Je m’appelle Gaëlle, j’ai 19 ans. J’ai un doute quant au fait que mes histoires vous intéressent. Ceci dit, si c’était le cas, ce serait dommage de les laisser moisir dans le dossier secret de mon ordinateur. J’espère que vous les critiquerez, en attendant, continuez de lire des histoires, elles valent à elles seules des milliers d’images.
Ainsi commence mon récit :
Ma soirée avait été très arrosée la veille. Nous étions vendredi et je n’avais pas cours. Pendant que j’étais partie prendre une douche, ma mère m’a laissée un message sur mon téléphone :
« Ma chérie, c’était qui ce garçon que tu as ramené hier soir, je l’ai vu partir comme un voleur ce matin ? Je t’interdis d’amener des inconnus dans notre maison, et dans ta chambre aussi au passage ! Tu m’entends, hors de question que ça se reproduise… Déjà que je t’autorise à sortir en semaine ! »
Alors, là, c’était le bouquet. Je n’avais même pas finit d’écouter son message qu’elle m’énervait déjà. A 23 ans, ma mère refusait encore de reconnaitre que je n’étais plus sa gentille petite fille… J’ai dû retenir un petit rire rien qu’en pensant au cas où elle serait entrée dans ma chambre en fin de soirée dernière. Elle aurait vu sa princesse avoir un orgasme comme jamais elle, elle n’avait osé en avoir, et avec un inconnu en plus. Bien que ma chambre soit excentrée de la maison, et posséda un accès vers l’extérieur, je manquais de liberté. Et pour partir de cet enfer, dans un mois, je commençais une colocation grâce aux économies que j’avais réunies. En attendant, la guerre avait commencé.
La fin du message disait :
« Sinon, j’ai besoin que tu passes à mon bureau vers 11 heures, j’ai oublié un dossier de couleur verte posée sur la table du salon, c’est super important, j’ai une réunion entre midi et quatorze heures, voilà, à tout à l’heure ma puce ! »
Il était 10h30. J’ai enfilé une jupe droite au tissu fin qui se portait remontée sur les hanches et par-dessus un chemisier à manche longue en satin noir. Je savais qu’elle allait s’énerver : le résultat était chic, comme elle le souhaitait, mais malheureusement pour elle, très sexy, surtout une fois perchée sur mes talons. La dernière fois que j’étais allée à son bureau, elle m’avait reproché mon jean troué, alors c’était une petite revanche personnelle.
J’ai attaché mes cheveux à l’aide d’une pince puis j’ai pris la voiture. Une dernière inspection dans le rétroviseur pour s’assurer que le dessin de mes lèvres soit parfait et j’étais partie.
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Mon ex m’avait saoulée toute la matinée avec ses histoires de nouvelle vie tellement plus heureuse avec son Marc. Pour ne parler que de ça, je travaillais beaucoup trop ces derniers temps et il y avait deux mois que je n’avais pas fait jouir une femme ! Sur mon temps libre, toutes mes pensées tournaient autour du sexe. Quand une belle demoiselle passait dans la rue, mes yeux restaient toujours plusieurs secondes à ne regarder que leurs fesses rebondies, où leurs seins volumineux. J’avais tout du pervers habitué des sites internet coquins, n’ayant plus pratiqué la drague dans les bars depuis quelques temps.
Il fallait que je me ressaisisse et vite. Je ne passais quand même pas mes heures à faire en sorte d’être beau et endurant à la musculation pour mon simple reflet dans le miroir !
Assis à mon bureau depuis 8 heures, il était presque 11, j’ai eu envie d’aller me balader sur internet, au lieu d’aller prendre un café avec les collègues et leur pseudo-empathie à propos de ma séparation. J’ai commencé à lire quelques histoires érotiques en douce.
Ma patronne n’était pas commode, avec ses tailleurs gris souris et son air peste, et surtout dans le bureau juste à côté. Elle me les avait encore cassée ce matin à propos d’un dossier qu’elle ne trouvait pas.
Lire ces histoires m’a requinqué. J’avais des mots crus plein la tête, et une furieuse envie de baise, car c’était bien le mot.
C’est à ce moment que j’ai entendu le bruit claquant d’une paire de talon. Évidemment, je me suis tournée vers le couloir. Au travers des stores de mon bureau, j’ai pu admirer une belle jeune fille, mais surtout une belle paire de fesses. A chaque pas, sa jupe dévoilait leur forme, elles étaient toutes serrées sous le tissu beige. Aucune marque disgracieuse d’une éventuelle culotte… Et mon imagination se mit à voltiger. A voir mes autres collègues, ils pensaient à la même chose. Même les filles de l’accueil se sont retournées sur son passage. J’ai ignoré mon érection grandissante. Bander en voyant une simple paire de fesses… je devais vraiment être en manque.
J’ai ouvert la porte de mon bureau pour l’interpeller, un sourire voulu charmeur aux lèvres :
« Excusez-moi, Mademoiselle, vous avez un rendez-vous ? » Lui dis-je, ne parvenant pas à détacher mes yeux de sa gorge généreuse.
Sans même avoir vu ce qui se cachait sous ses vêtements, j’étais en proie à la certitude que nue, elle était parfaite. Mes yeux ne voyaient qu’à travers ses vêtements. Ses seins moulés comme deux belles pommes, son ventre plat et sa chatte charnue. Ses jambes étaient fantastiques, et ses lèvres… mon dieu ses lèvres étaient divines.
