Je m’appelle Éva et j’ai vingt deux ans. La nature a été clémente avec moi, 1,70m, brune, des yeux bleus qui marquent les esprits et un physique qui plaît aux garçons. J’ai pas mal d’amis avec qui chaque sortie se transforme en fête et je dois dire que je ne m’ennuie jamais.
Il y a un an, j’ai rompue avec mon petit copain lorsque j’ai appris qu’il ne sortait avec moi que par intérêt. Depuis je suis plus ou moins méfiante. Niveau sexe il n’était pas très actif, nous faisions l’amour mais je peux compter le nombre de fois où nous avons couchés ensemble. J’ai collectionné quelques histoires par ci par là mais sans vraiment y prendre goût. Il faut dire que la plupart du temps j’étais ivre morte. Mais je ne trouvais jamais le plaisir.
Ces derniers temps, une nouvelle personne s’est ajoutée à notre cercle d’amis, il s’appelle Marc. Un grand métisse aux yeux vert et crâne rasé. Sa musculature ferait chavirer n’importe quelles filles du groupe. Il a un parfum d’épices qui me rend folle. Mais c’est un ami et pour moi il était hors de question de me faire piéger par ses beaux yeux…… Si seulement ça pouvait être vrai….. Je me prenait à rêver de lui la nuit, de ce que nous ferions tout les deux et chaque nuit les rêves devenaient de plus en plus érotiques voir pornographiques. Par exemple je me voyait prise par lui dans une forêt tropical, ses assauts puissant me faisant perdre la tête. Ou bien lui et moi, faisant l’amour sur une plage…. Bon là c’était plus comique, le sable n’était pas notre meilleur ami. Mais les rêves semblaient si réels que je me surprenais à mouiller comme cela ne m’étais jamais arrivé.
Et lui, un jour, je décidais de sauter le pas, j’allais le voir pour envisager d’aller plus loin. Je voyais bien que je lui plaisais.
– Marc, je sais que ma demande est un peu osée mais ça te dirais un soir de venir prendre un verre à la maison ? Ne vois la rien de suspect là dedans hein mais je me suis dis que ça serait sympa.
– Pourquoi pas ! Fit il avec joie, excellente idée ! C’est pour quand ?
– Hum demain soir, 19h ? J’étais prise au dépourvu, je n’avais pas envisagée qu’il dirait oui !
– Ok, demain soir chez toi à 19h.
Quelle idiote ! Je n’ai rien préparé ! Cet après midi là je fît des courses d’urgences, passant par le magasin de lingerie pour prendre des petites choses affriolantes…. Tien de suspect mon œil ! Il provoquait chez moi un désir brûlant, tous ces rêves me rendaient folle, je me voyais faire avec lui toutes ses choses plus cochonnes les unes que les autres.
Le lendemain, 18h, je mettais une dernière touche à ma tenue, un bustier blanc très décolleté, un jean moulant par dessus un string noir que j’avais acheté la veille. 19h ! On frappait à ma porte, c’était lui. Il était vêtu sobrement mais avec un classe folle. Il sentait bon le pain d’épice le salaud ! Je l’aurai dévoré sur place. Il me complimentait sur ma tenue et me suivit dans la cuisine. Là nous prîmes un apéro et nous discutions de choses et d’autres. Mais son parfum me faisait tourner la tête si bien que je ne tenais plus en place, je sentais un feu en moi qui ne voulait pas s’éteindre et là tout bascula. Je me ruais sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. À ma grande surprise il me rendit mon baiser avec une extrême douceur. Ses lèvres, bon sang ses lèvres ! Elle avaient un goût sucré et je ne pouvais que passer furtivement ma langue pour en avoir d’avantage. Bien vite j’enlevais sa chemise pour avoir devant moi une statue de dieu grec…. Mon corps était en feu et voir ça ne faisait qu’attiser les flammes. Je dégrafais son pantalon, j’avais envie de lui, de son corps et cette odeur d’épices me rendait de plus en plus folle. Il enleva mon bustier et caressa mes seins. Mes tétons étaient durs et il les portât à sa bouche les titillant de sa langue. Je plongeais dans l’extase. Je gémissais de plus en plus. Je glissais ma main dans son pantalon et je trouvais l’objet de mon désir. Mon dieu mais qu’est-ce que c’était que cette chose ? Elle était énorme ! Aussi large que mon bras, d’une vingtaine de centimètres ! Cette chose, si elle entre en moi va faire un carnage. Mais je m’en fichais je le voulais !
