Tante Malou

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Pendant les quelques jours qui ont suivi la rupture avec une copine, j’ai renoué avec mes habitudes d’adolescent. La petite branlette quotidienne était devenue routine, mais cela n’avait vraiment rien de rigolo. C’est alors que je me mis à penser que quelques années plus tôt, j’avais trouvé, avec quelques copains du collège, une façon agréable de pratiquer nos petits jeux solitaires. Nous avions alors une douzaine d’années et nos seuls livres érotiques étaient les catalogues où l’on pouvait sans crainte admirer de magnifiques femmes en sous-vêtements affriolants de toutes les couleurs. Nous avions une préférence particulière pour les jolies combinaisons. L’apparition du nylon faisait que ce tissu très doux était parfaitement adapté à nos masturbations. Notre jeu favori était donc « d’emprunter » ces combinaisons à nos mères, nos grands-mères, etc. et de nous les prêter. Nous les rendions ensuite à leur propriétaire. Quelquefois, même, nous nous réunissions chez l’un d’entre nous : chacun amenait une combinaison et on tirait au sort. C’était génial, c’était comme si on faisait l’amour avec la mère du copain et cela a bien alimenté nos fantasmes. Mais évidemment, cela n’a pas pu durer, car nous les rendions maculées de sperme et les propriétaires n’étaient pas dupes… Le scandale fut heureusement étouffé et nous nous sommes contentés ensuite de faire cela chacun pour soi. Quant à moi, j’avais carrément arrêté au moment où j’avais rencontré des filles, il y avait tellement d’autres solutions !
J’en étais là de mes réflexions et je me rendis compte que ma bite était énorme ! Ces souvenirs m’avaient donné une trique d’enfer et tout d’un coup, j’avais envie de recommencer, de sentir cette douceur sur les couilles, sur le torse, sur les cuisses, ce plaisir de juter dans ce joli tissu, de s’essuyer doucement le gland et de voir ces grosses gouttes blanches s’étaler sur le noir de la combinaison ou dans la dentelle de la poitrine. Et pourquoi pas ! Je me précipitai dans la chambre de ma mère. Je savais parfaitement où chercher. Mais là, je sentis naître un sentiment de culpabilité : je n’allais pas encore lui faire ça, à mon âge ! Il fallait trouver une autre solution, j’en avais vraiment envie et rien que de voir toutes ces beautés empilées devant mes yeux, ma queue faillit exploser seule. Je me finis tristement aux toilettes, sans avoir eu ce véritable plaisir dont je rêvais encore.

La solution m’est venue totalement par hasard. À cette époque, toute la famille amenait son linge à la buanderie qui se trouvait à l’écart des maisons. Les femmes faisaient la lessive à la main, en commun, tous les lundis matins. Le dimanche après-midi, tout le linge avait été amené là. Dans la propriété, il y avait quatre maisons, donc quatre couples : mes parents, mes grands-parents et mes deux oncles et tantes. C’est en portant mon linge sale, le dimanche matin, que je tombai nez à nez avec une adorable combinaison rose avec des volants, qui se trouvait dans une bassine. Je crois que ma bite a bondi dans mon pantalon. J’ai jeté mon linge et j’ai saisi l’objet de mes rêves. Je l’ai frottée sur mon visage, elle sentait la femme, c’était chaud, c’était doux ! J’ai ouvert ma chemisette, dégrafé ma ceinture et baissé mon pantalon et mon caleçon. Et je me suis caressé le torse, les cuisses, les fesses, évitant mon sexe que je voyais tout rouge, gonflé et prêt à exploser sans même que je le touche. Je vérifiai que personne ne se trouvait dans les parages. J’ai ôté ma chemisette et j’ai enfilé la combinaison. L’extase ! Elle m’allait à la perfection, jusqu’à mi-cuisses ; la jolie dentelle de la poitrine titillait agréablement mes tétons. Ma queue faisait comme un mât sous le fin tissu qui la caressait. Décidé à profiter au maximum de l’instant présent, je me mis à fouiller la bassine d’où venait ce trésor. Ce sous-vêtement appartenait à ma tante Malou, je reconnaissais les habits. Je trouvai également un soutien-gorge rose légèrement rembourré, c’est vrai qu’elle avait une poitrine minuscule ! Puis deux culottes blanches en nylon, très douces et un peu tâchées. Tout cela n’arrangeait pas mon état, il fallait absolument que je crache mon jus. Là, je ne risquais rien, le linge serait lavé le lendemain ! Je pris une des culottes, passai la main sous la combinaison et entamai ma branlette, le corps tendu, la tête en arrière, la main gauche caressant mes tétons sous la dentelle. En à peine quelques secondes, je sentis un flot de sperme partir de mes couilles douloureuses, grimper le long de la hampe et jaillir dans la culotte qui ne put tout contenir. Je dus m’asseoir tant le plaisir fut énorme. Les doigts poisseux, je contemplai le spectacle : la culotte était dégoulinante, la combinaison aussi. Je l’enlevai et essuyai les dégâts. Une fois rhabillé, je cachai tant bien que mal les sous-vêtements souillés au milieu du linge sale et je sortis tranquillement de la buanderie.
Couché dans mon lit, j’étais heureux, j’avais retrouvé ce plaisir oublié, c’était même encore mieux. Ces pensées me redonnèrent envie. Je courus jusqu’à la buanderie, recherchai la jolie combinaison de tatie Malou et, sans me déshabiller, sortis ma queue de ma braguette. A peine trois mouvements et je giclai à nouveau dans le doux tissu.
Je sus à ce moment-là que quelque chose venait de se passer…

Ma tante s’appelle Malou. A l’époque, elle avait 37 ans, moi 19. Cela n’allait pas très fort avec son mari, le frère de ma mère, je l’entendais dans les conversations familiales. Pourtant, elle était très gentille, avec une voix douce. Moi je la trouvais très belle, certainement et uniquement parce qu’elle portait de jolis sous-vêtements.
Comme nous étions voisins, je la voyais tous les jours et, bien sûr, j’en étais secrètement amoureux. Je passais mon temps à la regarder, à surprendre le volant de sa combinaison, à guetter l’ouverture de son décolleté pour apercevoir un morceau de dentelle. Bref, elle m’intéressait bien plus que mes petites copines qui ne portaient plus ces sous-vêtements qu’elles trouvaient ridicules, à l’heure de l’adoption du pantalon et des collants par les femmes.
C’étaient les grandes vacances. J’étais chargé de la garde de mes cousins plus jeunes, ce qui m’ennuyait d’abord au plus haut point, mais qui m’offrait l’avantage de m’ouvrir sans aucun risque la maison de ma tante, et qui me permettait de profiter de ses absences pour pouvoir fouiller son coffre à linge sale et les tiroirs de sa chambre, pour y trouver ses merveilleux trésors de nylon et de dentelles. Je pouvais à loisir, après avoir organisé un jeu qui me permettait de m’éloigner de mes cousins, me délecter de ces douceurs et me branler tout mon saoul dans tout ce qui me tombait sous la main, de préférence ce qu’elle avait porté.
Je finissais les après-midi sur les rotules ! Et lorsque je le pouvais, sans crainte d’être vu, et donc dénoncé par les deux diables, je me glissai dans la chambre pour admirer la magnifique collection de tatie Malou. Je ne salissais pas le linge propre, je me contentais de toucher, de contempler et surtout d’imaginer le corps de ma tante là-dedans. Ses soutiens-gorge étaient tout petits et possédaient un léger rembourrage, c’est vrai qu’on voyait bien qu’elle n’avait pas de gros seins. Mais cela ne me gênait pas. J’avais aperçu en vrai ceux de ma mère qui étaient énormes, qui pendaient et j’avais trouvé cela laid.