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En sortant de l’ascenseur, j’ai été happée par le silence des bureaux, seulement troublé par le bruit d’une photocopieuse, et d’une discussion à voix basse près de la machine à café. Quand je suis passée devant cette dernière, les voix se sont arrêtées. Deux hommes d’âges murs me regardaient. J’avais conscience d’être une fille jolie, mais j’avais peut être choisit une jupe un peu trop moulante, finalement. Le but n’était pas de passer pour une salope non plus. Sans même passer par les filles de l’accueil, qui m’ont d’ailleurs réservée un regard accusateur réussit, j’ai parcouru le couloir jusqu’au bureau de ma mère. Les regards se tournaient derrière les vitres. Arrivée au bout du couloir, on m’interpella.
« Excusez-moi mademoiselle, vous avez un rendez-vous ? »
La première chose que je me suis dit en me retournant c’est « joli sourire ». Mais j’ai vite remarqué qu’il était surtout bien battit, la trentaine, à peine. Il était facile de remarquer que ses beaux yeux ne savaient plus où se poser. Le regard de tous ces hommes commençaient même à me faire un petit quelque chose.
Il était vraiment craquant. Et puis, cette histoire de rendez-vous était un prétexte flagrant. C’était l’accueil qui s’occupait de ça. Cette situation m’excitait, ou plutôt cet homme-là, m’excitait. Avec sa barbe de quelques jours et ses yeux bleus, son corps bien entretenu et son assurance. Il devait surement dégager des sortes de phéromones comme on voit à la télé, et qui venait parfaitement stimuler ma libido via mon odorat. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, surement quelque chose de chimique là-dessous encore, mais je lui ai répondu, avec un air d’enfant sage :
Non, pourquoi, il m’en faut un ?
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Pas nécessairement, mais Madame F. est en rendez-vous. Entrez dans mon bureau, je vais la prévenir.
Elle a fait demi-tour pour venir vers moi, je lui tenais la porte ouverte. Quand elle est passée à deux centimètres de moi, j’aurais eu envie de serrer ses belles fesses contre ma verge dont elle était si proche. En y pensant j’eus une nouvelle bouffée d’émotion dans le bas ventre.
En refermant la porte, j’ai vu mes collègues la suivre du regard, l’air dégouté que ce soit dans mon bureau qu’elle entre. Mon collègue le plus proche à même commencé à mimer à son insu une sensation de forte chaleur.
La porte fermée, je suis allé m’assoir sur mon fauteuil en me forçant à la quitter des yeux. Je lui ai proposé un siège devant moi, mais, à ma grande surprise, elle s’est assise sur le coin de mon bureau, posant une pochette verte et son sac à main. Elle a retiré son foulard, emplissant la pièce d’une douce odeur de parfum, puis elle l’a posé sur le dossier d’une chaise. Elle regardait un à un les crayons posés là, comme une petite fille qui touche à tout. Elle a tourné son regard dans le mien. Quelques secondes se sont écoulées.
Bon, et ce rendez-vous ? J’attends ! Dit-elle l’air taquin, elle savait très bien ce qui se jouait dans mon esprit et avait décidé de s’amuser. Je le sentais.
J’ai décidé alors de ne pas me laisser marcher sur les pieds. J’ai pris une posture décontractée sur mon fauteuil et j’ai commencé à caresser mes mains l’une l’autre. Je la regardais, l’air du mec qui réfléchit. Le langage corporel, maître de toutes les dragues.
– Très bien, pourquoi avez-vous besoin de voir Mme F. ?
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Mine de rien, et derrière mes airs indifférents, je l’observais en douce, où en tout cas avec plus de tact qu’il n’en faisait preuve. Son beau regard était insistant, et avait réussi l’espace de quelques secondes à capter toute mon attention. Cette manie de caresser ses mains… ça m’a un peu secouée dans le ventre. Est-ce que je me faisais des films ?
J’ai besoin de la voir pour des raisons personnelles, pouvez-vous lui dire que je l’attends ?
Il s’est levé de son siège, et s’est assis sur le coin opposé du bureau. Quelle prestance… Un bel homme dans toute sa splendeur. Je ne savais absolument pas ce à quoi je m’étais attendue en entrant dans ce bureau, mais pas à ça, ou plutôt pas de manière aussi directe.
Ainsi à mon niveau, et assez proche à dire vrai, il a, répondant à l’appel de ses envies sans doute, pris entre ses doigts une mèche de cheveux qui était sortie du droit chemin, à mon image. Avec ce rapprochement soudain, plus qu’une envie parcourait mon esprit, qu’il me prenne, moi, jeune fille indisciplinée.
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Je ne sais quelles ailes m’avaient poussé à faire ce geste si intime, et j’ai cru, l’espace d’une seconde qu’elle allait me jeter. Elle n’en fit rien, et, c’est à ce moment que l’excitation est montée pour de bon. J’ai même cru lire un certain trouble dans sa respiration régulière, mais contenue. J’ai placé cette fameuse mèche de cheveux derrière son oreille mais mes doigts ont continué doucement leur caresse derrière d’abord puis dans le cou de la demoiselle :
Qui dois-je annoncer ? Lui ai-je dit, doucement, tout à mes occupations.
