Cet été là je connus un grand bouleversement sensuel sur une plage isolée de Méditerranée. J’’ai été quasiment été élevée par mon oncle Paul, qui a choisi de m’adopter à la mort de mes parents. j’avais 7 ans. C’est quelqu’un de doux, de tolérant, avec lequel pourtant j’ai eu de fréquentes prises de bec lorsqu’il s’opposait à certains de mes désirs d’adolescente. Mais il tint bon, et m’empêcha probablement de me perdre sur des chemins dangereux.
Côté garçons, j’étais largement en retard sur mes copines qui ne se privaient pas de se moquer de ma timidité maladive. Innocente et niaise, je sentais toutefois mes hormones préparer sournoisement leur révolution et je tempérai mes ardeurs par de fréquentes masturbations, imaginant le plus souvent mon oncle nu, le sexe dressé. Je le vis maintes fois en slip de bain ou même en caleçon et toujours ses muscles saillants et harmonieux me laissèrent admirative. Il était beau, la quarantaine à peine marquée par de légères rides qui s’inscrivait sur son front lorsqu’il réfléchissait. Ses tempes grisonnantes et ses yeux couleur océan plaisaient aux femmes. Et les femmes lui plaisaient. Mais jamais il n’en a invité à la maison pour autre chose qu’un diner. Sa beauté n’était pas superficielle car Paul était un homme érudit qui m’avait bien souvent tiré d’embarras pour mes dissertations philosophiques. Nous avons toujours été très proches mais depuis quelques temps je notai une pointe de jalousie me piquer au cœur lorsqu’une femme le regardait avec gourmandise.
Devant m’éloigner pour poursuivre mes études à l’étranger, je voulus passer un dernier été avec lui dans la maison que nous avions l’habitude de louer en bord de mer.
Nous retrouvâmes vite l’insouciance de nos jeux d’été mais chaque fois que nos corps se frôlaient, je ressentais une sensation étrange, inhabituelle et troublante que je ne parvenais pas à analyser.
Un matin, occupée à peaufiner mon dossier d’inscription à la fac, je le vis s’éloigner vers la plage, un sac à l’épaule.
Vers midi je grignotai quelques fruits puis je décidai de partir le rejoindre. J’arpentai la plage de long en large en vain. J’allais abandonner lorsque je me souvins de la crique isolée où il m’emmenait souvent.
Après une demi heure de marche, je le trouvai allongé à plat ventre, nu, son Panama sur la tête. J’hésitai à m’approcher, persuadée qu’ainsi exposé il ne m’attendait sûrement pas. Je posai les yeux sur la mer turquoise qui caressait les rocs se prélassant sur le sable blanc. D’immenses pins, courbés par les colères du vent, jetaient leur ombre sur une partie de la plage, protégeant mon oncle de l’ardeur du soleil. Quelques goélands paresseux se laissaient porter par la brise chaude tandis qu’au loin des dériveurs élégants dressaient leurs voiles sous le ciel céruléen.
M’étant rassasiée du décor, j’observai impudiquement mon oncle et une nouvelle fois sa beauté me pinça le cœur. Je laissai mes yeux candides et curieux glisser sur ses fesses rondes, ne parvenant pas à me décider. Devais-je me retirer ou approcher ?
Il choisit pour moi, en relevant la tête :
– Hey ma belle je ne t’attendais plus. J’espère que ça ne te gènes pas que je sois à poil ?
– Heu, non, répondis je, un chat dans la gorge et le visage en feu.
Allait-il me proposer de faire comme lui ? Et d’abord pourquoi était il nu aujourd’hui ? Ça n’était pas dans ses habitudes.
Alors que j’étendais ma serviette à dix mètres de lui il lança :
– Je ne sens pas mauvais tu sais, m’invitant à m’approcher.
