J’offre ma femme à un inconnu pour la première fois

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Je m’appelle Nico, j’ai 45 ans, et je suis cadre supérieur dans la fonction publique. Autant dire que de par mon orientation professionnelle, je suis une personne sérieuse et qui aime la rigueur. Je vis avec ma femme et mes deux enfants, des garçons qui ont 9 et 14 ans. Nous ne manquons vraiment de rien. Ma femme travaille dans la cosmétique, et elle gagne très bien sa vie (bien plus que moi). Nous habitons une maison dans un petit quartier résidentiel sympathique. Tout ceci est bien beau, mais ça en devient presque monotone. Je sais très bien que c’est la vie parfaite dont beaucoup de gens rêvent, mais depuis plusieurs mois déjà, je sens qu’il me manque quelque chose.

Au début, j’ai mis ça sur le compte de la crise de la quarantaine, et c’est peut-être le cas, mais j’ai mis du temps à mettre le doigt sur ce qui me chiffonnais réellement. J’en ai beaucoup discuté avec ma femme. Vanessa est vraiment adorable, toujours là pour moi, à l’écoute, très communicative. C’est un joli petit bout de femme, très typée du sud. Le teint foncé, les yeux marron, les cheveux noirs et lisses, une vraie perle. Sa voix douce et un peu fluette n’a pas changé depuis notre première rencontre, c’était au lycée, et je m’en souviens comme si c’était hier. Je sais très bien que je suis son premier amour, celui à qui elle s’est offerte pour la première fois. En gros, je suis le seul homme avec lequel Vanessa a couché durant sa vie. Je suis assez fier d’avoir réussi à la garder rien que pour moi jusqu’à maintenant. Ce n’est pas une chose facile, car elle se fait souvent draguer, que cela soit au bureau ou bien lors de soirées entres copines. Mais je lui fais totalement confiance, je la connais sur le bout des doigts

De mon côté, je vais être honnête avec vous, je ne l’ai jamais trompé non plus. Cependant, Vanessa est loin d’être la seule femme avec qui j’ai partagé des moments intimes. Au lycée, j’étais un véritable tombeur, et j’ai fait passer sur la banquette arrière de ma vieille Ford un sacré paquet de petites minettes. Quand j’y pense, j’en rigole encore. Bref, c’était il y a plus de vingt ans, et les choses ont bien changé maintenant. Nous sommes dans notre train-train quotidien, métro boulot dodo comme on dit souvent. Et c’est ça qui m’ennuie le plus. Notre vie sexuelle est devenue trop fade à mon goût. Nous faisons encore l’amour, bien entendu, mais depuis quelques années, ce n’est plus du tout comme avant. Je passe de plus en plus de temps à regarder des vidéos pour adultes sur le Web. Il m’arrive de me branler parfois pendant des heures en cherchant la scène qui saura me faire jouir. Et justement, je suis tombé dernièrement sur un truc qui m’a beaucoup plu. Cela se nomme le candaulisme. Je ne sais pas si vous connaissez ça, je ne suis peut-être pas à la page, excusez-moi. Je vais tout de même vous expliquer de quoi il s’agit, au cas ou.

En fait, le candaulisme, c’est le fait pour un homme marié, ou du moins en couple, d’offrir sa femme à un inconnu pour qu’elle se fasse baiser. C’est une sorte de tromperie avec consentement du mec, et de la femme. Je ne sais pas pourquoi cela fait cet effet sur moi, mais le candaulisme me fait bander comme un taureau. Rien que d’imaginer ma femme et sa gueule innocente se faire troncher devant moi par un gros black, et je suis à l’étroit dans mon caleçon. J’ai longtemps gardé ce fantasme pour moi. Me branler régulièrement sur ce genre de vidéos me suffisait amplement, mais plus maintenant. Je suis le genre de personne qui ne peut pas se contenter indéfiniment de sexe virtuel. J’aime les odeurs, le contact, les bruits, et tout ce qui touche au sexe en direct. J’ai donc commencé à parler de cette envie soudaine à ma petite femme.

Elle est du genre timide, et comme vous vous en doutez, elle n’a rien voulu savoir pendant des semaines. Je peux comprendre qu’elle ne soit pas prête à accepter l’idée que l’homme de sa vie désire la voir se faire démonter devant lui par un autre.

 

Un soir, alors que je traînais sur un site de webcam coquine, ma femme est entrée dans la pièce. Les enfants étaient au lit depuis longtemps, et je me branlais doucement en regardant des couples s’exhiber. Vanessa était en colère sur le coup, puis elle a commencé à regarder le PC avec moi. Elle observait ses couples en train de baiser devant des milliers d’internautes, et elle a commencé à me caresser le sexe. J’étais très surpris par ce revirement de situation, mais aussi super content de voir ma femme se lâcher un petit peu. Ce soir-là, j’ai même créé un compte sur le site en question, et j’ai convaincu ma femme de faire l’amour devant des inconnus.