Quelle belle peau, si douce… Cette gorge si belle. Elle a eu un frisson. Qu’est-ce que je faisais là ? J’avais complètement oublié le travail que j’avais à faire. Ma morale était bien loin et ces derniers remords en étaient le dernier souffle. Ses lèvres étaient proches et des images très osées se sont imposées à moi. Son chemisier enfermait sa poitrine comme dans une prison, parfaitement rond. J’ai souris en remarquant que depuis qu’elle était entrée dans le bureau, deux petites pointes s’étaient hérissées en leur centre. Elle pointait la coquine, je n’avais plus aucun doute à avoir concernant son consentement aux pensées obscènes dont elle était l’héroïne. Elle ne disait rien, ne bougeait pas. Alors, ne pensant plus aux conséquences ni même à l’endroit où nous étions, j’ai glissé ma main plus bas dans son décolleté. Mon pouce est venu caresser le dessus de ses mamelons tièdes et fermes. C’était si bon. Replongeant dans son regard, comme pour obtenir son approbation, je l’ai vu à ma merci, les épaules penchées en arrière, appelant mes caresses. S’en était trop. J’ai pris un de ses seins glissant sous le tissu de satin dans ma main, puis l’autre. Je me suis rapprochée d’elle, et je me suis penchée dans le creux de son cou. Sa jeune peau parfumée était sensationnelle. Mon désir fit de mes quelques bisous timides une véritable attaque de sensualité, poursuivit d’une offensive féroce et sauvage. J’aurais voulu lui donner de la douceur, mais il était impossible de me retenir de la dévorer. Si jeune, si belle. Je retrouvais mes vingt ans. Mes mains alternaient entre la caresse, le massage et le pincement des tétons. Avec de plus en plus de force, du à mon excitation toujours grandissante. Excitation fort encouragée par les petits bruits de satisfaction que donnait ma belle. Je me suis placé devant elle, toujours à demi assise sur le bureau.
Mes gestes ont encore redoublés d’intensité quand j’ai senti monter sa main le long de ma cuisse. C’était à mon tour de pousser la chansonnette. Quand ses doigts sont passés sur ma queue, j’ai immédiatement, comme un réflexe, embrassé ses lèvres. Sa langue humide est venue à la rencontre de la mienne pour un baiser d’une extrême puissance. Sa main partait à la reconnaissance du pieu qui l’attendait, celui-là même qui allait finir dans peu de temps, au profond de sa chatte brulante, la planter sans pudeur. Elle s’offrait à moi comme une fleur qu’il suffit de cueillir. Pas n’importe quelle fleure, la plus belle du jardin, éclos du matin même.
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Il y avait une question qui me revenait à l’esprit sans arrêt. Qu’est-ce que j’étais en train de faire ? D’une minute à l’autre, j’allais lui demander d’arrêter.
Mais, je n’y arrivais pas… Il savait tellement y faire. Ça se répétait, mais qu’est-ce que j’étais en train de faire ? Ma mère était dans le bureau juste à côté et m’avait reproché justement le matin même de coucher avec des inconnus. Et aujourd’hui, un homme était en train de me toucher les seins. C’était troublant, mais tellement bon. Et puis, je l’avais bien cherché. Sa langue était exquise, elle était bonne et douce. Elle était horriblement excitante. Pourtant je me refusais encore à lâcher prise. Mon corps frissonnait sous ses mains, il était habile, jamais je n’avais connu de telles caresses. J’en prenais secrètement quelques notes.
Quelques instants auparavant, j’avais craqué et voulu aller à la rencontre de son membre viril. Je l’avais regretté aussitôt trouvé, car pour m’en défaire à présent il m’aurait fallu une dose de volonté de beaucoup au-dessus de mes forces. Mon excitation était montée d’un cran à son contact. Le lâcher-prise n’était plus si loin. Je sentais ma respiration s’accélérer, et regardant par-dessus son épaule, la personne dans le bureau en face, nous mater sans en perdre une miette.
D’un coup, regardant un endroit que notre vue ne pouvait pas atteindre, il me fit quelques signes affolés. J’avais ma petite idée sur ce qui allait se passer si quelqu’un nous surprenait, surtout si cette personne était ma mère ce qui semblait être le cas, vu les gestes de plus en plus paniqué de mon sauveur. Un peu brusquement, je me suis dégagée de son étreinte.
Quelqu’un arrive… vas t’assoir, vite.
Je ne crois pas qu’il ait compris grand-chose, mais il s’est exécuté dans la précipitation. Je me suis assise sur un siège devant le bureau et fit mine de poser une question. Mon entre-jambe était brulant et inconfortablement mouillé. La première qui m’est venue a été :
Qu’est-ce que c’est que cette histoire de rendez-vous ? Vous me faites mouille.. euh, attendre pour rien !
À ce moment j’ai rougis jusqu’aux oreilles… Ce lapsus-là, je ne l’avais pas mérité. Que le dieu de l’ironie m’achève à présent.
Il n’a pas pu retenir un éclat de rire et malheureusement pour moi, il était encore plus beau comme ça.
Alors, comme ça, tu mouilles, ma belle ?
Pour casser la glace à mon insu, j’avais été plutôt douée sur ce coup-là. Cependant, la glace en personne à frapper à la porte du bureau. Je me demandais quelles réactions il aurait au moment d’apprendre que j’étais la fille de la patronne.
Il est allé au-devant de la porte, qu’il a ouvert, non sans jeter un dernier coup d’œil à mon décolleté.
Eric, j’ai besoin de votre aide…
De même, j’ai ici une personne forte sympathique qui souhaiterait vous rencontrer. Je l’ai fait attendre dans mon bureau le temps que vous finissiez votre entretien.
S’apercevant de ma présence, et un peu surprise elle dit :
Je ne comprends pas, Eric, Anaïs est ma fille, elle aurait pu rentrer à tout moment sans problème.
