Partie de strip poker entre étudiants

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Dans la catégorie Récits partouze

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Julie était sans aucun doute la plus délurée d’entre nous. Et peut-être la moins jolie des filles de notre petite bande : petite, gironde, elle trimballait ses gros nichons et son gros cul dans des vêtements toujours trop serrés ou trop courts pour elle. Nous étions tous et toutes un peu éméchés ce soir-là, alors, quand elle proposa d’une voix joyeuse « strip-poker ! », personne n’osa la contredire.

 

Une heure plus tard, elle nous avait tous plumés, ou presque. Vincent était carrément à poil, osant à peine dissimuler son énorme érection, que les seins nus de Nadia ne devaient pas aider à faire disparaître. Moi, j’étais en caleçon et il ne restait plus à Joëlle qu’un petit soutien-gorge et un string à négocier contre des jetons.

Julie, elle, triomphait, et se rinçait l’œil du même coup. En distribuant un énième tour de cartes, elle avait du mal à détacher ses yeux de la grosse bite de Vincent qui, décidément, n’arrivait pas à débander. Joëlle tenta un bluff à la rivière, avançant son tapis d’une main sûre et décidée. « Je paie » lança Julie sans hésiter une seconde. J’avais moi-même deux paires et je sentais que c’était là l’occasion de me refaire. Je payais aussi.

Joëlle était dépitée : elle n’avait rien. Quant à Julie, elle annonça une couleur. Elle raflait la mise. Étrangement, Joëlle, la belle brune plantureuse et gironde de la bande, préféra tomber son string que son soutien-gorge, nous dévoilant une jolie fente entièrement épilée. Pour ma part, je n’avais plus que mon caleçon à retirer. Je bandais autant que Vincent, mais j’étais bien loin d’avoir les mêmes attributs que lui.

Un peu humilié, je retirais donc mon dernier sous-vêtement et, comme il fallait s’y attendre, les filles se lancèrent dans les comparaisons. Sans doute pour me rassurer, Nadia assura que si Vincent en avait une plus grosse queue que moi, la mienne était plus jolie. Julie, elle, annonça tout net que celle de Vincent était plus appétissante. Mon pote piqua un fard.

Les filles nous firent nous lever pour continuer le test comparatif. Sans même se poser de questions, Julie nous prit en main tous les deux, constata que mon sexe était le plus dur et invita les deux autres nanas à en juger par elle-même. Je ne savais plus où me mettre, mais je bandais toujours autant.

Et d’autant plus que, quand ce fut son tour, Nadia, la poitrine nue, ses petits seins tendus vers moi, esquissa un début de masturbation de ma verge. « Moi, c’est celle de Christophe que je trouve la plus excitante ». Joignant le geste à la parole, elle se pencha vers mon membre, y déposa un baiser, puis ma bite disparut entre ses lèvres.

Je ne pus que fermer les yeux sous l’effet du plaisir que me procurait la bouche chaude et humide de mon amie. Quand je les rouvris finalement, Julie et Joëlle avaient entrepris de sucer Vincent. Très vite, Julie nous rattrapa et se déshabilla entièrement comme chacun de nous. Elle avait des seins opulents, très attirants et beaucoup plus fermes que je ne l’avais imaginé.

 

La suite de la nuit s’annonçait terriblement intense, plus que toutes les autres auparavant.

 

Cette fois, il n’était plus guère question de strip-poker, comme si cette partie de cartes n’avait été que les préliminaires d’une partouze qui s’annonçait grandiose. Très vite, je me suis retrouvé allongé par terre, avec le minou de Nadia au dessus de la bouche, elle qui me suçait en fond de gorge, comme une véritable star du porno.

Pris dans ce 69, je parvenais difficilement à distinguer le reste de la scène. Vincent était à genoux, lui aussi par terre, et tétait les gros nichons bruns de Joëlle, qui semblait comme possédée par un démon du vice. Céline, toute à sa turlutte sur la bite énorme de mon pote, levait les yeux vers eux et se masturbait. J’avais, en courbant un peu la nuque, une vue imprenable sur son cul et sur ses doigts qui jouaient dans sa propre fente.

J’allais gicler, c’était sûr, je sentais déjà la sève monter sous l’effet de la succion de ma camarade de fac. Mais, moins ingénue que je ne le pensais, Nadia se rendit compte de mon état d’excitation trop avancé : elle se redressa, abandonnant un instant ma queue, tout le poids de son corps reposait maintenant sur ma seule bouche. Je m’acharnais sur son clito du bout de la langue, enfonçant de temps à autre celle-ci dans le vagin offert de la frêle Nadia. Et finalement, c’est elle qui explosa la première. Un orgasme violent, bruyant, pendant lequel je sentis tout son bassin se tortiller au dessus de mon visage. Quand elle eut fini, Vincent, Céline et Joëlle s’étaient arrêté, comme fascinés par la jouissance de notre amie.

Nadia s’effondra sur moi, la joue posée sur mon membre encore bandé à mort. C’est Céline qui brisa le silence, en applaudissant à tout rompre l’orgasme de la jolie Nadia : « Eh bien, ça c’est un cunni, à mon tour maintenant ! ». Reprenant ses esprits, Nadia laissa sa place à Céline au dessus de ma bouche et je me remis au travail.

La chatte de Céline était trempée de mouille, elle m’en badigeonnait le visage à chacun de ses mouvements. Tout à coup, je sentis une langue caresser ma bite encore dure. Je mis un certain temps à comprendre ce qui se passait, le visage caché par le gros popotin de Céline la libertine.

Joëlle était à quatre pattes devant moi, et elle avait entrepris de reprendre la pipe là où Nadia l’avait laissée. Derrière elle, en levrette, Vincent la besognait comme un beau diable. Il devait la défoncer très profondément, vu la longueur de sa tige, et je sentais les râles de la coquine sur ma queue tandis qu’elle me pompait.

Cette fois, il était trop tard, j’allais éjaculer. Je tentais de me dégager, ne voulant pas infliger à Joëlle une éjaculation buccale, mais celle-ci ne semblait pas vouloir recracher ma petite bite. Je me sentais partir et j’arrosais à grands jets la gorge de la belle brune gironde. Céline avait compris ce qui venait de se passer, et cela réveilla en elle un esprit animal et pervers : elle eut à son tour un orgasme sur ma bouche.

Nous nous sommes ensuite assis sur le lit, et avons regardé Joëlle et Vincent jouir ensemble d’une levrette toute droit sortie d’un film de sexe.


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