Donc, tatie Malou avait de beaux seins, et qu’est-ce que j’aurais aimé les voir ! Ses petites culottes étaient plutôt fantaisie, des blanches, des noires, des rouges, elles venaient sûrement d’un catalogue. Elle avait beaucoup de culottes larges, flottantes, en nylon presque transparent. Ce sont celles que je préférais, elles étaient douces sur ma queue et mes boules quand je les mettais. Bien sûr, il y en avait aussi en coton, mais j’aimais moins. Ce qui m’étonnait le plus, c’était le porte-jarretelles : c’était très long, d’enfiler des bas et souvent, je n’avais pas le temps ; en plus, ils se grillaient ! (J’en ai retrouvé des tas dans une poche, dans son placard, qu’elle jetait à mesure ; j’en récupérais pas mal).
Elle possédait également quelques jupons, souvent plissés, qu’elle ne portait que l’été. Mais le plus précieux, à mon avis, c’étaient ses combinaisons. Il y en avait bien une vingtaine, souvent des nouvelles. Elle devait adorer les porter. Quelquefois, elle en changeait même dans la journée. Que d’heures passées en leur compagnie, que de branlettes longues, douces, toujours terminées par des éjaculations au bord de l’extase ; la peine de quitter ce tissu humide devenu moins doux, la joie d’essuyer les dernières gouttes de sperme avec un morceau sec, le bonheur de caresser une dernière fois les couilles rabougries et le regret de remettre sauvagement l’objet magique dans le panier de linge sale. J’allais jusqu’à noter dans un carnet le jour, le nombre de masturbations et l’objet dans lequel je m’étais branlé. J’arrivais à dialoguer avec une combinaison.
Mais il me manquait encore une chose importante : voir ma tante nue. Toutes les occasions, je les ai tentées, je ne voulais surtout pas manquer cet instant. Et il est enfin arrivé.

Elle travaillait à l’époque dans une usine à bois et son premier travail, en arrivant, c’était la douche. Mais jamais je n’ai pu rien voir. Rien ne permettait de voir sans être vu dans sa salle de bains. Et puis ce jour là, panne de chauffe-eau, il a fallu couper l’eau pour réparer. Ma tante est rentrée avant la fin du chantier. Mon oncle lui a conseillé d’utiliser la douche artisanale constituée d’un seau d’eau suspendu qui permettait de se doucher après les travaux des champs, en été. Je la vis se diriger vers la grange, avec ses affaires. Là, je courus pour arriver avant elle, je savais que c’était le grand jour, j’avais une planque qui m’avait déjà permis de voir ma mère et ma grand-mère.
Bien installé, je la vis arriver. Son déshabillage me donna une trique d’enfer. Elle avait ôté sa blouse et se retrouva en combinaison noire. Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Sans qu’elle fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s’étala en corolle à ses pieds. Elle portait un petit soutien-gorge mauve. Elle passa ses mains dans son dos, le dégrafa et l’enleva en tenant ses seins. La surprise ! De tous petits globes blancs, pas plus gros que mon poing. Ils semblaient fermes, en tout cas, ils ne tombaient pas comme ceux que j’avais vus jusqu’à présent !

Mais, la chose extraordinaire : des tétons gros et longs, très foncés. Elle se caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. D’abord, je ne vis pas grand-chose, elle était de profil et je ne pouvais détacher mes yeux de ses tétons ; mais quand elle se tourna un peu pour jeter son slip, je vis une toison noire, bouclée au bas d’un petit ventre rond. Qu’elle était belle, même si elle était un peu maigre, surtout ses fesses et ses cuisses !
Soudain, je me réveillai. Sortant de mon rêve, je me rendis compte que j’avais juté dans mon short. Mais bien comme il faut, et sans même me branler.
Elle commença à se doucher. L’eau était froide, cela fut rapide. Mais j’avais sous mes yeux l’objet de mes rêves qui se savonnait partout où moi j’aurais aimé avoir les mains.
Lorsqu’elle se rhabilla, je remarquai qu’elle changeait de combinaison, elle en mit une rose que je connaissais bien, mais elle ne mit ni culotte ni soutien-gorge. Elle remit une blouse et sortit.
J’ai attendu d’être sûr de ne pas être vu et je suis sorti à mon tour. En rentrant chez moi pour me changer (la tache était visible), des images plein la tête, j’entrai à tout hasard dans la buanderie. Jour de chance : son linge sale était là. Je pris la combinaison noire, la roulai en boule et la mis dans ma poche. Je la ramènerai demain, mais c’était sûr, ce soir je dormirai avec tatie Malou, je caresserai ses petits seins, je sucerai ses jolis tétons et je lui ferai l’amour. La preuve sera là, dans sa douce combinaison noire.
J’ai évidemment passé une nuit merveilleuse avec la petite combinaison noire de tatie. Je l’ai revêtue et toutes les images de l’après-midi sont revenues : les minuscules seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluettes et sa toison foncée qui cachait son abricot fendu. J’ai lutté pour ne pas me branler, j’ai seulement profité de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des bretelles sur mes épaules. J’ai fini par m’endormir en souhaitant vivement que ma mère se contenterait de m’appeler à travers la porte de ma chambre. Le lendemain matin, lorsque je me rendis compte que j’avais dormi ainsi vêtu, j’eus une trique d’enfer et là, j’enlevai la combinaison et enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images de la veille. Cela suffit : je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance en me demandant s’il pouvait y avoir un plaisir plus fort que celui-là. Lorsque le liquide brûlant commença à transpercer le tissu, je démaillotai délicatement mon sexe ramolli et essuyai avec une partie sèche de la combinaison la goutte translucide qui perlait de mon méat et les traces gluantes. Je me jurai alors que jamais je ne me priverais de ce bonheur si intense.
Le temps passa. Effectivement, à chaque occasion, je me branlais dans une combinaison. Et le comble, c’était que je n’éprouvais de fortes jouissances qu’avec ce qui appartenait à tatie Malou. Avec les autres, c’était doux, bien sûr, mais pas aussi violent. Sans doute parce que c’était la seule que j’avais vue complètement nue. (Mais jamais l’occasion ne s’était reproduite). Et puis, il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que j’aurais pu reconnaître les yeux fermés. Je pouvais également associer une image vraie au soutien-gorge, à la culotte : je revoyais ses petits seins tout ronds, ses tétons incroyables et sa touffe noire.