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Je me suis tournée vers elle, un brin affolé. Sa fille ? Mon dieu, dans quoi je m’étais fourré ? La moitié de l’équipe l’avait vu entré dans mon bureau. Pourquoi avait-il fallu que ce soit sa fille ? Autant dire que les deux femmes ne se ressemblaient pas du tout de caractère. Voilà ce qui arrive quand on réfléchit avec sa queue, me dis-je. J’ai gardé un sourire de façade :
Oh, elle ne m’en avait rien dit… Pourquoi vous ne me l’avez pas dit, mademoiselle ?
J’étais partagée entre l’amusement et la crainte.
Vous ne m’en avez pas laissez le temps… Eric. Maman, je viens d’arriver ne t’inquiète pas.
Tu as le dossier, ma puce ? Viens dans mon bureau. Eric, je vous retrouve plus tard, la réunion est dans une demi-heure. Ne soyez pas en retard.
VLAN.
Elle a claqué la porte, comme à son habitude.
Anaïs m’a jeté un dernier regard par-dessus l’épaule. A peine le couloir de nouveau vide, j’ai poussé un soupir de soulagement. Mes mains tremblaient, à la fois d’excitation et de terreur, il s’agissait de mon travail, de la garde de mon garçon. Mais aussi de cette petite jeune vulnérable et si facilement en proie à l’excitation, cette fleur, prête à être cueillit.
Trop d’émotion m’envahissait, et je n’ai pas pu retenir un petit rire nerveux. J’étais comme un adolescent surpris en train de se masturber dans sa chambre. Je me suis assis derrière mon bureau pour repenser à tout ça. Le regard un peu vague, je regardais ce bureau dans lequel avait abrité la plus ravissante des créatures qu’il m’est été donné de toucher. Son parfum était encore présent. Balayant la pièce du regard, mes yeux se sont posés sur le foulard qu’elle avait oublié. Je l’ai pris et l’ai approché de mon visage. Exactement comme avec un vaccin, son odeur à réveiller ma virilité. Elle m’avait rendu FOU. Quel était ce jour du calendrier dont je devrais me souvenir à l’avenir ?
Le mur qui séparait mon bureau de celui de ma patronne était fin. Je les ai entendu élever la voix de l’autre côté. L’image d’Anaïs en colère m’a donné le sourire. Dans le bureau d’en face, mon collègue se branlait doucement sous son bureau, les yeux fixés sur son écran.
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Je suis entrée à sa suite dans son bureau. La conversation est vite passée du côté obscure au moment où elle a fait une remarque sur la façon dont j’étais habillée :
Je refuse que tu t’habilles comme une putain, tu m’entends ?
« Tu m’entends », elle adorait dire ça. Sa phrase m’a vraiment blessée, je savais que je n’étais pas ce genre de fille, mais elle, elle en était persuadée. Elle me regardait avec ses airs supérieurs de bourgeoise coincée.
Je ne suis pas habillée comme une putain, tu délires, maman, ça s’appelle être sexy, toi, tu ne connais pas ça. Tu m’étonnes que Papa t’es trompée. Et oui, je fais l’amour, je me touche le soir aussi, oui, ça me fait du bien ! Tu devrais essayer de temps en temps.
Sur ces paroles, c’est furax que j’ai claqué la porte. Je me suis souvenue de cette écharpe que j’avais oubliée dans le bureau d’Eric. Mes joues étaient en feu, et quand je suis entrée, il tenait mon foulard dans sa main. Je n’avais plus envie de tout ça. Alors, sans trop le regarder, me doutant que j’avais du parler assez fort pour qu’il entende le moindre de mes paroles, j’ai repris mon écharpe d’un geste sévère, et je suis sortie.
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Quand elle est entrée, j’ai trouvé son air rebelle assez amusant. Ses gestes vifs faisaient cogner ses seins entre eux et sa démarche pressée agitait son petit cul juste sous mes yeux. Elle est partie en récupérant son foulard, et je suis resté là, comme un con, ma queue à l’étroit dans mon boxer. Alors qu’elle attendait nerveusement l’ascenseur, je me suis posé un tas de question. Elle y est entrée. La porte s’est refermée, et une réponse m’est apparue. J’ai quitté mon bureau en trombe, descendu les marches de l’escalier jusqu’à l’étage inférieur et appelé l’ascenseur. J’avais peur de l’avoir raté, mais les portes s’ouvrir sur une Anaïs furax. Son parfum emplissait l’air de nouveau.
Qu’est-ce que tu fais ? m’a-t-elle demandé, plus surprise qu’énervée.
J’ai attendu que la porte se referme et j’ai fait monter l’ascenseur au douzième. Suffisait plus qu’à espérer que personne ne l’appel avant d’arriver là-haut. La boite du dernier étage avait fermée récemment, c’était ma chance.
Elle était là, ne sachant pas si elle devait rire, s’enrager, ou s’enfuir. Je voyais ses lèvres s’ouvrir et se refermer, cherchant quoi dire ou quoi faire. Je n’ai pas attendu plus longtemps, je l’ai embrassé. Elle essayait de se défaire, de garder son air énervé. Mais, j’ai continué, mes mains fermement agrippée à sa taille, puis à ses fesses. Toujours pas de signe d’une éventuelle culotte, mais sous mes doigts la couture d’un tangua à dentelle. Elle a commencé par me crier des « arrête ! » mais qui manquait cruellement de conviction. Comme elle continuait, j’ai relevé sa jupe. Elle s’est échauffée un peu plus en me sentant faire. Elle se débattait bien, et j’ai évité une gifle au dernier moment. Toujours personne en vue, arrivé là-haut je devrai trouver quelque chose pour le bloquer. La petite allait s’enfuir si je la laissais seule une seconde. Jamais je ne l’aurais fait si je n’avais pas été sure de son excitation et de son envie de moi. Tout à sa gifle, sa langue tournoyait d’elle même avec la mienne. J’ai décidé d’appeler les grands moyens.
