Un oncle conciliant – Chapitre 1

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Après avoir vécu une grosse partie de sa vie en Australie, Charles est contraint de rentrer en France avec son fils, Jordan, car sa femme n’est plus. Robert son frère est heureux de l’accueillir à la ferme avec sa femme Emilie, tout le temps nécessaire, pour qu’ils puissent trouver un logement et un travail. Cela fait des années, que Robert n’a pas vu son frère, et il ne connait son neveu que par des photos. C’est pareil pour Charles, et Jordan qui ne connaissent pas Emilie. Les présentations sont chaleureuses, les embrassades interminables. Emilie leur fait visiter la ferme, et leur montre leur chambre. Une fois les affaires rangés, ils se rendent au salon, pour bavarder.

Charles et Jordan sympathisent rapidement avec Emilie, qui est une femme simple, et très sociable, ses formes font saliver les invités. Robert est très travailleur, mais un peu porté sur la bouteille. Après le diner, il en abuse, est c’est souvent très grisé, qu’il monte se coucher.
Cela fait à peine deux jours qu’ils sont là, que Charles et Jordan proposent leurs services. Cela tombe bien car la moisson a commencée.
très tôt, Charles est aux champs avec son frère. Quant à Jordan, portant fièrement ses vingt et un ans, prête main forte à sa tante, pour s’occuper des animaux.

Les deux se dirigent vers l’étable, Emile devance son neveu, elle balance naturellement son bassin, ses hanches larges et ses fesses rebondies font saliver le jeune adulte. Rex, le chien en bon gardien, se lance sur le jarre belliqueux, qui se refugie sur le tas de fumier avec quelques plumes en moins.
Une fois à l’étable, Emilie doit lui apprend à traire, car la trayeuse étant en réparation, il faut le faire à la main. Emilie est toujours vêtue d’une blousse, qu’elle enfile sur sa culotte, il semble qu’elle ne porte pas de soutien- gorge. Lorsqu’elle s’assied sur le tabouret, pour saisit les pis de la vache, les pans de sa blousse s’ouvrent, en découvrant largement ses cuisses magnifiques. Jordan yeux écarquillés, ne loupe pas une image. Vicieusement il passe de l’autre côté de la vache, et se penche, il apercevoir la culotte de sa tante.

À chaque mouvement qu’Emilie fait, la culotte s’insère entre les grandes lèvres, en les séparant. Les lèvres bien charnues, qui se frottent contre le tissu, gonflent. Jordan serre les dents et les poings. La verge du coquin se dresse dans son pantalon. Il à l’impression que sa tante prend du plaisir en s’agitant sur son tabouret. Il croit, que la culotte s’humidifie, mais il en ai pas sûr.
Il a l’impression que sa tante branle le pis, et cela lui fait imaginer des choses que la morales réprouve. Emilie le sort de ses rêves, elle lui demande de venir près d’elle, car l’apprentissage doit commencer.

Il prend un tabouret et s’assied juste contre elle, cuisse, contre cuisse. Il attrape maladroitement les mamelles. Emilie, lui saisit les mains, et commence à traire, en lui expliquant comment faire. Les mains d’Emilie sur les siennes, le font frissonner.
Mais, il faut que le jeune homme se débouille seul, elle lâche les mains de son neveu, et le regarde faire. Après quelques conseils, le bougre apprend vite. Emilie sourit en regardant Jordan, elle le félicite même.

Le soir après sa toilette, elle change de blousse, et prépare le diner, elle attend les hommes qui rentrent des champs. En attendant, elle trinque avec son neveu, au salon, qui la dévore des yeux. Sa blousse est mal fermée, elle a omit de fermer, les deux boutons du bas. Emilie assise en face de son neveu, ne peut l’empêcher de regarder ses longues jambes. Et Jordan ne s’en prive pas, le coquin demande si son oncle boit chaque soir. En se pinçant les lèvres Emilie répond :

– Pratiquement tous les soirs !

Jordan fronce les sourcils et très curieux en se raclant la gorge, demande :

– Hum, hum, je sais que cela ne me regarde pas, mais hum, il te fait encore l’amour ?

Emilie baisse les yeux, et répond en poussant un gros soupir :

– Que très rarement !

Jordan sursaute :

– Il délaisse un corps comme le tien, il est fou le tonton, moi je serai toujours entre tes cuisses !

Emilie, esquisse un petit sourire et répond timidement :

– Mais tu n’es pas mon mari, Jordan, je suis touchée par l’intérêt que tu me portes !

