possède ce sixième sens de savoir quand et où poser sa langue. Honnêtement, aucun mec qui est passé dans mon lit n’a réussi à me procurer des orgasmes comme ceux de ma partenaire actuelle. Habituellement, j’ai une préférence pour les hommes, et peu de femmes me font envie autant que Manon. Lorsque je plonge mon visage dans son entre-jambes charnue avec un pot de glace au caramel, c’est juste… Miam ! Je pourrais manger des friandises sur sa chatte pendant des heures. Mon père et Janice pensent que c’est juste ma meilleure amie, et ça me va très bien comme ça. Je sais que je veux faire ma vie avec un homme, fonder une famille et tout le reste. Mais pour l’instant, place au plaisir.

Mon nouveau demi-frère avait sa chambre juste à côté de la mienne, et lorsque moi et Manon baisions un coup, il devait certainement entendre de petits bruits, mais il ne m’a jamais fait la moindre réflexion. Puceau comme il est, il devait penser qu’on joue à la marelle sous la couette. Quel nase quand même ! Je ne sais pas comment on peut se passer de sexe à son âge. Enfin bref, chacun fait ce qu’il veut, moi je préfère le sexe aux jeux vidéo. Je m’égare un peu là, il est temps que je rentre dans le vif du sujet.

Nous sommes couchés dans mon lit une nuit moi et Manon, nos corps drapés par la lueur de la pleine lune à travers les rideaux de ma chambre. Nous étions encore pleines de sueur à la suite d’une séance de 69 assez formidable et humide. Tout allait pour le mieux dans mon petit monde, et mes lèvres étaient encore imprégnées de la saveur salée du sexe de Manon. C’était complètement idyllique. J’étais couchée sur le dos, toute nue, et ma chérie reposait sa tête sur mon épaule et caressait doucement le creux de mon ventre du bout de ses doigts. Je n’étais pas encore rassasiée, et j’étais en train de me demander si j’allais sortir mon gros gode de la table de nuit, lorsque la soirée sensuelle prit une tournure assez inattendue.

– « Puis-je te demander une faveur ? » murmura Manon à mon oreille.

Je pensais alors qu’elle était trop fatiguée pour un godage intensif des orifices et qu’elle souhaitait juste que je lui mange le minou jusqu’à ce qu’elle s’endorme.

– « Bien entendu, chérie. Tout ce que tu voudras. » répondis-je d’un ton curieux.
– « Je m’inquiète pour Cyril, ton demi-frère. »

– « Hey, mais qui ne s’inquiète pas pour ce type maladroit, puceau et plein de boutons ? Il a 18 ans et ressemble à un ado prépubère ! »
– « Non, il ne s’agit pas vraiment de ça… Je sais qu’il va bientôt partir à la fac, et je pense qu’il a besoin d’apprendre ce que c’est qu’une femme. »

Je sentais le truc venir comme un camion dans un couloir. Et Manon continuait dans son délire :

– « Je pense juste que de partir dans une université sans vraiment savoir comment fonctionne une fille… Cela pourrait lui causer encore plus de dommages psychologiques. »
– « Je vois, en fait, tu veux que je baise mon demi-frère boutonneux ? » J’avoue que j’aurai pu le dire avec plus de tact.
– « Ne t’énerve pas, mais j’en ai déjà discuté avec lui. Il fantasme sur toi depuis le début où tu es venue habiter ici. Je pense qu’une approche graduelle, étape par étape, serait géniale. Il faut en apprendre un peu sur le cheval avant de vouloir monter en selle. Et je t’avoue que ça m’excite terriblement de savoir que tu peux te le taper. »
– « Ah ouais, t’as déjà offert mes parties génitales à Cyril ? Sans même me consulter? »
– « Roooh, ne fais pas la fille choquée! Je ne veux pas te critiquer, mais tu as déjà baisé bien pire. »

J’étais maintenant piégée, et je ne pouvais qu’accepter ce nouveau défi lancé par mon amante. Je ne sais pas si c’est l’alcool ingurgité ou ce magnifique cunni que Manon m’a fait après cette discussion étrange, mais j’ai commencé à accepter l’idée de donner des cours d’éducation sexuelle à mon demi frangin. J’ai ensuite joui si fort que je crois avoir réveillé toute la baraque… Notre session d’initiation a été prévue pour le mardi suivant. Inutile de dire que j’étais super nerveuse, et qu’en attendant le grand jour, je faisais tout pour éviter Cyril. Mais le moment était venu, et je m’installais dans la chambre du frangin. Je me suis assise sur son lit. Il y avait des mouchoirs plein la poubelle. Il devait se branler souvent le puceau. J’ai ensuite enlevé mon haut. Mes tétons ressemblaient à deux volcans tellement il faisait froid dans cette piaule. J’ai allumé le chauffage et je me sentais tout de suite mieux. Après quelques minutes à attendre, Manon est apparue dans l’encart de la porte. Elle traînait Cyril par le bras. Elle a vraiment de la chance que je l’aime beaucoup et que je ne recule jamais devant un pari. Franchement, il ressemblait à un adolescent, et je me sentais légèrement pas à ma place. Il devait peser 50kg à tout casser, 48 si on lui retirait ses lunettes à verres épais. Le con était en peignoir, et lorsqu’il m’a vu les miches à l’air, il a commencé à sourire comme un petit pervers, de quoi faire frissonner Stephen King… J’étais là, l’air bête, et pour la première fois de ma vie je me suis retrouvée face à un homme (si on peut appeler ça un homme) sans savoir quoi faire. Mon père et Janice étaient absents pour toute la journée, et ça me relaxait un peu de savoir que je ne risquais pas de me faire surprendre. Manon, cette petite vicieuse, avait vraiment tout prévu. Elle a commencé à avancer vers moi en tenant toujours Cyril par la main. Puis elle a défait le nœud du peignoir, et le jeune homme se retrouvait à poil face à moi. J’ai failli rire en voyant la taille de sa pine. Elle était vraiment riquiqui. Il ne bandait pas, c’était plutôt le contraire. Sa verge était toute contractée. J’ai commencé à ressentir de la pitié pour lui, et j’ai posé ma main sur son sexe. Il était froid et avait une texture étrange, mais je me suis forcée et j’ai commencé à le branler. Ce n’était pas facile, je n’ai pas l’habitude des petites bites, et j’ai bataillé avec son prépuce pour que sa queue commence à ressembler à quelque chose. Au bout de quelques minutes, j’ai senti son sexe qui commençait à durcir légèrement. Ouf, je lui faisais quand même de l’effet.