Quand j’ai enfoncé mon index dans sa chatte comme je le pensais, trempée, ses cris ont cessés. J’y ai commencé des vas et vient rapides et profonds et de sa bouche, un « arrête » est resté en suspens, remplacé par un gémissement de plaisir abandonné. Elle dégageait quelque chose d’irrésistible. J’y avais gouté dans le bureau tout à l’heure, je ne pouvais pas rester sans la manger toute entière. Pour elle, j’y aurais mis tout mon savoir-faire.
Sa fureur calmée par mes frais, j’ai desserré un peu mon étreinte, et justement la porte s’est ouverte sur les couloirs désertés du dernier étage. Mon pied est venu bloquer l’ascenseur tout occupé à embrasser Anaïs, qui me rendait mes baisers sans se débattre. Je l’ai quittée l’espace d’un instant pour fermer le verrou des escaliers de l’intérieur et, d’un coup de pied, glissé son sac entre les portes. Je suis retourné dans notre petit espace, le terrain enfin près, j’ai pris ses joues entre mes mains pour glisser ma langue sur la sienne. Une de mes mains ne s’est pas gênée en passant entre ses cuisses et relever l’une d’elle. J’ai levé les yeux pour l’admirer dans cette position, et une fois encore, je l’ai vu offerte. Elle me regardait avec l’air d’une femme troublée, et attendant mes faveurs. Ses deux bras étaient appuyés sur les rambardes métalliques et son dos posé sur la glace teintée de l’ascenseur. Elle était magnifique, et je n’ai pas pu m’empêcher d’embrasser sa gorge offerte.
Elle a ouvert quelques boutons de son chemiser noir en satin. Au vue de cette initiative, je l’ai regardée en souriant. Elle ne riait pas du tout, cassée dans son honneur, et en proie à une forte excitation. Je ne me suis pas fait prier, j’ai dégagé ses seins de leur prison de dentelle, où deux tétons roses semblaient au bord de l’explosion. Des seins, comme prévu et comme je les avais imaginé plus tôt : rond, ferme, exquis. J’ai passé ma langue sur l’un deux, et elle a gémis de nouveau. Sa main s’est posée sur ma nuque pour une caresse appuyée, et rendue ferme par l’envie. Elle s’est adossée dans le coin métallique de l’ascenseur.
Derrière la porte de l’escalier de service, on a tous deux entendu une voix qui disait : «il y a quelqu’un là-dedans ?». Nous l’avons ignorée, et repris nos activités. J’ai continué mes caresses par-dessus son tangua trempé. Mon bassin commençait à faire des mouvements frénétiques et incontrôlés d’avant en arrière tellement j’avais envie de la prendre. Bien entendu, je me suis retenu. Elle, en jeune fille pressée, a commencé à défaire les boutons de mon pantalon. Je ne l’ai pas laissé faire.
Non, attends une minute…
Elle allait ajouter quelque chose, mais je me suis agenouillé sur le sol froid. Mon visage devant sa chatte, j’ai commencé à baisser son tissu protecteur. Il a glissé jusque ses chevilles, qui d’un coup expert, l’ont dégagé dans un coin. J’ai empoigné sa cuisse, que j’ai portée jusqu’à la rambarde. Elle l’a bloquée là. Sa chatte ouverte a encore accentuée mon érection. Elle était brillante de mouille, rose, et bien éclaircie. Pas un poil disgracieux sur ses lèvres charnues. Juste une bande échancrée sur le dessus de son pubis.
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Quand il a commencé à lécher mon clitoris, je ne savais plus où donner de la tête. Jamais on ne m’avait donnée autant de plaisir. Moi qui pensais être vaginale, j’avais tout faux. J’étais un peu gênée de la quantité de mouille qui coulait entre mes cuisses. Le miroir en face, me renvoyait une image de moi des plus osées. Je me sentais petite salope, en train de se faire lécher la chatte dans un ascenseur, qui aimait ça plus que de raison. Quelle épreuve pour ma morale. Sa langue roulait autours de mon clitoris gonflé en une caresse sensuelle et sauvage à la fois. Des frissons parcouraient mon dos auquel j’avais mal du fait de la position, mais je ne pouvais ni ne voulais mettre fin à ce plaisir divin et inconnu qu’il me donnait. Il a aspiré mon clitoris, et je n’ai pu retenir un cri persan. En entendant ça, il a levé la tête en rigolant :
Chuuut…
Il y a quelqu’un ? a répété la voix venant du dessous.
On est resté quelques secondes sans bouger, et son souffle accéléré est venu titiller mon intimité. C’était trop bon, j’ai appuyé sur l’arrière de sa tête pour qu’il recommence, tant pis si l’on bloquait l’ascenseur toute l’après-midi, peu importe si je ne pouvais pas retenir mes cris, peu importe si j’avais l’air de cette putain dont ma mère me parlait tout à l’heure, il fallait qu’il continue. J’aimais ça. J’aimais ça plus que de raison, de morale, de tout ce que vous voulez.