Nous étions nus maintenant, et me mettant à genoux commençai à branler ce pieux qui ne cessait de grandir. Du bout de ma langue je titillais le bout de son gland gonflé à bloc, je l’entendais grogner de plaisir. Je léchais ce bonbon, mon dieu qu’il avait bon goût ! Je faisais le tour de ce morceau avec application avant d’enfourner ce pâle dans ma bouche. Elle était si énorme que sa bite n’entrait pas, il n’y avait que le gland.
– Attend, me dit-il, je vais tester quelque chose. Ce qu’il fît me surpris tellement que ne pouvais plus bouger. Il m’avais saisi la tête avec ses main et enfonçait son dard jusque dans ma gorge. Il me baisait la bouche allant de plus en plus vite. Il se dégagea, je toussais, bavais mais comme poussée par une faim dévorante je retournais au charbon lui offrant une gorge profonde qu’il aimait. À cet instant je me sentais comme une pute, sans limites, accro au sexe.
– Prend moi putain ! Baise moi ! Voilà, j’étais devenue une vraie salope ! Implorant pour qu’on me baise…. Mon désir m’aveuglait et là, dans ma cuisine, je me mettais à quatre pattes pour qu’il me prenne comme une chienne. Il positionna son pieux et entra en douceur faisant de lents va et vient. J’eus une sensation de douleur tant son sexe était énorme mais la douleur s’estompa vite laissant place à un plaisir inconnu. Mes gémissements devenaient plus bruyant et lui prenait plus d’assurance.
– Plus vite, baise moi plus vite ! Les gémissements laissèrent place à des hurlements. Il me tronchait si bien que je ne réfléchissais plus. Il allait de plus en plus loin en moi. Il me mis sur le dos me prenant chaque cheville, écartant mes jambe et me pistonna avec force.
– Tu aimes ça hein ? Salope ! Tu es ma pute !
– Oui continue, mon dieu c’est bon ! Ouiiiiii je suis ta PUUUUUUUTE. Il venait de me faire avoir un orgasme ce con ! Allonge toi sur le dos c’est moi qui vais te baiser maintenant. Lui dis-je. Je le chevauchais de face m’empalant sur sa queue. Doucement d’abord, puis de plus en plus vite je montais et redescendait sur son piston. Il saisi mes seins et les pressait tout le temps où je le baisais puis d’un coups il me mis un claque sur les fesses m’ordonnant d’aller plus vite, ce que je fît. Après quelque minutes il passa ses bras sous mes jambes et me souleva du sol et me baisa debout, je m’agrippais à lui, hurlant de plaisir sous ses assauts. Il me baisa ainsi de longues minutes m’arrachant deux autres orgasmes.
Il me reposa, me mis à quatre patte pour me prendre en levrette sauf qu’il n’appuyait pas sur l’entrée de ma chatte….
– Qu’est-ce que tu fais ? Non non pas par là ! Mais trop tard, il venais de rentrer dans mon cul l’offrant ainsi ma première sodomie. Ça brûlait mais il allait doucement, si bien que je commençais à apprécier cette nouveauté. Il alla de plus en plus vite, me donnant des claques sur les fesses. Il appuya sur mon bassin, m’obligeant à me cambrer, saisi mes cheveux dans une main, tira dessus comme si c’était des rênes et me baisa encore plus fort.
– Oui, oui, encore, c’est trop bon putain putain putain ! Défonce moi le cul ! C’est trop bon dans le cul !
Oh oui c’était encore meilleur dans le cul ! J’adorais visiblement la sodomie. J’étais devenue une vrais salope, esclave du sexe.
– Je vais jouir ! Hurla t-il.
– Viens, viens dans ma bouche, je veux te boire ! Je veux goûter à ton sperme !
Je me mis à genoux, ouvrant servilement la bouche pour recueillir son divin fluide qui arriva en jet puissant, m’inondant le visage et la bouche. Le goût ne me dérangeait pas, j’avoue même avoir aimé ! J’avalais sa semence et fatigué je m’affalais sur le sol. Cette nuit là il dormi chez moi, ce soir là j’étais devenue une salope et j’aimais cette idée et je ne voulais pas m’arrêter là je voulais aller plus loin.
