Motard gai (5)

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Dans la catégorie Récits gays

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Le matin, après une nuit sans presque de sommeil. Ben m’a initié à l’urine en guise de petit déjeuner.

– Comme t’es ancien prof d’éducation physique tu dois connaître les bienfaits de la promenade du matin. Je sais tes problèmes de souffle, aussi on ne fera pas de course. Enfile ton string rouge, et viens avec moi.

Il avait mis un short et on a marché chez moi puis traversé la route et pris le petit sentier dans les bois. Il faisait frais le matin en altitude et le string ne cachait que mon sexe, j’avais la hantise d’inconnus mais on est retourné au chalet sans rencontres.

– Enlève ton slip de PD et prépare le café. Je prends une douche et me sèche toi tu te nettoieras ton petit trou de femelle avant qu’ils arrivent. Tu es habitué maintenant.

J’ai fait passer du café pour tous si ils en avaient besoin en arrivant et une fois Ben sorti et sec je suis allé me laver. J’ai expulsé surtout du sperme collé à l’intérieur avec mes glaires et mon sexe sous le prépuce ayant pas mal bavé, avant de me sécher. Je me suis lavé les dents qui sentaient encore la pisse avant de me sécher et de revenir à la cuisine où je voulais boire un peu de café.

– Eh tu ne prends rien. Tu vas attendre sur la terrasse leur arrivée.

Le soleil à peine levé , je matais nu , Grenoble au loin qui s’activait. Ce n’est qu’après un long moment que j’ai entendu les bruits de moteurs. J’ai averti Ben qui m’a rejoint.

– Oui je reconnais les bruits des trois bécanes. Entend bien, il y a le bruit des deux 125cc et de la 80.

– Euh Ben, il y a un mineur ?

– Ne soit pas bête. Il a pas le fric pour une 125cc, c’est tout. Va à la arrière leur ouvrir.

J’étais à la fois honteux et aussi pressé de me sentir à nouveau dans mon état de lopette pour jeunes mecs. J’ai ouvert et me suis planqué en peu , mais c’était eux. En tête Paul et Jean puis un mec mince en cuir noir avec des lunettes de soleil et les cheveux blonds dépassant du casque derrière. Lui s’est arrêté deux secondes pour me détailler avant de me jeter d’un ton sec « Tu peux fermer ». IL a rejoint les autres me laissant remettre la barrière en place et les rejoindre.

– On a une belle vue de la terrasse, viens voir Luc.

– Ouais c’est pas mal. C’est lui la lopette ?

J’étais à côté d’eux.

– Habitues toi à être à genoux, la bouche à hauteur des sexes d’hommes !

Je me suis agenouillé, c’était le blond qui avait parlé et j’ai bien senti que le plus sévère serait lui.

– Alors comme ça tu matais les garçons sous la douche, tu as donc des envies de femelle. Pas de pot pour toi t’es coincé et vu, reconnu.

Il m’a fait baisser la tête et il a levé un pied, le posant sur ma tête.

– Lèche le bout de ma botte, mains dans le dos et cuisses écartées. Comme ça tu appuieras mieux de la langue.

Les autres se marraient de me voir obéir et une main a chopé mes couilles, les tirant en arrière.

J’ai couiné car il tirait fort. Le bout de la botte sentait l’herbe humide qui l’avait frotté dans les virages.

– Passe à l’autre. Tu sais, où tu penses savoir ce qui va se passer mais tu ne seras plus le même après.

J’imaginais me faire prendre par les quatre et j’ai commencé à m’inquiéter. Du bout du pied il m’a redressé la tête.

– Pour le moment tu n’es qu’une vieille lope de quoi, trente-cinq ans peut être et les queues de jeunes te font flipper mais ta vie va basculer. Tu t’en doutes un peu non ?

– Ben, je sais pas trop en quoi.

– Tu vas apprendre. Déjà on va te raser les poils, tous. Tu portes un collier mais on est passé dans un magasin SM et on a trouvé un plus beau collier que celui- là.

Passant un cuir assez épais sous mon cou il l’a fermé derrière , me forçant à tenir la tête relevée sans vue vers le bas.

– Tu as préparé du café, je le sens, suis nous. Non ! A genoux !

