MADAME BESSON
Livre deux
CHAPITRE 07
Léa entraîna sa prof « bien habillée » dehors… Léa avait décidé d’aller faire des courses dans un centre commercial à quelques kilomètres de là, ainsi personne ne reconnaîtrait son animal. En arrivant sur le parking elle lui répéta qu’elle devait marcher deux pas derrière elle et ne parler que si, Léa lui en donnait l’autorisation. Dès qu’elle commença à marcher sur le parking Mme Besson comprit combien elle était en vue… Sa mini-jupe ne cachait pas ses bas et sa poitrine dansait à chaque mouvement. Ses hauts talons lui donnaient une démarche roulante et ses fesses avaient un air d’invite… Elle aurait voulu courir se cacher dans la voiture mais elle savait que Léa ne l’y autoriserait pas. Avec toutes ces photos et surtout les dernières, elle devait lui obéir, lui appartenir. Leur premier arrêt fut dans la boutique de sous-vêtements. Léa choisit un juste au corps de deux tailles trop petit, ainsi que deux shorts en latex, également trop petits. Léa dit à Mme Besson d’aller se changer et de revenir lui montrer comment cela lui allait.
Mme Besson se déshabilla et passa le juste au corps qui était vraiment trop serré et lui emprisonnait les fesses et le sexe… Son cul semblait vouloir déborder et le tissu rentrait dans son sexe rasé, la faisant souffrir. Elle passa le short en latex et Léa lui ordonna de marcher, de tourner et demanda à la vendeuse comment elle trouvait cela ?
— Cela semble très inconfortable… dit la vendeuse.
— Elle aime porter ses vêtements ainsi ? N’est-ce pas Mme Besson ?
— Oui Mlle Fournier, dit la prof le visage en feu.
— Bien, va mettre tes bas et ta jupe et essaye ce caraco de dentelle.
La pauvre prof se précipita dans l’abri de la cabine, elle s’habilla et dut remettre ses hauts talons. Elle avait mis le top qui la rendait plus respectable et cachait davantage sa poitrine. Elle dut revenir se présenter et tourner dans le magasin.
— Voilà qui lui va mieux, dit la vendeuse.
— Nous allons essayer un modèle une taille en dessous…
Le nouveau chemisier collait à sa poitrine, qu’il mettait bien en valeur… elle semblait presque nue.
— Maintenant cela est mieux, change-toi et viens me rejoindre.
Mme Besson rejoignit Léa dans le rayon des soutiens-gorge.
— Quelle taille, faits-tu, Mme Besson ?
— 95 C, Mlle Fournier.
— Nous allons prendre celui-là, dit Léa en lui tendant un 90 B.
C’était un modèle seins nus… ampli formes, qui soutenait sa poitrine juste en se glissant sous les seins…. Le soutien-gorge, en relevant sa poitrine lui donnait encore plus de volume et ses tétons semblaient vouloir percer le tissu du chemisier… Léa tendit aussi à son prof deux porte-jarretelles et des bas. La vendeuse dit que tout cela n’était pas à la bonne taille, ils étaient trop petits.
— Elle aime ce qui est très moulant, répondit Léa à la place de sa prof, Mme Besson n’avait jamais dépensé autant d’argent pour elle et elle savait que cela ne faisait que commencer… Le magasin suivant était une enseigne très courue par les jeunes filles. Léa fit essayer et acheter à Mme Besson des jupes, des pulls, des chemisiers, tous très courts et une taille en dessous de la sienne. Mme Besson en sortant avait dépensé 400 €, ce qui pour elle était énorme. En sortant, Mme Besson était habillée comme une jeune fille… une jeune fille… mais aussi une prof…
— Ces tenues iront bien mieux avec ta nouvelle image et te feront paraître plus jeune, Mme Besson.
Ces tenues sembleront ridicules portées pour aller à l’école mais ce n’était pas un motif de licenciement… Mme Besson maintenant ployait sous le poids des paquets en marchant dans le hall. En passant devant le restaurant rapide Léa décida qu’elle avait faim. Elle demanda à Mme Besson de lui demander un sandwich poulet et des frites. Mme Besson lui amena sa commande et Léa lui ordonna de rester debout devant elle… les paquets dans les bras. Léa prit du plaisir, à manger mais aussi de l’humiliation de sa prof…
— Si tu veux manger, va chercher, mais n’oublie pas que tu dois tremper…
Bien sûr, Mme Besson n’avait pas faim mais pourquoi son sexe était-il si mouillé ? Lorsque Léa eut finit de manger elles entrèrent dans un magasin de chaussures. Sa jupe aussi courte allait lui poser un problème…
— Je peux vous aider ? dit le vendeur en regardant les jambes dévoilées de Mme Besson…
— Nous cherchons des hauts talons de 10, 15 cm avec des attaches aux chevilles.
— Quelle taille ?
— Quelle taille Mme Besson ?
Le jeune homme alla dans la réserve et revint très vite, les bras chargés de boites. A genoux devant la prof, il commença les essayages. Mme Besson ne pouvait pas garder les jambes serrées pendant les essayages. Elle fut obligée de marcher dans la boutique avec ses talons… les chaussures étaient soit trop hautes, soit trop petites… Et le pire de tout, c’est que son sexe ouvert était littéralement trempé.
— Vous n’auriez pas des talons plus hauts ?
Le vendeur fut heureux d’aller chercher d’autres modèles. Sa bite en érection se voyait beaucoup sous son pantalon…
— Tu te rends compte de l’effet que tu fais à ce pauvre jeune homme ?
Mme Besson aurait voulu crier.
— Oui Mlle Fournier.
— Peut-être serais-tu heureuse de sucer son sexe, Mme Besson ?
— Non Mlle Fournier.
Pourtant elle savait que le vendeur était en train de bander pour elle et cela lui plaisait,
— Mais tu me disais que tu aimais faire des pipes, non ?
— Oui Mlle Fournier.
— Oui, mais peut-être que cela pourrait nous permettre de faire des économies…
— S’il vous plait, non Mlle Fournier.
— Bien, nous verrons.
Le vendeur revint avec d’autres chaussures.
— Essayez-les à cette dame…
Le vendeur se mit à genoux devant Mme Besson et fit en sorte de regarder les cuisses ouvertes. Il voyait parfaitement l’absence de slip sur le sexe rasé. La vue était imprenable, il pouvait voir son magnifique abricot ouvert. Il aurait aimé glisser une main sur le minou de Mme Besson.
