Bonjour à tout le monde. J’adore lire des histoires coquines lorsque je m’ennuie tard le soir, et je me suis dit qu’il été temps pour moi de franchir le pas et de vous livrer à mon tour une petite anecdote croustillante de ma vie sexuelle.
Avant de vous raconter tout ça, je vais tout de même me présenter. J’ai 25 ans et je m’appelle Sonia. Au niveau du physique, je ne vais pas dire que je suis une pure bombe, mais je ne suis pas dégueulasse non plus. Je vous filerai une photo de moi à l’occasion, vous pourrez ainsi vous faire votre propre jugement. Je suis une petite rouquine, j’ai la peau assez pâle, et j’ai quelques taches de rousseur sur le corps et le visage, mais rien de trop flagrant. On me dit souvent que je suis une belle rousse, que c’est rare de porter cette couleur aussi bien que moi. Je suis flattée, mais j’avoue que je n’ai pas trop confiance en moi. Je suis un peu ronde, j’ai une poitrine assez forte et un gros fessier, mais je tiens à préciser que je n’ai pas du tout de cellulite. J’ai pensé un moment à faire du régime, mais j’aime trop la vie pour m’embêter avec ce genre de complexe. Je sors souvent, j’aime aller au restaurant avec ma bande de copains pour me péter la panse comme j’aime si bien le dire. Ce n’est pas très glamour mais j’assume totalement. Je ne suis pas le genre de fille à me prendre la tête. Mais attention, je tiens tout de même à ma féminité. Je ne sors jamais sans maquillage, les cheveux lissés et de la lingerie fine sous une tenue moulante. Je suis un peu allumeuse sur les bords. Lorsque je vais en boîte, j’aime danser collé-serré avec les mecs. Je les chauffe au maximum, mais c’est rare que je concrétise vraiment. Je suis des études de médecine, et ça me prend beaucoup de temps. Je n’ai pas envie de m’embarrasser d’un mec trop collant. Ça m’est arrivé une fois, je n’ai plus trop envie de vivre une expérience pareille. Je vis depuis quelque temps dans un immeuble du centre-ville. Je suis au troisième étage. J’ai pris cet appartement pour travailler tranquillement sur mes cours. Je ne supportais plus l’ambiance au foyer familial. Mon petit frère faisait tout le temps du bruit, et mon père est fan de rock, je ne vous explique pas le bruit à la maison. Lorsque j’ai visité l’appart, j’ai tout de suite craqué pour son volume spacieux et sa grande baie vitrée. Bon, il y a un bémol, j’ai pas mal de vis-à-vis, mais ça ne me dérange pas plus que ça. Je ne vais pas m’empêcher de vivre parce que les voisins d’en face peuvent me voir faire ma petite vie. En plus, le loyer est assez modeste, et ça colle parfaitement avec ma bourse d’étudiante.
J’y suis depuis deux mois maintenant, et tout se passe bien. Par contre, j’ai remarqué un truc. Dans l’immeuble d’en face, j’ai vu plusieurs fois une silhouette derrière le rideau qui m’observait. Au début, je pensais que c’était une simple coïncidence, mais au bout de trois fois, c’était certain que quelqu’un m’espionnait. Je ne pouvais pas voir s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. La personne n’était pas très discrète, mais j’avais du mal à voir son visage, car la pièce était toujours dans la pénombre. J’ai donc mené ma petite enquête. Après avoir questionné la concierge d’en face, j’ai appris que l’étage en question était uniquement occupé par un homme d’une quarantaine d’années. Elle le voyait peu et ne savait même pas dans quel domaine il travaillait. Ça ne m’avançait pas beaucoup, mais maintenant, je savais que j’avais affaire à un homme. J’ai donc tout de suite suspecté le voyeurisme pervers comme mobile de cet espionnage indiscret. J’en ai un peu discuté avec mes copines, et elles m’ont conseillé d’aller