Je ne sais pas mais l’homme est curieux , et ne pas savoir ce qui m’attendait me faisait bander. D’autres surement auraient au contraire eu la bite recroquevillée mais moi non. Je découvrais une partie de ma personnalité cachée. Ils avaient amenés des croissants et ça sentait bon. De temps en temps Luc laissait tomber un morceau et me regardait. « Mange » puis une baffe sur le crâne.

– Sans les mains ! Paul, tu as vu un quad dans le garage ?

– Oui presque neuf avec selle biplace. Il n’a pas de voiture et devait servir à faire les courses.

– Sympa pour le balader. Bon , toi tu passes une éponge sur la table et tu laves la vaisselle. On va rassembler le nécessaire.

J’ai nettoyé la table et les bols, la cafetière et les cuillères.

– Allez monte sur la table et allonge toi sur le dos !

– T’es en manque de sexe pour bander comme ça ? Ben t’as pas assez bourriné le cul ?

J’ai pas répondu j’aurais pris un coup.

– Bon chacun un poignet ou une cheville et on l’attache aux pieds de la table. Les cuisses bien écartées.

J’ai vite été écartelé mes fesses remontant mon dos. Je les ai vu s’activer sous la direction de Luc. Passant un éponge humide là où je possédais des poils ils ont étendu de la crème blanche. Au début ça me chatouillait sous les bras mais après ça chauffait. Ben avait aussi remonté mes plugs. Je ne les voyais plus, posés entre mes cuisses ouvertes.

– Le temps que ça agisse on va jouer un peu .Au lieu que tu les fasses toi- même on va enfiler les plugs l’un après l’autre du plus petit au plus gros.

Il a craché dans ses doigts et les a passé entre mes fesses sur mon trou.

– Ben a bien travaillé. T’es souple comme une lope mais ce sera bientôt pire.

Il a enfilé le premier plug d’un coup faisant sursauter ma queue.

– Vous avez mis de la crème sur le pubis, ça va le cuire chaque fois que sa queue va toucher la crème. Comme ça il la sentira.

D’un geste il a tiré mon prépuce loin en arrière me faisant couiner.

– Sensible ? j’aime ça ! Bon le produit a dû agir frottez lui la couenne ! Qu’il soit plus que nu. Je le voyais fixer les poutres soutenant l’étage. Tu as surement des anneaux qui se vissent dans tes poutres non ?

– Oui j’en ai, sous la terrasse avec mon matériel de bricolage.

Il changeait de plug en parlant et j’ai senti qu’une main me prenait le gland poisseux pour frotter le pubis.

– Bon une fois sans poils j’essayerais ta chatte de mec. J’aime bien qu’une pute connaisse son mac. Garde le plug et va te doucher. reviens sur la table après.

L’eau coulait sur mon corps sans poils je n’en sentais nulle part. Je les entendait déplacer et percer et quand je suis sorti séché, la table avait changé de place. Comme je pouvais lever la tête j’ai vu les deux anneaux fixés aux poutres et que la table avait changé de place. Je me suis allongé comme il m’avait dit mais il m’a fait reculer pour avoir les fesses aux bord de la table. Jean, monté sur la table attendait et Paul fixait des attaches à mes chevilles. Après avoir fait passer une de mes cordes d’entrave dans l’anneau il l’a relié à mes chevilles et a tiré.

Cette fois j’ai compris ce que je me doutais depuis longtemps, mon trou allait leur servir. Je n’avais pas encore vu le sexe de Luc mais ce n’a pas été lui le premier à se servir , Jean après avoir retiré le plug s’est glissé facilement en me tenant par les cuisses, puis ce fut Paul et Ben qui m’ont labourés le cul. Prenant leur plaisir l’un après l’autre. Luc a avait fait glisser son cuir sous ses fesses et j’ai eu la surprise d’avoir encore plus épais que Ben me pénétrer. Cette fois la sensation fut différente. Il me fixait des yeux. rieurs.

– Tu t’attendais pas à ça ma pute !

Luc s’est enfoncé en moi lentement, j’ai cru qu’il n’arrêterait pas de pousser dans mon trou. Ce mec avait vraiment une bite hors norme. Il me remplissait complétement et j’ai gémis moitié de douleur et pas mal de plaisir.