— Marchez un peu, Mme Besson,
— Mme Besson, il semblerait que tu te sois assise sur quelque chose… dit Léa d’un air innocent, en pointant du doigt une tache sur la jupe de Mme Besson et une flaque sur la chaise…
Mme Besson devint écarlate et ses jambes se mirent à trembler.
— Vous auriez quelque chose pour nettoyer cela ?
Pendant que le vendeur se précipitait dans la réserve, Léa se tourna vers Mme Besson.
— Laisse-toi faire, ne dis rien !
Il revint avec une cuvette et une éponge.
— Vous pourriez nous aider ?
Bien évidemment, qu’il le voulait bien… Il profita de l’occasion pour bien regarder les jolies jambes de Mme Besson et son intimité nue…
Léa se décida pour 10 paires de hauts talons… Il y en avait encore pour 400 €… Mme Besson maintenant croulait sous les paquets, elle était courbée, sa jupe remontait sur ses fesses et la tâche sur sa jupe était très visible…
— Encore un arrêt avant le repas, Mme Besson.
Elle quitta le parking et s’arrêta devant une boutique d’articles érotiques.
— Voici une liste d’achats que tu dois faire et n’hésite pas à demander conseil au vendeur.
Mme Besson lut la liste, elle ne connaissait pas la moitié des articles demandés.
Un gros plug anal, un jeu de pinces à seins avec des chaines, une paire de menottes pour les mains, une pour les chevilles, deux muselières dont une avec une balle, un fouet de cuir souple, des boules de geisha, un tube de lubrifiant et un godemiché à ceinture. Elle jeta un regard autour d’elle, il n’y avait que quatre autres voitures garées.
— Dépêche-toi, Mme Besson !
Mme Besson sortit de la voiture et devint le centre d’intérêt de quatre jeunes hommes dans la boutique. Elle se dit qu’il valait mieux demander conseil, afin de ressortir le plus vite possible. Mme Besson remarqua l’odeur de mouille qu’elle dégageait et la tache sur sa jupe. Une jupe si courte et sa poitrine presque nue en explosion… Mme Besson tendit la liste au vendeur qui la parcourut en souriant.
— C’est pour vous tout cela ?
— On m’a ordonné de les acheter.
— Qui donc, votre mari ?
Mme Besson, ne savait que dire…
— Un ami.
Il sortit de derrière la caisse, passa son bras autour de la taille de Mme Besson et l’entraina dans le magasin. Il allait de rayon en rayon, lui soulevant la jupe, il ne manquait pas une occasion de lui caresser la chatte et les fesses. Mme Besson se laissait faire en sentant la main sous sa jupe qui la doigtait. Elle se sentait horriblement gênée et quand enfin, elle eut payé plusieurs centaines d’ €, elle se dirigea vers la sortie…
— Reviens quand tu voudras, poupée… dit le vendeur en le regardant d’un air vicieux.
Elle posa les courses dans la voiture.
— Met le petit Plug anal et le lubrifiant dans ton sac.
Mme Besson fit ce que son élève lui ordonnait.
— Bien, allons manger, j’ai faim. Nous mangerons Italien dit Léa en se garant devant une pizzeria.
Elles s’assirent à une petite table, Léa commanda des pâtes pour elle et une salade sans sauce et un morceau de pain pour Mme Besson. Mme Besson s’y attendait un peu, mais elle fut horrifiée par l’ordre de Léa.
— Va aux toilettes, prend le lubrifiant et le petit plug et met le dans les fesses. Mais bien au fond, il ne doit pas tomber !
Mme Besson se leva et prit son sac.
— Laisse ton sac ici, ne prend que ce que je te demande. Les mots claquent comme un coup de fouet.
— Mais…
Mme Besson, prit le Plug et le lubrifiant dans sa main, et traversa la salle aussi vite que possible. Elle se précipita et repensa à sa situation. Elle avait été une respectable prof et maintenant elle était là dans le WC d’une pizzeria, habillée comme une prostituée et elle allait s’enfoncer un énorme Plug anal dans son cul vierge….
Elle ne put s’empêcher de pleurer….
CHAPITRE 08
La prof en larmes fut ramenée à la réalité en entendant les voix de deux femmes qui entraient dans les toilettes.
Elle regarda l’énorme plug et se dit qu’une telle chose ne pénétrerait jamais dans ses fesses…
Elle ouvrit le tube et recouvrit largement le plug, elle en fit de même sur son trou…. Elle eut beaucoup de difficulté à faire pénétrer la chose, elle dut forcer et faire tourner la chose qui la violait…
Elle y parvint enfin, cela n’avait pas fait si mal que cela, mais c’était horriblement gênant de sentir ce plug plongé dans son cul…
Soudain sa rondelle s’ouvrit et le plug s’enfonça loin et ses fesses se refermèrent, bloquant la chose en elle.
Elle se releva et pensa que cela était vraiment très, très inconfortable…
Elle remit sa jupe, se lava les mains et se dirigea vers la table où l’attendait son tourmenteur. Chaque pas lui rappelait la chose plantée dans ses fesses.
— Tu as été bien longue, Mme Besson, des problèmes avec ton cul de vierge ?
En rougissant elle répondit,
— Désolée d’avoir été si longue Mlle Fournier.
— Ta salade et ton morceau de pain sont servis. Je veux que tu prennes ce pain et que tu le mettes dans ton sexe trempé de mouille et laisse-le en place, ordonna Léa. La prof horrifiée prit le petit pain et se l’introduisit dans son sexe qu’elle trouva, à sa plus grande honte, trempée de mouille…
— Faites attention qu’il ne tombe pas au sol et mange ta salade avec tes doigts. Les animaux ne se servent pas de couverts !
— Mais…
— Mais quoi ? Mme Besson, sois heureuse que je ne t’oblige pas à tremper chaque feuille de salade, ou que je ne t’ai pas commandé des spaghettis.
Mme Besson commença à manger sa salade avec ses doigts.
— Va chercher ton morceau de pain et met-en un autre à la place.
Mme Besson fit ce que son élève lui ordonnait. Mais elle craignait la suite… Elle essaya d’être la plus discrète possible en plongeant sa main sous sa jupe, sa jupe si courte…
— Mange-le avec ta salade.
Et le repas continua, Mme Besson dû manger trois autres morceaux de pain, elle se rendit compte qu’elle commençait à s’habituer au goût de sa mouille, elle n’était plus écœurée et même…
Léa commanda pour elles deux une glace au chocolat.
— S’il vous plait Mlle Fournier, laissez-moi prendre une cuillère.
— Tu ne peux pas et maintenant ne trainons pas, il faut y aller !