Elle avale une rasade, en poussant un soupir bruyant. En bougeant dans son fauteuil, involontairement, elle ouvre légèrement les cuisses. Sa blouse en s’ouvrant, laisse voir sa culotte. Les yeux du neveu se fixent dessus, Emilie s’en aperçoit. Elle serre rapidement les cuisses, en rougissant. Jordan sursaute :

– Non, Emilie reste comme ça, tu es si belle, laisse moi te contempler !

Emilie reste sans voix, surement poussée par le démon, elle ouvre doucement les cuisses, Jordan éblouit par le spectacle, dit faiblement :

– Comment un homme, peut- il ignorer un tel trésor. Ouvre plus Emilie, que je me gave de tes trésors !

Poussée par on ne sait quelle sortilège indépendant de sa volonté, la tante ouvre largement les cuisses !

La culotte qui enveloppe la vulve, moule bien les grandes lèvres qui semblent bien charnues. Jordan défaille et dit :

– Fais m’en voir plus, tu es si belle que je te dévorerai, montre moi ce que tonton délaisse !

Comme hypnotisée, Emilie, écarte très doucement sa culotte, elle découvre son abricot, avec des gestes maladroits. Jordan ravale sa salive et dit :

– Mon Dieu, comme elle est beau ton fruit, Emilie !

Jordan se presse fortement la verge qui commence à gonfler. Emilie réalise qu’elle fait une bêtise, elle se reprend, rabat les pans de sa blousse, se rajuste tant bien que mal, et termine son verre. Elle est très gênée par ce qu’elle vient de faire, elle est rouge comme une pivoine. Elle n’ose regarder son neveu.
Enfin les hommes entrent des champs après un débarbouillage, ils prennent place à table. Emilie fait le service, lorsqu’elle sert Jordan, involontairement, elle lui frôle la main, elle frémit, lui aussi. pendant le repas, ils ne cessent de se regarder. Comme souvent Robert boit plus que de raison. Il monte se coucher après le repas. Charles épuisé par sa longue journée aux champs, monte aussi se coucher.

Penchée à son évier, Emilie fait la vaisselle. Jordan la regarde en la dévorant des yeux. Il en pince pour elle. Depuis qu’il a vu sa vulve il se fait un film. Sa verge durcit, elle déforme son pantalon. Il se lève passe derrière sa tante, lui donne un baiser sur le cou, et se colle à elle, en disant :

– Tu es très belle Emilie, et très désirable, ton corps peut rendre fou n’importe quel homme, voire même des femmes !

Emilie ne peut ignorer l’érection de son neveu, elle sent contre son fessier le manche dur, elle se raidit, en se cramponnant à l’évier.
Jordan devient plus audacieux, et ose passer sa main sur me ventre d’Emilie et de le caresse doucement, la tante défaille, elle murmure faiblement :

– Non, non, Jordan, je t’en prie, soit sage !

Jordan desserre son étau, lui donne un second baiser plus appuyé sur la nuque, puis se rend à la salle de bain. En ouvrant la porte de la salle d’eau, il entend sa tante sangloter doucement. Il fait demi- tour, lui prend la main et l’entraine dans la salle de bain. Emilie tremble, elle renifle souvent, le suit sans se poser de question. Il l’enlace et lui demande :

– Qu’est-ce tu as tante ?

C’est en bégayent qu’elle répond :

– Je ne sais pas, surement l’émotion, c’est la première fois depuis des années, que l’on me parle tendrement, tu crois vraiment que je peux intéresser un homme, et pourquoi une femme !

Jordan lui relève le menton, et dépose un tendre baiser sur ses lèvres et répond :

– Tu es si belle, que n’importe quel hommes serai à te pieds. Je suis certain que certaine femme te désirerai, hum j’aimerai voir ça !

Un deuxième baiser sur ses lèvres, fait frissonner Emilie, comme prise de panique, elle quitte la salle de bain. Et se laisse tomber sur le canapé en soupirant fortement. Jordan bande comme un poney, il prend, sa douche pour clamer sa pulsion. Des bruits de pas se font entendre dans l’escalier. C’est Robert qui descend entièrement nu, le bougre bande comme un cheval. Il titube, en s’approchant de sa femme. Le bougre a du mal à mettre un pied devant l’autre. Il est un peu euphorique, mais très souriant.

Emilie surprise par l’apparition de son mari et surtout par sa terrible érection, ne quitte pas l’engin des yeux. Les pans de la blouse d’Emilie, pendent de chaque côté de ses cuisses, en les découvrant largement. Malgré que ses yeux sont vitreux, Robert admire les cuisses de sa femme. Il dit en arborant un sourire :

– J’ai envie de te baiser, regarde ma queue comme elle te convoite !