Et bien sûr, je dus partir, m’éloigner de mes compagnes de tissu. Les études, l’armée, le début de la carrière, les copines… Je réussis à m’en passer, mais je pensais parfois à ces heures passées dans la buanderie, à guetter le moindre bruit pour ne pas me faire pincer, à ces éjaculations formidables, aux parfums si caractéristiques du linge sale féminin. Mais j’ai dû apprendre à m’en passer, ne fût-ce quelques petites incartades dans les culottes de mes copines – mais il n’y avait pas la même saveur.

Des années plus tard, au cours d’un repas de famille (fête du village), je me suis trouvé bien par hasard placé à côté de tatie Malou. Je pensais m’ennuyer ferme, comme d’habitude, quand, en me tournant vers elle, je m’aperçus que sa jupe droite était remontée sur ses cuisses gainées de noir et dévoilait le fin volant de nylon blanc d’un jupon ou d’une combinaison. Tout le passé est revenu d’un coup dans ma tête et, non seulement ça, mais ma queue n’a fait qu’un bond dans mon caleçon et je me suis retrouvé au milieu du repas avec une trique d’enfer. Je crois que j’avais perdu toute notion du temps, je n’entendais plus rien, une impression atroce. Je repris mes esprits et, prétextant l’envie de fumer, je quittai la table. Dehors, je me sentis mieux, mais le trouble était là. De retour à table, je remarquai que ma tante n’avait rien changé, au contraire : on pouvait même apercevoir le bout d’une jarretelle blanche et la lisière de son bas. La situation allait devenir atroce, je bandais comme un fou.
Après le dessert, nous avons trinqué et c’est là que j’ai vu le petit sourire que m’adressa ma tante. Peu après, tout le monde se leva de table pour aller dehors prendre l’air. Je décidai d’aller me promener sous les chênes. Je ne pouvais m’empêcher de me dire que j’étais idiot. C’est alors que je passai devant la buanderie : sans réfléchir, un coup d’œil circulaire, personne en vue, j’entrai et trouvai aussitôt la bassine de linge de ma tante et, dessus, une culotte noire ! Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé ! Je ne pus que m’asseoir et m’enivrer de ce parfum, l’esprit parti ailleurs, très loin, vers cette fin d’après-midi où j’avais enfin mis des images sur mes fantasmes.
C’est le grincement de la poignée de la porte qui m’a tiré de ma rêverie. Malou ! Elle était là, dans l’embrasure de la porte, une brassée de serviettes sales dans les mains… Et moi, blanc comme un linge, sa culotte sous le nez.

Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, simplement de la gentillesse, elle avait l’air navrée d’être arrivée au mauvais moment.

– Je suis désolé, tatie.
– Quand j’ai vu ton regard sur mes cuisses, à table, je savais que je te trouverai là. Tu as eu de la chance que ce soit moi qui soit venue. Il y a longtemps que cela ne t’était pas arrivé !
– Trois ans ! Je n’y pensais plus autant ! C’est la dentelle et ta jarretelle !
– J’ai fait exprès !
– Quoi ? Et pourquoi ?
– J’avais envie de savoir si cela te faisait encore de l’effet…
– Eh bien ?
– Ma foi, je crois que oui ! Et qu’est-ce que c’est, au juste, qui te fait autant d’effet ? Si tu savais comme j’ai râlé de trouver du sperme dans mes combinaisons, sans compter les sous-vêtements qui disparaissaient et qui revenaient par enchantement.
– Je te demande pardon. Mais le nylon, la dentelle, la douceur… Je ne pouvais plus m’en passer ! Et puis il y a aussi… toi !
– Moi ? Et en quel honneur ?
– Je t’ai vue nue à la douche, dans la grange.
– Mais je ne suis pas belle, je n’ai pas de poitrine !
– C’est surtout de te voir en combinaison qui m’intéressait. Elles étaient douces, mais je voulais savoir ce que ça donnait sur toi ! Et après c’était fini, je ne pouvais plus vivre sans ; je dormais même avec. Je n’ai jamais pensé que je faisais du mal.
– En fait, non ! Mais il a fallu quelquefois que je me retienne pour ne rien dire à personne quand il me manquait quelque chose ou quand je me retrouvais avec les mains poisseuses. Mais je savais que c’était toi.
– Merci, tu as été gentille.
– Maintenant, rejoignons les autres. Je suis contente de savoir. Tu viendras me voir quand tu voudras, nous en reparlerons. Tu sais, tu peux finir ce que tu avais commencé, ça me ferait plaisir de savoir que c’est pour moi.

Et c’est ce que fis, avec un grand soulagement, physique et surtout moral. Elle ne m’en voulait pas trop. Elle avait été vraiment gentille et le reste de la journée fut des plus agréables. Pendant le dîner, elle renouvela sa petite exhibition et alla même plus haut que la lisière de son bas.
Je ne revis pas ma tante de trois mois. Je passai comme chaque année lui présenter mes vœux, avec évidemment trois jours de retard. Je la trouvai seule chez elle, en train de faire son ménage. Elle était heureuse de me voir et, après les banalités d’usage, elle me proposa un café et m’envoya l’attendre au salon. Elle vint avec son plateau et s’assit à côté de moi. Pendant qu’elle me servait, j’observai qu’elle portait un tablier boutonné devant. Entre chaque bouton j’apercevais le tissu mauve d’une combinaison que je connaissais. Elle portait certainement des collants, de couleur chair et des jolies mules fourrées roses.

– Je parie que tu as déjà regardé ce que je portais ?
– Euh…
– Tu crois que je ne vois pas ton regard ? Cela ne te passera jamais ?
– Ecoute, on ne va pas revenir là-dessus, j’essaie de m’en passer.
– Est-ce que tes copines portent des combinaisons ?
– Certainement pas, c’est ringard, elles n’aiment plus les dentelles !
– Moi, j’adore ! Quelquefois, je me change même plusieurs fois pendant la journée !
– Je m’en doute ! A un moment, j’ai compté que je m’étais masturbé dans quinze différentes sans compter les jupons.
– Tu veux voir ?

Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et m’entraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire.
– Voilà, c’est mon trésor !

Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge rembourrés, des bas, des collants : la caverne d’Ali Baba pour quelqu’un comme moi. Je reconnaissais certains de ces sous-vêtements, je les avais utilisés dans mes branlettes solitaires. Abasourdi, je m’assis sur le lit et contemplai sans dire un mot. Malgré tout, j’avais la bite en feu devant ces merveilles.