Lorsque je m’allongeai près de lui, il se tourna sur le dos, rajustant son chapeau sur le visage, et je peinai à contenir mon émoi en apercevant sa verge. C’était la première fois que je voyais un sexe d’homme ailleurs que sur le net, et qu’il appartint à mon oncle me troubla profondément. Je ne parvenais pas à comprendre pourquoi il s’exhibait ainsi devant moi mais hypocritement, je ne m’en plaignis pas. Bien que déroutée par la situation je sentais néanmoins une excitation inhabituelle monter en moi et je gardai le regard tourné vers lui.
Lorsque, d’un geste nonchalant il posa la main sur sa verge je tressaillis puis m’embrasai lorsque je la vis se dresser. J’avais la gorge sèche, les joues en feu et un curieux picotement dans le ventre mais pour rien au monde je n’aurais détourné les yeux. Très lentement il retroussa le prépuce et je vis apparaitre son gland gonflé. J’avais suivi avec attention les cours d’éducation sexuelle au lycée et l’anatomie de cette zone masculine m’était familière. En théorie, seulement !
Mon oncle, feignant d’ignorer ma présence, commença à se masturber puis il me surprit en lançant, le visage toujours protégé par son chapeau :
– Tu veux le faire ? Tétanisée, je fus incapable de répondre et il ajouta : Tu as 18 ans maintenant, ne crois tu pas qu’il est temps de découvrir ces choses là ? A moins que ça ne soit déjà fait ? Il rejeta son chapeau, tourna son visage vers moi et ajouta : Je sais que vous avez des cours d’éducation sexuelle mais ce n’est que de la théorie. Ça ne remplace pas la pratique, crois moi.
Comme je ne bougeai pas, pétrifiée par la honte, il me saisit le poignet et amena ma main.
– Prends la. Je veux que tu la sentes palpiter dans ta main, déclara t-il
Alors que, bouillonnant d’une chaleur intense, je refermai délicatement les doigts autour de son membre il demanda :
– T’as déjà touché celle de ton petit copain ?
– J’ai pas de petit copain, répondis je d’une voix troublée alors que je sentais sa verge pulser dans ma paume. C’était agréable.
– Explore tout, ma puce, murmura-il soudain. C’est important la première fois.
Il écarta les jambes, les replia, et d’un geste hésitant je posai ma main libre sur ses bourses.
– Palpe les doucement, j’aime beaucoup ça
Après un moment il lança :
– Maintenant caresse moi doucement. Devant mon regard interrogateur, encore recouvert d’un voile de timidité, il précisa : ma queue, branle la. Tu sais ce que ça veut dire ?
Rendue écarlate par son verbiage grivois, je ne répondis pas, les geste figés. Paul sourit, puis me caressant le visage il murmura : aller, ne te fais pas prier ma puce. Tu dois apprendre ces choses là. Et peut être vaut-il mieux le faire avec quelqu’un en qui tu as confiance. Tu as confiance en moi, au moins ?
– Oui, tonton, murmurai je sans lâcher son vit.
– Alors vas-y ma puce, commence doucement je te guiderai.
Ce qualificatif qu’il me donnait fréquemment témoignait de son affection, je le savais, mais je m’étais déjà aventurée trop loin sur ce chemin incestueux, et bien que la curiosité et l’envie m’invitassent à continuer, la peur du scandale, soudain me retint. Paul le comprit et, comme toujours, il trouva les mots pour apaiser mes craintes.
– Personne ne peut nous voir dans cet endroit isolé ma chérie. N’ as tu pas envie de la sentir vibrer dans ta main ?
Pour toute réponse je lançai à mon oncle un regard enflammé. J’avais si souvent pensé à ce moment où, enfin, je découvrirai intimement un garçon. Mais la peur et l’angoisse m’avaient toujours retenue. Je redoutais d’être l’objet de moqueries. Et maintenant, protégée par le secret de cette crique isolée, aux côtés d’un homme mature, sûr et aimant je me sentais prête. Lorsque Paul posa la main sur la mienne pour m’inciter à commencer, mes résistances cédèrent. Il me guida, puis bien vite me laissa l’initiative de la caresse, et je me plus à entendre ses soupirs.