Il continuait de me regarder comme un détraqué. J’avais honte de ce que j’étais en train de faire, mais je suis une fille très chaude, et lorsque j’ai une bite en main, je ne pouvais pas m’empêcher d’être excitée. Manon m’encourageait. Elle est vraiment sympa, mais c’est elle qui m’a mis dans cette situation. Pourquoi j’ai accepté ? Ah oui, le défi ! Je l’ai alors branlé de plus en plus fort tout en lui expliquant des trucs sur sa façon de se tenir devant une fille. Je lui ai dit qu’il pouvait me toucher le corps, les seins, et il ne s’est pas gêné pour le faire. Il était un peu brouillon, et il me pinçait les tétons un peu trop fort, mais dans l’ensemble, il se débrouillait plutôt bien. Manon m’a ensuite demandé de lui sucer la verge. J’ai répondu que je le ferai uniquement si elle le suce avec moi. Cette cochonne accepta tout de suite, et nous étions maintenant toutes les deux à genoux en train de pomper le dard de mon frangin. Sa queue avait maintenant une apparence normale, mais elle n’était toujours pas d’une taille respectable. Elle devait faire dans les 11 ou 12 centimètres. Ses couilles aussi étaient très petites. J’ai même eu l’impression qu’il en manquait une, mais en fait, lorsque je lui frôlais les boules, il y en a toujours une qui remontait complètement. Cela se nomme le syndrome des testicules ascenseurs, et c’est assez drôle. Il n’a vraiment rien pour lui le pauvre.

Je lui aspirais la paille avec force et avidité, et il avait les yeux fermés. Il regardait en l’air en gémissant comme un dingue. Manon s’occupait de lui lustrer les couilles l’une après l’autre, puis nous avons échangé nos rôles. Il avait beau être moche, mais au moins il ne sentait pas mauvais de la queue comme certains de mes plans culs. Je pense qu’à ce moment, il bandait à fond, et je ne voulais pas le faire venir trop vite. C’était sa première fois, en plus avec deux filles assez canons, et il pouvait gicler d’une seconde à l’autre sans pouvoir se retenir. C’était bien le premier mec que j’ai dépucelé, et je ne savais pas trop où étaient les limites. Je me suis ensuite allongée sur le dos, et j’ai demandé à ma dulcinée de venir me manger la fente pour que Cyril prenne une leçon de cunni. Sa langue chaude et agile me rendait folle, je mouillais bien et j’ai invité plusieurs fois Cyril à me mettre des doigts. Il m’a fait un peu mal au début à force de faire comme un bourrin, puis il a chopé le bon mouvement. Il me baisait avec sa main pendant que ma copine me suçait le haut de la motte.

C’était un plan assez insolite mais plutôt agréable. Manon a ensuite pris la main de Cyril pour diriger son doigt vers mon trou du cul. Mon anus est une zone très sensible, et je refuse souvent la sodomie, que cela soit avec un doigt ou une queue, et j’ai tout de suite prévenu le jeunot d’y aller tout doucement dans le fion de sa sœurette. J’ai bien senti quand il a posé son doigt sur mon trou, et je me suis un peu crispée, mais la bouche de Manon sur ma chatte m’a fait desserrer les fesses. Son index plongea lentement dans mon rectum étroit. C’est une sensation magnifique de se faire bouffer tout en ayant quelque chose dans le derche. Mon petit cul de salope en réclamait même un peu plus, et j’ai dit à Cyril d’y mettre un deuxième. Il me doigtait le fion machinalement tout en regardant Manon me faire du bien. Elle a ensuite invité Cyril à prendre sa place et à me bouffer la chatte. Il avait à peine posé sa bouche sur mon sexe qu’un orgasme de dingue m’a traversé le corps. Manon me défonçait le cul rapidement et en jouissant mon fion s’est serré au maximum. Elle ne pouvait même plus sortir son doigt. Nous avons ensuite repris nos places de suceuses et nous avons fini le boulot sur Cyril. Il a giclé rapidement et nous avons tout avalé. Nous nous sommes ensuite roulé des patins avec la bouche pleine de sperme, échangeant ainsi des filets de semence. C’est ainsi que s’est terminée la première séance initiatique de mon demi-frère Cyril. Il y en a eu une autre, mais je vous la raconterai ça lors d’un prochain épisode.

Bisous tout le monde !


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