Que d’émotions quand Marc a fait de moi une salope ce soir là. La façon dont il m’a baisé était inédite et si intense. Après coups, mon attitude elle même m’a surpris: je n’aurais pas imaginée être sodomisée de la sorte et d’aimer ça en plus. Sentir son membre si gros dans mon cul, me ramoner comme ça c’était si bon ! Quand au grand final….. Je n’arrivais pas à croire lui avoir demandé de jouir dans ma bouche. Son sperme était divin, un goût de pêche ! Je n’en ai pas perdu une goutte. Qui aurait pu prévoir que je ferais ce genre de chose un jour, moi Éva, la fille cool qui en une soirée est devenue la pire traînée. Mais j’en voulais plus maintenant, le sexe m’a rendu accro, il me fallait ma dose. Je me masturbais désormais tous les jours, repensant à cette soirée.
Les semaines passaient et je ne tenais plus, il fallait que je me fasse baiser. Mais pas comme ça, je voulais quelque chose de perverti afin d’assouvir la pute qui était en moi. Je retournais l’idée jour et nuit dans ma tête, il me fallait une idée et vite car l’envie me rendait folle. Et puis c’est Marc, mon beau Marc qui m’apporta la solution.
– Arrête de penser à moi comme ça ton cerveau va brûler, plaisanta t-il.
– Tsssss comment tu as deviné, dis-je sur le même ton. D’ailleurs mon cher, je ne pense qu’a notre soirée figure toi. La bibliothèque étant vide je pouvais m’abstenir de toutes discrétions. Et puis au point où j’en étais….
-Haaa dis m’en plus !
– Je veux remettre ça mais je veux que ça soit hard, les petites gentillesses ne sont plus d’actualité aujourd’hui. J’ai découvert un pan de ma personnalité que je ne connaissais pas. Mais je n’ai pas d’idée.
– Si je peux participer je peux trouver quelque chose.
– Tu es mon sexfriend attitré maintenant donc je prend tout ! C’est quoi ?
– Tu es libre demain soir ?
– Oui ! Comme je suis pressée ! Ça sera quoi ?
– Donne ma tes clefs, et retrouve moi dans ta chambres à 19h demain soir, tout sera prêt ! Mais habille toi comme une pute d’accord ? Si tu veux du hard il faut que ce soit de circonstance.
Le lendemain il arriva chez moi. Je n’en avais pas dormi de la nuit. Je lui confiais mes clefs et il me confina dans le garage le temps qu’il prépare ma surprise. J’avais pris un sac avec quelques affaires et commença aussi à me préparer. Je mis une mini jupe écossaise rouge, un chemisier blanc que je nouais sous mes seins, j’ouvris au maximum mon décolleté, me fîs des couettes et me fîs un maquillage sexy, juste ce qu’il fallait. Mes escarpins noirs aux pieds, des chaussettes hautes jusqu’aux genoux, j’attendais maintenant 19h.
L’heure fatidique arriva et tremblante d’excitation je montais jusqu’à ma chambre. Là, m’attendaient Marc, et deux autres hommes que je ne connaissais pas. L’un deux, comme Marc était nu, son corps, noir et musclé brillant dans la faible lumière. L’autre en revanche était habillé.
– Heu tu m’explique ?
– Tu voulais du hard ? Tu vas en avoir ! Voici Nicolas, lui et moi allons nous occuper de toi et voici Hervé, il filmera tout comme ça on gardera un petit souvenir.
– Un plan à trois et un porno amateur ? Tu es fou ?
Mais au fond de moi, un monstre me disait de le faire, je sentais en moi une chaleur qui déjà la couleur. Nicolas était membré comme un taureau et Marc n’avait rien à lui envier. J’avais faim de sexe. Ma salive dénonçait déjà ma faim. Je voyait déjà la scène d’ici. Ces bites là allaient me déchirer et j’allais aimer ça si ça se trouve. L’idée de filmer tout ça, si ça restait entre nous, ma moitié salope ne demandait que ça.
– Bon…. Et bien allons y ! Dis-je enfin.
