Juliette est une femme d’âge mûr. Elle se laisse séduire par son jeune voisin Lucas. Le jeune homme pourrait être son fils, mais Juliette fini par céder au charme de ce jeune homme. Lucas attend que Juliette soit seule, pour la rejoindre. Les deux amants s’enlacent, s’embrassent fougueusement un long moment, en se disant des mots d’amours. Les yeux de Juliette s’embrassent lorsque Lucas se met nu devant elle, elle n’a que d’yeux que pour la verge, qui se balance entre les cuisses de ce bel Adonis. Ensuite Lucas effeuille lentement Juliette, qui l’aide du mieux qu’elle peut. Le corps de la femme d’age mur, est magnifique. Ses seins pendent légèrement, mais sont encore fermes. Lucas bascule son amante sur le canapé, il s’agenouille devant et pose ses mains sur les genoux de sa belle. C’est avec douceur, qu’il lui écarte les cuisses et approche sa main de l’entrejambe. Du bout des doigts, il caresse la vulve délicatement, ses doigts s’insèrent dans le sillon que forme les grandes lèvres et, monte jusqu’à son clitoris. Juliette se cabre lorsque les doigts agiles s’emparent de sa boule du plaisir et la caressent longuement. Le bouton d’amour prend du volume, Juliette ne peut retenir ses soupirs.
Soudain elle se cabre, un intrus pénètre son intimité et, s’enfonce profondément dans son corps. Le doux ramonage du visiteur la fait frémir. Elle se met à geindre doucement, le va-et-vient prend de l’ampleur, Juliette souffle comme un animal, elle est au bord de l’explosion. Sa vulve suinte abondamment, un filet de cyprine s’échappe de sa vulve brulante. Elle serre les dents et explose en poussant un long râle. Lucas retire le doigt et approche sa bouche du cratère en éruption. Sa langue fait quelques vas-et-viens sur sa fente dégoulinante. Juliette est aux anges, la bouche vorace de son jeune amant aspire son bouton d’amour et l’agace, Juliette est en plein délire, ses gémissements, sont bruyants. Lucas s’acharne sur son clitoris, jusqu’à ce que Juliette jouisse à nouveau. Satisfait de Lui, il se redresse en regardant sa proie fébrile. Sa verge tendue est dure comme un morceau de bois, il l’agite en souriant. Fier de son attribut de mâle, il s’avance très près de son amante. Juliette lui saisit le manche gorgé de sang, le décalotte et gobe le gland violacé. Elle suce et tète comme une professionnelle du sexe. Lucas ne peut retenir ses grognements d’animal en rut.
C’est en se cabrant qui envoie une puissante giclée suivie de deux moins puissantes dans la gorge de son amante. Juliette repousse Lucas, car elle manque d’étouffer. Elle avale avec difficulté la semence épaisse. Lucas se place entre les cuisses de Juliette et, lui plante son glaive gluant profondément dans le ventre. Juliette en frémissant s’accroche à lui. Les coups de reins de Lucas sont violents, sa verge, coulisse aisément dans le vagin, lubrifier naturellement par l’abondante cyprine qu’il produit. Les gémissements de Juliette sont bruyants, elle agite son bassin en râlant de plaisir. La tension monte d’un cran, elle embrasse fougueusement son amant, les langues se nouent, un change de salive a lieu avant de que les lèvres ne se séparent. Lucas tire sur les hanches de son amante qui donne des coups de reins pour être empalée totalement. Le membre veineux infatigable, entre et ressort de l’antre en fusion en prenant de la vitesse. Juliette ne cesse de répéter :
– Oui, oui, plus fort mon chéri, oh mon Dieu tu me rends folle !
Juliette s’agite comme une damnée, elle s’accroche à son amant comme une bête sur sa proie en grognant. Elle se cambre fortement, se bloque et jouit fortement. Lucas continue de la démonter sauvagement, il serre les dents et explose en remplissant le ventre de son amante. Soudain, la porte du salon s’ouvre entièrement, c’est Roger, le mari de Juliette qui entre dans la pièce. Mais cela est une autre histoire.
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