La pauvre prof commença à tremper ses doigts dans le chocolat et à manger sa glace.
Plusieurs personnes la virent faire et la regardaient avec désapprobation.
— Nettoie tes doigts !
Mme Besson suça ses doigts et paya la note.
En arrivant à la voiture avec son plug dans les fesses qui lui donnait une démarche… Elle trouva Léa en train de fouiller dans le sac des courses du magasin pour adultes.
Elle se tint droite devant la portière, attendant l’autorisation de rentrer dans la voiture.
Léa avait trouvé ce qu’elle cherchait, les pinces à seins… Elle se tourna vers la prof et lui dit de soulever son top.
— S’il vous plait, Mlle Fournier, laissez-moi entrer dans la voiture…
— Tu le faits maintenant ou tu passes le reste de la soirée seins nus !
Tournant le dos au restaurant, Mme Besson souleva son tout petit top, montrant à Léa sa jolie poitrine et ses tétons en érection. Léa se mit à gifler les seins de Mme Besson qui serra les dents pour ne pas crier de douleur et risquer d’attirer l’attention sur sa poitrine nue.
Léa fixa la première pince sur le téton droit et la fixa fermement et s’amusa à tirer dessus quelques coups pour vérifier la prise, ce qui fit gémir Mme Besson de douleur.
Léa en fit de même pour l’autre téton.
Elle tirera encore sur la chaîne qui reliait les pinces. Mme Besson gémie de plus belle, la douleur infligée à ses tétons très sensibles était infernale.
— Remet ton top, rentre dans la voiture et met ton collier.
Mme Besson remit son top qui ne cachait pas les pinces à seins avec la chaine qui les reliait et se précipita dans la voiture. Les pinces et la chaine étaient très clairement visibles…
Léa mit la voiture en route et roula jusqu’au magasin ouvert la nuit.
— Va me chercher un paquet de gommes, Mme Fournier.
Mme Besson ne savait quoi faire, son top ultra moulant laissait très bien voir la chaine qui reliait ses seins… Elle savait aussi que le plug dans ses fesses lui donnait une démarche sexy, elle ne pouvait empêcher ses fesses de rouler, tourner.
Elle savait que si elle refusait, cela pourrait être encore pire.
Elle descendit de voiture et aussi discrètement que possible, elle se dirigea vers le magasin.
Heureusement, ici, personne ne la connaissait.
Un des garçons la regarda venir et appela ses copains.
— Hé, les gars, regardez ce qui nous arrive !
Les trois regardaient sa poitrine et le vendeur ne pouvait en détacher le regard.
Un des garçons s’approcha pendant qu’elle payait à la caisse. Montra du doigt les pinces à seins.
— Cela fait mal ?
Mme Besson l’ignora et se dirigea vers la voiture.
Mlle Fournier en sortit et vint à elle,
— Les gars, je vois que vous parlez à mon animal, que lui voulez-vous ?
— Je lui ai demandé si les pinces à seins faisaient mal, mais elle m’a ignoré.
— Pourquoi mon animal ? Répond à ces jeunes gens, après tout, tu ne les caches pas, cela te fait mal ?
— Je suis désolée Mlle Fournier, oui cela me fait mal… dit-elle en baissant les yeux.
— Montre leur à quoi cela ressemble, Mme Besson, relève ton haut.
Horrifiée, Mme Besson releva son top et leur montra sa poitrine.
Elle aurait voulu disparaître sous terre… Elle n’avait jamais été aussi embarrassée de toute sa vie.
— Tirez donc sur la chaîne, vous verrez que c’est bien attaché.
Un des garçons s’approcha et tira sur la chaîne, Mme Besson poussa un cri, sa poitrine était en feu.
— Pas si fort, jeunes gens, n’abimez pas la marchandise. Les gars peut-être voulez-vous les embrasser, pour vous faire une meilleure idée…
— Non, cria Mme Besson.
— Tu as dit quelque chose, Mme Besson ?
Comprenant son erreur, Mme Besson répondit,
— Rien Mlle Fournier.
— Fort bien, alors demande à ces jeunes gens de t’embrasser les seins pour qu’ils puissent se rendre compte comme ta poitrine est douce et ferme.
— S’il vous plait, embrassez mes seins, dit Mme Besson, rouge de honte.
L’un après l’autre, les garçons embrassèrent, caressèrent ses seins… et l’un d’eux pinça ses tétons.
— Reste calme mon animal,
— Animal, relève ta jupe pour montrer à ces garçons ton cul et ton sexe bien épilé et nu. Mme Besson remonta la robe au-dessus des fesses. Des doigts touchaient sa peau à la commissure de la fesse et de la cuisse.
Mme Besson était effondrée de honte, là, sur un parking, seins nus, trois jeunes hommes lui caressaient le cul,
— Au comble de l’excitation, Mme Besson remercia en remettant son top. Ses tétons étaient encore plus durs plus douloureux et perçaient le tissu.
Pendant tout le voyage de retour, Mme Besson pleura de déshonneur dans un coin de la voiture.
CHAPITRE 09
Quand elles furent à la maison, Léa lui ordonna de poser tous ses nouveaux vêtements et jouets sur le lit.
Mme Besson monta l’escalier avec tous les achats, elle dut faire deux voyages, ses pieds brûlaient.
Mme Besson aurait tant voulu s’asseoir mais elle savait qu’elle devait demander la permission.
Elle entendit Léa lui ordonner de se mettre nue, de mettre ses nouveaux talons de 15 cm et de venir se présenter.
Mme Besson retira son top et fut choquée de voir ses pauvres seins rouges et irrités par les pinces et la pression du tissu. Maintenant son plug anal ne lui faisait plus mal, il la gênait juste un peu.
Mme Besson posa son top, elle avait juste retiré sa jupe lorsque Léa, entra dans la pièce.
— Tu as vraiment un joli cul sexy, Mme Besson dit Léa en en glissant d’autorité une main investigatrice sur son sexe humide. La main le long de la jambe, Léa caressa le cul et lui fouilla le sexe et pour la première fois Mme Besson se sentait dans la peau d’une soumise, elle était troublée, trempée… et mouillée.
Comment supportes-tu ton plug anal ?
Le visage en feu, la prof se redressa et répondit,
— C’est inconfortable Mlle Fournier.
Léa tourna autour de Mme Besson, lui caressa de nouveau le sexe, glissa ses doigts dans la fente et caressai doucement le clito. Mme Besson ferma les yeux et se cambra, elle voulait un orgasme
Puis Léa dit,
— Maintenant, voyons ces seins…
Elle saisit et fit tourner la pince droite.