Quand sa langue est revenue lécher ma féminité, je n’ai pu retenir un nouveau gémissement, et encore un autre, puis un autre. De plus en plus fort, de plus en plus difficile à retenir. Il a continué encore, me rendant folle d’ivresse. J’ai cru jouir de la sorte, mais il s’est arrêté. Il s’est relevé et sur le visage de mon agresseur, que j’ai juste eu le temps d’apercevoir, j’ai lu un désir féroce. Il m’a embrassé et j’ai senti ses envies. J’ai redescendu ma jambe, qui me faisait un peu mal.
Il a violemment empoigné mes fesses, comme une griffure. Il continuait de m’embrasser avec beaucoup de douceur pour autant, nos langues emmêlées. J’ai senti son membre en érection contre mon ventre, qu’il pressait fort. Mes seins toujours à l’air libre, eux aussi se pressaient contre sa chemise, que j’ai retiré un peu maladroitement.
Ainsi le torse nu, le bout de mes seins a rencontré les poils de son torse chaud. J’ai terminé de déboutonner mon chemisier, que j’ai laissé tomber sur le sol. Il a pincé avec force mes tétons. Et j’en ai eu des picotements dans tout le corps. Mes genoux se sont pliés sous la douleur et le plaisir.
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Je l’ai senti gigoter sous l’excitation, je ne pouvais pas retenir mon sourire en la voyant comme ça. Ses tétons étaient son point faible. Le moindre de mes effleurements la rendait dingue. J’avais une petite envie qui me torturait l’esprit depuis quelques minutes. Je voulais regarder son petit cul bien ferme gigoter lui aussi. Je l’ai embrassée une dernière fois, puis je l’ai retournée. Elle a suivi docilement mes envies.
Une fois de dos, j’ai commencé par la prendre dans mes bras. Notre reflet nous donnait l’image de deux amants fous, se dévorant l’un l’autre. Nos corps étaient collés et je sentais ses fesses sur mon pantalon. Mes canines mordaient ce cou délicat tandis que mes mains avaient chacune un téton a pincer. L’expression de son visage en disait beaucoup sur l’effet que je lui faisais. Je n’y voyais plus la jeune fille fragile, mais la femme forte et sensuelle qu’elle était. A chaque fois que je cueillais ses petits bouts de chair, sa croupe se tendait, comme un réflexe animal, elle venait presser ma verge, l’excitant encore plus, si c’était possible. J’ai dégrafé le soutient gorge qu’elle gardait autours de la taille et il est tombé sur le sol, parmi son chemisier et son tangua. J’ai relevé sa jupe qui était descendu, pour admirer ses fesses qu’elle avait si jolies. Je l’ai fait reculer légèrement, puis incliner le dos.
J’ai pu, à mon grand plaisir les toucher comme bon me semblait. L’excitation lui donnait la bougeotte, et quand ma main est passée à proximité de sa chatte humide, elle a écarté ses cuisses pour que j’y ai un plein accès. Dans cette position, elle était vraiment ravissante… que dis-je, bandante. J’ignorais comment elle allait le prendre, mais je me suis permis une petite claque. Un peu surpris, je l’ai entendu ronronner de plaisir. Elle m’a regardé par-dessus son épaule, ça lui avait plus apparemment.
T’aimes bien ça ?
Elle m’a sorti un de ses sourires les plus coquins. C’est qu’elle en devenait presque attachante. Je n’ai pas résisté, et j’ai claquée son autre fesse, plus fort cette fois.
A moi, on me fait pas des sourires comme ça sans conséquence, ma jolie.
Ma fessée l’a fait gémir. Elle me tendait encore sa croupe, comme quand je pinçais ses tétons l’instant d’avant. Ma claque avait fait rosir sa peau. Elle savait qu’elle me rendait dingue, alors elle a commencé à faire bouger ses fesses sur ma queue.
D’accord j’avais l’expérience, mais résister à ça ? Impossible. Mes grognements de satisfactions ont envahi l’ascenseur.
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Je n’en pouvais plus, j’avais besoin d’une pénétration vive et bien profonde. Dans le reflet du miroir, j’ai vu Eric retirer son pantalon, qui est tombé en accordéon à ses chevilles. J’ai cru rêver en apercevant sa verge au-dessous du tissu du boxer, elle était d’une taille normale et tout à fait honorable, mais elle était surtout énorme de diamètre. Quand il l’a retiré, entre mes cuisses à coulés une nouvelle vague de plaisir. Il a approché son gland de l’entrée de mon vagin, avec lequel il jouait, c’était une torture. Je n’avais plus du tout envie de jouer. J’ai donné un coup de rein pour que son pieu entre enfin au profond de mon intimité. Il ne devait pas si attendre car son plaisir à gronder dans l’ascenseur. Moi, de mon côté, je n’avais pas retenu mon cri non plus. Mes lèvres s’étaient écartées au maximum pour le recevoir et c’était fantastique. Je me sentais comme transpercée par le plaisir, mes jambes en tremblaient.
Au loin, on entendit des coups frappés sur les portes de l’étage inférieure et quelqu’un crier : « ça suffit, sortez de cet ascenseur maintenant, je vais appeler la sécurité ! »
Pour répondre à ça, Eric a retiré sa verge, puis d’un coup sec l’y a remise jusqu’à la garde. Je n’ai pas pu retenir un nouveau cri de plaisir. Ainsi bien au fond, il a claqué mes fesses. C’était trop bon, il aurait pu me faire ce qu’il voulait, j’aurais dit oui. Il a, doucement d’abord, commencé des petits vas et viens qui, chaque fois qu’ils touchaient le fond de mon intimité, me procurait une sensation de chaleur au niveau du ventre et des frissons le long de ma colonne. Ma chatte n’avait jamais reçue une aussi grosse queue. Il a commencé à faire de longs mouvements du bassin, pour une pénétration sensationnelle. Il a pris appuie sur mon épaule pour bien l’amener jusqu’au fond, je ne répondais plus de moi. L’ascenseur commençait à grincer, et bouger au rythme de ses coups de hanches.