Ils s’approchèrent de moi et commencèrent à me caresser, m’embrasser. Leurs mains étaient douces et parcouraient chaque centimètre de ma peau. Hervé n’en perdait pas une miette et bien vite, ma jupe et mon chemisier tombèrent me laissant nue. Nicolas aventura sa main entre mes jambe et commença a caresser ma fleur. C’était tellement bon que je commençais à gémir. Il se mis derrière moi, son pieux entre mes fesse commençait à durcir et moi pendant ce temps là, je branlais Marc le regardant droit dans les yeux.
– À genoux maintenant, suce nous ! M’ordonna Marc. J’obéis prenant dans chaque main ces marteaux piqueurs. C’étaient trop gros pour entrer dans ma bouche, seuls leur glands pouvaient entrer mais eux s’en fichaient. Nicolas me pris par les couettes et rentra d’un coups sa bite dans ma bouche, je manquais de.m’étouffer mais je devais tenir bon. Marc en fit autant quand vint son tour, ses couilles pleines me fouettant le menton. Plus je suçais plus leur queues augmentaient de volume c’était incroyable. Hervé continuait à filmer et c’est à ce moment que le monstre en moi se réveilla. Je branlais de plus en plus vite mes deux étalons, le suçant plus farouchement. Mes gémissements devenaient plus bruyant et je salivais en conséquence de telles sorte que je degoulinais de bave.
– Quelle salope, dit Nicolas, tu ne m’avais pas menti !
– Et tu n’as pas tout vu ! Lui dis-je sur un ton si perverti que je me choquais moi même. Je veux que vous me baisiez maintenant ! Sauvagement ! Et toi le caméraman, tu n’en perds pas une !
Je me mis à quatre pattes et Nicolas se positionna derrière moi et me pénétra d’un coups. Il commença doucement pour augmenter la cadence. Moi je m’occupais de la bite de Marc, léchant et suçant son gland avec gourmandise. Ses bourses firent office de bonbon que je faisais rouler sous ma langue. Mais bientôt les coups de boutoirs de Nicolas me firent hurler de plaisir. Il allait vite et fort. Hervé tournait autour de nous cherchant le meilleur angle pour capter les meilleurs images. Nicolas céda sa place à Marc qui ne perdit pas une seule seconde pour me troncher avec vigueur.
– Ooooooorh oui vas-y putain ! Défonce moi ! J’aurais bien dis plus mais Nicolas s’enfonça dans ma bouche, me faisant taire. Ne pouvant pas hurler sous les assauts je me contentais de grogner. Le plaisr m’envahissait, je me car essais les seins qui étaient devenus durs. Profitant du fait que ma bouche était libre je pouvais enfin m’exprimer.
– Ha… Ha….. Putain oui ! Haaaaa c’est bon putain putain putain oui ! ! Vous me baisez tellement bien !
Nicolas s’allongea sur le lit, me libérant de Marc je le chevauchait bougeant ma croupe pour bien le baiser. Marc, debout, une main dans mes cheveux, me baisait la bouche. Nicolas me massait les seins vigoureusement et mes gémissements/cris s’intensifiaient. Marc pris la place de Nicolas mais je le chevauchais à l’envers de telle sorte de donner à Hervé un superbe spectacle de mes jambes écartées, cette bite me ravageant la chatte. Marc savait que je devenais de plus en plus folle et sans prévenir sorti son chibre de ma chatte et l’enfonça d’un coups dans mon cul.
– OOOOOOOOOOOOOOOOOOH ! DÉFONCE MOI SALAUD !
Je devenais folle, sa bite fouillant mes entrailles si fortement. J’adorais cette sensation Hervé devait sûrement regretter de ne pas pouvoir y prendre part le pauvre.
– Nico ! Dit Marc, prend lui la chatte !
– Non non non ! Vous allez me déchirer, non Nicolas !
Mais trop tard, l’écartant les jambes, ce taureau m’enfila sa queues dans la chatte et les voilà, mes deux salauds, me baisant en double comme une merde. J’étais prisonnière, prise en sandwich dans une double pénétration intense. Ils me pistonnèrent encore et encore, me faisant hurler comme jamais.
– Regarde la cette salope, elle disait non y a deux minutes mais elle adore ça, se faire défoncer par deux bites en même temps.
– ha..ha..ha..ha..ha bai..sez..moi..plus..fort..sa..lauds !