– Alors ?
– Merveilleux, simplement merveilleux ! Mais bon, tu n’aurais pas dû me montrer tout ça !
– Je me doute que cela te fait de l’effet. Mais tu es le seul ! Ton oncle s’en fout ! Choisis ce que tu veux et je vais le mettre pour toi. J’ai envie de faire une folie !
Je mis du temps à me remettre. Pendant ce temps, elle enleva ses collants et sa culotte .
– Allez, vas-y, n’aie aucune crainte. Tu as vingt-cinq ans, moi vingt de plus. C’est ça qui te gêne ?
– Non, mais c’est grave !
– T’occupe, choisis, après on verra !
Je pris dans la pile une combinaison noire, courte, avec juste un liseré à la base et un plastron de dentelle à la poitrine. J’hésitai pour le reste, et en fait, c’est comme cela que je voulais la voir.
C’est tout ?
– Oui !
– D’accord, je vais me changer ! Déshabille-toi, je reviens !
– Quoi…?
Avant que j’aie pu ajouter quelque chose, elle avait disparu dans la salle de bains. Avais-je bien entendu ? Elle était décidément encore plus folle que moi ! J’hésitai…
– Alors, tu es prêt ? J’arrive ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.
En un tour de main, je fus nu. Ma virilité était mise à rude épreuve, un coup je bandais comme un âne, un coup ses décisions me faisaient peur et avaient un effet désastreux sur ma bandaison. Advienne que pourra ! Je fis ce qu’elle m’avait demandé. Je l’entendis arriver et sentis soudain sa présence contre moi. Sa tête se posa sur mon torse et sa main entoura mes hanches. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de combinaison. Elle écrasa enfin ses petits seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. J’étais aux anges, ma bite se mit à gonfler toute seule, alors que je n’avais encore rien vu ! Doucement, je la sentis bouger. Elle s’allongea sur le dos.
– Ouvre les yeux, bébé !
Devant mes yeux hagards, je vis le plus beau spectacle qui m’ait été donné de voir. Cette femme en combinaison noire jusqu’à mi-cuisses, un ventre plat, des petits seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J’étais fou de joie. Elle me regardait en souriant.
– C’est mieux que dans tes rêves, ou tu es déçu ?
– Arrête !!
– Bon, alors, tu comptes regarder longtemps ?
Je m’agenouillai près d’elle, la bite tendue et je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. Ce qui m’intéressait surtout, c’étaient les parties recouvertes du fin tissu. Ses seins en particulier ; je ne me lassais pas de tenir entre mes doigts les pointes extraordinairement développées et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. Moi qui avais passé tant d’années à imaginer toutes sortes de scénarios possibles où je la prenais dans tous les sens, j’étais incapable de lui donner quoi que ce soit. J’en avais les larmes aux yeux et j’avais complètement débandé.
Heureusement, elle prit les choses en main.
– Ce n’est rien, calme-toi, mon biquet, je vais d’abord m’occuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire, tu vas voir, ça va être bon.
Elle commença par venir m’embrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue jouait doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma tige turgescente.
– Tu es gros ! Elle est belle ! Je vais me régaler ! Tu veux que je te suce ?
– Oui…!
– D’accord, mais tu jutes dans ma bouche : il ne faut pas gaspiller ! Je veux que tu te laisses aller, comme quand tu te branlais dans mes combines ! Et puis, tu me caresses les seins, mais tout doucement : ils sont très fragiles.
J’étais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Elle me laissa faire un moment sans lâcher ma bite, comme pour tester mes capacités à exécuter ce qui lui plaisait.
– Parfait, continue comme ça ! Et maintenant, en avant, jusqu’au bout.
Sans attendre, elle se pencha et avala ma hampe jusqu’à la garde. Elle commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir chaque fois que je pinçais un téton. Puis elle saisit mes couilles dans une main, mit le gland entre ses lèvres et entreprit de me branler tendrement de l’autre main. C’était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s’arrêter et, tout d’un coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes qu’elle avala en hoquetant. Elle attendit la fin de mes soubresauts, nettoya le tout, vint s’allonger près de moi et m’embrassa violemment, me faisant goûter à mon sperme.
– Je l’avais déjà goûté dans mes combinaisons, mais là, il est bien frais et bien chaud !