Il me fit sursauter en lançant :
– Touche mes couilles avec l’autre main, ma puce.
Le terme qui me fit rougir accrut mon excitation et je m’exécutai aussitôt, les sens en ébullition. Néanmoins je ne parvins pas à me départir de la honte qui me chauffa les oreilles lorsque je réalisai combien j’aimais entendre le plaisir de mon oncle, et lorsqu’il disait :
– Oh, c’est bon ma puce.
Je palpai plus fermement ses bourses, et le masturbai plus vigoureusement. Plusieurs fois j’eus envie de répondre « c’est bon pour moi aussi tonton» mais je n’osai pas.
Soudain Paul se dressa sur les coudes et ordonna, la voix tremblante :
– Fais moi jouir
Aussitôt je m’activai et il éjacula en plusieurs jets puissants qui m’ébahirent.
Lorsque je retirai la main, Paul courut se jeter dans la mer.
Je le rejoignis peu après et m’éloignai vers le large.
Lorsque je revins sur le sable, Paul était allongé sur sa serviette. Je m’arrêtai devant lui et secouai vigoureusement ma longue chevelure blonde, agitant du même coup mon opulente poitrine. J’étais parfaitement consciente qu’il me détaillait d’un œil gourmand, mais il me surprit en lançant :
– J’ai envie te voir toute nue ma puce. Je m’empourprai et me figeai aussitôt tandis qu’il déposait un baiser dans ma paume, ajoutant d’une voix suave : S’il te plait ma puce, j’en ai vraiment très envie.
Je laissai échapper malgré moi un sourire polisson qui chassa le rouge de mes joues puis, lentement je passai les bras dans mon dos, libérant mes seins. Je sentis mon ventre s’embraser de nouveau lorsque je vis le sexe de mon oncle se dresser. Mon excitation était telle que je n’hésitai pas une seconde à ôter mon slip et il me sembla que sa verge grossit encore. Le corps incendié je ne résistai pas à l’envie de tourner tel un derviche afin qu’il pût me contempler à loisir. Lorsque je m’arrêtai enfin il me toucha les fesses en murmurant :
– Oh ma chérie tu es incroyablement belle.
Puis il se leva, se plaqua contre mon dos et je fermai les yeux en sentant son sexe glisser sur ma raie.
Il m’embrassa dans le cou en empaumant mes seins.
– Ils sont superbes, apprécia-t-il en les caressant.
Je sentis un étourdissement se profiler à l’ombre des sensations nouvelles et puissantes qui affluaient. Je m’étais souvent caressée la poitrine mais jamais elles ne furent d’une telle intensité. Je libérai un cri bref lorsque mon oncle joua avec mes tétons puis je basculai la tête en arrière contre son épaule. En cet instant où mon corps s’abandonnait sous ses mains expertes, la morale s’évanouissait. Que Paul fut mon oncle ne me dérangeait plus, certaine que jamais je ne trouverai meilleur professeur et je me demandai furtivement combien il avait pu avoir de maitresses. Combien de seins il avait caressé et combien de mains s’étaient posées sur sa verge ? Lentement sous ses doigts je me sentis devenir femme, disposée à tout accepter de lui quitte à en rougir jusqu’à la racine de mes cheveux. Je frissonnai de plus en plus intensément sous la douceur de ses baisers dont il me couvrait le dos sans jamais cesser de malaxer mes seins. Oui, continue, continue, c’est tellement bon.
Lorsqu’il descendit une main sur ma fine toison blonde, le plaisir que je prenais à me masturber flasha à mon esprit. Serait-ce aussi bon s’il le faisait ?
Les doigts de Paul glissèrent encore. Se posèrent sur ma vulve humide.
– Ça va ma puce ? demanda-t-il.
