Ils étaient tous partis me laissant avec Ben qui avait remis son short me laissant nu, couilles étirés entre mes cuisses.
– J’ai besoin de savoir le montant de ton compte bancaire.
Ok mais je ne te donne pas mon code. J’ai attendu qu’il tourne le dos pour taper mes identifiants. Voilà.
– Dis donc c’est le luxe, t’as pas besoin de trop chercher pour bouffer. Je coupe et vais aller voir les sites d’accessoires SM. Je saurais vite ce qui te plais !
Il a avait pris ma queue dans la main et une fois le site ouvert il a fait défiler les articles. J’ai pas pu ne pas frémir devant les tenues suggestives et il a serré ma queue.
– Ok continuons on y reviendra. La page suivantes c’était les sex- toys et là encore j’ai réagi. On est passé sur les machines à baiser, les ball- stretcher, les ceintures de chasteté, les martinets, les trucs d’électro stimulation, bref je réagissais sur beaucoup de chose. Maintenant on va voir tout ce que tu as dans ta valise cachée.
Il a tout vidé et découvert des accessoires oubliés mais toujours excitants. Il a souri en trouvant des pinces à tétons avec les aspire tétons. Jetant un coup d’œil sur moi il a pincé un de mes tétons puis a trouvé deux cages à pénis, un fouet assez long et une cravache. Enfin au fond encore dans sa boîte un écraseur dde couilles avec des pointes à l’intérieur.
– Tu ne t’en est jamais servi ?
Non il me fait peur.
– Bien , on verra avec les potes ce qu’on ajoutera à ta collection. Peut- être un peu d’électricité et de la commande à distance. En attendant il m’a poussé en avant sur le lit. Régulièrement je vais ouvrir ton cul. Pas besoin de graisse et si tu gueules je m’en fous. Au fait tu aimes l’odeur de la bite d’un vrai mâle ?
Il a ôté son short sous lequel il ne portait rien pour le mettre contre mon visage, coté avant sur le nez. Puis se positionnant entre mes cuisses il a passé son sexe dans ma raie avant de pousser sur le trou un peu détendu. J’ai poussé plus qu’un cri, un râle , mélange de douleur et de plaisir à l’ouverture. Il a joué tranquillement à s’enfoncer profondément avant de se retirer pour mieux me reprendre.
Chaque pénétration, me faisait pousser un cri aigu.
– Pas mal non ! Je crois que tu commences à apprécier.
Il a accéléré chauffant mes fesses. Mes couilles étirées et mon sexe tendu a frotté sur la couverture , j’ai bavé comme une femelle. La douleur mêlée au plaisir était intense pour moi. Il s’est retiré pour me retourner et se branler face à moi . J’ai reçu son foutre sur a gueule. Les premiers allant loin, les suivants sur mon cou non recouvert du short.
À suivre : Motard gai épisode 5
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