— Ahhhhhhh, cria Mme Besson.
— Cela te fait mal ? dit Léa en se saisissant du téton gauche…
— S’il vous plait Léa, arrêtez !
Pinçant les deux seins, Léa dit,
— Comment ?
— Désolée, Mlle Fournier, je suis désolée Mlle Fournier.
— C’est mieux, dit Léa en relâchant les pointes des seins.
— Maintenant, voyons ce que nous avons là… Mets-toi sur le dos, écarte bien les cuisses, je dois inspecter ton cul avec le plug anal.
Mme Besson obéit et exposa ses fesses et son sexe. Le plug noir était planté dans son cul.
— Je ne peux plus attendre pour voir si nous pouvons enfoncer celui-ci dans les fesses… dit Léa en lui montrant le plus gros plug. Elle enfonça un doigt et le fit tourner dans le sexe de Mme Besson, elle le ressortit couvert de mouille…
— Tu aimes vraiment cela, n’est-ce pas ?
La prof mortifiée était dans l’embarras, comment pouvait-elle être excitée par ce traitement et pourtant son sexe était remplit de sa jouissance !
— Non Mlle Fournier, je n’aime pas ce traitement.
— Alors, explique-moi pourquoi ton sexe coule comme une fontaine ?
— Suce mon doigt et nettoies-le ignoble salope jouisseuse de prof ! dit Léa en mettant son doigt sous le nez de sa prof.
Mme Besson ouvrit la bouche et lécha le doigt de son élève avec sensualité.
— Je veux que tu te mettes à genoux et que tu enfiles ce gode vibrant dans ta chatte détrempée.
Mme Besson eut bien du mal à se mettre en position et à s’enfoncer le gode dans le sexe. Juste sur le bord des lèvres.
— Met-le en marche,
Mme Besson le mit sur marche et ressentit immédiatement le plaisir venir en elle.
— Lèche ceci, dit Léa en lui tendant le gros plug noir.
— Maintenant, écoute-moi bien, tu vas m’obéir, sinon tu seras fouettée ! Compris ?
— Oui Mlle Fournier, dit la prof en ouvrant la bouche et en suçant le gros engin.
— Tu vas faire à ce gode noir la meilleure pipe que tu puisses, en faisant cela tu vas introduire le gode vibrant dans ta chatte, le faire aller et venir. Tu n’as pas le droit de jouir, si je pense que tu suces mal, ou si tu ne te masturbes pas assez, tu seras punie.
Dès que Mme Besson commença à sucer le gode et que le gode vibrant commença son travail dans son sexe détrempé, elle commença à ressentir une vague de plaisir l’envahir. Elle était si chaude et tout cela lui donnait tant de plaisir…
Flash, flash, flash…
Léa photographia la prof en train de sombrer dans le désir. Lorsque Léa, vit que Mme Besson allait sombrer dans la jouissance, elle tortura ses pointes de seins.
Mme Besson cria de douleur, elle semblait irradier dans tout son corps.
Elle avait oublié son plaisir, mais maintenant il revenait rapidement… Elle léchait et suçait le gode dans sa bouche, ses cuisses s’ouvrirent sous le plaisir du gode vibrant…
Son visage était rouge et son corps se couvrait de sueur, elle voulait jouir !
Elle ne savait plus où elle en était. Elle ne s’occupait pas du fait que Léa prenait des photos ou qu’elle allait être punie… le gode dans son sexe vibrait avec le plug anal.
C’était trop !
Elle jouit dans un grand cri, elle n’avait jamais joui aussi fort.
Elle s’écroula sur le sol, se tordant de plaisir. Toute honte et remord oubliés. Le monde tournait autour de ce sexe dans sa chatte, elle le lâcha enfin.
Flash !
Mme Besson revint à la réalité et compris qu’elle était perdue pour toujours…
Elle regarda son bourreau et compris qu’elle ne lui échapperait plus. Cela allait durer longtemps, longtemps…
Elle pleurait en pensant à son mari et à sa fille.
— Mme Besson, tu ne devais pas jouir…
— Désolée Mlle Fournier.
— Bien nous verrons, à genoux et nettoies toute cette merde que tu as craché sur le sol !
Mme Besson voulu frotter la tâche avec un linge,
— Non Mme Besson, avec ta langue !
Mme Besson se jeta à genoux et lécha le sol, son cul engodé, dressé vers le haut. Elle se demandait ce qui allait encore arriver…
Lorsque Mme Besson eut léché toute la flaque de mouille et nettoyé le gode vibrant, Léa lui ordonna de retirer le plug de son cul.
Flash !
— Maintenant nettoies-le, il faut qu’il soit propre !
Mme Besson nettoya le plug avec sa langue.
Léa lui ordonna de se le remettre en place.
Flash !
Lorsque Mme Besson eut nettoyé le plug et le gode, Léa lui dit d’ouvrir la bouche au plus grand et lui enfourna une muselière pénis. En laisse, elle la conduisit prof à l’arrière du jardin. Elle bloqua les menottes aux chaines de pieds et la fit s’allonger sur l’herbe.
— Tu vas dormir ici ce soir, cela te donnera le temps de réfléchir à ta désobéissance.
Mme Besson se coucha enchaînée entrainant le cliquetis des chaînes qui liaient ses bracelets à son collier et son collier à l’un des arbres du jardin. Comme elle se tournait d’un côté à l’autre, elle sentait le métal froid sur sa peau. Elle était gênée, Mlle Fournier l’attacha pour la nuit, dans le jardin, comme un chien (en l’occurrence une chienne !). Mme Besson, avait-elle si piètre opinion d’elle-même, en permettant à sa jeune élève de la manier et de lui imposer des situation si irrespectueuses.
Demain, nous parlerons de ta future vie dit Léa en jetant une couverture à Mme Besson.
— Il fait un peu froid, couvre toi… dit Léa en lui jetant la couverture en retournant dans la maison, laissant sa prof sur l’herbe seulement vêtue d’un porte-jarretelles, de bas et de talons.
— Demain tu vas avoir du travail.
CHAPITRE 10
Léa se leva vers huit heures le lendemain et trouva une Mme Besson frigorifiée, enveloppée dans sa couverture, il fallait qu’elle rentre son animal,
— Bonjour Mme Besson.
— Bonjour Mlle Fournier.
Mme Besson avait froid, elle était sale, affamée et voulait aller aux toilettes.
Léa libéra Mme Besson de ses chaines et lui attacha sa laisse.
En laisse, elle entraîna sa prof dans la maison.
— Veux-tu aller aux toilettes, Mme Besson ?