Pour toute réponse je bougeai la tête et il déposa un baiser léger sur mes lèvres dont je ne put me contenter, cherchant aussitôt l’ouverture de sa bouche. Nos langues se nouèrent dans un assaut fougueux et lorsque Paul glissa les doigts jusqu’à mon clitoris je frissonnai puis augmentai la pression de ma bouche.
Il me fit pivoter afin de pouvoir poser mon pied droit sur le bord d’un rocher, et m’ouvrir totalement. Il reprit possession de ma vulve puis fit rouler mon clitoris entre ses doigts. Foudroyée par le plaisir je poussai un cri avant de replonger violemment sur sa bouche
– Doucement ma puce, murmura t-il en intensifiant sa caresse alors que je passai la main dans son dos, pour saisir son sexe dardé. Quelques secondes plus tard je jouis dans un vertige multicolore. Mon oncle ne me laissa pas récupérer. Il me contourna, s’agenouilla et poursuivit sa caresse avec la langue.
– Oh, oui, ouiiii ! hurlai je en m’accrochant sauvagement à ses cheveux. Il chercha, s’étant humidifié le doigt, à l’introduire dans mon anus, ce qu’il fit sans difficulté, la caresse exacerbant mes sens. Il me sodomisa délicatement tout en continuant de me lécher et je jouis dans une nouvelle explosion de sensations.
Me voyant chanceler il m’allongea et demanda :
– Ça t’a plu ?
Je souris et bégayai :
– Je… je ne pensais pas que ça pouvait être si bon.
– Quoi ? mes doigts ou ma langue ?
– Les… les deux mon capitaine, plaisantai je, encore dans les brumes de mon plaisir.
Paul m’embrassa sur les lèvres et déclara :
– Tu sais il y a des hommes qui n’aiment pas faire ça. Je veux dire avec la langue. Mais moi j’adore.
– Tant mieux pour moi, alors, répondis je en souriant.
Il me caressa la joue puis s’allongea à mes côtés. Après un moment je posai ma main sur la sienne et murmurait :
– Je suis bien.
– Moi aussi, répondit-il dans un ton de sincérité.
Quelques longues minutes passèrent, silencieuses, puis il se redressa sur les coudes, croisa mon regard et demanda :
– Tu es vierge ?
– Oui, répondis je sans sourciller. Je croyais que tu l’avais compris. Mais c’est pas parce que j’attends le mariage. Je voulais jute trouver le garçon qui me donnerait envie.
– Et tu l’as trouvé ?
Je ne répondis pas mais plongeai mon regard émeraude dans le bleu profond de ses prunelles.
– T’as eu beaucoup de maitresses ? demandais-je soudain
– Je n’ai jamais compté.
– Je t’ai pas souvent vu avec la même.
– Je sais. J’ai jamais pu me fixer. Mais je suis sûr que ça viendra. En attendant… Il laissa sa phrase en suspens puis posa la main sur mon sein gauche.
– Je les adore, murmura-t-il et quelques secondes plus tard j’explosai de rire en voyant sa queue se dresser
– Au moins c’est facile de savoir si tu dis la vérité, déclarai je en me calmant. Puis je fouillai la toison de son ventre du bout des doigts et ne put me retenir de dire :
– Elle est belle,
– Tu trouves ? Moi j’aurais aimé en avoir une plus grosse.
– Pourquoi ? répondis je en enserrant délicatement le pieu de chair puis je demandai naïvement :
– Tous les garçons l’ont aussi dure ?
– Je crois que ça dépend
– De quoi ?
– De l’âge et aussi de la motivation
– Je te motive alors ? Ou est-ce parce que tu es encore jeune ?
Paul éclata de rire tandis que je décalottai sa verge et commençai à le masturber. Il me laissa faire quelques instants puis posa la main sur ma nuque et me fit courber.
– Je… Je l’ai jamais fait, murmurai je alors, comprenant son désir.