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Sa chatte se serrait sur mon pilon qui martelait ses fesses de plus en plus fort. Il n’était plus question de se retenir, plus question de rien. Je l’entendais s’époumoner, et ses cris raisonnaient dans notre cage de glace et de métal. Chaque paroi me renvoyait l’image de ma belle, tendant la croupe et hurlant son plaisir. Tout en enfonçant ma tige au plus profond, je suis allée chercher ses deux seins qui bougeaient dans le mouvement. J’ai pincé ses tétons, et si en bas ils n’avaient pas encore appelés la sécurité, ils le faisaient surement en ce moment. Je l’avais cueillis, elle était là, sous mes yeux dans toutes sa splendeur, son visage marqué par le plaisir se reflétait dans le miroir. Ses deux fesses magnifiques subissaient mes pulsions correctrices. Je prenais un plaisir fou à la sentir réactive à mes gifles au bruit si mat. Le sourire sur son visage et les cris qui redoublaient me rassuraient quant à son plaisir. C’était ma salope, ma petite putain.
Regarde toi, souviens toi comme tu me chauffais dans mon bureau tout à l’heure… Tu en veux, hein ?
Elle m’a répondu quelque chose d’inaudible, ayant accompagné mes paroles d’une plus grande intensité encore dans les mouvements de mon bassin. Je lui défonçais sa petite chatte inondée, la rendant folle et surtout incapable d’en placer une. Encore et encore. Son corps ainsi offert m’a rendu fou. J’avais dans la tête des mots crus à n’en plus finir. Mon ex ne m’autorisait jamais à les lui dire quand nous faisions l’amour. Mais Anaïs, elle, avait juste l’air d’en redemander. J’étais un peu hésitant, mais un gémissement particulièrement sexy a eu raison de moi, elle était tellement bonne, elle mettait tout en œuvre pour me rendre fou :
Ça te plait d’être prise par derrière comme une trainée ?
J’ai accompagné cette dernière phrase d’une fessée, à laquelle elle a répondu en cambrant les reins, son petit trou bien exposé. Elle a relevé la tête, en bonne chienne obéissante.
Sans vouloir aller plus loin, j’ai humidifié mon pouce avec ma langue et je le lui ai enfoncé dans le cul. Ainsi crocheté, je la faisais s’agiter de plaisir.
Loin, très loin, j’entendais des échos de cette même personne qui voulait absolument prendre l’ascenseur. Mais qu’elle prenne l’escalier et qu’elle arrête de nous les casser. Je ne l’entendais plus de toutes manières, tout occuper à polir la chatte et le cul de cette petite allumeuse.
Tu peux plus t’enfuir, maintenant. Je vais te faire jouir. Et quand tu auras jouis, tu pourras partir avec mon sperme qui coulera dans ton tangua, entre tes deux jolies petites fesses bien serrée sous ta jupe de salope.
Ça a fait son effet et à chaque pénétration elle m’adressait un « oui » toujours plus aiguë, comme une belle chanson. Oui, elle était ma salope, oui elle allait jouir, oui elle voulait que mon sperme explose entre ses cuisses.
Elle allait vraiment jouir, sa chatte était tellement étroite et ses plaintes tellement lointaines que je l’ai deviné.
J’ai ralentit la cadence, au summum de notre excitation. Ses jambes tremblaient du fait de leur position. Je me suis retiré pour la faire pivoter. Son beau visage était ravagé par son appétit, toujours aussi belle.
Nous étions face à face, j’ai porté ses fesses et elle est venue s’agripper autours de mes hanches. Enfin, je l’avais tout contre moi. Ainsi en équilibre instable, juste dans mes bras, Elle est descendue habilement le long de mon ventre, et mon sexe à l’entrée de son vagin a commencé à glisser sur les parois gonflées de sa chatte sans même avoir besoin d’assistance. Ainsi au plus profond de son intérieur, elle a crié, juste sous mes yeux. Mes seuls efforts consistaient à garder notre équilibre. Elle, la vingtaine, se déchainait de haut en bas, se limant la chatte sans l’aide de personne.
Oh, continue de me dire tout ça, s’il te plait.
Suite à un coup un peu trop violent, nos corps ont basculé contre un des murs de l’ascenseur. J’en ai tiré profit pour l’assoir dans un coin, sur la rambarde. Ses deux jambes toujours serrées autours de moi, je l’ai embrassée et ma langue est venue étouffer ses cris. Ensuite, j’ai mis mon majeur sur sa langue et automatiquement, elle a commencé un mouvement de succion autours de mon doigt. Si elle suçait avec autant d’ardeur, j’avais peur d’avoir raté quelque chose. J’ai répondu à son appel :
– Mmh, t’as l’air d’adorer sucer les pines de tes petits camarades, je me trompe ? Réponds pas, continue, continue a serré tes jolies lèvres sur mon doigt, celui que j’ai enfoncé dans ta chatte tout à l’heure, tu t’en souviens ?