voir la police. C’est vrai que j’ai eu peur au début, mais en fait, j’étais plutôt intriguée. J’avoue que j’avais même envie de jouer avec ce petit cochon. J’avais besoin d’un peu de détente après les examens de fin d’année. Un soir, j’ai donc ouvert les rideaux en entier, j’ai mis la lumière à fond, et j’ai fait comme si je n’étais au courant de rien. Il fallait que je prenne ma douche, et je me suis mise toute nue. J’ai tourné la tête discrètement, et j’ai bien vu que le pervers était présent à son poste. J’ai senti en moi un truc monter, comme une sorte de désir que je ne pouvais pas réprimer, même si c’était mal. Je suis issue d’une bonne famille, avec des règles strictes et beaucoup de morale. Je ne comprenais pas cette excitation, et le jeu malsain que j’étais en train de faire. J’ai vite enfilé ma serviette puis j’ai éteint les lumières. Je pouvais maintenant mieux voir dehors, et j’ai bien distingué le voyeur qui se masturbait à sa fenêtre. Il ne me voyait plus, mais il restait là à se branler frénétiquement, quel barge. Moi, par contre, je le voyais très bien. Je me suis allongée sur ma serviette, j’ai écarté les cuisses et j’ai commencé à passer ma main sur mon sexe. Ma chatte épilée était encore sèche. J’étais obligée de lécher mes doigts avant de les passer sur ma fente. Mon clito est devenu dur comme un bonbon, et je l’ai branlé pendant de longues minutes. Je mouillais grave, j’avais trop envie d’une queue. J’ai commencé à me mettre un stylo dans les fesses. J’étais chaude comme la braise, et j’ai décidé de pousser le vice un peu plus loin. Je me suis relevée, toujours toute nue et l’intérieur des cuisses plein de cyprine, puis j’ai rallumé la lumière. Je me suis ensuite reposée devant la vitre avec l’abricot bien en évidence.
Je regardais bien en face de moi tout en me masturbant avec volupté. Je voulais montrer au voyeur que je savais tout, et que j’aimais ça. Je l’ai vu bouger de sa place d’observation et sa lumière s’alluma également. Il est ensuite revenu se poster, et j’ai enfin réussi à le voir complètement. Il n’était pas trop mal, assez bien musclé pour son âge. Il avait les cheveux grisonnants et il était barbu. L’inconnu était super viril, et ça m’excitait encore plus. Je pouvais même voir que la taille de sa queue était plus qu’honorable. Je ne conseille pas à d’autres filles de faire ça. Personnellement, je n’avais pas du tout peur de ce détraqué sexuel. Nous avons joué à ce jeu plusieurs soirs de suite. C’était marrant et assez insolite de se branler devant la fenêtre, mais j’avais envie de le sentir auprès de moi. Un soir, je lui ai donc fait signe de venir me rejoindre. Il a d’abord hésité, puis je l’ai vu disparaître de la fenêtre, et quelques minutes plus tard, je voyais un homme traverser la rue. Il n’y avait que trois sonnettes en bas de l’immeuble, et je pense que ce petit malin les a toutes testées, ou alors il est tombé immédiatement sur la bonne. En tout cas, quelqu’un venait de sonner chez moi. Je me suis demandée si ce que je faisais était dangereux, c’est vrai, je ne le connais pas du tout ce monsieur ? J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai ouvert la porte. Il monta les escaliers deux par deux. Il devait être sportif et endurant le petit cochon. J’avais ma serviette rose enroulée autour de moi, juste au-dessus des seins. Il est enfin apparu sur mon palier.
– Bonsoir ma jolie, alors comme ça tu veux me faire visiter ton nid d’amour ?
– Bonsoir ! Je pense qu’après les trucs qu’on a fait, on est assez intime pour cela.
– Oui c’est pas faux. Je peux entrer ?
– Mais oui, viens, tu veux un café ? Une bière peut-être ?
– Rien du tout.
