Un cours de langue très particulier

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Je ne pensais pas qu’un jour je pourrai avoir le luxe de dire que j’ai baisé une de mes élèves. Je crois que c’est le fantasme de tous mes collègues hommes. Rares sont ceux qui ont pu tenter cette expérience. Il faut dire aussi pour leur défense, qu’il faut tomber sur une élève consentante. Mais attention, je ne suis pas professeur dans un lycée ou dans une fac. Non, mon vrai métier est traducteur et interprète. Mais je donne parfois des cours de langue pour une entreprise qui m’a engagée à mi-temps. Je donne souvent mes cours particuliers le soir, en semaine, ou le samedi après-midi.

Mes clients sont surtout des jeunes cadres dynamiques. Il y a surtout des femmes, je ne sais pas trop pour quelle raison. Je suis professeur d’anglais, et c’est une langue très prisée de nos jours. Je ne manque donc jamais de rendez-vous. Ça me permet de mettre du beurre dans les épinards. J’exerce mon métier principal en tant qu’indépendant, et je subis parfois les mauvais payeurs. Heureusement que mon quotidien est fait de belles rencontres, surtout en cours de langues, où je croise souvent de jolies jeunes femmes. Personnellement, je suis un homme de 40 ans, en plein dans la force de l’âge. Je m’appelle Steve, je suis blond, yeux clairs, de corpulence normale. Je traîne une petite bedaine, mais rien de bien méchant. Ma femme me dit aimer ça, que c’est mignon, et que ça a du charme. Je suis un bon vivant, je n’aime pas trop faire du sport. Je fume un peu en soirée et j’aime boire un coup. Bref, un bon gars sous tous les angles.

Je ne pense pas être le mec le plus séduisant du secteur, mais malgré mon mariage, si je peux tirer un coup discrètement, je ne crache pas dessus. Je pense que beaucoup d’hommes sont comme moi, mais ils n’osent pas se l’avouer. Moi, je l’assume, mais je reste discret, je ne veux pas que ma femme me choppe et me demande le divorce. C’est une fille bien, je l’aime, et je ne veux pas lui faire de mal. Je donne depuis un bon petit mois des cours particuliers à une jeune femme qui vit dans le centre-ville, dans un bel appartement bien cossu. Une petite fille à papa de 25 ans environ. Elle s’appelle Manon. Elle est rousse, la peau laiteuse et des courbes bien alléchantes. Elle s’habille toujours d’une façon très féminine. Je ne pense pas que c’est pour m’allumer, mais lorsque je viens, elle porte souvent des talons, un petit pantalon moulant et un haut très échancré. Difficile de bien se concentrer dans ses conditions. Mais je suis quelqu’un de professionnel, et jusqu’à maintenant, je n’ai jamais fait un pas de travers avec une de mes élèves. Mais cette Manon, je dois avouer que j’y pensais souvent le soir. Il m’arrivait parfois, après un cours avec elle, de rentrer chez moi et de me branler en m’imaginant lui faire des trucs. J’ai même baisé ma femme, et, en fermant les yeux, j’imaginais la baiser elle. Les deux se ressemblent assez de corps, et j’ai joui beaucoup plus vite que d’habitude. Ma femme pensait avoir fait des progrès sur son mouvement de hanche, mais si elle savait… Bref… Je fantasmais beaucoup sur les rousses. Je n’ai jamais eu l’occasion de m’en taper une. Je trouvais ça super excitant de pouvoir lécher une femme avec des petits poils roux. Je ne sais pas pourquoi j’ai cette envie. Mais là, j’avais peut-être l’occasion de pouvoir réaliser mes envies.

Je continuais de lui donner des cours une ou deux fois par semaine, et au fil du temps, nous avons vraiment sympathisé. Je savais maintenant qu’elle était célibataire, et qu’elle avait l’air d’une fille plutôt coquine. Elle me racontait parfois comment se déroulaient ses rencontres avec des hommes, me parlant de son plan cul du moment. Nous rigolions beaucoup ensemble. Un jour, à la fin de la séance, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai posé ma main sur sa cuisse. Elle était en jupe, sans collant, et le contact de sa peau blanche sur la mienne me fit bander immédiatement. Je ne sais pas si elle s’est rendu compte que mon entre-jambes avait augmenté de volume, mais toujours est-il que j’ai enlevé ma main dans la seconde, tout en m’excusant. Elle avait l’air surprise, mais je pris ça pour de la gêne. Je rangeai les affaires et la saluai rapidement. Et voilà, j’avais merdé. Elle allait peut-être se plaindre à ma société. Je risquais de me faire virer. J’avais même peur que ma femme apprenne mon geste déplacé. J’étais devenu complètement parano, et je passai une sale semaine. Mais mon supérieur ne releva rien de particulier lors de la réunion mensuelle, et je continuais à donner des cours. La petite rousse était devenue invisible, plus aucune nouvelle. Je pensais vraiment m’être grillé auprès de la demoiselle. Mais un jour, je regardais mon planning sur l’application, lorsque je vis son nom de famille et son adresse. Peut-être pensait-elle qu’au bout de tout ce temps, c’était un autre collègue qui allait se charger de son cours. J’ai essayé de refiler mon heure avec la rousse à un autre professeur, mais sans réussite. Bon, je devais prendre mon courage à deux mains, et y aller.