Ils allaient si fort et j’enchainais tellement les orgasmes que je n’arrivais plus à parler correctement. On changea de position ce qui me permit de voir qu’Hervé avait sortie sa queues pour se branler. Je dis quelques mots à l’oreille de Marc et il sourit.
– Hervé, viens là mon pote ! Elle va te sucer un peu ! Tu pourras la filmer en POV !
Sa queue n’était pas aussi grosse que celles de mes deux salauds mais j’étais une vraie chienne et je me retrouvais là, prise par tous les trous. J’étais une vraie salope, je bougeais les hanches pour mieux les baiser aussi. Hervé m’encula aussi quelques fois, lui offrant des images de sa queue baisant mon petit trou. C’était si intense. J’enchainais les orgasmes mes cris explosant dans la chambre. Je ne voyais pas mon visage mais je ne devais plus ressembler à grand chose maintenant.
Mes baiseurs fatiguaient ça faisait des heures qu’ils me ravageaient comme des animaux. Je leur devais bien la libération.
– Venez, jouissez sur moi, dans ma bouche, souillez moi comme la pire traînée.
Je me mis à genoux, une main caressant un de mes seins, l’autre titillant ma chatte, la bouche ouverte j’attendais le feux d’artifices. Hervé vint le premier, toujours caméra au poing, il envoya un gros jet de foutre bien épais sur mon visage. Son sperme me macula le visage, dégoulinant sur ma poitrine. Je pu quand même y goûter, c’était salé ! Nicolas m’agrippa la tête et visa ma bouche. Il déchargea une telle quantité de sperme que je pensais que ça ne finirait jamais. J’en avait tellement dans la bouche que le reste coula sur mon corps mais j’avalais quand même ce que je pouvais. C’était si bon ! Marc se branla rapidement face à moi, agrippa ma tête et dans un grognement déversa dans ma bouche et sur mon visage une énorme quantité de sa semence. Je retrouvais là son jus goût pêche que j’aimais tant ! Je n’en perdais pas une goutte !
Ce soir là après leur départ et après une douche je regardais le film de nos ébats et pris en plein visage la vérité, n’était vraiment une salope ! Mon maquillage avait coulé, c’était encore plus intense que je ne le pensais. Je prenais mon pied et ça se voyait. Le monstre en moi s’était endormi mais maintenant que ma vraie nature m’était apparue je n’étais pas sûre de pouvoir le contrôler, jusqu’où irais-je la prochaine fois ?
Une chose est sûre désormais, je suis une salope ! Marc et ses potes m’ont tronché comme la pire des traînée et j’ai adorée ça. Je me passe en boucle ce porno amateur où je peux me voir jouir, me faire baise couverte de sperme. Mais j’en veux plus. Ma faim de sexe est irrationnelle et je me surprend à me masturber, seule dans ma chambre, de plus en plus.
Je passais un rapide coups de fil à mon sexfriend adoré pour le supplier de venir me culbuter. Après m’avoir sauté comme une salope que je suis, allongé prêt de lui, je lui fît par d’un fantasme arrivé dans la nuit.
– Tu as d’autres potes comme Nicolas ?
– Quelques-uns pourquoi ?
– J’ai envie d’une gigantesque partouze ! J’en rêve la nuit c’est affreux je crois devenir folle !
– Heu ouai….. C’est pas un peu tôt ? Et puis ça va être galère de trouver tous ce monde rapidement. Non moi j’avais pensé à un petit plan à trois, avec une amie.
– Une fille ? Mais je jamais tenté ça !
– Justement, ça peut t’aider à patienter et puis moi, avoir deux gonzesses pour moi…. Quel pied !
L’idée ne me déplaisait pas au final. J’aurais ma dose et qui sait je pourrais avoir du plaisir avec une femme. Rendez-vous est pris chez une amie à lui, Flora, une semaine plus tard. Elle nous accueille chez elle dans une splendide maison. Flora est magnifique, grande, de longs cheveux roux bouclés. Elle portait un petit short en Jean bleu, des tongs et un petit débardeur décidément trop petit pour sa poitrine généreuse. Elle nous fît entrer dans un vaste salon. Elle nous expliqua vivre seule depuis le départ de ses parents pour l’étranger et que parfois, la maison lui semblait bien trop grande. On parlait de tout et de rien autour d’un verre et finalement c’est Flora qui passa à l’attaque.