– Tu comprends pourquoi je serais ton mac lopette ? Tu auras ce plaisir à chaque fois que je serais content de toi.

Il m’a limé le cul tranquille, prenant tout son temps avec des accélérations et des pauses. Quand il sortait sa queue pour me reprendre il laissait un temps et allait d’un coup au fond. J’avais à chaque fois un spasme de tout le bassin. Il le voyait et en jouait.

– Ta prostate est en pleine forme. Tu vas prendre ton pied avec le frottement de ma queue. Mais profite bien, t’es auras de plus moche et moins raide à satisfaire. Tu as compris ce que tu vas devoir faire ?

J’ai eu un instant d’incompréhension vite réprimé par une baffe sur ma tige baveuse.

– Réponds chienne !

– Je serai votre pute ?

– Ah, enfin un reste de cerveau qui lui vient. Oui tu seras ma pute. Et pour avoir ma bite il faudra gagner du fric avec ton cul ! Dis- moi que t’as envie d’être ma pute que je sois content.

J’étais tellement bien avec sa queue que je n’ai pu que répondre oui.

– Alors tu recommences en disant bien que les autres entendent que tu veux être ma pute et tu me dis maître !

Oui maître je veux être votre pute. En disant ça je ne me suis plus retenu, mon corps m’a trahi et j’ai joui sur moi.

– Bravo vieille pute je t’admets dans mes putes.

J’ai senti au fond de moi son gland gonfler et par saccades noyer mon cul. Il s’est retiré et j’ai senti son sperme couler de mes fesses avant qu’il remette un plug, le plus gros que je possédais.

– Tu as encore des choses à modifier. D’abord tes tétons ne sont pas assez proéminant pour une femelle et je crois que ben a trouvé dans tes petits jouet une ventouse à téton. Bien sur ce ne sera pas assez pour atteindre ce que je veux. Ben connaît mes goûts et a déjà du commander une véritable pompe qui te les tireras de deux centimètres. Il se rétracteront à un mais on les améliorera au fur et à mesure. Concernant tes boules elles doivent pendre plus et là encore on te fera faire des exercices. J’ai dit à Olivier de nous rejoindre. Lui est une jeune pute qui te prendra en main. Il doit faire un client ce matin et va venir.

– Oui maître, j’ai faim maître.

– Jean, Paul et Ben vont te fournir ta ration de protéines. Détachez le qu’il se mette à genoux et boivent en suçant votre jus de mec ! Je fais le tour du chalet et farfouille un peu.

J’ai donc sucé pour avoir de quoi me nourrir juste le nécessaire mais indispensable. Avec le collier ce n’était pas simple et je devais bouger tout mon dos pour sucer et enfin recevoir leur jus. J’ai entendu une bécane monter et ne pas s’arrêter avant le chalet. Luc avait dû ouvrir la barrière. Je ne m’attendais pas à voir une fille entrer et j’ai eu la honte de ma vie !

– Tu vois ce qu’on fait avec une lopette comme toi ?

Il a soulevé la jupe dévoilant un sexe de gamin retenu dans une petite cage.

– On ne dis pas bonjour Olivier ?

Le mec s’est immédiatement penché pour lécher la braguette de Luc.

– Donne ce que le vieux t’as payé.

Le môme a sorti un billet de 50 qui a disparu dans les poches de Luc.

– T’affoles pas il a dix- huit ans mais en femelle il fait très jeune. Toi par contre il te faudra pas mal de bites pour gagner comme Olivier. Allez donc en cuisine nous préparer à manger. Les hommes eux mangent !

Uniquement avec le plug dans les fesses je suis allé à la cuisine avec Olivier qui a ouvert le frigo et le congélateur.

– Olivier pour la cuisine fous toi nu ! Pas envie de payer encore des fringues !
Il a défait la ceinture de sa jupe plissée d’écolière dévoilant ses bas et une fois ôté le chemisier, j’ai vu qu’il portait un porte jarretelle attaché à ses bas. Il m’a souri.

– Tu aimes ?

C’est beau et ça te rend encore plus femme. Lui avait les tétons vraiment long et percé à la pointe, ça ne te gêne pas ?

– Oh non, ils adorent ! On bosse et on discuteras après.

 

À suivre :  Motard gai épisode 6


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