Menottée et enculée par mon prof de Zumba

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Je suis Angelina, femme mariée de 43 ans. Mon mari ne me satisfait plus au niveau du sexe. La nuit, je me réveille souvent en sueur avec des envies de grosses queues. Je commence alors à me ficher quelques doigts au fond du trou.

J’aime imaginer plusieurs hommes me faire des saloperies pendant des heures. Ce sont souvent des gros blacks avec des bites énormes comme des rondins de bois. Je les suce toutes l’une après l’autre, je les enfonce dans ma gorge jusqu’aux amygdales et j’aspire fort. Leurs burnes sont pleines de jus chaud, et je n’ai qu’une hâte, c’est d’en recevoir plein la gueule. Ceci n’est qu’un fantasme, mais je viens de rencontrer un homme qui pourrait peut-être me satisfaire. Je vais à des cours de Zumba le samedi matin dans la salle communale de mon village. C’est le prof, un certain Babacar, qui m’intéresse beaucoup. Il a l’air d’être membré comme un sanglier. Je viens au cours avec un legging hyper serré. Je ne mets pas de string en dessous. Mon mari ne remarque même pas qu’on voit ma fente à travers. Je pars comme ça au cours. On doit être une dizaine de filles, mais je sens les yeux pervers du prof black sur mon cul et mes cuisses bombées. Je suis persuadée qu’il veut me baiser, me défoncer comme une petite chienne. Il me lance des regards de plus en plus appuyés tout le long du cours. Moi, je me trémousse comme une salope, je tends ma croupe lorsqu’il passe derrière moi. Je fais ça discrètement pour pas me faire griller par les autres filles. Lorsqu’il passe derrière moi pour vérifier si mes mouvements sont bons, il me frotte souvent le popotin avec le revers de sa main. Je sais très bien que c’est fait exprès, et ma chatte devient moite. Je suis un peu gênée, ça coule entre mes cuisses, et je vais me faire remarquer. Heureusement, c’est la fin du cours. Les filles se cassent aux vestiaires prendre leurs affaires et filent retourner voir leur mari. Moi je reste en espérant me faire atomiser le cul.

Babacar fait genre de discuter avec moi de tout et de rien, mais dès que tout le monde est parti de la salle, il me demande de venir avec lui aux vestiaires pour me montrer un pas de danse spécifique.

Je sais très bien que je vais devoir lui purger les burnes, et je le suis comme une soumise docile.

C’est alors qu’il sort une paire de menottes et me jauge du regard. J’acquiesce rapidement des yeux, signifiant ma soumission, et il m’attache les bras en l’air à une canalisation. Il baisse la lumière et la salle devient lugubre comme dans un club libertin. Je me sens prise au piège. Babacar peut faire ce qu’il veut de moi et de mes orifices, à part crier, je ne peux rien faire. Il déchire mon top d’un coup sec avec ses grosses mains de négro, et il commence tout de suite à malaxer ma petite poitrine innocente. Je pointe comme une gamine excitée. Il me presse fortement les miches, à la limite de la douleur. Je serre les dents et tente de faire bonne figure, mais j’ai un peu peur. Il baisse son short et commence à se branler le manche en continuant son jeu avec mes nibards. Je vois très bien que son dard est immense, une bonne vingtaine de centimètres, beaucoup plus long et épais que celui de mon mari. J’espère qu’il ne va pas me la foutre dans le fion.

Il en a marre de mes loches et baisse mon legging jusqu’aux chevilles. Je le sens me violer du regard. Il expose mon corps comme si j’étais une chienne. Ma chatte épilée miaule et dégouline de jus épais. Je sens l’intérieur de mes cuisses recouvert de mouille. Je suis menottée de façon à être debout. Babacar est plus grand que moi, et il peut facilement me baiser debout. Je crains le pire car il se place derrière moi. Je ne le vois plus, mais je l’entends. Il crache un mollard sur mes fesses, je le sens couler lentement dans ma raie pour finir sa course sur mon petit anus étroit. Il va m’enculer, merde ! Il me prend par les hanches, pour mieux se caler dans mon derrière. Je sens son gros gland circoncis posé sur mon trou de balle. Il pousse un grand coup et moi je crie. Sa queue est fichée en moi jusqu’aux entrailles. J’ai mal, c’est dur, beaucoup trop dur. Heureusement, le salopard gicle assez vite après seulement quelques coups de burins. Je chie du sperme sur le sol, et Babacar me détache.

Il me donne rendez-vous au prochain cours, et je pars avec une boule de chaleur dans le bas ventre, me projetant déjà dans cette nouvelle débauche…


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