Marcel, hyper voyeur, adore voir sa femme Lucette jouir, d’ailleurs, elle ne cherche que cela. Pour cela il achète, des boules de geisha et un œuf vibrant télécommandé. Elle place l’œuf dans son vagin, et en compagnie de son mari, qui la suit de quelques pas, elle traine dans le supermarché. Souvent le bougre action la vibration, c’est si violent que Lucette doit se cramponner aux étales pour ne pas chuter, ses jouissances sont monstrueuses et incontrôlables.
Le bougre voir sa femme presque dans un état semi-comateux, qui se tortille de jouissance, bande comme un cheval. A chaque fois, il l’entraine à la toilette pour la défoncer comme un sauvage, à grands coups de reins. Lucette s’accroche à son mari en geignant de plaisir. Elle adore ce genre de situation, qui l’excite terriblement, la coquine en redemande. Elle remplace l’œuf par les boules de geisha et en déambulant dans les allées, jouit plusieurs fois. Mais ils se font vite repérer, et doivent, à contre cœur, cesser leurs petits jeux.
Lucette est insatiable, Marcel a une idée géniale, que sa femme ne peut qu’approuver, il propose à son fils de faire l’amour à sa maman. Roger qui et déjà en couple avec Mariette, est surpris par cette demande. Bien qu’elle soit immorale, le coquin bout d’impatience de chevaucher sa maman.
Elle ne cherche que son plaisir, que se soit avec son fils ou une autre personne, c’est la même chose. Rapidement les deux se mettent nus. Roger défonce sa maman, devant son papa voyeur. Cette situation ne semble pas déplaire aux deux amants, Lucette hurle sous les coups de reins de son fils, elle jouit plusieurs fois avant que Roger ne lui remplisse le ventre de sa semence.
Les jours passent, comme la maman est un volcan, et qu’il lui en faut toujours plus, ils joignent à leurs ébats quelques légumes de bon diamètre. Cela excite encore plus Marcel qui se laisse tomber sur une chaise pour assister au spectacle.
Lucette est assise sur le canapé, jambes largement ouvertes, pieds sur le sol. Elle offre à son fils sa chatte en ébullition. Le fiston en bon amant lui dévore la vulve en geignant aussi fort que sa maman. Le puits d’amour rejette son jus, Roger se gave de ce nectar qu’il semble apprécier. Le clito est devenu énorme, mais, lorsque Roger le gobe, sa maman pousse un long gémissement. Les succions qu’il pratique sont dévastatrices, Lucette explose, sa jouissance est terrible. Elle repousse brusquement son fils, et plaque ses mains sur sa chatte, en serrant fortement les cuisses.
Elle dit :
– Oh putain, Roger, tu me fais mourir mon chéri, oh la vache quelle jouissance !
Lentement, elle ouvre les cuisses, Roger s’empare d’un concombre et le place devant la chatte dégoulinante. Il pousse, les grandes lèvres s’écartent et le légume s’engage dans le conduit brulant. Lentement, Roger l’enfonce, lorsqu’il est à fond, sa maman se cabre en grimaçant, car le légume ne peut aller plus loin. Marcel a les yeux rivés sur la bite factice, que son fils commence à agiter. Il extirpe de son pantalon sa bite tendue, et la branle férocement en serrant les dents.
Roger sait manier le légume, sa maman dilatée comme jamais gémit de plaisir. Le ramonage prend de la vitesse, Lucette s’agite de plus en plus violemment. Elle pousse un hurlement et explose, sa jouissance et phénoménale, ses yeux sont presque retournés dans leurs orbites. Sa bouche est déformée par un rictus affreux. Roger tourne le légume dans sa gaine de chair. Les rotations répétitives, font encore jouir la maman qui hurle, en se cramponnant au canapé.
Roger retire le concombre, et regarde le trou béant rejeter son jus. Marcel hallucine, il gicle sur son pantalon en marmonnant :
– Oh putain comme il t’a ouverte le cochon, c’est incroyable, oh, j’adore te voir dans cet état ma chérie, ma bite le prouve, regarde, la salope vient de giclée sur mon froc !