Emilie surprise par les proposes de son mari se lève. Il l’enlace, et l’embrasse fougueusement. Elle lui rend son baiser, bien que Robert est un peu porté sur la bouteille, il aime sa femme, elle aussi l’adore. Il la bascule sur le canapé, Il regarde ses cuisses, et dégrafe jusqu’au dernier bouton la blouse d’Emilie. Il écarte les pans admire sa poitrine généreuse, il donne quelques baisers sur les seins, en ronflant comme un chaudière.

Il s’agrippe à la culotte, et la fait descendre le long des longues jambes. Emilie est entièrement nue devant son mari, qui salive en regardant ce corps, qu’il délaisse trop souvent. Il dépose un baiser bruyant sur le ventre de sa femme qui frémit. Il commence par lui caresser les seins jouer avec ses mamelons. Sa bouche prend le relais, il suce et tète les petits mats de chair qui prennent immédiatement du volume.

Emilie gémit, elle souffle comme une bête, appuie sur la tête de son mari, pour qu’il continue de lui dévorer les mamelons. Sa respiration s’accélère, elle tremble sous les succions voraces de Robert. Il fait glisser sa main sur le ventre plat, et le caresse en faisant de petits cercles, qui approchent dangereusement du puits d’amour. Lorsque sa main et ses doigts passent sur l’entre jambe, Emilie pousse un long gémissement. Bien que trop souvent délaissée, cette femme adore le sexe. Là, elle veut en profiter au maximum, car elle ne sait pas, quand sera la prochaine fois.

Les doigts agiles s’emparent du clito, et l’agitent de plus en plus férocement. La boule de chair très sollicitée, devient aussi grosse qu’une noix. Même enivré, Robert sait faire gémir sa femme de plaisir.
Une violente jouissance la fait hurler, elle se cabre comme un cheval, en poussant un long râle rauque. Robert en la soutenant la remet debout. Il la serre très fort contre lui. Emilie sent coulisser contre son ventre, la verge tendue de son mari. Elle agite son bassin, sa vulve rejette son jus. Elle s’accroche à son mari en soufflant fortement. Le méat de la verge, laisse échapper quelques perles visqueuses. Emilie impatiente dit entre deux souffles :

– Prends- moi mon chéri, prends- moi !

Soudain le neveu sort de la douche, en boxer, il entend des gémissements. Il s’avance vers le salon et là, il sursaute. Il voit son oncle et sa tante entièrement nus enlacés, qui se frottent l’un contre l’autre en geignant. Robert aperçoit son neveu, il s’écarte de sa femme, et en lui donnant une tape sur les fesses dit en souriant :

– Je peux te dire, que c’est une bonne pouliche, très travailleuse qui ne rechigne pas à l’ouvrage !

Emilie voit à son tour Jordan, elle se plaque contre son mari pour cacher sa nudité. Elle devient rouge coquelicot. Robert à les yeux qui pétillent, il pousse sa femme sur le canapé, lui ouvre les cuisses, et sans prévenir lui plante sa bite dans le ventre jusqu’aux couilles. Il lui saisit les hanches et la pilonne comme un sauvage. Jordan bande comme un taureau. Il regarde son oncle honorer sa tante. les coups de reins qu’il lui donne son dévastateurs. A chaque enfoncement, Emilie pousse un gémissements, de temps en temps elle jette un regard vers son neveu, qui assiste à l’ébat comme voyeur.

Robert en serrant les dents dit :

– Regarde comme elle est belle, Emilie, lorsqu’elle prend de la bite, écoute la gémir, oh putain ce qu’elle est bonne ma chérie !

Emilie pousse un gémissement plus fort que les autres, elle se cambre et explose, sa jouissance fait sursauter le neveu qui se presse la verge pour qu’elle ne gicle pas. Robert se raidit et remplit le ventre de sa femme avec son sperme précieux. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer. Il regarde la chatte de sa femme qui laisse échapper le surplus de sperme. Puis il regarde Jordan et lui dit :

– Comment tu la trouves ma chérie ?

Jordan, ne peut que répondre :

– Elle est magnifique, et si désirable, elle a de quoi rendre un homme heureux !

Robert dit sèchement :

– Baise-la, baise-la, je l’a néglige trop souvent ma petite femme chérie, elle mérite plus de bite, vas-y, vas-y !

Puis s’adressant à sa femme, il dit :

– Tu aimerai qu’il te plante sa bite dans le ventre, ma chérie hein !

Emilie ne répond pas, la proposition indécente de son mari, la laisse sans voix. Robert, mais ne lui déplait pas. Il lui enfonce trois doigts dans la chatte et en la ramonant dit :

– Oh oui, elle a besoin de jouir encore, allez prends- là, elle n’attend que cela, n’est- ce pas ma chérie !