Mme Besson se rappela l’humiliation de la veille, mais il fallait qu’elle y aille.
— Oui Mlle Fournier, je voudrais y aller.
— Eh bien, vas-y !
Mme Besson retourna dans le jardin et devant son élève, accroupie, elle écarta les cuisses et urina.
Léa l’entraina en laisse, jusqu’à la salle de bains.
— Va te laver Mme Besson, ne joue pas avec ton sexe et ne te sert pas des toilettes.
Léa attacha la laisse à la porte de la douche et laissa sa prof se décrasser.
Mme Besson était épuisée, elle avait très mal dormi les deux derniers jours. Ses muscles la faisaient souffrir, ses pieds étaient en feu. Ses seins et ses fesses étaient sensibles.
Elle se lava deux fois à l’eau chaude. Peu après, Léa revint et libéra la laisse.
Elle amena la prof trempée dans la chambre.
— Sèche-toi, maquillage, coiffure… tu sais comment je te veux !
Tes vêtements du jour sont sur le lit.
— Dans combien de temps Chloé rentre-t-elle à la maison ?
La mention de sa fille la ramena à la réalité de sa situation.
— Elle doit rentrer vers les cinq heures, Mlle Fournier, répondit la prof trempée, nue….
— Tu as une demi-heure pour te préparer, rejoignez-moi dans la cuisine.
Mme Besson se sécha rapidement et regarda les vêtements sur le lit… elle trouva un porte-jarretelles rouge, des bas rouges et ses talons de 15 cm. Elle s’habilla, se maquilla comme le voulait Léa, cela ne lui plaisait pas, mais elle n’avait pas le choix.
En se regardant dans le miroir, elle vit une femelle habillée, ou plutôt déshabillée comme une jeune fille de joie.
Elle se sentait ridicule, mais elle descendit l’escalier et rejoignit Léa, dans la cuisine.
Léa était à table et mangeait des œufs avec du jambon, elle avait un bol de café devant elle.
— Ton petit déjeuner est dans un bol, sur le sol.
Mme Besson regarda en bas et vit un bol de croquettes et un bol d’eau. Mme Besson se jeta à genoux et commença à manger la nourriture écœurante et sèche qu’elle arrosa d’un peu d’eau. Quand elle eut fini, Léa lui ordonna de faire la vaisselle et de la rejoindre dans le salon. Mme Besson fit la vaisselle et rejoignit Léa.
— Prend ceci et met-le à sa place.
Elle lui tendit son gros plug et la vaseline. Mme Besson prit le plug et se dirigea vers la salle de bains.
— Non, non, Mme Besson, tu le mets ici devant moi…
Mme Besson s’arrêta et lubrifia le plug. Elle avait compris que la seule façon de faire entrer en elle un si gros engin était de s’accroupir et de le faire entrer de force dans ses fesses. Pendant qu’elle faisait cela, son élève la regardait faire. C’était juste un peu plus facile que la veille, mais quand même difficile et surtout toujours inconfortable.
Une fois le plug enfoncé dans son cul, son élève lui ordonna de se mettre à genoux devant elle.
— Mme Besson, rappelle-toi que tu nous as appris les règles de grammaire et que si nous les appliquions mal, tu nous punissais ?
— Oui Mlle Fournier.
— Bien, j’ai préparé une liste de règles qui te seront applicables. Il est très important pour toi de les suivre, de t’y tenir, il en ira de notre secret et de la réputation de ta famille.
Si tu manques à l’une de ces règles, tu seras punie ! Tu m’as bien comprise ?
— Oui Mlle Fournier.
— Ces règles ne sont pas discutables. Si une question se pose, tu me demande, car tu ne peux pas les interpréter.
— Oui Mlle Fournier.
Léa tendit à Mme Besson un document.
— Lis ces règles à haute voix pour que je sois sûre que tu as bien compris. Ces règles pourront évoluer en fonction de mes désirs.
Mme Besson commença à lire.
Règles de vie de mon animal, ma prof soumise.
Un : Lorsque je serai seule à la maison, je vivrai nue et en talons de 15 cm.
Deux : Lorsque je ne serai pas seule, je porterai une jupe et un top, des bas et porte-jarretelles, avec des talons de 10 cm, sauf autre demande de ma maîtresse.
Trois : Mes cheveux et mon maquillage devront toujours être faits selon les désirs de ma maîtresse.
Quatre : Je ne mangerai que lorsque ma maîtresse m’y autorisera, je ne dois jamais me servir de couverts, sauf quand ma fille sera là.
Cinq : Je ne m’assiérai jamais sur un siège de toilette. Si je suis seule à la maison, je dois utiliser le jardin de derrière.
Six : Je dois toujours avoir mes fesses et ma chatte lubrifiées comme mon trou du cul afin d’être en permanence disponible.
Sept : Ma chatte doit être lisse, rasée en permanence.
Huit : Je ne porterai jamais de slip ni de soutien-gorge, sauf ordre de ma maîtresse.
Neuf : Je ne dois jamais refuser d’obéir à ma maîtresse.
Dix : Je dormirai nue sur le sol attachée sauf contre-ordre de ma maîtresse.
Onze : Je dois porter mon collier en permanence lorsque je suis seule et l’avoir dans mon sac le reste du temps.
Douze : Je dois m’entretenir et rester mince.
Treize : Je ne dois jamais m’asseoir sur un meuble sans la permission de ma maîtresse.
Quatorze : Je ne dois prendre aucune initiative sans accord de ma maîtresse.
Quinze : Je dois toujours avoir mon plug, mon gros gode et mes pinces à seins avec moi.
Seize : Je dois respecter mes étudiants en les appelant Mlle ou M.
Dix-sept : Je dois toujours sourire.
Dix-huit : Je me masturberai tous les matins, à chaque repas et dès que je rentrerai à la maison. Je ne dois pas jouir sans la permission de ma maîtresse.
Dix-neuf : Je reconnais que je dois obéir à toutes ces règles de vie que ma maîtresse m’impose parce que je veux être un bon animal de compagnie.
Vingt : Je comprends et accepte que toute ma vie soit désormais contrôlée par ma propriétaire. Je lui dois respect et obéissance.
— Très bien, Mme Besson, des questions ?
— Non Mlle Fournier.
— Je vais emménager dans la chambre d’amis, nous dirons à Chloé que j’ai des problèmes avec ma famille et que tu m’invites à rester ici.
— Oui Mlle Fournier.
— Maintenant, monte dans la chambre, tu mets la jupe et le top que j’ai préparé pour toi, nous allons chez mes parents avant que Chloé ne rentre.
