Amour Bestial

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Dans la catégorie Récits hétéros

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Il fait beau, même trop beau pour un week-end de Pâques…

Laurent et Julie roulent sur l’autoroute en direction de la France. Ils viennent de passer quelques jours sous le soleil espagnol, entre Figueras et Cadaqués. Ils ne sont pas pressés, ils ont toute la journée pour rentrer. Laurent décide de sortir de la voie rapide afin de passer par les petites routes longeant la côte, les paysages y sont bien plus pittoresques et il faut profiter de ces quelques jours de vacances !

Le ciel est bleu, le soleil brille, le temps est même lourd, les deux tourtereaux roulent les vitres largement ouvertes, musique classique à fond… Vers 13 heures, ils s’arrêtent pour pique-niquer. Laurent trouve un coin de campagne tranquille, isolé. Ils s’installent à l’ombre d’un grand arbre, grignotent quelques sandwichs. Puis une tasse de café tiède, le thermos n’est pas efficace très longtemps !

Laurent s’allonge en savourant la bonne cigarette qui clôture le repas, Julie s’installe près de lui, la tête sur son ventre. Ils regardent les nuages qui commencent à s’accumuler dans le ciel. Julie embrasse le ventre de son compagnon tendrement, en faisant courir ses lèvres du nombril jusqu’au cou. Elle donne de temps en temps de rapides coups de langue, puis reprend un rythme plus doux. Laurent savoure ces caresses, il est bien, détendu. Les lèvres de Julie continuent leur valse, sa main caresse le sexe de son ami à travers le pantalon. La queue se gonfle lentement sous le tissu. Elle sait le bien qu’elle procure à son homme, il aime quand elle s’occupe de lui. Lentement, elle défait les boutons du pantalon et glisse sa main à l’intérieur du caleçon. Elle sent la chaleur du membre en érection.

Le ciel continue à s’assombrir, l’atmosphère devient électrique.

– Il faudrait reprendre la route, Laurent, il va pleuvoir.
– Caresse-moi encore un peu…

Julie s’exécute, elle ne sait pas lui dire non. Laurent profite des baisers de Julie au maximum, son sexe est tendu, il sent l’excitation qui monte… puis une goutte, deux… trois… Il commence à pleuvoir ! Julie se lève précipitamment.

– Tu vois, je te l’avais bien dit ! Vite ! Ramassons nos affaires, c’est un sacré orage qui se prépare !

En effet, le ciel est devenu très noir et des éclairs déchirent les nuages. Suivent ensuite d’assourdissants coups de tonnerre. Les jeunes gens se lèvent, fourrent les restes du repas dans le grand panier, et courent jusqu’à la voiture qui est garée un peu loin.

Mais l’averse éclate avant qu’ils n’atteignent leur but. Quand ils rangent enfin les affaires dans le coffre, il est trop tard, ils sont trempés. Laurent halète, essoufflé par sa course. Il voit Julie, ses cheveux longs sont décoiffés et la pluie a rabattu de longues mèches sur son visage et dans sa nuque. Et surtout, son t-shirt blanc est devenu transparent, merci la pluie ! Il la trouve belle, désirable, bandante. Il voit son soutien-gorge blanc et le rose de sa peau où le t-shirt se colle. Il attrape Julie par le bras avant qu’elle n’ait eu le temps de rentrer dans la voiture et la retient. L’eau coule sur son visage, elle est toute affolée parce qu’il l’empêche de se mettre à l’abri. Son corps à lui est encore sous l’effet des caresses que lui a prodigué la jeune fille, il la désire, il la désire sauvagement, ardemment, comme si la pluie au lieu d’étouffer la flamme du désir, l’attisait au contraire. Il passe une main derrière son cou et l’embrasse à pleine bouche. Julie se défend :

– Laurent arrête, tu es malade, tu vois bien qu’on est trempés !
– Ben oui, justement, maintenant mouillé pour mouillé, qu’est ce que ça peut faire ? Et puis tu m’as bien excité, alors maintenant il faut assumer !

Il finit sa phrase sur un ton rauque que Julie ne lui connaissait pas. Perdu dans ce coin de nature sauvage, sous la pluie, les éclairs et le bruit du tonnerre, Laurent sent en lui des instincts d’animal.

Il pousse alors sa femelle, car elle n’est plus que ça à ses yeux à cet instant, vers l’avant de la voiture, et la bascule sur le capot. Oui, elle n’est plus que sa femelle, avec comme unique fonction de le satisfaire. Elle se débat, elle veut échapper à la pluie, elle veut échapper à ses assauts de mâle. Il lui soulève le t-shirt au-dessus de la poitrine, ce t-shirt qui n’est plus qu’une invitation à explorer ce qu’il ne cache plus. Au contraire, il met en évidence la poitrine généreuse de la fille. Il soulève également le soutien-gorge, il ne veut pas prendre le temps de l’enlever, et embrasse les seins mouillés. Les tétons se dressent, elle ne peut pas l’empêcher, même si la situation ne lui convient pas. Il les mord d’abord doucement, puis de plus en plus fort. D’une main il maintient encore les poignets de sa proie, l’autre se faufile sous la jupe, s’agrippe à la culotte, et la descend d’un geste brusque. Julie sent l’excitation monter malgré elle. La pluie caressant son corps amplifie les frissons procurés par la bouche de Laurent qui, à son tour, parcourt les seins et le ventre de sa compagne. Mais lui n’est pas aussi doux qu’elle l’a été avec lui. Lui promène sa bouche rapidement et soudainement mord à pleines dents. Il veut la bouffer, lui montrer qu’il est le mâle dominant. Il halète et renifle comme une bête. Julie a même un peu peur, un instant elle veut vraiment fuir. Laurent la retient de toute ses forces. Brusquement elle s’abandonne à cet être mi-homme mi-bête, à son désir animal qui lui fait peur et envie. Un coup de tonnerre plus terrible que les autres semble sonner la victoire de Laurent.