Je sentais que j’allais venir, j’ai accentué la pression sur son clitoris, pour qu’elle vienne elle aussi. Sa chatte enflée se serrait encore. Elle a écarté mon doigt de sa bouche, mais je l’y ai remis, j’en ai mis deux. Si elle les avait écartés une seconde fois, je l’aurais laissé faire, mais elle a continué à sucer, comme la petite chienne qu’elle était. Elle me regardait avec des yeux persans, presque suppliants. De grands coups résonnaient contre les parois de l’ascenseur, je sentais que j’allais craquer, elle a retiré mes doigts une deuxième fois pour me crier, comme une excuse :
Eric, je vais jouir !
Je viens aussi, ma belle…
Il ne s’agissait plus de mots crus, mais de jouissance. D’un homme et d’une femme. Je me suis senti tout aussi vulnérable qu’elle en cet instant.
J’ai atteint un point de non-retour, et tout à ses cris, sa chatte s’est serrée en une étreinte pleine de sensualité sur mon membre en fusion. J’ai fait des petits mouvements très profonds, et très rapprochés pour lui laisser le loisir de jouer de son bassin, et faire frotter son clitoris à sa convenance sur mon bas ventre. Mon sperme giclait au fond de sa chatte en autant de jet qu’il était possible d’émettre. Mon corps parcouru de spasmes.
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Au moment où son dard à giclé au fond de ma vulve, mon clitoris stimulé par son bas-ventre a comme explosé. Les parois de mon vagin ont commencées par se serrer en une étreinte presque douloureuse autours de ce sexe si gros. Il se serrait, encore et encore, jamais ça n’avait duré aussi longtemps avec les autres. Il s’est serré, jusqu’à jaillir, une sensation tout à fait impossible à retranscrire. Tout mon bassin semblait sous l’emprise de cette dynamite et cette même explosion s’est propagée comme un retour de flamme de mes orteils jusqu’à ma nuque. Mon dos était moite et mon corps tétanisé par nos ébats. Je me sentais privilégiée dans ses bras. C’est à moi qu’il avait donné tout ça.
Ma jouissance m’a parue inépuisable et ma chatte a lâchée une quantité de mouille phénoménale, dont le bruit de l’écoulement sur le sol est venu accompagner notre souffle court. Une petite flaque était en train de se former sous nos pieds. Je savais ce qui allait arriver, tout en le redoutant amèrement. Je me connaissais assez pour savoir qu’après un orgasme pareil, mes nerfs lâchaient. Après quelques petites secondes de répit pour reprendre nos esprits, ce que je redoutais arriva.
Le premier éclat de rire est tombé, j’étais incapable de le retenir, riant comme une imbécile. Ça m’était déjà arriver à quelques reprises et j’espérais vraiment ne pas le mettre mal à l’aise. Mon menton tremblait, comme lors d’un fou rire d’adolescente. De grands éclats, des larmes comme quand on pleure, je lui ai sorti la totale. J’essayais entre deux éclats de lui expliquer ce qu’il m’arrivait mais c’était absolument impossible. Ça l’amusait de me voir rire ainsi et il a attendu dans le calme que la crise passe. Calmée, mais les joues pleines de larmes, il s’est retiré doucement, et une quantité énorme de liquide a coulé de mon entrecuisse.
Nous avons repris nos esprits, nous nous sommes rhabillés puis avons effacé les vestiges de nos ébats sur le sol à l’aide de mouchoirs. Le vieux cendrier qui ne servait plus à servit de poubelle, poubelle pleine à craquer pour tout dire. Fort heureusement, ses vêtements avaient été épargnés, concernant les miens, c’était une autre histoire. Nous nous sommes inspectés l’un l’autre pour admirer le résultat final. Eric a soulevé ma jupe pour «s’assurer que mon tangua n’était pas partie au cendrier lui aussi».
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Tout en lavant l’ascenseur, je réfléchissais à un plan de sortie. Il n’y avait personne au dernier étage, on pourrait sans problème descendre par l’escalier extérieur de secours. J’ai débloqué la porte.
Nous avons déballés les escaliers d’une traite. Anaïs tenait ses talons du bout des doigts, la galanterie m’avait fait passer devant, au cas où elle tomberait. Je me suis arrêté arrivé à la dernière marche, tout essoufflé, pour la cueillir de nouveau dans mes bras cette fois. Je l’ai embrassé, et je suis parti. J’avais bien l’intention de la revoir, mais la matinée avançait mine de rien. Je l’ai regardé une dernière fois… pas du tout comme je l’avais vu la première fois. Mais plus belle encore.
Dans le hall de l’immeuble, Madame F en personne appelait l’ascenseur.
– Mais il fonctionne très bien cet ascenseur regardez… Ah ! Eric, venez avec moi ! C’est bien, pour une fois que vous êtes à l’heure, la réunion est au 11ème étage.
Et, j’y suis allée à cette réunion, non sans rire intérieurement de la présence de Mme F. dans cet ascenseur qui puait la baise, la marque de mes mains plein les miroirs. Pour la première fois depuis que je travaillais ici, Mme F. m’a inspirée de la sympathie juste pour avoir mis au monde la créature que je venais de rencontrer, et dont j’avais encore en tête des images bien vivantes.
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J’étais essoufflée en arrivant sur le siège de ma voiture. Je me suis examinée dans le rétroviseur, et j’ai vu une belle horreur. Nez rouge, yeux gonflés, maquillage coulé, cheveux en bataille. J’avais besoin d’une bonne douche. J’ai consulté mon téléphone, ma mère m’avait laissé un message :
« Salut ma puce, excuse-moi pour tout à l’heure, je voulais pas te blesser. Je suis juste un peu tendue ces derniers temps avec ce dossier à boucler. Vivement que ce soit terminé, et que je puisse inviter mes employés boire un verre à la maison, à ce soir ! ».
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