– Je sais, répondit-il en accentuant la pression.
Trop excitée, je ne cherchai pas à résister et déposai des baisers sur son ventre, l’intérieur de ses cuisses, ses testicules, avant d’embrasser le corps de sa verge.
– Lèche-la, ordonna soudain Paul.
Grisée par mon audace et survoltée par l’excitation, je goûtai son gland du bout de la langue puis lorsqu’il ordonna encore :
– Maintenant prends la dans ta bouche.
Troublée par son ton autoritaire, je m’exécutai et trouvai aussitôt la sensation agréable. Bien au delà de ce que j’avais pu imaginer dans mes fantasmes.
Paul posa la main sur ma tête pour m’inciter à enfoncer son vit davantage. Je toussai lorsqu’il effleura ma glotte.
– Pardon, excuse moi, fit Paul, mais aussitôt je refis la caresse, heureuse de le combler.
– Oh que c’est bon, murmura t-il.
Je repris mon souffle en descendant la langue le long du pieu pour lécher ses bourses puis je remontai et brusquement gobai le gland.
– Wahou ! s’exclama Paul. Je peux pas croire que t’as jamais fait ça !
Je souris puis progressivement j’accélérai la cadence.
– Oh oui ma puce, pompe moi bien.
Je me retirai précipitamment lorsqu’il éjacula et reçus son sperme sur le visage.
Quelques secondes plus tard, je courus me rincer dans la mer puis, revenue, je demandai après quelques minutes :
– Tu aurais voulu que j’avale ? Il parait que les hommes aiment ça
Paul ne répondit pas et je demandai encore : Tes maitresses le font ?
– Oui.
– Toutes ?
– Non, pas au début.
– Et après combien de fois elles le font ?
– Ça dépend. Elles attendent d’être habituées au goût je suppose.
Je baissai alors les yeux et vis qu’un peu de sperme avait coulé sur sa cuisse. Je me penchai et léchai.
– C’est pas si terrible, conclus-je, puis croisant le regard de mon oncle j’ajoutai, une lueur coquine dans l’œil : peut être la prochaine fois.
Paul sourit.
Je me rallongeai, étonnée de sentir que l’excitation refusait de me quitter puis après un moment je le questionnai :
– C’est douloureux la première fois ?
Il comprit aussitôt à quoi je faisais allusion et répondit :
– Non, pas si le garçon est délicat
Je tournai le visage vers lui et accrochai son regard.
– Et tu es délicat, toi ? Je n’attendis pas sa réponse et poursuivis : T’as déjà défloré des filles ?
– Ça m’est arrivé
– Souvent ?
– Deux ou trois fois, je pense. Paul me regarda attentivement avant de préciser : tu ne dois pas angoisser pour ça. Tu dois trouver quelqu’un en qui tu as confiance. Et surtout te dire que rien ne presse. Que tu dois attendre d’être prête.
Je soupirai puis jouai distraitement avec une poignée de sable que je laissai couler entre mes doigts avant de murmurer :
– J’aimerais que ce soit toi. Enfin si tu veux bien.
– Oh ma puce, viens là. Il m’attira contre lui et je posai la tête sur sa poitrine.
– Alors tu veux bien ? demandai je en caressant ses poils.
– Quand ?
– Maintenant. J’en ai tellement envie que j’ai peur d’exploser si j’attends.
Paul m’embrassa les cheveux puis il tendit la main vers son sac.
– Qu’est-ce que tu fais ? m’étonnai je. Il sortit un préservatif et je m’exclamai : Oh d’accord, tu es comme les scouts : toujours prêt.
Je pensai que cette plaisanterie m’aiderait à tromper mon angoisse, mais il n’en fut rien. Je le regardai, la boule au ventre, coiffer sa verge, puis lorsqu’il m’attira à lui mon appréhension fut à son comble. Néanmoins je ne voulus pas reculer. Pas maintenant. Pas après tout ce que nous avions fait et je murmurai :
– Tu fais doucement, promis ?