– Bon et si on passait aux choses sérieuses, Marc m’a fait part de ses attentes, étant assez ouverte sur le sujet ça m’a tout de suite plu. Je le fais souvent avec d’autres amis donc j’ai tout de suite acceptée et puis là, en te voyant, je ne regrette pas.
– Tu n’es pas mal non plus, dis-je, et je dirais même tu es canon ! Je n’avais pas.pensé à faire ça avec une fille mais franchement là, je me sent totalement d’attaque !
Elle me fit un grand sourire, se leva et s’approcha de moi, mon cœur battait la chamade, qu’allait-il se passer ? Elle se mis face à moi et posa ses mains sur mes épaules et descendit le long de mes bras dans de tendre caresses. Elle posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassa avec une douceur affolante. Je perdais toutes notion du temps. Elle était si douce que je sentais les frissons m’envahir. Elle glissa sa langue entre mes lèvres, cherchant la mienne et quand nos deux langues se rencontrèrent mon sang ne fît qu’un tour. Nous nous roulions maintenant de belles galoches bien humides se caressant les seins, les fesses et les hanches. J’aimais ça putain ! Elle m’enleva mon tee-shirt et ma jupe, je m’attaquais également à ses vêtements jusqu’à nous retrouver nues toutes les deux. Elle était superbe !
– T’es encore habillé toi ? Dit-elle à Marc. Allez ! Tombes le bas !
Notre mâle s’exécuta et tomba les vêtements. Flora me lança un regard d’une grande perversité et je compris immédiatement ! À quatre pattes nous nous rapprochions de lui et de l’objet de notre désir, sa bite gigantesque. Il bandait déjà le salaud et se posant de chaque côté nous nous mettions au travail. Nous faisions des montées/descentes avec nos langues sur sa verge avant de nous attaquer à son gland. J’aimais ça, rouler ma langue autour de ce noeud de chaire, le titiller d’abord doucement avant d’augmenter la vitesse de ma langue. Nous avons léché longtemps et parfois, nos langues s’entremêlaient de telle sorte que nous nous embrassions sur sa bite. Flora déposa un baisé sur son gland, se leva, se mis dos à Marc et s’empala sur son chibre en poussant un long souffle de satisfaction. Elle commença à monter et descendre sur sa queue doucement. Lui, lui pris les seins dans chaque main, les pressant tels des melons bien mûrs. Moi, bien que peu habituée aux filles, je me dirigeais vers le clitoris de ma nouvelle amie pour le flatter de ma langue. Elle sentait bon la salope et mes baisés sur sa fleur l’excitaient tellement qu’elle couinait de plus en plus fort.
– Oh oui vas-y ma puce, lèche moi bien pendant qu’il me prend !
Du doigt, je stimulais ce petit bouton magique et ça marchait plutôt bien, elle hurlait de plaisir maintenant. Marc la souleva et me fit signe de prendre sa place. Je le chevauchais de face et lisiblement excité il me baisa avec force et là, mon corps entra en éruption. Je le sentait au fond de ma chatte toute serrée et lui ne me fit aucuns cadeau. Il me troncha comme un animal. Flora se plaça derrière moi pour me masser les seins et me lécher le lobe de l’oreille, rendu folle de plaisir je tournais un peu la tête à la recherche de sa langue, l’ayant trouvée, j’entortillais la mienne à la sienne dans un roulage de pelle d’une lubricité dont de rêvais. Marc me baisait de plus en plus fort et j’atteins bientôt l’orgasme.
– Plus fort putain oui ! ! Vas-y fous la moi bien au fond !
– Vas-y, défonce la ma petite pute ! L’exhortait Flora.
Dans un rugissement il m’éjecta et saisi Flora pour la jeter sur le canapé, lui souleva les jambes tout en les écartant et le pénétra sans autres formes de procès. Quand à moi, j’allais m’asseoir sur le visage de ma douce amie pour qu’elle s’occupe de ma chatte. C’était divin ! Pendant ce temps, Marc m’embrassait fougueusement tout en sautant Flora qui gémissait. Soudain, je Moussais un cris, elle me doigtait l’anus et c’est moi qui gémissait fortement maintenant.