Mme Besson alla dans la chambre en réfléchissant, elle n’avait pas d’autre choix que d’obéir à sa propriétaire, puisque Léa était sa propriétaire…
Mais pourquoi sa chatte était-elle humide ?
Elle passa la jupe qui était très courte et ne couvrait à peine ses cuisses à hauteur de ses bas.
Le top de Chloé était très serré, très moulant, ses seins semblaient vouloir percer le tissu, ses tétons en érection se dessinaient clairement sous le petit top.
Le plug dans ses fesses était vraiment très inconfortable…
— Mlle Fournier, ne soyez pas en colère, mais je ne peux pas rencontrer vos parents habillée ainsi.
Ne t’inquiète pas de ça, met ton collier.
La prof, toute perdue, attacha son collier et suivit sa maîtresse dans la voiture.
CHAPITRE 11
Mme Besson monta en voiture en se demandant ce que Léa préparait. Elle ne pouvait pas la présenter à ses parents, habillée ainsi.
— Écarte les jambes et remonte ta jupe. Mes parents habitent en banlieue, je veux que tu te caresses pendant le voyage.
Mme Besson écarta les cuisses et commença à se caresser. Elle était anxieuse, elle avait peur de se sentir excitée si elle faisait cela, mais elle savait qu’elle devait obéir. Après vingt minutes de route, elles arrivèrent à la maison des parents de Léa. Léa gara la voiture dans l’allée devant la maison. Elle ordonna à Mme Besson d’arrêter de se masturber, elle fit le tour de la voiture et fit sortir Mme Besson en laisse.
— Viens Mme Besson, mes parents sont impatients de te rencontrer.
Anxieuse, Mme Besson ne savait que faire. Qu’allaient dire et faire ses parents en la voyant comme cela, tenue en laisse ? Léa ouvrit la porte et annonça son arrivée.
— Hello chérie ! dit la mère de Léa, semblant ignorer la scandaleuse prof en laisse.
— Ton père et ton frère sont dans le salon, ils regardent le match. Le repas sera prêt dans dix minutes.
Léa entraîna sa prof en laisse dans le salon.
Mme Besson reconnut Lucas, le frère de Léa, elle avait été sa prof, deux ans auparavant, elle n’avait pas réalisé que Léa puisse être sa sœur.
— Salut Léa, dirent son père et son frère, hé Mme Besson, tu es bien différente aujourd’hui.
Mme Besson rougit et ne sut que répondre…
— Tu te rappelles de mon frère ? Tu lui avais donné un D lors de son examen final et il n’a pas pu rejoindre l’équipe de sport du collège.
Tout lui revint en mémoire, Lucas avait fait un très mauvais devoir et elle avait donné une mauvaise note. Ses parents et même son coach l’avaient suppliée de lui mettre au moins un C, mais elle avait refusé et il avait dû attendre deux ans de plus. Elle comprit qu’elle était dans une mauvaise situation… Tu sembles moins fière, dit Lucas venant à elle, en soulevant sa jupe et en caressant avec insistance ses fesses et son sexe nu. Mme Besson était rouge de gêne et d’humiliation.
— Monsieur Lucas, c’est ainsi que tu dois m’appeler, compris salope ?
— Oui monsieur Lucas,
— Le dîner est prêt, cria la mère de Léa.
— Allons manger, dit Léa, elle tira la pauvre prof terrifiée dans la cuisine. Mme Besson dû rester debout, les main dans le dos, attachée à la chaise de Léa pendant que tous mangeaient et parlaient, ignorant Mme Besson, comme si elle n’était pas là. Mme Besson, se sentait mal… Quand ils eurent fini, Léa se tourna vers Mme Besson,
Tu vois, Lucas était avec moi quand nous avons trouvé ton magazine et nous avons élaboré un plan pour nous venger. Mes parents ont été tout à fait d’accord, après ce que tu avais fait à Lucas… C’est devenu une affaire de famille, tu es désormais la propriété de nous tous, bien qu’en priorité la mienne, ils peuvent se servir de toi comme ils le voudront. Tu es ici pour satisfaire la moindre de nos envies, de nos caprices. Nous ne ferons rien à ta fille car nous ne touchons pas aux mineures. Cependant elle pourra nous servir pour faire ton éducation. Ton mari fera aussi partie du jeu, mais pour le moment il ne sait rien.
— Enlève ton top Mme Fournier et montre tes seins de chienne en chaleur qui a besoin d’être dressée… à mon père et mon frère.
La prof dépassée, savait qu’elle n’avait pas le choix et enleva son sweat et montra ses seins, ses tétons en érection.
Lucas se rua sur elle et saisissant son sein droit, lui fit un long et profond baiser dessus, sa langue tournait autour de son téton. Puis il l’embrassa sur la bouche, sa langue explora ses lèvres et son palais. La prof sentit une chaleur l’envahir et ses genoux se dérober sous elle. Elle en oublia la douleur de son téton, elle était comme électrisée par le baiser du jeune élève auquel elle s’abandonnait. Il releva la jupe, elle ouvrit la braguette du pantalon de Lucas, sortit son engin raidi et fit qu’il s’encastre entre ses cuisses. Il la relâcha…
— Enlève ta jupe avant que tu ne la salisses avec ta jouissance de femme en chaleur.
Mme Besson enleva sa jupe, montrant à tous sa chatte épilée. Elle a peur, mais elle doit continuer. Ça y est, elle est plus que nue, dans cette pièce et elle attend car elle sait bien que ce n’est pas fini. La main de Lucas palpa lentement le cul puis passa entre les fesses et les cuisses de Mme Besson qui s’était affalée, le torse en avant. Elle ne broncha pas, écartant autant que possible son cul afin que Lucas puisse librement s’occuper de son trou à bites et il s’en occupa, à deux mains même, écarta les lèvres humides, passa son doigt sur la fente pour remonter jusqu’au bouton de plaisir.
— ça dégouline ma salope,
— mets-toi devant le miroir.
— Cambre-toi pour approcher ta chatte du miroir.
— Tourne-toi. Mets tes mains aux chevilles, jambes tendues, montre bien ton cul,
Elle voit dans la glace une femme qui présente ses fesses. Elle sait que la vulgarité de sa position excite beaucoup,
— Tu es bandante ma salope, lui dit Lucas
— Waouh, tes nichons ! Ça doit être bon de se branler entre tes mamelles.
— Et cette chatte. Elle appelle la bite, regarde, elle mouille,
Lui giflant les fesses sans aucune retenue, Lucas lui dit,
— Écarte mieux tes cuisses de salope,
— Lucas attache lui les poignets au dos
dit Léa et Lucas les attacha.