Sur ces mots, il s’est approché de moi et il m’a saisi par les hanches. D’une manière assez brusque, il m’a plaqué contre son corps chaud et massif. Quel bûcheron! Il a ensuite claqué la porte. J’étais maintenant à sa merci, je ne savais pas ce que j’allais devenir. Mais il ne semblait pas trop malade, juste un peu cochon. Ses mains étaient déjà passées sous ma serviette et elle me pressait le cul fermement. J’étais vraiment contre lui et nous nous sommes embrassés comme des animaux. Nos langues étaient mêlées, je lui suçais la sienne, puis il suçait la mienne. Nous nous sommes roulé des patins ainsi pendant un bref instant, puis le salopard a déballé sa queue. Il voulait une pipe, là, tout de suite ! Je lui ai dit de se calmer un peu, mais il a insisté. Je ne pouvais plus refuser. C’est moi qui lui avais demandé de venir me voir, je ne pouvais pas le recaler. Je me suis mise à genoux, mais c’était un peu difficile sur le parquet en bois. J’ai donc posé ma serviette au sol pour me soulager un peu, et j’ai enfin réussi à me concentrer sur son engin. Quel beau sexe d’homme, plein de vigueur et de force. Elle était tendue vers moi et ne demandait qu’une chose, que je lui fasse des léchouilles. J’ai donc pris sa hampe pour l’examiner de plus près. Elle sentait bon le gel douche. Il avait pris soin de s’épiler, et ses grosses couilles étaient chauves comme le crâne de Bruce Willis. Je n’ai pas pu résister et j’ai tout de suite gobé ses burnes l’une après l’autre. Elles me remplissaient presque la bouche entièrement. J’aspirais fort et je le voyais déjà fermer les yeux et regarder en l’air. Il bandait déjà comme un taureau, et je me suis mis à lui branler le rondin comme je pouvais. Ma main était insignifiante face à son tube volumineux, mais je trouve que je me débrouillais bien. Je l’ai ensuite sucé longuement, en alternant coups de langue et aspiration puissante. Je lui bouffais le trognon comme une petite sauvageonne ayant perdu tout sens de la morale. Je n’étais pas fière de ce que j’étais en train de faire, mais putain, ça me faisait du bien! Je n’avais pas fini de lui pomper le haricot qu’il m’a relevé, m’a pris par la taille et m’a posé comme une vulgaire chose sur mon bureau. D’un revers de main puissant, il a fait valser tous mes cours que j’étais en train de bosser, puis il m’a demandé de me doigter. Je me suis exécutée tout de suite, et j’ai vu qu’il a commencé à se branler. Il voulait que l’on se masturbe en se fixant dans les yeux.
C’était un moment intense et vraiment sensuel. Nous avons fait ça un moment, puis il m’a écarté les cuisses et s’est approché de ma chatte avec sa queue. Il voulait me prendre, me posséder jusqu’au fond, et il allait le faire. Je suis assez souple comme fille, et j’ai réussi à poser mes chevilles sur ses épaules. Il avait ainsi toute ma raie, du clito jusqu’au trou du cul, rien que pour lui et ses délires pervers. Son obus se planta en moi jusqu’à la garde. Putain !!! Je suis assez vaginale comme femme, et j’ai tout de suite senti des vagues de plaisir m’inonder le bas du ventre. Il me ramonait bien, et je lui demandais d’y aller encore plus fort. J’aime les gros coups de bite, mais avec lui, c’était magique. Il alternait entre une baise lente, profonde et langoureuse où il m’embrassait à pleine bouche, avec une baise beaucoup plus violente, sans concession ni ménagement. J’adorais cette suite de changements de rythmes, et j’ai dû contenir plusieurs orgasmes à la suite. Lui, de son côté, avait l’air de bien tenir le coup. Il transpirait à grosses gouttes, mais il était loin de vouloir jouir. J’en avais encore pour un moment à me faire défoncer sous ses coups de burin. J’ai serré les dents, et il m’a tourné en levrette. Je pensais qu’il allait me prendre le sexe à nouveau, mais c’est mon cul qu’il a choisi. J’ai déjà été sodomisé plusieurs fois, et je ne suis pas spécialement fan du sexe anal, mais avec lui, c’est autre chose. Il m’a enculé d’une manière indescriptible. Je n’ai pas souffert une seule seconde. Et pourtant, j’ai bien senti ses grosses couilles me chatouiller les fesses, signe qu’il est tout de même allé m’explorer la grotte jusqu’aux fondations. Je lui donnais tout mon corps, tout mon être, et il avait le droit exclusif de me pénétrer partout. Je sentais bien sa bite en moi, je n’ai jamais expulsé des étrons aussi gros que son dard, mais ma fente anale résistait bien. Je prenais grave mon pied lorsque j’ai senti une décharge de sperme envahir mes fesses. Il était en train de me gicler dans le derrière, mais c’était si bon que je l’encourageais à se finir dans mon orifice privé. Il a joui longuement dans mon derche. Mon cul n’était plus qu’un cloaque à semence. Je dégoulinais de son sperme et j’aimais ça, je me sentais comme une catin dépravée qu’un pervers voyeur était en train de souiller. J’ai passé une soirée mémorable que je ne suis pas prête d’oublier. Ce fameux voisin va bientôt déménager, et j’espère qu’un autre coquin va prendre sa place !
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