– Petite salope ! Oui vas-y ma chérie, hummmm c’est si booooon.
– Tu aimes hein, ma petite truie hein ?
– Oui j’adore ça !
Marc avait il compris ? Parce qu’il s’extirpa de Flora me mis en levrette et me sodomisa. Mon cul me faisait du bien. Il allait vite et c’était si bon ! Flora en profita pour venir m’embrasser et me masser la poitrine. Marc, m’encula encore quelques instants avant de faire honneur au cul de ma copine. Elle hurlait comme une traînée lubrique. Je me glissais sous elle pour aller lécher sa chatte et les couilles de Marc qui de temps en temps sortait sa queue pour que je la suce.
Ça faisait deux heures que nous baisions maintenant et notre amant commençait a fatiguer.
– Oooooh je vais jouir !
Comme par télépathie, Flora et moi nous sommes précipité à genoux face à sa bite, la bouche ouverte pour recueillir son jus. Il explosa dans un râle et nous aspergea de son foutre chaud. Nous étions couvertes de sperme et toujours aussi salopes, nous nous embrassions passionnément, échangeant le sperme dans nos bouches. J’étais heureuse, j’avais une amie avec qui partager ma passion du sexe et je savais maintenant que je la voulais dans mon prochain plan baise !
J’ai toujours du mal à atterrir depuis la soirée chez Flora. Je ne me pensais pas bisexuelle mais le fait est que j’aime aussi les femmes. La partie de moi ayant faim de sexe s’est endormi paisible ce soir là mais je savais bien qu’il ne tarderait pas a se réveiller. Marc comblait presque tous mes fantasmes et nous couchions ensemble aussi souvent que possible. Ma faim était insatiable et puis il faut dire qu’il était monté comme un taureau. Chaque baise avec lui était si intense que je ne pouvais plus m’en passer.
Mais j’en voulais plus et Marc le comprenait. Ce lundi matin, autour d’un café, il me proposa quelques petites choses.
– Tu sais, j’ai quelque chose pour ton appétit, avec ce truc, tu va être calmée pour quelques jours. Voilà ce que je te propose, viens chez moi ce soi à vingt heure. Attend nue sur le canapé du salon. Ne t’en fais pas et surtout, ne change rien, soit plus salope que jamais. Crois moi, ça va être hard !
Je n’osais imaginer ce qui allait se passe mais j’étais déjà excité comme une puce. N’arrivais donc un peu avant l’heure. La maison était déserte j’enlevais donc mes vêtements comme convenue. Je ne gardais que mes escarpins et mes bas noirs. Un bandeau m’attendait sur le canapé et je m’empressais de le nouer sur mon visage. Marc m’observait-il ? Le temps me semblait long mais j’entendais maintenant du mouvement derrière moi, une main se posa sur mon épaule et commença une douce caresse. Je sentais un courant électrique me parcourir, le monstre se réveillait !
Haaaaaa Marc décidait visiblement de m’enlever mon bandeau. Le choc ! 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 ! Dix hommes que je ne connaissais pas, complètement nus, la bite à la main, me regardant comme une proie. Marc se dégagea du groupe, passa derrière moi, me caressa les seins et me dit ce qui scellait mon sort.
– Ce soir tu es a nous ! On va te baiser à la chaîne comme une pute, on va tellement te sauter que demain tu va boiter ma belle. Tu aimes le sexe, on va t’en donner ! Venez les gars elle est à nous !
Et il m’entourèrent, et je ne savais plus quoi faire, tout ses membres tendus, si gros, j’en rêvais mais là… Que faisait le monstre en moi ? L’un d’eux, branlant son large chibre s’approcha de moi, me pris la main et la posa sur sa queue. Elle était si chaude, je la branlais plus par réflexe, mon cerveau ne fonctionnait plus bon sang…. Il posa sa main à l’arrière de ma tête et me la précipita droit sur son pieux, il força de son gland mes lèvres et entra dans ma bouche. Elle grossissait à l’intérieur je le sentais, elle palpitait de vie. Les autres hommes se rapprochaient aussi et , les mains libres je saisissais les bites pour les branler. Un autre m’avait pris par les cheveux, me tira la tête en arrière me forçant à l’arrêt sur ma fellation pour l’orienter vers sa propre queue. Elle était gigantesque ! On aurait dit qu’elle faisait la taille et la circonférence de mon bras. Il l’entra tant bien que mal. Mais seul son gland ne pouvait avoir de la place.. Il me baisa la bouche jusqu’à ce qu’un autre prenne sa place. Je crois que j’ai sucé à peu prêt tout le monde avant de revenir sur le premier. Pendant ce temps là j’étais caressé de toutes part, mes tétons étaient pincés, tirés, sucés. On me fouillait la chatte avec les doigts. C’était si bon que mes.gémissement commencèrent. L’un d’eux m’enfonça un doigt dans le cul, faisant des vas et viens avec. Mes gémissements devenaient plus bruyant et eux devenaient plus bestiaux. Mais j’étais prisonnière d’eux et du monstre en moi et mon appétit grandissait de plus en plus.