Ce que je venais de vivre n’avait rien à voir avec mes fantasmes. La réalité, c’était bien la réalité ! Je n’arrivais pas à me réveiller. Elle était là, elle s’était habillée comme dans mes rêves, elle venait de me faire une fellation de rêve, elle m’embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Comme si on était un vieux couple. Qu’est-ce que je faisais là ? Je n’étais pas à ma place ! J’allais me réveiller ! Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée laissait voir quelques poils bruns frisés en haut de ses cuisses fines. Que devais-je faire ? Fuir ? Elle n’allait tout de même pas me donner plus que ce qu’elle m’avait déjà donné ? Et puis, je ne savais pas ce qu’il fallait faire. Elle me regarda.
– N’aie crainte, personne ne saura rien ! Mais il faut me promettre de ne rien dire non plus. Et à personne ! Et il faut aussi me promettre de revenir !
– Mais toi, tu n’as rien eu ?
– On n’a pas le temps. Ne t’inquiète pas, reviens, c’est tout !
– Quand ?
– Samedi matin. Ton oncle part à la pêche pour la journée. Il emmène les enfants. Je t’en prie, viens !
Je me rhabillai sans pouvoir la quitter des yeux. Quand je fus prêt, elle se retourna, enleva sa combinaison et passa son peignoir. Elle me tendit le morceau de tissu noir.
– Tu penseras à moi. Mais interdiction de juter dedans, tu me la ramènes intacte ! Allez file et ne te montre pas !
Je glissai la fine combinaison dans mon slip et quittai la maison en faisant attention de ne pas être vu.
L’attente jusqu’au samedi suivant fut atroce. La compagnie du doux sous-vêtement n’arrangeait pas les choses, puisque je n’avais pas le droit de me branler avec. Mais le matin décisif, j’étais prêt. J’ai vu partir mon oncle et mes cousins avec tout leur barda. Ma tante les a accompagnés jusqu’à la voiture pour leur donner les dernières recommandations et est repartie vers la maison en regardant aux alentours. Elle m’attendait vraiment ! Je patientai encore quelques minutes, sortis de ma cachette et courus vers la porte de la cuisine que je refermai derrière moi. Je l’entendais s’affairer dans la salle de bain. Je m’avançais, la petite combinaison à la main.
– Je t’ai entendu entrer ! Va m’attendre dans la chambre et profites-en pour te déshabiller et enfiler la combinaison que je t’ai prêtée. Je veux voir ce que ça donne !
Alors là ! Je n’étais vraiment pas en mesure de refuser. Et puis après tout, je le faisais bien tout seul ! Mais je n’en menais pas large ! Une fois nu, j’enfilai la combinaison en me regardant dans la glace de l’armoire. Comme d’habitude, l’effet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, l’idée que tatie était là tout près, que c’était elle qui me l’avait demandé et surtout l’impression que ce qui allait se passer me marquerait à jamais, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Au point que, perdu dans l’image que je voyais dans le miroir, je ne l’avais pas entendue arriver.
– Eh bien, ça te fait de l’effet !
– Je me sens ridicule, je vais enlever ça !
– Surtout pas, tu vas aller au bout maintenant ! Moi je veux que tu assumes ! Moi aussi, j’en ai rêvé de te voir comme ça ! Et si tu me regardais un peu, non ?
Effectivement je n’osais plus bouger, même pas mon regard, et mon érection avait baissé. Quand enfin je tournai la tête, ce que je vis fit bondir mon bâton de chair et retendre le fin tissu. Son soutien-gorge blanc était minuscule et elle ne portait qu’un jupon court de la même couleur, si transparent que je voyais nettement sa toison brune juste au-dessous de l’élastique. Elle n’avait pas mis de culotte.
Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s’insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d’autres. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, je sentais parfaitement sa touffe frotter contre ma hampe, à travers ma combinaison et son jupon. Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. Sa langue était merveilleuse et son corps léger était vraiment d’une voluptueuse tiédeur animale. J’eus un peu de mal, mais je réussis à la repousser avant que survienne un accident qui m’aurait mis mal à l’aise.
– J’ai envie de te caresser !
– Vas-y mon cœur, je suis à toi ! Sois doux !
Et là, mon rêve devint réalité ! D’un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j’apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l’élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu’elle saisit pour la porter sur son sein.
– Il est petit, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible. Attends, je vais enlever le soutif !
Elle se releva et dégrafa le mignon soutien-gorge qu’elle me jeta à la figure en riant.
– Celui-là, tu ne pourras pas le mettre ! Et puis enlève ta combine, tu as raison, c’est nul.
– Et toi, ton jupon !
Enfin nus, elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient vraiment petits, mais ses tétons étaient tendus par le désir. Elle adorait que je les frotte tout doucement sous la paume de ma main, dans un mouvement circulaire. Elle sursautait chaque fois que je prenais une pointe entre mes doigts pour la serrer un peu.
– Tête-moi, mon bébé !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un tétin entre mes lèvres. Puis de la langue, j’entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l’autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l’un à l’autre pendant de longues minutes, sans qu’elle se lasse.
– Tu es adorable ! Maintenant, j’ai envie d’autre chose !
Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je passe ma main sur son ventre et je m’aventure jusqu’à sa touffe. Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caresse ses poils en appuyant de plus en plus et l’humidité s’intensifie. Elle murmure :
– C’est bon, continue. Descends un peu, ma fente va s’ouvrir si tu es doux.
Et c’est vrai, je sens soudain une peau douce, humide, gonflée qui s’ouvre comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt est comme aspiré par cette fente juteuse, il s’enfonce entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glisse alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir ma bite et commence un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangeons ces caresses, elle vient au-devant de ma main, se presse contre elle quand mes deux doigts rencontrent cette petite excroissance que je presse en haut sa vulve inondée. Ses yeux s’écarquillent, sa peau devient fiévreuse, elle arque le dos pour se coller à moi. Elle prend ma main libre dans la sienne et la serre contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle pousse un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serre alors contre moi et je sens quelques larmes.
– J’ai joui.
Moi, je continue de la caresser, elle est complètement inondée.
– Viens, viens en moi !
Je me couche sur elle qui a largement écarté ses cuisses. Elle prend ma bite, la pointe à l’entrée de sa chatte, noue ses chevilles dans mes reins et se projette en avant, s’empalant littéralement sur mon pieu de chair. Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
– Allez, maintenant baise-moi, enfonce-toi loin !
Et je commence des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s’accroche à mon cou, m’embrasse furieusement, sa langue est de feu. Quand elle me relâche, c’est pour triturer un sein ou m’agripper par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses sont brûlantes, son jus d’amour qui n’en finit plus de couler détrempe nos toisons et mes couilles. Je sens la mouille qui gicle chaque fois que ma bite s’enfonce. Je veux maintenant atteindre le cœur de la fournaise. Je la sens qui s’ouvre et qui m’aspire dans son puits sans fond.
– Viens, c’est bon ! Vide-toi, n’aie pas peur, mon bébé ! C’est que du bonheur ! Allez, viens, je veux ton jus, tout ton jus !
Je me sens devenir incandescent, j’accélère la cadence et la force de mes poussées. J’ai l’impression de tomber, je ferme les yeux, je m’abandonne sur son corps, je sens ses petits seins tout durs, elle me berce sur elle, dépose mille baisers sur mon visage. Je suis sur une immense vague, le flot m’emporte, m’engloutit, je crie, elle aussi !
– Oui, ton jus, ton jus ! Oh, que c’est bon !
Je me suis vidé. Quand j’ouvre les yeux, je vois le visage cramoisi de Malou qui me regarde. Ses yeux sont embués, les cheveux sont collés.
A regret, je me sépare d’elle. La sensation du retrait de mon pénis me chagrine, je ne voudrais pas la quitter. Dans ses mains, elle a le joli jupon blanc. Elle entoure ma bite un peu meurtrie dans le fin tissu. Elle me prend dans ses bras et me berce doucement.

Les bonnes choses ont une fin. Du moins, c’est ce que l’on croit. Une voisine indélicate, une veuve venue s’installer dans le quartier, a rapporté à mon oncle mes visites lorsqu’il était absent. Oh, il n’a pas fait d’esclandre, d’après ce qui se disait, il se la tapait, la voisine ! Mais nous n’avions plus d’occasions de nous voir, Malou et moi. J’en étais très malheureux. Elle m’avait tout appris, tous les gestes, toutes les positions, toutes les caresses, même la sodomie, à deux reprises (mais elle n’aimait pas trop). Là, il fallait se calmer. Un jour, je trouvais dans la buanderie un petit paquet contenant sa combinaison noire et son jupon blanc que nous avions utilisés la première fois où je lui avais fait l’amour. Elle les avait portés, je reconnus son odeur et son parfum. Mais il y avait ce petit mot qui disait : « Pour le moment, il ne faut plus que tu viennes, fais attention, Marie nous surveille. » J’avais toujours ses sous-vêtements qu’elle laissait à ma disposition, je les lui rendais dans des états pas possibles !
Vraiment, je n’en pouvais plus. Mes copines ne me donnaient pas satisfaction, j’avais besoin d’une femme mûre qui prenne des initiatives, qui me fasse des trucs pas possibles comme si c’était normal. Il fallait que je puisse retrouver Malou comme avant. Et pour cela, une seule solution : éliminer Marie ! En regardant plusieurs fois son fil à linge, je constatai que la voisine possédait elle aussi une belle collection de sous-vêtements, presque aussi affriolants que ceux de ma tante. Ils étaient plus grands, car c’était une femme un peu forte, qui devait avoir pas loin de cinquante ans. Elle portait des fonds de robe à larges bretelles, des soutiens-gorge à armatures qui trahissaient une grosse poitrine et des culottes larges, mais en nylon de toutes les couleurs. Mais ce qui m’impressionnait le plus, c’étaient les combinés roses saumon avec des boutons pression au niveau du sexe, des courtes jarretières pour fixer des bas et une fermeture éclair sur le devant. Malou n’en portait pas, elle disait que c’était pour les vieilles et les grosses, c’est vrai que ce n’était pas très esthétique ! Un soir, elle n’avait pas rentré son linge. Rien que pour l’embêter, j’attendis la nuit, sautais le grillage et lui piquais une combinaison bleu ciel et une culotte noire. Après les avoir bien souillées, je ne savais plus quoi en faire et, la nuit suivante, je suis allé les poser dans sa buanderie. Mais un énorme coup de chance m’a permis de me venger encore mieux. Un dimanche matin, je savais que mon oncle bricolait sa voiture dans son garage ; j’allais pour lui demander des outils, quand j’entendis des bruits inhabituels étranges. Il ne s’agissait pas de bricolage, mais de petits cris de femme. Je ne reconnus pas la voix de ma tante. Je me planquai dans une autre grange et j’attendis. Un quart d’heure plus tard, je vis Marie sortir avec précaution du garage. Innocemment, je sortis de ma cachette en toussant bien fort. Elle se retourna vers moi, rougit et me fit signe de me taire en mettant son doigt sur ses lèvres. Je lui renvoyai un immense sourire, je la tenais, elle allait nous fiche la paix !
La réaction ne se fit pas attendre. Marie téléphona à ma mère pour lui demander si elle ne pouvait pas l’emmener chez le garagiste dans la semaine. Comme elle travaillait, elle ne pouvait pas, mais elle proposa que ce soit moi qui la remplace. Marie avait bien joué, elle demanda que je passe dans l’après-midi pour organiser tout cela. Je n’étais pas très satisfait, mais je ne pouvais refuser. Je me rendis donc chez ma voisine. Elle m’accueillit dans sa cuisine, assez froidement, comme je m’y attendais.