 

Je sonnai chez elle. J’entendais déjà ses talons percuter le carrelage de sa grande entrée. La porte s’ouvrit. C’était bien elle qui m’accueillait avec un large sourire. J’étais super étonné de cette réaction, mais apparemment, la belle rouquine avait passé l’éponge. Elle me servit un café et nous commençâmes à discuter tranquillement. La salope était en mini-jupe. Il ne faisait pas très froid dehors, mais tout de même. Je commençais à me dire qu’elle voulait de nouveau m’allumer. Mais cette fois, j’irai jusqu’au bout. Nous étions assis l’un à côté de l’autre, et nous discutions de l’incident de la dernière fois.

– Tu sais Steve, je suis désolée pour la dernière fois, tu es un super prof.
– Non, c’est de ma faute, je ne sais pas ce qu’il m’a prit. J’étais un peu perdu dans mes pensées.
– Ah oui, et tu pensais à quoi alors en posant ta main sur ma cuisse. Et j’ai bien vu que tu bandais !
– Heu… Mais non, voyons, heu….

La salope ! J’étais tout rouge. Je crus un moment qu’elle m’avait fait venir juste pour m’humilier. Pour se venger de l’avoir peloté. Mais en fait, il n’en était rien. Cette fois-ci, c’est elle qui posa sa petite main sur ma cuisse. Il faisait lourd dans son grand appartement, et je commençais à avoir chaud.

– Ça fait longtemps que j’ai envie de faire ça Steve, et tu le sais très bien. La dernière fois, je n’ai pas compris pourquoi tu n’as pas continué.
– Désolé, mais je pensais que tu ne voulais rien de moi, hormis mes compétences en anglais.

Elle se mit à rire tout en remontant sa main sur l’intérieur de ma jambe. Comme la dernière fois, une érection puissante se manifesta, et mon entre-jambes devint bien trop volumineux. Ça me faisait presque mal. Ma queue était tordue dans une position non-naturelle, et Manon s’en aperçue rapidement.

– Tu veux que je la sorte ? Elle doit être à l’étroit là-dedans.
– J’avoue que j’ai un peu mal Manon. Mais ne prends pas peur, elle est assez grosse.
– Non, au contraire, j’adore les mecs bien membrés.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ma braguette glissa lentement mais surement. Manon fit attention de ne pas me coincer la peau des burnes dedans. Mon paquet et sa tige étaient maintenant libérés de leur enveloppe de tissu. Mon dard était dur comme de la pierre. Il était plaqué sur le bas de mon ventre. Manon le prit en main et eut du mal à le mettre droit. Elle approcha doucement son visage et déposa un bisou sur le bout de mon gland. Je me mordais les lèvres en la regardant me grignoter le bout.

– J’adore sucer, tu vas voir de quoi je suis capable, je suis très forte en langue…
– Mais je n’en doute pas Manon… Continue comme ça, tu as très bien appris tes leçons..

J’adorais enseigner l’anglais. C’était une langue formidable pour communiquer avec n’importe qui dans le monde. Mais je préférais me faire sucer la bite, ça c’est certain. Manon savait y faire. Ma femme me pompait rarement le dard. Vous savez, après plusieurs années de relation, la vie sexuelle n’est plus aussi palpitante qu’au début, et un petit coup avec une autre fille de temps à autre me faisait le plus grand bien. Je me suis souvent fait sucer par mes plans culs, mais Manon aspirait ma queue d’une façon différente. Alors qu’elle avait mon chibre en bouche, elle arrivait à tourner sa langue tout autour de ma tige, tout en l’aspirant et en faisant des va-et-vient des couilles jusqu’au gland. D’habitude, les filles te lèchent la verge, puis elle te pompe, et ainsi de suite. Manon faisait tout ça en même temps, et j’hallucinais. J’avais l’impression qu’on me faisait une fellation pour la première fois.

– Mais, bon dieu, où t’as appris à sucer comme ça Manon ?
– Je ne sais pas, je crois que c’est une sorte de don…
– Eh bien continue alors, j’adore ça !