Lucette, en haletant, saisit la verge de son fils, la décalotte et commence à lécher le gland qui suinte. Elle lape chaque goutte que le gland rejette. Elle agace le gland avant de le gober. Ce qu’elle lui fait subir est monstrueux, elle le martyrise avec ses dents, l’aspire avec force, et le tète férocement pendant de longues minutes. Le fils, bien que résistant, ne tient plus, il envoie dans la bouche de sa maman plusieurs décharges de sperme, que la coquine avale sans rechigner. Roger rapidement se place entre les cuisses de sa maman, et lui plante dans le ventre sa bite gluante.
Il s’accroche à elle, et lui pilonne le ventre avec rage, il dit à chaque coup de reins :
– Tiens, tiens, prends ça, tu aimes ma queue, eh bien profites en maman, oh je vais encore jouir, oui, oui, tiiiiiiens c’est pour toi, ma chérie !
Une violente décharge fait grincer les dents au fils amant. le soir, chez lui, Roger, honore sa compagne, il aimerait, lui faire subir toutes les idées salaces qu’il a pour sa maman, mais il n’ose pas. Il lui donne des coups de reins terribles, comme pour la traverser. Mariette est surprise par la fougue que met son mari met à la posséder. L’intuition féminine parle, après avoir joui plusieurs fois Mariette dit :
– Mais qu’est-ce qui se passe mon chéri, tu n’es plus le même, tu es plus violent, ce n’est pas un reproche, tu sais que j’aime ça, mais il y a quelque chose qui ne tourne pas rond !
En prenant une grande aspiration, Roger ose se livrer :
– Ce que j’ai à te dire, ma chérie, n’est pas facile, eh bien voila, après la demande de mon papa et l’accord de maman, cela fait plusieurs mois, que je lui fais l’amour !
Mariette sursaute, et en écarquillant les yeux réplique :
– Quoi, tu couches avec ta mère, mais tu es malade !
Roger tente de se raccrocher aux branches, et tente de se justifier :
– Pour tout te dire, Papa est un voyeur invétéré, quant à maman je pense qu’elle est nymphomane, donc à la demande de mon papa, je suis une roue de secours !
Mariette reste sans voix, elle déglutit plusieurs fois. Elle se pince les lèvres et finit par dire :
– Donc tu te dévoues pour la bonne cause, si j’ai bien compris !
Roger en poussant un gros soupir répond :
– On peut dire cela !
En regardant son mari droit dans les yeux, elle demande :
– On peut prendre du plaisir, en baisant sa maman ?
Roger répond un peu gêné :
– Pour être franc ma chérie, oui, je prends beaucoup de plaisir à la posséder !
Mariette ajoute :
– Et moi dans tout cela, tu as pensé à moi, pendant que tu t’éclatais avec ta maman hein ?
Il répond en béguant :
– J’ai souvent pensé à te faire participer, à nos ébats, mais j’ai toujours eu peur de ta réaction !
Mariette le regarde en fronçant les sourcils et répond :
– Ah, tu as pensé à moi pour que je me joigne à vous, eh bien cela me laisse sans voix. Sache mon cochon que je ne suis pas lesbienne et ta maman n’en plus je pense !
Roger répond :
– Je le sais bien, mais comme cela me ferait plaisir de te voir dans les bras d’une femme !
Mariette sursaute :
– Et pourquoi, pas dans les bras d’un autre homme tant que tu y es !
Roger en se raclant la gorge répond :
– C’est une chose à envisager ma chérie, si tu le souhaites vraiment, bien sûr !
Mariette tombe des nues, après un moment de silence, et dit :
– Comme toi, tu t’éclates, je ne vois pas pourquoi que je n’en ferais pas autant, c’est un sujet à creuser !
les paroles ont excité Mariette et Roger, les deux se serrent l’un contre l’autre, une violente pénétration fait grogner Mariette. Elle s’agrippe à son compagnon en gémissant fortement. Le pilonnage vigoureux prote ses fruits, Mariette explose de jouissance en poussant un hurlement terrible. Roger ne l’a jamais vu dans cet état. Il continue de lui labourer le ventre, avant de lui remplir de sa semence. Plusieurs fois de suite les deux amants se font jouir, pour enfin s’endormir, enlacés jusqu’au petit matin.
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