– Alors, jeune homme, on m’espionne ?
– Oh non ! C’est vraiment le hasard ! Je passais voir mon oncle, c’est tout !
– Et ma combinaison et ma culotte, c’est toi ? Je sais reconnaître les taches de sperme, tu sais ! Et là, il y avait la dose ! Pourquoi ?
– Ce serait vraiment long à vous expliquer, j’aime ça, c’est tout !
– C’est ça, le secret avec ta tante ?
– En partie. Et vous avec mon oncle ?
– Tu es un peu jeune pour comprendre !
– Que vous baisez avec lui ?
– Qu’est-ce que tu connais à ça ? Tu ne vas me dire quand même qu’avec ta tante, tu … ?
– Comme vous avec mon oncle !! Pourquoi vous êtes-vous mêlée de nos affaires ?
– Je ne savais pas ! Mais je n’ai rien dit de mal. J’ai simplement constaté que je te voyais souvent rendre visite à ta tante !
Elle était abasourdie. Elle me fit asseoir pour discuter de notre sortie et me prépara un café. J’eus tout loisir de l’observer de près pour la première fois. Elle était bien en chair, mais son visage était fin et ses yeux verts semblaient pleins de malice. Sa robe longue, assez près du corps, laissait deviner une poitrine volumineuse et légèrement tombante et une paire de fesses des plus appétissantes… A l’image des ses sous-vêtements.

– Alors, maintenant que tu m’as bien reluquée, que penses-tu de moi ?
– Euh … ?
– Oui, quoi ? Je te plais ?
– Euh … ?
– Ne fais pas ton timide. Tu couches avec ta tante, tu voles mes sous-vêtements, tu te branles dedans. Alors tu veux quoi ?
– Je voulais me venger.
– Et ma combinaison, elle t’a fait bander ?
– Ben oui !

Elle retroussa sa robe jusqu’au-dessus du genou, juste pour que je puisse apercevoir le volant d’une combinaison rose et le début de ses cuisses blanches.
– Et là, tu bandes ?

Je ne savais plus où me mettre, mais dans mon jean, mon sexe n’arrêtait pas de gonfler. Je devais être comme une pivoine ! Elle laissa retomber sa robe.
– Qu’est-ce que vous voulez ?
– Je sais que tu as deviné pour ton oncle et je ne voudrais pas que tu parles. Et puis tu me plais bien, tu es joli garçon et j’imagine que si ta tante s’occupe de toi, tu dois être un bon coup ! Alors je te propose un marché. Je ne dis rien, tu ne dis rien ! Et tu peux passer un moment avec moi si tu veux.
– Quand ?
– Mais tout de suite ! Viens, on va dans ma chambre.

Au moins c’était direct ! Je la suivis comme un automate, je n’en menais tout de même pas large. Cette femme m’inquiétait, je me demandais bien à quelle sauce elle allait me manger. Je fus agréablement surpris.
– Déshabille-toi, trésor ! Après tu feras ce que tu veux de moi !

Je ne me fis pas prier et en un tour de main mes habits se retrouvèrent à mes pieds, j’osais même quitter mon slip. Au point où j’en étais, je ne risquais plus rien. Et en plus, ici aucune possibilité d’être surpris ! Mais ma bite n’était vraiment pas à la hauteur ! Elle pendait lamentablement sur ma cuisse. Elle vit mon air gêné.
– T’inquiètes pas, on va arranger ça ! Je me déshabille, ou c’est toi qui le fais ?
– Enlevez votre robe, on verra après.

Décidément, cette femme était plutôt à l’aise. Sans détourner le regard, elle prit sa robe par le bas et la remonta lentement, comme pour faire durer le plaisir. Elle se retrouva en fond de robe rose assez opaque sous lequel je ne pouvais rien voir d’autre. Mais rien que cela, ma queue se mit à bander. Elle le remarqua, évidemment.
– A la bonne heure, c’est mieux ! Mais dis donc, elle ne doit pas s’ennuyer, ta tante, voilà un bel engin ! Et maintenant qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
– J’aimerais en voir plus !

Elle refit exactement le même geste qu’avec sa robe et remonta son fond de robe. C’est là que je pus voir sa culotte blanche, et enfin son soutien-gorge blanc également qui cachait complètement, semblait-il, une monumentale poitrine. Là, elle prit l’initiative. Me bousculant sur le lit, elle me fit allonger, s’assit à côté de moi, prit son fond de robe et commença à caresser ma bite et mes couilles avec le tissu doux et tiède.
– C’est mieux que quand c’est toi qui le fais ?
– Oui, mais je ne vais pas tenir longtemps !

Effectivement, ma queue était tendue au maximum et elle me branlait tout le long de la hampe, tandis que son autre main malaxait mes couilles tendrement. Je parvins à me dégager.
– Je veux voir vos seins !
– Oui, vas-y, dégrafe !

Avec difficulté, car il était très serré, je parvins à décrocher les quatre agrafes qui maintenaient son immense soutien-gorge à armatures. Quand je le dégageais de ses épaules, les deux seins tombèrent sur son ventre. Deux obus tout blancs, veinés de bleu s’étalèrent de chaque côté de son buste lorsqu’elle s’allongea. A leur sommet, deux larges aréoles roses et deux petits tétons qui semblaient minuscules par rapport aux seins. Je me jetai comme un mort de faim sur cette voluptueuse poitrine. Il me fallait deux mains pour m’occuper d’un sein, pour le soulever et l’amener à ma bouche goulue qui aspirait le petit téton rose. Elle semblait apprécier le traitement que je lui imposais et poussait des gloussements rigolos.
– C’est bon ! Tu es doux ! Suce encore ! Tète-moi !!!