— À genoux Mme Besson,
— profitez aussi de son cul, elle adore les bites dans son cul, dit Léa,
Tourne toi et montre-nous encore ton cul et ta chatte prof, écarte tes fesses, ordonna monsieur Fournier. La prof, morte de honte, obéit et se tourna. Elle écarta plus grand les cuisses et montra à tous sa chatte qui suintait de mouille.
— Tu avais raison Léa, c’est une vraie salope au naturel, elle est pleine de potentiel dit Mme Fournier.
— Lucas doit partir, alors avant, à quatre pattes et montre tes talents de suceuse de bite, dit Léa en lui claquant les fesses.
Mme Besson se tourna vers Lucas déboutonna le pantalon, sortit son sexe et vint rapidement s’occuper de sa queue. Lucas n’en pouvait plus, et commença à titiller le gland du bout de la langue. Il saisit la tête de Mme Besson et força violemment sa gorge. Elle l’a sucé à fond en prenant ses couilles à pleine main et il n’a fallu que quelques secondes pour qu’il déverse des salves de spermes en grande quantité qu’elle s’empressait d’avaler au fur et à mesure, elle n’en perdit pas une goutte, elle sait qu’il aime qu’elle avale, alors elle lui donne ce plaisir ! Elle se délecte de sperme !
— Mme Besson, fais cela bien et soit heureuse ou tu seras très, très malheureuse, dit Léa en claquant fortement le sexe nu de Mme Besson.
Mme Besson se mit au travail, suçant, avalant, fit tourner sa langue, sur et autour de la grosse verge aussi vite que possible pour en finir vite. Elle sentit un doigt s’introduire dans son cul détrempée. Oh… cette sensation ! C’était trop !… C’est alors, qu’elle reçut une grande claque sur les seins.
— Elle jouit la salope ! Elle a le feu au cul ! cria Mme Fournier.
Mme Besson sentit le doigt se retirer de son cul humide et il fut remplacé par ce qu’elle comprit être la verge de monsieur Fournier.
— Tu te baises sur ma queue,
— et bouge ton cul pour me caresser les couilles, petite pute.
Monsieur Fournier commença à lui labourer l’anus avec violence. A chaque coup de reins bien appuyé, Mme Besson laissait échapper une sorte de petit gloussement tandis que celui qui l’enculait méthodiquement ahanait régulièrement.
Monsieur Fournier était très dur et la pénétrait violemment, il semblait n’avoir aucun problème, car le cul de la prof était bien lubrifié…
Elle reçut une autre claque sur la poitrine. Elle essayait de se concentrer sur la bite dans sa bouche en ignorant celle qui lui labourait le cul. Elle sentit la douleur sur ses seins, Mme Fournier la frappait régulièrement avec une spatule de bois.
Flash !
Elle vit la lumière pendant qu’elle suçait la verge et que l’autre sexe la prenait… prise par le fils et le père. Bientôt, elle sentit la bite dans sa bouche se raidir, elle se mit au travail avec plus d’ardeur et de plaisir avant qu’elle ne jouisse… ne voulant donner aucun prétexte à ses tourmenteurs. La première giclée de sperme lui inonda la bouche et la glotte. Lucas se retira et se vida encore sur son visage et dans ses cheveux, son père continuait à lui baiser le cul et sa mère qui lui frappait ses pauvres seins…
— Bouge sur ma bite, salope, sale pute,
Elle se sentait si près de la jouissance qu’elle avait du mal à résister, mais elle craignait encore plus la douleur et les punitions… Après ce qui lui sembla une éternité monsieur Fournier éjacula en elle, l’inondant de sperme chaud et épais. Il se retira et se vida sur ses fesses, son dos… La prof s’écroula sur le sol, elle se vit la poitrine rougie par les coups, son corps, son cul, sa chatte, son ventre recouverts de sperme. Son sexe était en feu, elle voulait jouir, mais ne le pouvait pas. Mme Fournier prit toute une série de photos de la prof couverte de sperme. Toutes ces photos étaient pour l’album de Léa. Son père était un amateur de photos et il prenait l’animal de Léa comme modèle… Un modèle de honte…
— Lève-toi, Mme Besson et porte toutes mes affaires dans la voiture. Ne perd pas de temps à te laver, met juste ta jupe et ton top, nous devons y aller. Ta fille ne va pas tarder à rentrer !
La prof couverte de sperme s’habilla et porta les affaires de sa jeune élève.
— Lucas doit rentrer au collège, mais nous reviendrons voir papa et maman pour qu’ils te dressent.
CHAPITRE 12
– Sans dignité
L’enseignante était physiquement et mentalement épuisée.
— On dirait que tu as eu un moment très passionnant de Mme Besson,
Léa se mit à rire.
— Enlève cette jupe ridicule et ce top et immédiatement.
Mme Besson enleva la jupe et le top sans relever la remarque, elle était usée par l’humiliation et la fatigue d’avoir du courir avec ses talons trop hauts. Elle se tenait devant son étudiante attendant passivement qu’on lui dise quoi faire ensuite. Elle n’avait plus ni dignité ni fierté après ce qu’elle avait fait ce soir.
— Viens ici et mets-toi à plat ventre sur ce siège.
L’enseignant fit comme Léa lui avait a dit, en se penchant sur l’arrière du siège avec son cul nu en l’air. Que lui voulait encore Léa ? Léa a alors attaché les chevilles aux pieds de la chaise, écartant ses fesses.
— Maintenant Mme Besson, je veux que tu me racontes en détail ta soirée. Je vais te frapper avec cette trique pendant que tu me raconteras ta lamentable soirée et ce que tu as fait à l’école. La durée de ta punition dépendra de la façon dont tu seras précise et sincère.
Wam !
La trique atterrit avec force le cul de l’enseignante.
Owwww.
— Je me suis changée dans les toilettes et j’ai mis les vêtements que vous m’avez ordonnés.
Wam !
— Qui t’a donné la permission de te rendre aux toilettes pour te changer ?
— Aïe ! J’ai juste pensé que…
Wam !
— Ne discute pas pouffiasse !
— C’est là le problème, tu n’as pas à penser, juste à obéir !
— Désolé Mlle Fournier,
Balbutiait Mme Besson. Son cul était en feu et ses jambes souffraient de crampes douloureuses. Mme Besson continua avec l’histoire. Il fallut environ 45 minutes au cours desquelles son cul avait été frappé plus de 40 fois. Elle ne pouvait plus que murmurer dans ses larmes, elle raconta les situations en les rendant encore plus embarrassante que les réelles. La douleur la faisait délirer. Après qu’elle eut fini, Léa s’assit et se moqua d’elle.