Nous avons baisé comme des bêtes, je ne l’avais jamais vu dans un état d’excitation aussi intense, une vraie fontaine de mouille ! Vanessa était en train de changer, de se délurer, pour mon plus grand bonheur. Nous avons vécu ce genre de soirée encore plusieurs fois. Au bout d’un mois, nous faisions notre séance de baise en ligne tous les soirs, c’était vraiment génial. J’avais les couilles vides, comme à mes 18 ans. J’avais même du mal à bander parfois, tellement Vanessa m’aspirait. C’est à ce moment que je suis de nouveau revenu à la charge avec mon délire de candaulisme. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle était enfin prête à franchir le cap. La seule condition qu’elle m’imposa, c’est de choisir un homme black ou arabe, avec un plus gros sexe que le mien. Bien entendu, j’ai tout de suite accepté. Je n’allais pas faire la fine bouche devant si peu de conditions. La chasse commença donc, et je postai quelques annonces sur des sites spécialisés. Merci aux inventeurs du Web, grâce à ce truc magique, nous pouvons enfin réaliser nos fantasmes à notre guise.

J’ai posté des photos de ma femme pour agrémenter l’annonce et avoir un peu plus de chance d’intéresser un mec. Je ne pensais pas recevoir autant de réponses, mais en même pas deux jours, ma boîte mail était pleine. Je devais faire le tri, il y avait de sacrés guguss. J’ai finalement fait mon choix. Un black, la trentaine, crâne rasé, musclé comme un garde du corps. Le genre de mec à qui tu évites de chercher des noises. Malgré ses apparences de repris de justice, il était super sympa par claviers interposés, et ma femme le trouvait terriblement sexy sur les photos. Je n’imaginais même pas le calibre qu’il devait cacher sous son caleçon. Nous avons donc pris rendez-vous avec lui pour une première approche en mode posé et tranquille.

Je ne voulais pas mettre trop de pression sur ma femme, et je le dis que c’était simplement pour faire connaissance, et que l’on pouvait faire machine arrière à n’importe quel moment de la soirée. Vanessa était légèrement anxieuse, et elle s’enfila plusieurs verres de Vodka pomme avant l’arrivée de Monsieur Muscles. La sonnette retentit enfin. J’allai ouvrir. Quel monstre, un vrai géant ! Même ma femme pris peur en le voyant. Mais il nous rassura vite avec ses discussions élaborées et son humour fin. C’était un homme très intelligent, et tant mieux. Nous ne voulions pas faire plus connaissance que cela avec lui. Je voulais qu’il garde son statut d’inconnu jusqu’au bout. Ça faisait partie de mon fantasme, et tout le monde accepta.

Il était convenu que je reste dans la pièce, et que ce nouvel arrivant s’occupe de ma femme sous mes yeux. Vanessa était maintenant un peu pompette, elle avait les joues rouges et rigolait pour un rien aux blagues de son amant. Je sentais bien que c’était le moment ou jamais pour notre invité de tenter un truc. Je lui fis un clin d’œil discret. Nous étions vraiment sur la même longueur d’onde lui et moi, et il comprit tout de suite ce qu’il lui restait à faire. Je ne pensais pas qu’il allait y aller si brusquement, mais le bougre d’homme ouvrit sa braguette et déploya son machin d’un seul coup. Je me sentais vraiment ridicule face à cet engin démesuré. Le mec aurait dû tourner dans un porno, il aurait eut du succès. J’observais la réaction de Vanessa, et je la vis faire les gros yeux devant cette gigantesque queue.

Elle eut un moment d’hésitation, me regarda brièvement, puis s’avança timidement vers son bourreau. J’offrais ma petite femme si parfaite et timide sur un vrai plateau d’argent, et je commençais déjà à bander en attendant la suite. J’étais un véritable spectateur de cette scène de cul entre ma chérie et un gros black pervers. Vanessa se mit à genou, et commença à lui branler la queue lentement. Sa main paraissait si petite face au boa africain de notre invité. Je me demandais bien comment elle allait pouvoir lui faire une fellation. Mais ma chérie était pleine de ressources cachées.

