Luc et les autres sont partis mater la télé et jouer avec Olivier. Régulièrement l’un venait changer le gode pour un plus gros. Là où ils m’avaient installé je voyais Grenoble en bas et des vaches en face sur le plateau brouter. J’en étais au troisième gode qui me ramonait quand les bottes de Luc sont apparues devant moi.
– Tu apprécies ma pute ? Je vais te mettre entre les dents un truc qui te forcera à laisser ta bouche ouverte. Ouvre !
Il a glissé un truc en métal derrière mes dents et un autre devant, sous mes lèvres. Je ne pouvais que baver.
– Il te reste le dernier gode que je vais installer, regarde le.
De bonne grosseur il avait des petites bosses tour autour. J’en avais vu sur le net. Il l’a fixé à l’appareil, insérant le bout dans mon anus avant de mettre en marche lente pour que je sente tout. Ben a eu un éclat de rire.
– Elle est bonne. mate le Luc il bande et bave comme une femelle.
– On verra ce soir si il aime ce que je lui ai préparé. Olivia ou en es-tu avec les pâtes ?
– Bientôt prêt je fais la sauce maître.
– A propos de sauce il te faut tes doses de protéines la pute ! Venez-vous vider un peu, il ne peut que lécher de la langue mais va bien tout avaler.
Jean puis Pierre et Ben sont venus me faire lécher pour avoir leur sperme. Luc lui, a forcé pour passer au travers des anneaux que je puisse lécher le gland. Ils sont allés s’assoir satisfait pour manger.
– Olivia va te faire lécher toi aussi ! Entre pute un petit coup de gouinage, il faut qu’il apprenne ça aussi.
Il est venu accroupi devant moi, parlant tête baissée. Toi aussi tu aimeras un peu de douceur entre nous.
Il a envoyé un peu de jus avant de partir à leur disposition et manger debout.
Le jour était encore là mais dans la vallée les feux de la ville s’allumaient quand ils ont fini de manger. Ils m’ont détaché pendant qu’Olivier s’habillait. Mon premier réflexe a été pour toucher mon anus. Encore entrouvert, je crois qu’il ne se refermerait plus totalement. Le pire a été quand ils ont libérés l’air de la pompe sur mes tétines. Ils étaient longs mais se sont un peu rétractés.
– Va te laver t’es dégueu et je ne livre pas une pute sale !
Une fois la douche soigneuse prise je suis allé les rejoindre. Olivier changé, portait maintenant une jupe plissée si courte qu’au moindre pas on voyait le porte jarretelle. Elle ou il avait mis un casque et m’a souri.
– Courage, tu verras, c’est bon après.
Elle est monté sur la selle double derrière Ben qui allait l’emmener sur son lieu de travail et la surveiller.
– Bien, à toi. Donne-moi ton permis ta carte grise et l’assurance. Tu vas conduire et comme tu n’auras pas de poche je vais les garder sur moi. Enfile cette tunique qui te couvre jusqu’aux genoux et mets la ceinture. Tu sors le quad, tu conduiras, je serais assis derrière toi. Je te guiderais.
La tunique même légère frottait mes tétons qui pointaient bien . J’ai sorti le quad du garage et mis un masque.
– Ne t’inquiètes pas pour ta baraque, Jean et Pierre restent là pour mater sur le net. T’as du débit toi !
Il est monté derrière se collant à moi et on a pris la route vers Grenoble.
– Ne fait pas le fou on a le temps. Je te guiderais à l’arrivée.
Il avait mis une main autour de ma taille et de l’autre jouait avec mes tétons. Il s’est vite rendu compte que je bandais de sentir sa chaleur dans mon dos. Il a plaqué la main de la taille à mes parties génitales me faisant faire une embardée.
– Va doucement je t’ai dit !
En arrivant à Grenoble il m’a un peu perdu, préoccupé que j’étais par ce qui m’attendais et fait tourner dans une descente de garage. Une descente nous a fait passer jusqu’au dernier sous-sol.
– Gare toi dans le coin à côté des autres bécanes, Karim va surveiller ton quad de son poste. Souri. La caméra est là et vire ta tunique. Il a sorti un collier de sa poche, simple collier de clebs et une laisse. Donne-moi la clé et on va rejoindre tes premiers mecs.
Il est passé devant me tirant par la laisse, j’avais débandé, pas fier de rencontrer un inconnu. Arrivé à une porte il a frappé et après un bruit de clé la porte s’est ouverte sur un beur d’une vingtaine d’années. Poussé en avant et retenu par la laisse Luc l’a complaisamment laissé me détailler.
