Je ne suis pas un voyeur, dans le fond. Heureusement pour moi, d’ailleurs, parce qu’étant maître-nageur dans une piscine municipale, j’aurais trop souvent l’occasion de me rincer l’œil, et je dédaignerais sans doute la sécurité des nageurs ! Mais cette fois, pas moyen d’y échapper : le sort et le vice se sont ligués contre moi pour me transformer en mateur de la pire espèce.
Elle était blonde, assez grande, et très gironde. Un peu de formes, mais un physique tout de même très harmonieux. Lui était brun, genre armoire à glaces, alors que je ne suis moi-même pas trop mal gaulé, de par mon métier. Elle est arrivée à la piscine municipale dans un maillot de bain d’une indécence totale. On ne voyait qu’eux. J’ai failli les rappeler à l’ordre une ou deux fois, car ils s’embrassaient à pleines bouches au milieu des autres nageurs.
Tout le monde reluquait dans le décolleté plongeant de son maillot. Ce qui n’était rien par rapport à la vue de dos : son maillot lui moulait les fesses de la façon la plus impudique qui soit. Mais finalement, à l’heure de la fermeture, aucun incident n’avait été à déplorer. J’ai fait mon petit train-train habituel (rangement du matériel, vérifications de sécurité…) et je suis parti me doucher.
Même si je sais être seul dans le vestiaire, je prends quand même une cabine pour me changer. J’étais tout nu quand j’ai entendu des murmures dans la cabine à côté de la mienne. Un homme et une femme, ce qui est formellement interdit, les vestiaires ne sont pas mixtes ! Je m’apprêtais à faire la police, quand j’ai compris qu’il s’agissait d’un couple en train de faire l’amour. Sans doute un fantasme de vestiaire.
Je ne me sentais pas le cœur de les arrêter dans leur élan. Pire ! L’envie me vint de voir ce qui se tramait exactement, là, juste à côté de moi. Connaissant parfaitement les lieux, j’eus tôt fait de trouver le moyen de me hisser jusqu’en haut de la petite paroi entre les cabines, de passer la tête pour regarder.
D’un naturel discret, j’avais cette fois envie de voir ce qui se tramait à côté.
Toujours à poil, je pris appui sur le petit tabouret pour voir de l’autre côté, et je regardais. C’était le couple de tout l’heure. La bimbo blonde était accroupie devant son mec et elle suçait une large bite, assez courte, mais suffisamment épaisse pour lui déformer les joues. J’avais une vue magnifique sur ses gros seins en obus, qui pointaient vers son homme.
Elle délaissa un instant sa fellation pour prendre la queue du mec entre ses nichons, lubrifiés par la transpiration. Une magnifique branlette espagnole qu’elle s’appliqua à rendre chaude et langoureuse. Elle parvenait même à titiller du bout de la langue le gland de son amant quand il réapparaissait d’entre ses gros nichons.
Ce faisant, elle leva les yeux en l’air. J’étais pris ! Mais, après tout, les fautifs, c’était eux. Mais, loin de paniquer, la jolie blonde m’adressa un sourire pervers, et reprit sa turlutte endiablée. J’étais estomaqué par son sang-froid. Et je me rendis compte alors que je bandais comme un dingue.
Elle se savait observée, mais cela ne la découragea pas, tout au contraire. Comme si ma présence la faisait mouiller davantage. Elle interrompit une nouvelle fois sa pipe, se redressa et se tourna vers moi. Sur ses appuis, son mec se colla derrière elle, et la pénétra. La belle leva à nouveau les yeux au ciel, des yeux bleus qu’elle ficha dans mon regard.
Je pris alors ma queue dans la main. Je me branlais tandis que la bimbo se faisait troncher par son mec, sans jamais me quitter du regard. Elle passait la langue sur ses lèvres pour avoir l’air encore plus aguicheuse. J’ai joui en même temps qu’eux ce jour là, et bien sûr, je ne les ai pas dénoncés
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