Mais j’étais pressé de découvrir la suite. Je glissai ma main sur son ventre, jusqu’à l’élastique de sa culotte. Elle continuait de gémir, tout en prenant ses seins que j’avais un peu abandonnés. Je changeai de position et me plaçai entre ses cuisses un peu fortes mais très douces. Je pris l’élastique de sa culotte et tirai vers le bas. Elle m’aida en soulevant ses fesses. Sa toison brune m’apparut alors, ses poils étaient collés par la cyprine et je voyais ses grandes lèvres ouvertes sur un coquillage nacré et gonflé de plaisir.
– Lèche-moi ! Mange ma chatte ! Ta langue ! Fais-moi jouir avec ta langue !

Je me jetai sur sa chatte qu’elle écartait elle-même avec ses deux mains, dégageant un clitoris rouge vif que je m’empressais de prendre en bouche. Je lui arrachai des cris de surprise. Elle remuait sa tête dans tous les sens. Sans décoller ma bouche butineuse de son cratère en fusion, je saisis ses seins et les malaxai sans ménagement. Elle se cabra d’un seul coup, complètement tétanisée par le plaisir. Ma bouche fut envahie d’une quantité incroyable de liquide salé, mais délicieux, que je m’efforçais de boire. Elle retomba comme une masse, complètement anéantie, tandis que je la léchai doucement. Je remontai sur son visage et déposai de tendres baisers sur ses lèvres. Je caressai doucement ses seins un peu meurtris, pendant qu’elle revenait un peu sur terre.
– Allez mon grand, il faut que tu jouisses ! Tu m’as donné un orgasme extraordinaire, je ne pourrai pas l’oublier de sitôt ! Allez viens en moi !
Je la fis se retourner à quatre pattes. Elle m’offrait son gros cul bien joufflu. Sa chatte luisante était encore ouverte. Je plaçai mon gland entre ses grandes lèvres. Je n’eus aucun mal à m’enfoncer délicatement jusqu’à la garde.
– Tu es gros, je te sens bien ! N’aies pas peur, pistonne-moi ! J’aime ça !

J’entrepris alors de larges va-et-vient en m’enfonçant chaque fois au plus profond de son vagin brûlant. Mais bientôt, je sentis que ma jouissance était proche et le lui dis.
– Jute dans mon con ! Je veux ton jus par là ! Inonde-moi !

Je n’ai pas attendu longtemps. Une dernière poussée bien au fond. Je restai collé à ses fesses, je m’allongeai sur son dos et je saisis, par-dessous, ses seins. Elle parvint à tourner son visage vers moi au moment où je lâchai une quantité de sperme incroyable qui la fit crier de bonheur.

– Oui, je te sens ! C’est chaud, c’est bon !
Je restai de longues minutes avant de sortir de sa chatte. Quand elle se retourna sur le dos, je vis une traînée de liqueur blanche qui s’écoulait de sa fente qui se refermait. Elle prit ma tête, la posa sur sa poitrine et … je m’endormis.
J’ai eu du mal à me réveiller. D’ailleurs, j’étais bien sur l’oreiller moelleux de ses magnifiques seins. Elle caressait tendrement mes cheveux, mon visage et passait son doigt sur mes lèvres humides.

– Il va falloir y aller, mon biquet !
– Je pourrai revenir ?
– Et comment donc ! Mais tu vas avoir des problèmes avec ta tante, tu vas devoir choisir !
– Et vous, vous allez choisir entre mon oncle et moi ?
– C’est un sauvage, il baise à la va-vite, il ne pense qu’à lui ! Et puis, il veut toujours m’enculer !
– Vous n’aimez pas ? Comme tatie !
– Si, j’aime, mais vraiment en douceur ! Lui, il veut me défoncer, c’est tout ! Ca fait mal ! Et ta tante, elle aime ?
– Elle est comme vous.
– Ecoute, on se voit demain après-midi ? J’emmène ma voiture au garage et tu viens me chercher. On reviendra ici, si tu veux ?
– Oh oui, je veux bien !

J’étais vraiment ennuyé. Fallait-il que je choisisse ? Je n’en avais pas trop envie. Malou était géniale et Marie aussi. Elles avaient un physique tout à fait différent, elles portaient de beaux sous-vêtements, elles me donnaient tout. Non, je ne pouvais pas choisir !
Le lendemain après-midi, je retrouvai Marie au garage et la ramenai chez elle. Elle était en pantalons, je n’aimais pas beaucoup. Elle m’offrit gentiment un café, mais je la trouvais bien distante. Pas de gentillesses, je m’attendais à un autre accueil. Enfin, elle rompit la glace :

– Bon, aujourd’hui, j’ai eu une conversation avec ta tante et nous avons parlé de toi.
– Et alors ?
– Et alors, nous n’avons pas envie de te laisser choisir, sinon, une de nous sera lésée !
– Qu’avez-vous décidé ?
– Rien, c’est toi qui vas décider ! Nous te proposons de nous faire l’amour à toutes les deux ensemble.
– Ensemble ? Mais…
– Au lieu de nous fâcher, il vaut mieux nous entendre ! J’aime aussi les femmes. Malou ne connaît pas cela et elle aimerait bien essayer. Elle dit que si tu es là, elle aura bien moins peur !
– Ca alors ! Malou, faire l’amour avec toi ! Je sais que ça existe, mais toi !
– En ville, c’est plus à la mode.
– Et quand va-t-on le faire ?
– Cet après-midi, je lui téléphone et elle arrive. Mais si tu veux ?
– Oui, oui, bien sûr !

Elle appela Malou dans l’instant et à son sourire, je compris que ma tante arrivait de suite.
– Bon, je vais me changer, j’ai vu que tu faisais la tête ! Je mets quoi, pour te faire plaisir ?
– Ce que tu veux, mais pas grand-chose, nous n’avons pas de temps à perdre !
– Mais tu sais, toi tu nous connais toutes les deux, mais nous, nous ne nous connaissons pas ! Allez, j’y vais ! Tu attends sagement ?
Je haussai les épaules en souriant et elle quitta la pièce. Resté seul je me dis que j’avais une chance extraordinaire. Je n’allais certainement pas m’en vanter auprès de mes copains, d’abord ils ne me croiraient pas. Rien que d’y penser, je bandais déjà ! J’en étais là de mes réflexions quand Malou arriva. A peine entrée, elle se jeta presque sur moi pour me donner un baiser profond et langoureux.
– Nous sommes fous, mais j’ai trop envie ! Qu’en dis-tu ?
– Je ne sais pas, Marie a l’air de s’y connaître. Ca ne te fait rien, de faire l’amour avec une femme.
– Plusieurs de mes copines l’avaient fait à l’internat et elles disent que c’est très bon. On va bien voir. Tu vas m’aider ?
– Si tu crois que j’ai l’habitude !

Sur ces entrefaites, Marie fit son apparition. Elle avait fait vraiment simple ! Elle était en peignoir sombre, mais on ne devinait pas ce qu’elle portait dessous. Les deux femmes se regardèrent. Aucune n’arrivait à faire le premier pas. Marie était chez elle, elle se décida.
– Et si on allait dans la chambre ? On ne va pas rester ici ?

