Olivier m’a demandé mon prénom. Puis à ma réponse a déclaré que ce serait surement Erica.
– Mais pourquoi ?
– Il faut que ça sonne comme un nom de lopette, moi ici je suis Olivier et au taf Olivia. Toi comme tu fais plus mec que nana ce sera surement Erica.
Il s’est tourné vers les mecs attablés. Je peux pas faire mieux qu’un steak décongelé et des frites au micro-ondes.
– Débrouilles toi t’es bon quand tu tiens même la queue d’une poêle. Ils ont eu un rire gras.
Olivier a levé les yeux en l’air. « les hommes ne pensent qu’à leur bite ! ».
– Pas toi ?
– Oh il y un moment que je n’y pense plus trop. Des fois un client veut que je montre que j’aime ce qu’ils font mais ce n’est pas évident. Tu verras il y en a des infects. Ils ne sont pas propre et il faut les sucer pour les faire bander avant qu’ils soient assez durs pour te la mettre. En plus comme t’es vieux pour débuter tu vas devoir être tourné dans des caves ou des soirées.
– Et tu y gagnes quoi ?
– La queue de mon mac ! Lui il m’envoie au ciel.
– C’est Luc ?
– Oui et ne t’inquiètes pas je ne suis pas jaloux. Il t’a fait voir des étoiles à toi aussi ?
– J’ai joui oui, très fort.
– Il fait à chaque fois le même effet et quelle allure ! Toi je pense que tu débutes, je me trompe ?
– Non il y a deux jours j’étais puceau du cul et c’est Jean et Paul qui m’ont chopés, Ben le lendemain m’a défoncé tout la nuit
– Ils vont surement connaissant Ben t’amener dans les caves de beurs, tu vas en prendre un maximum ! Bon on peut les servir
Il a servi les steaks pendant que je mettais la platée de frites au centre.
– Tout à l’heure on va sonner et comme c’est à ton nom tu iras chercher le colis avec l’aide d’Olivier.
– On ne pas y aller nus ? Luc s’est levé et m’a foutu un méchante baffe dans la tronche.
– Quand tu devras t’habiller je te le dirais ! Retourne en cuisine en attendant.
Olivier m’a consolé d’une bise.
– Ne pose pas de question il n’est pas méchant quand tu obéis.
– Oui mais quand même je ne me montre pas nu à un inconnu.
– Si tu savais le nombre de fois pou j’ai dû entrer nu dans la piaule d’un inconnu !
– Mais toi t’es une, pardon je déconne. Excuse-moi.
– Mais non, je suis une pute et je le sais, toi tu n’as pas compris encore.
La vache. Il est dur d’entrée avec moi. Et puis pourquoi être deux ?
– Ce doit être lourd ou encombrant ou il veut que je guette tes réactions.
Il avaient fini leur repas et sirotaient un verre dans mes fauteuils quand on a sonné à la barrière. Je me suis figé mais Olivier m’a poussé dehors, viens ce n’est pas dur et tu es chez toi.
Une camionnette DHL était garée devant le portail. Un mec est sorti en nous voyant approcher. Un peu rigolard il a demandé après Éric xxxx.
– C’est moi. C’est lourd ?
– Un peu et encombrant. Je vous ouvre l’arrière ? Il disait ça en souriant. Tout en nous matant. C’est Olivier qui a répondu.
– Ouvre ta camionnette nos mecs sont à l’intérieur du chalet.
– Ok ça va ! Je rigole.
Une fois ouvert il y avait trois paquets dont un long avec surement des piquets.
– Servez- vous tout est là.
On a tout mis par terre de notre côté de la barrière. Le mec matait nos fesses sans vergogne.
– Toi t’as déjà le cul pris mais ta copine ressemble à une fille à part son petit bout.
– T’es saoulant mec. Mon pote a signé ton, bon alors tu peux aller voir ailleurs autrement faut payer si tu veux un truc !
– J’ai jamais payé une pute alors bye les putes !
Il est remonté dans sa cabine et s’est barré. On a refermé et tiré le matériel le plus lourd jusqu’à la terrasse et fait deux voyages pour le reste.
– Allez y déballez le tout. On va l’utiliser de suite.
Une fois sorti des emballages j’ai découvert une pompe à air avec des embouts. J’ai vite compris que c’était pour moi.Il y avait aussi un moteur avec une roue comme les locomotives et enfin des piquets pouvant former plusieurs choses. Pendant le moment où j’étais pris par Luc, les autres avaient percé des trous dans la terrasse et fixé des anneaux.
– Approche ma pute. Non pas toi Olivia. Erica. Ce sera ton nom de pute. Mets- toi à genoux et baisse la tête sur la terrasse entre les anneaux. Il a fixé mon collier de chaque côté, m’empêchant de relever la tête avant de passer un lubrifiant sur mes tétons. Il avait fixé la machine sur une des prises extérieures et une fois la machine en route a fixé les embouts sur les tétons qui ont été aspiré dedans en force.
J’ai gueulé mais je ne voyais plus mes seins quand il a arrêté la machine.
– Tu vas avoir de beaux tétons bien longs dans quelques jours, manipulable pour ton plaisir et celui de tes clients.
J’ai senti qu’ils fixaient aussi mes chevilles écartées et mon ventre une fois posé sur une socle arrondi y a été fixé aussi. dans cette position je ne devais être qu’un cul sans poil, plissé. Je ne pouvais pas voir mais ils ont dû mettre la machine avec la roue en route et l’un d’eux a passé de la crémé sur et dans mon trou avant de régler la machine. Là encore j’ai couiné quand j’ai compris le but.
Un gode me pénétrait mécaniquement le trou. Il coulissait, juste réglé de manière à avoir le gland à peine sorti re rentrer.
– C’est une bonne manière pour t’assouplir le cul sans se fatiguer. On changera le gode régulièrement quand il coulissera très bien.
À suivre : Motard gai épisode 7
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