– Promis ma puce. D’ailleurs c’est toi qui va le faire.
– Moi ?
– Oui, viens. Installe toi à califourchon sur moi.
Lorsque je fus positionnée Paul dirigea sa verge à l’entrée de ma vulve et précisa :
– Enfonce la doucement.
Je me laissai aller avec une extrême lenteur et sa verge entra sans douleur. – Maintenant bouge un peu, il faut te familiariser avec les sensations.
– Oh mon dieu, tonton, murmurai je. C’est… c’est trop bon.
Paul sourit puis il plaça ses mains sous mes fesses pour imprimer un mouvement régulier. Il mêla ses gémissements aux miens puis soudain accéléra la cadence, m’emportant en quelques secondes dans la jouissance, avant d’éjaculer en grognant.
Lorsque je roulai sur le dos, je fus prise de tremblements incontrôlables puis j’éclatai d’un rire nerveux. Paul me prit la main :
– Calme toi ma puce.
Après quelques minutes je déclarai :
– Tu ne peux pas savoir ce que ça représente pour moi. J’ai tellement imaginé cette première fois. Je ne savais pas quand ça se produirait ni avec qui et c’est ce qui me faisait peur. Je crois que j’avais besoin de me sentir vraiment en confiance. Merci.
– Merci pour quoi ? J’ai eu beaucoup de plaisir et je suis très fier que tu m’aies choisi.
Je souris puis posai la tête au creux de son épaule avant de lancer :
– C’est quand même immoral, non ? Toi et moi. Si jamais quelqu’un l’apprenait on serait cloué au pilori.
– La morale et le sexe n’ont jamais fait bon ménage ma chérie, répondit Paul.
Je laissai mes doigts courir sur sa poitrine puis je demandai :
– C’est chaque fois aussi bon ?
– Si tu en as vraiment envie, oui. Et plus tu le feras plus tu découvriras de nouvelles sensations.
Je glissai jusqu’à sa verge avant de murmurer :
– On le refera ?
Paul me caressa les cheveux sans répondre tandis que je laissai sa queue grossir dans ma main. Puis brusquement je me redressai pour déclarer :
– Tu te rends compte on a tout fait
– Tout fait ?
– Oui, l’amour et tout le reste.
– Oui presque, répondit Paul.
– Qu’est-ce que tu veux dire par presque ?
– Rien, ma puce, une bêtise
Je lui serrai les bourses en répliquant :
– T’en as trop dis ou pas assez. Parle ou je les écrase.
– Et bien comment dire. Quand je t’ai léchée tout à l’heure, tu as dû sentir que j’entrais un doigt…
– Oh ! m’exclamai je en rougissant.
Il attendit quelques secondes avant de demander :
– Tu l’as déjà fait ?
– Bien sûr que non
– Même pas avec un gode ?
– Mais non, pourquoi tu dis ça ?
– Je sais pas, mon doigt est rentré si facilement que… Non oublie c’est idiot.
Je le regardai, perplexe tout en masturbant sa verge encore flasque puis je demandai :
– Tu le fais avec tes maitresses ?
– Oui.
– Toutes ?
– Oui, toutes.
Je me penchai pour déposer un baiser sur ses testicules, puis me redressai.
– Elles aiment ?
– Oui, je crois.
– Et toi ?
– Quoi, moi ?
– Tu aimes leur faire ?
– Oui.
Je me penchai à nouveau pour sucer sa queue qui se redressa, puis je demandai encore, le visage écarlate :
– Tu aimerais le faire avec moi ?
– Oh ma puce, répondit-il en me caressant la tête.
– C’est pas une réponse, ça, répliquai je.
Il sourit, me palpa un sein et murmura :
– Oui j’aimerais beaucoup.
Je souris, déposai un baiser sur ses lèvres, puis palpant distraitement ses couilles je lançai :
– C’est meilleur que dans la chatte ?