Il sort alors sa queue de son pantalon, énorme et tendue. Soulevant la jupe, il la dirige vers la chatte mouillée, et saisissant Julie par les hanches, la fait glisser sur le capot vers son pieu dressé. Le membre entre sans aucune difficulté, Laurent maîtrise un long va-et-vient. La pluie, le t-shirt mouillé, la jupe levée, Julie qui s’abandonne à lui maintenant, docile, domptée, soumise, tout cela l’excite au plus haut point. Le prédateur a gagné ! Il continue ses va-et-vient longtemps, plus fougueux que les éclairs, gagné par le déchaînement des éléments.

Il retire sa queue, retourne la jeune fille sans ménagement. Il admire quelques instants son cul magnifique, son gros cul offert, qu’il est beau sous la pluie ! Il le saisit à pleines mains, agrippant ses doigts dans les parties charnues et se penche pour l’embrasser, le lécher et le mordre. Il regarde fièrement les traces roses des morsures qu’il laisse sur la peau blanche. Il lèche sa chatte et remonte jusqu’à son petit trou. Puis il se redresse et positionne de nouveau son membre à l’entrée de la chatte. Son sexe retrouve sa place dans la grotte qui paraît encore plus brûlante après ce bref passage en extérieur. Laurent devient fou, il malaxe les grosses fesses de sa chienne.

– Tu aimes ça, te faire prendre comme une traînée sur le capot de la voiture, hein ?

Il donne une tape sur ce cul, une deuxième plus forte. Les claques électrisent le cul de Julie, et sont en même temps adoucies par les caresses de la pluie. Elle halète de plaisir, gémit de plus en plus fort, excitant encore plus le garçon. Ses seins sont aplatis sur le capot froid et mouillé de la voiture. La pluie continue de tomber violemment.

Un de ses doigts suit la raie des fesses et descend vers le petit trou. Mouillé par la pluie, il est bien lubrifié, et l’index pénètre lentement sans difficulté.

– Tu es ma grosse chienne, dis-le que tu es ma grosse chienne… et que tu aimes ça !
– Ohh oui, je suis ta grosse chienne, rien qu’à toi, tout à toi… Ohh j’aime ça…
– Ouiii ! moi aussi j’aime ça…

En disant cela, Laurent a quitté la chatte trempée, et pose sa queue sur la rosette ouverte par ses doigts. La pluie tombe de plus belle et lubrifie naturellement leurs corps. Il s’enfonce dans l’étroit boyau par petits à-coups, arrachant des cris à sa compagne. En peu de temps, son sexe est enfoncé à fond. Il entame des va-et-vient de plus en plus rapides, imprégnant le rythme en tenant fermement les fesses de Julie. Son postérieur claque à chaque coup de rein. Elle hurle.

– Oh Ouii ! Je jouis, ohh c’est bon !

À son tour il sent qu’il ne peut plus se retenir plus longtemps. Il sent la jouissance emplir son corps et envoie son foutre au plus profond du cul de sa compagne. Il se plante en elle et ne bouge plus. Enfin, il la redresse et l’embrasse fougueusement.

Comme si elle n’avait été que le décor de cette scène maintenant achevée, la pluie s’arrête. Rapidement, les nuages laissent passer quelques rayons de soleil. La paix gagne lentement les deux jeunes gens. Laurent embrasse de nouveau Julie, il lui caresse la joue et repousse ses cheveux en arrière. Il sort ensuite une serviette et des affaires sèches du coffre de la voiture et aide sa compagne à se changer. Ils reprennent enfin la route, silencieusement.

Laurent est gêné, il a peur d’avoir été trop brusque, trop animal et d’avoir froissé la jeune femme qu’il aime pourtant sincèrement. Au bout d’un long moment, il ose briser le silence :

– Ça va, ma puce ? Tu n’es pas fâchée?
– Fâchée ? Non, pas du tout !
– Tu n’as rien dit depuis notre départ…
– C’est vrai que tu m’as effrayée à un moment, tu m’as vraiment fait peur : je ne te reconnaissais pas, je ne reconnaissais pas ton visage… mais si je me tais maintenant, c’est parce que j’ai un peu honte… j’ai honte parce que j’ai beaucoup aimé ce qui s’est passé…
– C’est vrai ? s’écrit Laurent, surpris et ravi. N’aie pas honte mon amour, pas de honte.

Laurent arrête le véhicule au bord de la route et serre Julie dans ses bras. Il la rassure et la réconforte. Ils ne disent plus rien de nouveau. Julie se sent bien, tranquille. Ils savent qu’ils viennent de franchir une barrière dans leur vie sexuelle. Ils sont prêts à aller plus loin ensemble, dans la confiance et l’Amour…


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