— Bien madame Besson, je vois que tu es faite pour devenir une bonne pute soumise, tu as bien obéi et je serais indulgente avec toi.
Léa a libéré les chevilles de l’enseignant en pleurs.
— Maintenant debout et mets ton souvenir rempli de sperme dans le Frigidaire, après tu vas aller prendre une douche, Tu dormiras attachée sur le plancher à côté de ton lit et tu me réveilleras à six heures trente pour le petit déjeuner.
— Oui Mlle Fournier, je vous remercie Mlle Fournier.
Mme Besson fit comme Léa lui avait dit, puis elle prit une longue douche chaude et s’écroula sur le sol. Le réveil sonna à cinq heures trente.
Lorsque Mme Besson se leva, elle était toujours fatiguée et raide mais elle remarqua surtout son cul douloureux. Elle regarda dans le miroir et vit que c’était toujours très rose et tendre. Elle entra dans la salle de bains, avec son gode et se masturba comme Léa l’exigeait, elle s’arrêta juste avant l’orgasme. Elle fut choquée de voir que sa chatte avait mouillée aussi rapidement. Puis maquillage, coiffure, avant de quitter la salle de bains, elle lubrifia son cul au cas où Léa vérifierait. Ses fesses ne pouvaient pas lui faire plus mal, ce ne serait pas un problème aujourd’hui. Elle mit ses talons de 10 cm et alla préparer le petit déjeuner. Elle avait très faim, elle aurait fait n’importe quoi, pour un repas décent.
À 06:30 la prof en talon, le reste nu, a réveillé son bourreau.
— Bon matin Mme Fournier. Votre petit déjeuner est prêt.
Léa sortit du lit et examina son animal de compagnie, elle fut contente que Mme Besson, fut nue, maquillée, coiffée. Sa formation se déroulait bien.
—Où est ton collier, animal ?
Mme Besson terrifiée courut à son sac à main et mit son collier autour du cou.
— Je suis désolé Mlle Fournier. S’il vous plaît ne me punissez pas.
— À l’avenir en tant qu’animal de compagnie tu parleras à la troisième personne. Votre animal est désolé, s’il vous plait ne punissez pas votre animal de compagnie.
— Lorsque Chloé sera là, où à l’école tu pourras parler normalement. Compris animal
— Oui Mlle Fournier. Votre animal est désolé.
Léa sourit et conduisit son professeur par sa laisse à la cuisine.
Mme Besson avait préparé du bacon et des œufs avec pain grillé et confiture pour Léa. Son estomac pleurait la faim.
— Tu as faim, animal?
— Votre animal a très faim Mlle Fournier.
— Alors, je vais me contenter d’un verre de lait ce matin, tu peux manger cela, dit Léa en vidant son assiette sur le sol.
Mme Besson avait tellement faim, qu’elle oublia toute fierté et manga le petit déjeuner sur le sol.
— Tu manges, tu nettoies et tu me rejoins dans la chambre dans dix minutes.
Mme Besson mangea, lava la vaisselle et se précipita dans la chambre. Léa attendait sa prof et lui ordonne de mettre dans son plug là devant elle. Mme Besson fut contente d’avoir obéi à Léa et d’avoir lubrifié ses fesses et introduisit le plug. La pénétration fut facile, son cul était maintenant dilaté et elle en fut heureuse.
— Tu ne le retireras pas sans mon autorisation, sous aucun prétexte.
— Oui Mlle Fournier, votre animal ne retirera pas son plug sans votre permission.
— Viens ici animal.
— Maintenant tu joues avec tes tétons et rends les durs, animal.
Mme Besson commença à pincer et à titiller ses mamelons qui répondirent immédiatement, son corps n’avait jamais été aussi sensible, la douleur ? Elle refusait de croire que son corps aimait être traité de cette façon. Et pourtant ! Lorsque ses tétons furent durs, Léa plaça un élastique à cheveux autour de chacun d’eux. La douleur était légère, mais les bouts restaient gonflés, mais bientôt la douleur s’installa et ils devinrent très sensibles.
— Tu les gardes en permanence.
— Oui Mlle Fournier, votre animal comprend.
— Voici ta tenue pour aujourd’hui. Tu t’habilles, tu es dans un quart d’heure au pied de l’escalier.
— Oui Mlle Fournier.
Mme Besson regarda les vêtements que Léa avait préparés pour elle, porte-jarretelle, bas noirs et une jupe courte très moulante, un chemisier de soie blanche et des talons de 15 cm.
Il manquait un bouton au chemisier, mais le plus embarrassant c’était que la soie frottait sur ses tétons endoloris, à chaque pas, la douleur irradiant et semblait descendre jusqu’à sa chatte qui mouillait. Elle allait devoir se contrôler toute la journée, le plug dans ses fesses ne tenait pas en place et frottait lui aussi contre le tissu, mais avec la douleur des mamelons elle trouva cela excitant. En se regardant dans la glace, elle remarqua que ses tétons en érection se dessinaient clairement au travers du chemisier fin, pas moyen de les cacher.
— As-tu fait tes besoins aujourd’hui mon animal ?
— Non Mlle Fournier, votre animal n’est pas allé aux toilettes.
— Bien, tu sors et tu fais dans le jardin, tu n’as pas le droit aux toilettes.
La prof sortit, releva sa jupe, écarta les jambes et urina devant son élève qui la regardait faire.
— Tu es prête Mme Besson ?
— Oui Mlle Fournier. J’ai vérifié mon sac à main, j’ai mon collier et mon gode.
— Voilà ton déjeuner d’animal et prends des capotes tu vas en avoir besoin
Mme Besson se précipita pour chercher des capotes.
— Mlle Fournier, votre animal de compagnie, prend-elle son sac de sport ?
— Oui animal, tu feras une séance, puis nous t’emmènerons au centre commercial avec Chloé.
Qu’est-ce que cela veut dire se demanda Mme Besson au centre commercial ?
Après un trajet douloureux à cause de ses fesses endolories, Mme Besson reçu ses instructions, elle devait pendant les cours marcher autour de la classe afin que chacun, voit ses tétons en érection, pour le repas, elle n’ouvrirait pas le sac avant le repas, elle devrait boire quatre verres d’eau et une boite de lait pendant le repas. Et interdiction, d’aller aux toilettes.
— Bonne journée, Mme Besson.
Lire la suite dans le Livre 3.
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