– Non, ma puce, c’est différent. Les sensations sont différentes.
– Pour les filles aussi ?
– Je crois oui.
– Et c’est vrai qu’on peut jouir comme ça ? Les filles je veux dire.
– Oui ma puce c’est possible.
Je regardai mon oncle, perplexe, puis je me courbai pour gober son gland. Je le suçai lentement un long moment puis relevai la tête pour déclarer :
– J’aime bien faire ça.
– Et tu le fais très bien ma puce, répondit Paul en me caressant la joue.
– Tu trouves ?
– Mais oui, ma chérie. Et plus tu le feras plus tu t’amélioreras.
– Chouette ! conclus je avant de reprendre sa queue entre mes lèvres et de l’enfoncer profondément.
– Oh ma puce, souffla Paul
– Tu aimes ? demandai je en reprenant mon souffle, puis sans attendre sa réponse je lui lançai un regard lubrique et annonçai :
– Je vais te vider les couilles, puis voyant son regard étonné j’ajoutai : Quoi ? c’est pas comme ça qu’on dit ?
Je n’attendis pas sa réponse et me mis à pomper vigoureusement son gourdin. Lorsqu’il éjacula, cette fois je recueillis sa semence sur la langue, puis me redressant, je le regardai et déglutis.
Paul sourit puis les yeux dans les miens déclara :
– Tu m’as sucé comme une petite cochonne.
– C’est mal ?
– Oh que non ! répliqua-t-il en s’esclaffant.
Je ris à mon tour, heureuse et fière de tout ce que j’avais osé faire. Je regardai Paul qui avait fermé les yeux puis j’identifiai soudainement la cause du pincement au coeur que je ressentais depuis un moment. Le sentiment naissant me terrifia brièvement avant de céder la place à un trouble profond qui me serra la poitrine. La boule dans ma gorge, ne cessait pas de durcir et pour me libérer de la pression je n’eus d’autre choix que d’admettre l’indescriptible bonheur qui me brulait les chairs, et je murmurai :
– Je… je crois que je t’aime.
Je n’avais pu prononcer ces mots en le regardant. Il me prit le visage, le tourna vers lui et déclara avec un sourire :
– Moi aussi ma puce, je t’aime depuis toujours.
– Moi c’est, différent, fis je. Je, je t’aime d’amour. Je pensais que tu l’avais compris.
– Que veux tu dire ?
– Que je n’aurais pas pu faire tout ça, si ça n’avait pas été le cas.
– Oh ma puce, je suis désolé si j’ai pu te laisser croire que…
– Tu n’y es pour rien. Ça m’est tombé dessus sans prévenir. Et je sais bien que je ne peux pas rivaliser avec tes maitresses.
– Mon ange, regarde moi. Je ne suis pas un type bien. J’aime donner du plaisir aux femmes et en prendre avec elles. Ça s’arrête là. Je suis incapable d’aimer. Je veux dire comme tu l’entends.
– Je ne te demande rien, répondis je. Je me contenterai de ce que tu pourras me donner.
– Oh ma puce, pardon.
– Non, non, ne te méprends pas. Je suis heureuse. Tu m’as éveillée au plaisir. A des sensations que je ne soupçonnais même pas, et j’ai envie d’aller plus loin. C’est comme si ma naïveté, ma candeur s’étaient évaporées. J’ai envie que tu me fasses découvrir tout ce que tu fais avec les autres femmes. J’ai soif de quitter définitivement l’adolescence.
Paul sourit. Il lâcha mon visage, laissa ses mains glisser sur mon cou jusqu’à ma poitrine.
– Tu aimes mes nichons ? Plaisantai je pour chasser le malaise qui m’étreignait depuis mes aveux.
– Je les adore, répondit Paul en les palpant délicatement.
– Tu les trouve pas trop gros ?
– Non
– Je sais que les hommes préfèrent les gros affirmais-je en m’esclaffant.