Pour toute réponse, Emilie baisse les yeux. Robert ajoute en souriant :

– Tu vois elle est consentante, alors rends lui service !

Jordan baisse son boxer, sa bite jaillit, en oscillant fortement sur son bas- ventre. Robert ne peut s’empêcher de dire :

– Oh la vache il est bien monté le morpion, eh bien ma chérie, tu vas être bien remplit, suce-là ma chérie, fais toi plaisir !

Jordan approche sa queue du visage de sa tante, elle la saisit et commence un branlage nerveux, c’est comme si, qu’elle voulait se venger de quelque chose. Elle agite avec violence la verge du neveu, qui se met à geindre. Soudain, elle cesse de branler l’engin, le décalotte à fond, et l’observe. Il est vrai que le coquin est bien monté, et que son gland semble redoutable. Des coups de langue lapent les perles de rosée que la verge ne peut retenir. Emilie se défoule, elle si délaissée, veut rattraper le temps perdu. Elle gobe le gland, le suce et le tète comme une affamée. Son mari lui triture les mamelons, il joue avec pour les faire encore grossir.

Jordan geint comme une bête blessée, il agite son bassin et en soufflant comme un bœuf dit :

– Arrête Emilie je vais décharger, arrête, arrête !

Robert crie :

– Décharge-lui dans la bouche, moi qui le fait si rarement, je crois qu’elle ne rechigne pas à avaler, vas- y gicle, gicle, mon salaud !

C’est en geignant fortement que le neveu, remplit la bouche de sa tante, qui le repousse, pour pouvoir avaler la semence au goût suave. Robert jubile :

– Baise-la, maintenant, baise-la, ne la fais pas attendre, elle bout d’impatience ma chérie !

Jordan, se place entre les cuisses, que sa tante écarte largement, il place contre la chatte dégoulinante son membre tendu et en la saisissant par les hanches, enfonce son mandrin jusqu’à la garde dans les ventre de la tante, qui pousse un gémissement de satisfaction. Elle s’accroche à lui, donne comme lui des coups de reins violents en grognant comme un fauve. Robert est aux anges, il jubile, et dit :

Jordan, lorsque je ne serai pas en état de la baiser, tu prendras le relais, tu es d’accord Emilie que ton neveu me remplace !

Sous les coups de boutoir, Emilie est en transe, elle dit faiblement :

– Oui, oui, mon chéri, j’accepte tout ce que tu veux, Jordan bourre-moi plus fort, oui ,oui, je vais jouir ouiiiiiiiii !

Une jouissance exceptionnelle lui secoue els entrailles, Jordan fougueux la défonce terriblement fort. Enfin, il lui remplit le ventre de semence. Après quelques estocades, il se retire du ventre accueillant. Soudain une voix de fait entendre, c’est Charles :

– Vous en faites un bordel, pas moyen de dormir avec vous !

Il s’arrête net, il n’en revient pas, son fils baise sa tante en présence de l’oncle.
Robert regarde son frère et dit :

– Je viens de conclure un pacte avec ton fils, lorsque je délaisse Emilie, il doit s’en charger, il est capable de le faire, il vient de le prouver !

Charles regarde les corps nus, plus particulièrement celui de sa belle sœur, et dit :

– Oh putain ce qu’elle est belle, et quel corps, de quoi faire damner un saint !

En prenant une grande aspiration il demande :

– Ton frère est exclue de l’orgie, il n’y à que le neveu qui peut profiter de sa tante, si je comprends bien !

Robert, prit au dépourvu, regarde sa femme et lui demande :

– Ma chérie, tu te sens capable de subir plusieurs hommes ?

Emilie sursaute, et dit avec quelques trémolos dans la voix :

– Plusieurs hommes en même temps, tu veux dire, non je ne l’ai jamais fais, d’ailleurs je n’ai connue que toi mon chérie, mais je crois que c’est une chose à tenter !

Robert ajoute :

– Tu es prêtes à recevoir une bite dans le cul, ma chérie, et te le faire éclater ?

En ravalant bruyamment sa salive elle répond :

– Si je dois en passer par là, pourquoi pas mon chéri, honnêtement j’y ai souvent pensée, mais tu n’étais pas apte mon chéri !

Robert sourit et réplique :

– Je crois que jusqu’à présent, je n’étais pas à la hauteur, mais ma chérie, je veux que tu rattrapes le temps perdu, et si tu commençais maintenant à te faire bien ouvrir le cul hein, qu’est- ce que tu en penses ?

Emilie rougit et dit :

– Je veux bien essayer, mais avant je vais faire une bonne toilette avant de me faire sodomiser !

 


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