Le mec lui indiqua brièvement qu’il voulait se faire sucer avant de faire quoi que ce soit d’autre. Il était gonflé tout de même. Vanessa prit son courage à deux mains et ouvrit la cavité buccale à fond. Elle arrivait à peine à rentrer son gland sombre. La salope se contentait pour l’instant de lui téter le bout, comme un nouveau-né qui s’acharne sur le téton de sa mère. Après plusieurs minutes, sa mâchoire était chaude, et elle commença à s’enfoncer la tête un peu plus sur ce véritable pieu aux mensurations irréelles. Je regardais ça avec curiosité et excitation. Je ne pensais pas que ma femme, l’amour de ma vie, pouvait oser sucer en entier le membre sur-dimensionné d’un inconnu. Mais c’est bien ce que cette petite vicieuse était en train de faire, et elle n’était pas prête à en rester là. Je connais bien Vanessa, et je voyais maintenant qu’elle prenait du plaisir, qu’elle était tout simplement à l’aise.
Elle prenait les couilles du mec dans sa bouche et roulait sa langue dessus. Il avait le sexe et les bourses totalement épilés, ce qui rendait l’ensemble encore plus gros. Vanessa entrait cette bite en entier dans son gosier, puis la ressortait, puis la rentrait à nouveau, comme si elle se bourrait elle-même la gorge d’une façon indécente et douloureuse. Des filets de bave lui coulaient de la commissure des lèvres. Elle était maintenant déchainée, une vraie prostituée dévergondée et délurée. Je ne l’ai jamais vu dans cet état-là, même avec moi, et j’avoue avoir ressenti un peu de jalousie, mais rien qui puisse entacher ma branlette de voyeur. Je bandais fermement et me tirais sur le sexe comme un puceau dans les vestiaires des filles. Les deux complices faisaient comme si je n’étais pas là, et ça me convenait parfaitement. Le black avait presque l’air d’en avoir marre de se faire pomper. Il voulait prendre les trous de mon amour, et il allait résolument le faire. Il prit Vanessa par les hanches, comme s’il s’agissait d’un vulgaire paquet, et la posa sur le grand tapis du salon. Elle était sur le dos et semblait attendre une sévère correction. Le mec se mit nu, et fit de même avec ma chérie. Elle écarta alors les cuisses. Son abricot était brillant de mouille, heureusement pour elle d’ailleurs, car à sec, ça aurait fait mal. Le black se posa sur elle, en missionnaire, et frotta son gland longuement sur la fente de mon ange. Il lui préparait bien le trou, et il fallait au moins ça pour qu’elle encaisse ce gigantesque rondin. Il enfonça ensuite son nœud en entier, presque jusqu’aux bourses. Vanessa poussa un cri de plaisir, et le gars commença à lui ramoner tendrement, en lui prodiguant de petits baisers. J’étais un peu contre ça au début, mais ils étaient si absorbés que je les laissai s’embrasser sans intervenir. J’étais d’ailleurs trop occupé à me masturber pour me lancer dans de tels enfantillages.

Le black accélérait le mouvement, et son gros paquet claquait de plus en plus fort dans une sorte de bruit humide. Ma femme couinait à présent. Elle avait les jambes écartés à fond, et le gars avait à peine la place pour se loger correctement. Mais il avait de l’expérience, et il baisait ma chérie comme un dieu. Je ne sais pas s’il désirait la prendre dans une autre position. Le missionnaire avait l’air de leur convenir à tous les deux. Ils firent l’amour de cette façon pendant plus d’une heure. Ils étaient tous les deux en phase, comme connectés l’un à l’autre. Ils faisaient des pauses pour s’embrasser longuement entre deux séries de pénétrations profondes.

Vanessa eut plusieurs orgasmes, au moins quatre. Quant à son amant, il faisait des pauses pour tenter de se retenir et durer le plus longtemps possible. Mais un moment, alors qu’il donnait de longs et profonds coups de burin à mon amour de femme, je le vis se crisper de tout son corps et l’entendre crier un truc du style : « Je vais gicler ! ».

Vanessa refusa de recevoir la semence d’un inconnu en elle, et il se libéra alors sur le ventre ma dulcinée, dans de longues giclées de sperme laiteux.

S’en était trop pour moi, je ne pouvais plus tenir, et j’éjaculai à mon tour en me branlant copieusement. Sur son invitation, je choisis les seins de Vanessa pour déverser mon foutre chaud. Elle était souillée comme une catin infidèle, et je pris aussi grand plaisir à la voir dans cet état, qu’elle à se sentir désirée. J’ai même pris des photos. Peut-être que je vous montrerai tout ça un jour.

En tout cas, depuis cette soirée, moi et Vanessa sommes plus complices et amoureux que jamais. Notre couple est beaucoup plus soudé qu’avant, et nous avons pris la décision de nous offrir ce genre de plan une fois par mois, donc s’il y a des intéressés, faites-moi signe !


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