– Comme les femmes préfèrent les grosses bites, railla-t-il.
– Tonton !
Il éclata de rire et je fermai les yeux pour savourer ses caresses
– Oh oui, c’est bon continue, tonton.
Paul prit un téton entre ses lèvres
– Oh ! m’exclamai je
Il le suça un long moment puis passa à l’autre déclenchant mes cris.
– Tu es si belle.
Je souris, comblée, puis demandai :
– C’est vrai ce que tu as dit tout à l’heure ?
– Quoi ?
– Tu as dis que je t’avais sucé comme une cochonne
– Et c’est vrai.
– Aussi bien que tes maitresses ?
– Que certaines oui.
Je souris puis m’allongeai sur le sable. Paul se pencha et prit mes lèvres pour un baiser torride
– Tu embrasses comme un dieu, déclarai je lorsque nos bouches se désunirent
– Tu as déjà embrassé un dieu toi ?
– Arrête ! répliquai je en lui donnant une tape sur les bourses.
– Aie ! Tu m’as fait mal
– Oh, pauvres petites couilles, m’exclamai je en les recueillant dans ma paume. J’espère que je ne vais pas être punie pour ça
– Oh que si, répliqua Paul en m’attirant en travers de ses genoux.
– Tu mérites une bonne fessée
Il me claqua gentiment les fesses puis il les embrassa avant de m’écarter les jambes. Il glissa les doigts sur ma chatte qui ruisselait d’excitation, puis délicatement les glissa dans ma raie. Je frémis lorsqu’il enfonça son majeur. Il fit de petits mouvements circulaires délicats puis entra un autre doigt. Ma respiration s’accéléra. Il me sodomisa ainsi quelques minutes puis ordonna :
– Mets toi à quatre pattes
Lorsque je fus positionnée, il frotta sa queue sur ma chatte inondée puis la glissa entre mes fesses en déclarant :
– Ça va aller ma puce, détends toi.
Pesant sur mon anus, il s’enfonça délicatement, millimètre par millimètre puis brusquement son gland fut comme happé.
– Oh, tonton ! gémis je
Paul s’enfonça profondément, s’immobilisa quelques secondes puis ressortit pour aussitôt m’empaler de nouveau. Il renouvela le mouvement plusieurs fois et je criai dès qu’il franchissait ma corolle. Je sentis mon ventre s’embraser sous les sensations exquises que me procurait sa queue en frottant contre les parois de mon étroit fourreau et bientôt j’allai au devant de ses coups de boutoir.
– Tu aimes ma puce ? demanda-t-il soudain en me caressant un sein
– Oh oui, c’est bon. Prends-moi comme les autres filles. Comme tu aimes.
Il accéléra la cadence jusqu’à me pilonner bestialement et je crus devenir folle de plaisir.
– Ça va ? je ne vais pas trop fort ? s’inquiéta t-il en ralentissant la cadence et je criai :
– Non, non ne t’arrêtes pas. Encule-moi comme tu aimes.
Le verbe licencieux m’échappa mais je ne regrettai pas de l’avoir prononcé, tant le désir que mon oncle prît du plaisir dans mes fesses était puissant. Je voulais qu’il me trouve encore cochonne. Même plus que ça ! Je voulais le rendre accro à mes seins à ma chatte, à ma bouche et à mon cul. Qu’il en oublie toutes les autres. Soudain il grogna :
– Oh putain que c’est bon. Oui, je suis ta putain, fais ce que tu veux avec moi. Prends ton plaisir mon amour.
Paul abandonna mes seins pour s’accrocher fermement à mes hanches. Il donna encore deux puissants coups de reins puis je sentis, heureuse, qu’il m’emplissait de sa semence. Lorsqu’il se fut retiré il me souleva et m’emporta dans la mer. Nous chahutâmes puis nous nous enlaçâmes scellant nos lèvres dans un baiser passionné.
Un baiser d’amoureux.
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