Manon n’était pas prête de s’arrêter. Elle me suçait la pine jusqu’à l’os, et j’aimais ça comme jamais. La meilleure pipeuse de ma vie. Une vraie petite rouquine salope. J’avais hâte de voir sa chatte et de lui bourrer la fente. Elle me suçotait les couilles l’une après l’autre. Mes burnes gonflaient sous sa clapette humide. Mais je commençais un peu à en avoir marre qu’elle m’absorbe l’engin.

Je voulais un peu plus d’action et lui proposai de se foutre en levrette contre la table. Elle accepta sans réfléchir. Je me levai, j’avais les jambes engourdies, et je fis quelques flexions avant de m’occuper de sa croupe. Elle était prête pour recevoir sa récompense. J’avais depuis longtemps envie de tromper ma femme avec cette roussette. J’avais maintenant sa raie velue face à moi. Ses poils étaient roux, presque orange, comme je l’avais vu dans des films de cul. Je gonflais encore plus à la vie de ce cul blanc et sa touffe orange. Je voulais lui bouffer un peu la chatte. J’enfonçai ma langue dans sa cramouille pour lui paître le vagin. Les légendes disaient vrai: ça sentait assez fort. C’était difficile à décrire, un mélange de sueur fraîche, de mouille et de fond de culotte. C’était un peu acide, et j’adorais ça. Je lui entubais la moule avec la langue. J’avais plein de mouille sur la tronche, une vraie fontaine. Je continuais de me remuer l’obus pour ne pas perdre de ma vigueur. Je voulais être en pleine possession de mes moyens pour lui détrousser la grotte. J’estimais qu’elle était bien lubrifiée et prête pour une pénétration vaginale. Je posai mon gland sur l’entrée rosée de sa vulve et lui demandai de se ficher elle-même dessus. Elle poussa le troufion vers moi et s’empala sur mon bâton. Mon gourdin était garé dans sa boite à mouille jusqu’au fond. Je pouvais presque sentir le col de son utérus me frotter la faine. Elle poussait de petits bruits stridents.

– Tu as mal Manon ? Je suis jusqu’au fond-là.
– Non, vas-y, pète moi la chatte. Insulte-moi.
– Petite pute, tu vas en avoir plein la chagoune !
– Hummm, ne te gêne pas pour me fesser aussi…

Il ne fallait pas m’en dire temps pour que je m’exécute immédiatement. Je commençais à lui ramoner la cheminée avec force tout en lui assainant de grosses claques sur les fesses. Son cul tout blanc tressautait sous mes coups et la peau gardait la marque rouge de mes cinq doigts. Je la claquais fort et elle criait de plus en plus, manifestant ainsi son plaisir. Je sentais mes roubignoles trempées par sa mouille. Fifi brin d’acier était un vrai robinet, et mon castor nageait littéralement dans sa cascade. J’avais un attribut épais, mais sa chatte était encore plus large, et j’avais du mal à sentir les bords. Je prenais tout de même mon pied à la vue de cette rouquine posée en levrette sur mon matos. Je lui foutais de gros coups de burins et elle couinait à chaque fois que mes roustons s’écrasaient sur elle. C’était une bonne baise comme j’en ai rarement vécu, digne d’un scénario de film pour adulte. Elle coulait tellement que ça commençait à sentir la mouille dans toute la pièce. Cette odeur de rousse en chaleur me mettait dans un état de transe totale, et je la burinais encore plus violemment. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir, et je voulais lui souiller la tronche.

– Lorsque je te le dirai, tu te mettras à genoux devant moi, ok Manon ?
– C’est toi qui commandes, je ne suis que ton élève…
– Grosse truie, tu vas bouffer mon jus !
– Oui, monsieur…
– Ah, humm, là, maintenant, putain viens là, je vais jouir !

Elle extirpa son gros troufion de mon glaive pour se foutre devant moi, comme une petite chiennasse docile. J’avais la bite pleine de mouille, et j’avais du mal à la tenir et à me branler fort, tellement elle glissait. Je lui ordonnai donc de me sucer à nouveau. Elle obéissait immédiatement et engloba mon Robert tout au fond des babines. Putain, qu’est-ce que c’était bon ! Elle aspira mon grand chauve quelques secondes que je commençais déjà à jouir à grosses gouttes. Au fur et à mesure que j’éjaculais, elle avalait tout. Je beuglais comme un âne tellement le plaisir était intense. Tout à coup, la réalité refit son apparition, et je regrettais déjà d’avoir une nouvelle fois trompé ma femme. Mais c’était si bon que je serai capable de recommencer. Je suis trop faible pour résister, surtout face à une pipeuse rousse comme Manon. Je lui donne encore des cours de temps en temps, mais l’excitation de la première fois n’est plus trop présente. Je cherche actuellement une nouvelle élève à troncher. Bonne soirée à tous et profitez de la vie.


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