J’encule ma voisine dans la cage d’escalier

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Je ne suis pas le genre de mec à faire dans la demi-mesure. J’aime la franchise, et niveau cul, faut que ça claque sévèrement. Peu de femmes peuvent supporter mon envie de les soumettre et de les dégrader, c’est pour cette raison que je reste seul et que j’enchaîne les plans baises dès que l’occasion se présente.

Je n’avais pas de voisin de palier depuis un moment, mais la semaine dernière, une petite brune métisse est venue emménager. J’ai tout de suite scanné son cul et ses miches avec mon regard de pervers. Je n’ai pas vu de mec investir le domicile avec elle, donc je suppose qu’elle est célib. De toute façon, le fait d’être en couple n’est pas un truc qui m’empêche de m’enfiler sa rondelle si j’en ai envie. Je remarque bien qu’elle aussi me regarde avec un air un peu salace. Je suis plutôt beau gosse et sûr de mes atouts, du coup, lorsque je veux me taper une meuf, je fonce direct dans le tas sans me poser de questions.

Je rentre tout juste de mon entraînement de boxe, je suis en marcel et en short, il fait encore chaud en cette fin de soirée. J’ouvre la porte de la propriété et je rentre dans le hall. Et là, je tombe sur la nouvelle voisine métisse en train de chercher son courrier dans la boite aux lettres. Elle porte une petite jupe rose et un haut moulant de la même couleur. Je chope une trique direct quand je la vois comme ça. Elle me regarde, je lui dis bonsoir, elle aussi, puis elle commence à monter l’escalier. Je la suis de près et je peux sentir son odeur ultra bandante dans le courant d’air qu’elle produit. Je me baisse un peu en montant, ce qui me permet de pouvoir guetter sous sa jupette, et là, je me retrouve face à une raie tout simplement parfaite. Son cul est lisse et bronzé comme si elle venait de prendre le soleil en string. Elle n’a pas un petit cul, ni un gros, mais juste comme j’aime. Nous sommes presque au dernier étage, là où se trouvent nos appartements respectifs, et je ne sais pas ce qui lui passe par la tête mais je la vois soulever sa jupe en m’exhiber ses fesses. Je la saisis alors fermement par les hanches, je me fous à genoux et je plonge ma tête dans son fion. Elle pousse un petit gémissement et se laisse complètement faire. Je vais la baiser, c’est certain maintenant, et je vais même l’enculer !

Son fion sent le gel douche et le trou de balle, ma queue enfle au point de craquer mon slip, j’en peux plus! Je me redresse, elle est toujours de dos mais tourne la tête pour me fixer avec un air de défi. Je baisse mon short et je déploie ma verge ballonnée. Mon gland est déjà hors du prépuce, prêt à se fourrer dans le premier trou qui va se mettre devant lui. Et c’est son petit anus légèrement brun qui est là, juste couvert par une fine ficelle noire. Je tire dessus violemment et je lui arrache le string. Elle me dit de faire doucement car elle l’a payé cher, mais je m’en bats les couilles.

Son trou anal est maintenant disponible, et sans plus attendre, je glisse un doigt humidifié de ma salive et pousse jusqu’au fond.

Après quelques aller-retour de ce traitement c’est ma bite que je plante dedans. Elle rentre petit à petit et au bout d’une minute à peine je suis bien en place. Elle gémit et ça résonne dans la cage d’escalier. Je lui dis de la mettre en veilleuse et je commence à l’enculer sévèrement tout en lui maintenant la tignasse dans la main. Elle ne peut pas bouger. J’ai juste à tirer ses cheveux vers moi pour que son cul se visse tout seul sur mon engin. Lorsque je sors ma queue, je vois une trace un peu brunâtre au bout du gland, et ça me met en rogne ! Pour la punir de m’avoir souillé avec sa merde, je la sodomise deux fois plus fort et tout aussi vite. Je pète le cul de ma voisine dans l’escalier, et je ne vais pas tarder à jouir. Son trou est trop étroit pour que je tienne plus longtemps. J’explose comme un dingue entre ses deux fesses et je lui éparpille de la semence plein le rectum. Son cul est vite rempli et il déborde comme un puits bouché. J’ai les burnes vides, je me sens mieux, et sans rien lui dire, je me retire de son fion pour rentrer chez moi et aller prendre une bonne douche bien méritée.

C’est lorsque je suis allé toquer chez elle quelques heures après pour m’excuser de ne pas y avoir mis les formes qu’elle m’a dit qu’elle n’avait jamais autant pris son pied. La nuit qui a suivi chez elle a été vraiment hardcore…


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