– Je veux que vous me baisiez maintenant ! Prenez moi par pitié, je veux vous sentir en moi, je veux que vous me salissiez comme une salope.
Ça y est, ma vraie nature s’était enfin exprimé. C’est cela que je voulais exactement, me faire sauter dans tous les sens et par tous les trous. Je voulais qu’ils me jouissent dedans où dessus, devenir un sac à foutre où ils pourraient se soulager. Marc s’allongea et me fit le chevaucher et commença à me baiser. Il n’y avait pas de douceur en cet instant, c’était de la baise tout ce qu’il y a de plus sérieux. Il me défonçait me faisant hurler au passage. L’un des mecs enfonça sa queue dans ma bouche deux autres me présentèrent leur braquemarts à branler. Je pensais que ça viendrait plus tard mais visiblement je n’aurais pas droit au remis. À peine une minute après Marc, l’un de ses acolytes poussa son membre dans mon cul. Ça y est, j’étais prise par tous les trous. Les bites se succédaient dans ma bouche où dans mes mains et bientôt Marc et l’autre type laissèrent la place à deux autres mecs qui me pistonnèrent sans ménagement.
– Salauds ! Salauds ! J’aime quand vous me baisez comme ça, comme une grosse merde ! Allez y continuez ! !
– Tu va voir sale chienne en chaleur !
– Démonte lui la rondelle, je vais lui refaire la bouche moi à cette pute !
– Je vais te refaire les intestins moi !
Voilà donc où nous en étions ! On changea de partenaires et de positions. Les premiers commencèrent à me jouit dessus, de grosses giclées de sperme chaud s’étalèrent sur mon visage et mon corps. Les deux qui me baisaient venaient de jouir en moi ! Je me sentais si bien en cet instant, satisfaite de ce que j’étais devenue. Deux bites monstrueuses me tronchaient maintenant, j’étais comme écartelée par ces monstres de chair. Je vis Marc s’approcher de moi et enfourner sa queue dans ma bouche pour me la baiser. Il allait vite, je savais ce qu’il voulait.
– Ouvre la bouche ! Regarde moi !
Et il m’arrosa le visage et envoya une grosse quantité de sperme dans ma bouche. Je ne pouvais pas tout avaler donc une grande quantité acheva de me souiller d’avantage.
Pendant des heures je me faisais refaire les trous violemment et j’aimais ça. Un des gars me.proposa de prendre des photos histoire de garder un petit souvenir. Alors je m’amusais a prendre de poses dignes des plus grandes actrices de cul afin de garder un max de miment gravés. Mais les bon moments ont une fin et je me retrouvais maintenant à genoux attendant mon glaçage. Un à un il m’envoyèrent de puissant jets dans la bouche, le visage ou sur mon corps. J’essayais d’avaler un maximum de ma nouvelle boisson favorite toujours en prenant la pose pour les photos. Ce soir là fût encore plus révélateur de ma nature profonde. Je savais a quoi j’allais consacrer mes nuits, chercher le plaisir à tout prix, c’était mon unique ambition.
Épilogue : Un an après tout ses événements, je suis devenue actrice pour une grosse boite de film porno. Je fais ne nombreux show érotiques un peu partout, j’ai déjà tourné 6 films et ce monde me convient. Il faut dire que là mon amour du sexe est assouvi et je peux m’épanouir pleinement auprès de gens qui partage ma passion et qui me permettent de calmer mes pulsions. J’aime ce métier mais je reste lucide qui sait combien de temps je ferais cela.
Commenter le récit :