– Un peu vieux ta lope mais sans poils ça va. Entre ils sont là. En passant il m’a filé une petite baffe sur les fesses. Il refermait à clé et Luc m’a poussé dans une pièce assez vaste avec des divans autour contre les murs, cinq mecs assis en tailleur, une table basse en bois sur un socle tournant au centre. Lumière froide des néons au plafond.
– Salam Luc, ta nouvelle n’est pas jeune mais va satisfaire nos jeunes aux couilles pleines qui ont le plein de testostérone et il évitera aux femmes d’être importunées.
Luc avait détaché la laisse et je ne bandais pas sous leurs regards vicieux. Il m’a poussé sur la table.
– Pose ton ventre dessus que tu ais le cul et la bouche à hauteur et remue des pieds pour montrer ton beau cul à tous. Je vous le laisse il est à vous.
Il s’est reculé et assis dans un coin. Un mec, je suppose celui qui avait ouvert a baissé son jogging déjà déformé.
– Tu vas vite comprendre. Tu me suces, tu baves, t’avales et après je t’encule pendant qu’un autre viendra se faire sucer puis te prendre jusqu’à asséchement de notre part.
L’engin que j’avais sous les yeux était plus épais que les godes mais j’ai ouvert la bouche et pompé en tournant la langue autour jusqu’à l’explosion que je n’ai pas tout à fait pu avaler totalement. J’ai reçu la fin sur le visage et il est sorti pour me défoncer, son sperme servant de lubrifiant il a pu ouvrir mes fesses.
J’allais couiner quand un autre était déjà devant moi, raide lui aussi moins épais mais plus long. Il a frôlé ma luette me faisant avoir une toux qui ne l’a pas gêné au contraire. Il a ri. Il va falloir t’habituer à recevoir des bites encore plus longues en gorge profonde. Il a maté en face le mec qui me baisait et a joui au fond de ma gorge, le premier était secoué de spasme dans mon cul et éjaculait.
Il a été remplacé par celui qui m’avait rempli la bouche. Le suivant, moins jeune bandait encore mou mais a engagé sa tige dans ma bouche et je l’ai fait bander de la langue. Lui, s’est intéressé à mes tétines et les a pincée, me faisant couiner sur sa queue.
– Luc, tu as commencé à les allonger mais ce n’est pas assez encore.
Il était maintenant raide et me pinait la bouche à petits coups secs. Il a dégorgé assez vite mais a cédé la place sans me prendre les fesses. J’ai perdu au change car le dernier qui s’est approché, plus sombre de peau avait une vraie matraque qu’il a engouffré dans ma bouche, déformant mes mâchoires et s’enfilant loin, dépassant la luette. Il m’a tenu la tête en me bourrant la bouche, me laissant juste le temps de respirer avant de s’enfiler à nouveau au fond. J’avais les larmes aux yeux quand enfin il m’a envoyé son foutre directement au fond de la gorge sans que j’ai à avaler.
Je n’avais même pas senti que j’avais le cul libre mais ouvert avant qu’il se mette derrière moi.
– Avec moi tu vas sentir tes derniers frissons de pute lopette.
Il est entré en forçant grâce encore au jus des autres et m’a défoncé sans pitié, se retirant pour me reprendre en claquant ses couilles contre les miennes me faisant couiner comme un goret. Lui a pris le temps en mâle alfa de bien me détruire l’anus avant de se vider. Quand il s’est retiré mon trou laissait couler du sperme le long de mes couilles.
– Vous avez remarqué son côté maso. Il a bandé quand le dernier lui déformait sa chatte de pute a dit Luc.
– Oui sans hésitation on peut s’amuser avec lui. On va te le faire tourner dans Grenoble. Il doit supporter plus de mecs que ça.
– Évidemment, il n’a rien à dire et il aime vous avez eu la preuve. Alors parlons affaire. Vous m’en donnez combien la soirée ?
– Tu me connais je ne marchande pas et je suis honnête. 500€ pour toi par nuit, nous on encaissera pour les passes.
– Un ou deux soirs par semaines ?
– Vu les mecs à satisfaire, compte deux. Il se refermera pendant ce temps et sera mieux pour la deuxième fois. Mets ses tétines à traire et ramène le mardi soir puis samedi soir. Si tu peux lui faire pendre un peu plus les boules c’est pas mal, moi j’aime bien.
– Ok pour moi. Vous avez mon numéro pour le joindre et me dire où je le livre.
Il a raccroché la laisse au collier et m’a relevé. Je ne tenais pas trop debout et marchait un peu en canard. On est sorti et on a retrouvé le quad.
– Grimpe , si tu coules tu lécheras et si mon cuir a la moindre trace tu feras de même.
J’ai enfilé la tunique relevée sur mes fesses et après un salut de Luc à la caméra pouce levé. On a repris la montée puis la route bien moins vite qu’à l’aller. En haut les premiers rayons du soleil se montraient.
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