Elle passa devant. Malou prit ma main et la serra très fort, inquiète de la suite. Arrivés dans la pièce, Marie prit la direction des opérations.
– Viens Jean, on va commencer par toi. J’aime bien voir l’effet que nous allons lui faire par la suite.

Elles m’aidèrent à me déshabiller en rigolant, ce qui détendit un peu Malou. J’étais nu, ma queue était légèrement bandée et pendait le long de la cuisse. Marie passa doucement le doigt sur le méat au bout duquel perlait une petite goutte translucide. Elle recueillit le précieux liquide et le porta à sa bouche. Elle passa la langue sur ses lèvres, montrant qu’elle se régalait.
– Mmm ! Quel nectar ! Tu veux goutter, ma belle ?

Et sans attendre la réponse, elle renouvela l’opération, en déposant cette fois la goutte sur les lèvres entrouvertes de Malou.
– Tu as raison, c’est divin !

Marie continuait à mener l’action.
– Alors qui commence ?

Les deux femmes se regardèrent sans répondre à la question et je fis ma proposition.
– Malou !
– D’accord, une fois que ce sera fait, on n’en parlera plus ! Mais aidez-moi !

Elle enleva sa longue robe fleurie à manches courtes retenue par une ceinture de tissu. Elle portait une combinaison mauve avec un minuscule volant, un bandeau de dentelles à la poitrine, le tout retenu par de très fines bretelles ; je ne l’avais jamais vue. Dessous, elle n’avait strictement rien, il n’y avait pas la trace d’un soutien-gorge, mais en avait-elle besoin ? Je n’avais pas envie qu’elle continue, je l’adorais comme ça, avec ce si sensuel sous-vêtement qu’elle étrennait pour l’occasion. Je me glissai derrière elle, l’enlaçai, passant mes mains sous sa poitrine pour soutenir ses petits seins dans la paume et l’embrassai doucement dans le cou. Elle se laissa aller contre moi, passant ses mains derrière son dos pour me serrer contre elle, frottant ses fesses contre mon sexe qui n’en demandait pas tant.

– Je voudrais qu’elle reste un peu comme ça. J’aime sa douceur. A vous, plutôt !
– Comme tu veux !

Nous la regardâmes dénouer sa ceinture et ouvrir lentement son peignoir. Elle aussi, connaissant mes goûts, avait passé une belle combinaison bleu ciel avec un volant plus important, mais tellement transparente, qu’on voyait nettement son soutien-gorge noir et sa culotte flottante assortie. Elle laissa glisser le peignoir à terre et s’approcha de nous. Sans aucune hésitation, elle vint se coller à Malou, lui prit le visage entre les mains, et l’embrassa sur la bouche. Je sentis ma tante se raidir un peu, puis petit à petit, elle se détendit jusqu’à devenir toute molle dans mes bras, preuve de l’efficacité de Marie en matière de baiser. Celle-ci écarta ma tante et l’aida à s’allonger en travers du lit. Elle me prit alors dans ses bras et me gratifia moi aussi d’un baiser à perdre haleine, sa langue virevoltant autour de la mienne dans une folle farandole qui dura, semble-t-il, une éternité. J’étais comme Malou, j’avais du mal à m’en remettre !
Nous nous retrouvâmes tous les trois sur le lit, nos corps emmêlés, dans une véritable furie érotique. Les baisers étaient sensuels, bruyants, les mains étaient partout. J’étais au bord de la rupture, ma bite était triturée par leurs douces mains. Marie enleva sa combinaison, me la jeta. Malou baissa simplement les bretelles de la sienne. Je m’écartai de la mêlée, je ne voulais surtout pas jouir encore. Je les regardai faire en triturant dans mes mains le doux nylon. Elles m’offrirent un spectacle que je n’étais pas prêt d’oublier : Marie, véritable maîtresse du jeu, initiatrice de ce plaisir encore inconnu de nous, apprit à ma tante toutes les caresses qu’une femme pouvait donner à une autre. Pendant une demi-heure, ce furent baisers intenses, seins léchés, tétons sucés, doigts enfoncés dans la chatte, petits cris de jouissances parfaitement partagées. Malou était une très bonne élève. Elles finirent par un soixante-neuf de toute beauté, où ma tante se révéla être un parfaite amante. Elles étaient exténuées, leurs visages luisaient de la cyprine de l’autre. La combinaison de Malou ne formait plus qu’une ceinture autour de sa taille, Marie avait perdu sa culotte et ses seins pendaient, libres, les bretelles du soutien-gorge baissées et les bonnets sur son ventre. Elles ne mirent pas longtemps à réagir et me firent signe de m’installer entre les deux. Je ne me fis pas prier. Marie me somma de rester immobile.

– Tu ne bouges plus, tu te laisses faire ! Toi, Malou, attrape ma combinaison ! Il aime ça, on va le servir !
– Je fais quoi, avec ?
– Tu lui passes entre les cuisses et on va caresser ce qu’il y a dessous, sa queue, ses couilles et même son petit trou !

Ma tante obéit, enveloppant le tout dans le fin nylon. Elle n’eut qu’à suivre l’exemple de son initiatrice. Ce fut un concert, et c’est le cas de le dire, car elles n’utilisaient que le bout de leurs doigts pour m’exciter à travers le tissu. Ces agacements me faisaient bander comme jamais je n’avais bandé et lorsque Marie aventura un doigt fureteur vers mon petit trou tout resserré, je sentis que j’allais partir !! Elle le sentit, enleva le sous-vêtement, se mit à genoux et vint frotter ses seins plantureux sur mon sexe.

– Embrasse-le, après tu prendras ma suite. Tu vas voir comme il va aimer !

La langue de Malou se mit en route sur mes lèvres, dans ma bouche. Les seins me caressaient partout, écrasaient ma bite tendue dans la chair moelleuse et douce.
Puis elles changèrent. L’impression était toute différente au niveau de mon sexe. Seuls les tétons durcis se promenaient sur la hampe turgescente et les couilles durcies. Les baisers de Marie étaient bien baveux et sa salive coulait sur mon visage.

– On le fait jouir ?
– Comment ?
– On va le branler et le faire juter sur lui. Il est à nous !

De part et d’autre de mon corps, elles prirent ma bite et mes couilles dans leurs mains et se mirent à me branler lentement, mais fermement. Je sentais venir ma jouissance. C’est alors que Marie vint faire à nouveau un tour du côté de mon anus vierge de toute manipulation. Elle mouilla son index dans sa chatte et m’enfonça simplement le bout du doigt dans la rondelle. Il ne m’en fallut pas plus : Malou tenait ma queue et mon sperme fusa loin sur ma poitrine en quatre giclées puissantes et abondantes.

Les deux femmes se regardaient en souriant. Elles se penchèrent sur moi et vinrent lécher consciencieusement mon jus, en se donnant quelques petits baisers. Puis elles s’allongèrent près de moi très tendrement. L’aventure n’était certainement pas terminée !!!!!


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