Ce matin, j’ai encore mal au cul. Moins qu’en me couchant hier soir, mais tout de même, suffisamment pour avoir un peu de difficultés à marcher sans douleurs. Il faut dire que je me suis fait enculer pour la toute première fois, c’était ma toute première sodomie. Je crois que je m’en souviendrai longtemps. Cela dit, n’allez pas croire que j’en garderai un mauvais souvenir. Le bonheur que j’ai pris à me faire déboîter le cul compense largement les légers désagréments que je ressens aujourd’hui. Simplement, je vais mettre quelques jours à m’en remettre. Ce sera sans doute moins grave la prochaine fois. Je pense que je vais faire mon possible pour m’assouplir la rondelle en attendant, avec ce qui passera à portée de main, mais en renonçant pour l’instant à y enfiler de trop grosses bites. Peut-être vais-je me contenter d’un petit plug anal en attendant d’être prête et en augmentant peu à peu le volume.
Hier soir, j’ai eu les yeux plus gros que le cul et j’ai dû un peu surestimer mon potentiel d’absorption. Pourtant, quand Eric m’a prise, je me suis sentie très bien. Ce n’est qu’après, de retour chez moi, que j’ai commencé à souffrir un peu. Je me suis bien endormie mais c’est vrai que, ce matin, j’ai du mal à me déplacer. Même assise, je souffre de l’anus. Ce n’est pas très grave, je vais en profiter pour vous raconter comment mon amant m’a défloré la pastille. En même temps, ça me permettra de revivre ce grand moment de ma vie sexuelle.Quand je suis arrivée chez Eric, nous ne nous connaissions pas beaucoup. Il savait cependant pourquoi je venais le voir. C’était en effet sur les conseils d’une de mes amies que je lui rendais visite. J’avais parlé à celle-ci de mon envie toujours grandissante de sodomie et en même temps de la crainte que j’éprouvais que mon dépucelage anal se passe mal. Elle m’avait conseillé de sauter le pas avec Eric, son ancien amant, qui lui avait toujours donné satisfaction en ce domaine. Comme je suis assez libérée, je n’ai eu aucun mal à le contacter, ni à lui expliquer la raison de mon appel téléphonique. Il m’avait donné rendez-vous le surlendemain. Inutile de vous dire combien j’étais surexcitée en attendant le jour fatidique. J’ai d’abord pensé à me masturber et à me dilater le trou du cul pendant les deux jours de délai qui me séparaient de ma défloration, mais j’ai au bout du compte préféré ne pas m’abîmer la corolle inutilement. Je suis arrivée chez l’Italien avec l’anneau encore bien serré.
Nous avons commencé par faire l’amour classiquement. Eric est un solide gaillard d’une trentaine d’années tout à fait charmant. Il s’est montré prévenant et doux avec moi. Comme je l’ai trouvé sexy et attentif, j’ai pu me donner à lui sans peine. Cela a grandement facilité la suite des opérations. Il m’a prise une première fois, en toute simplicité, pour, m’a-t-il dit, ” se vidanger les couilles ” et faire baisser la tension qui l’habitait depuis qu’il attendait ma venue. J’ai eu un orgasme assez rapide et fort tandis qu’il se déchargeait les burnes dans mon ventre. C’est seulement ensuite que les choses sérieuses ont commencé.
Eric m’a laissée souffler peu de temps. Il est vite revenu à la charge. J’étais couchée sur le ventre, sur son lit. Il s’est mis derrière moi et a commencé à me pétrir les fesses en douceur. Instinctivement, j’ai écarté les cuisses, comme pour lui demander d’aller me caresser la chatte par derrière. Il ne s’en est pas privé, malgré le fait que son sperme s’écoulait encore de mon trou, mêlé à ma mouille surabondante. Il a appuyé sur le matelas qui s’est abaissé et il a pu ainsi venir me fourrer deux ou trois doigts, je ne sais plus très bien, directement dans la moule. J’étais déjà en train de m’exciter à nouveau. Mon bas-ventre se soulevait, de même que ma croupe, pour lui faciliter le passage. Mon amant se chargea de recadrer la situation.
Il entra et sortit à plusieurs reprises sa main d’entre mes cuisses. À chaque fois, il prenait un peu de lubrifiant naturel pour aller en déposer dans la raie de mon cul. Avec le tranchant de sa main, il écartait les globes de mes fesses et me badigeonnait la fente de derrière, toujours plus au fond. Je le sentais qui passait sur mon œillet affolé. A la fin, il faisait même un peu tourner sa main comme s’il voulait évaser mon trou. La tête enfouie dans l’oreiller, je poussais déjà de petits gémissements. Ensuite, Eric s’est reculé et m’a prise par les jambes. Il a tiré dessus, jusqu’à ce qu’elles pendent du lit. J’avais presque les genoux au sol. Mon sexe était sur le bord du matelas. Il tira encore un peu. Dans cette position, ma croupe ressortait parfaitement. Il vint s’agenouiller derrière moi et je sentis son souffle sur mes fesses. Puis, son nez se glissa dans ma raie, suivi de près par sa langue.
Eric me lécha le cul un bon moment. Il était très doux et prévenant. Au début, sa langue tournait autour de mon anus puis, peu à peu, il força dessus pour commencer à l’ouvrir. J’étais excitée comme une puce. Pendant ce temps-là, il me fourrait la chatte avec deux doigts, pour maintenir intact mon désir d’être enfilée. À un moment donné, il se pencha vers moi et me demanda à l’oreille de pousser comme si je voulais chier quand il remettrait la langue sur ma pastille violacée. Rien que de l’entendre me parler comme ça, ça m’excitait encore plus. J’étais heureuse de lui obéir et je m’exécutai dès que je sentis son organe à nouveau posé sur mon petit anneau. Il en profita pour le faire entrer d’un bon centimètre dans mon fondement et commencer à me ramoner le rectum. Il le fit encore deux ou trois fois, toujours avec mon aide intéressée et, la quatrième, c’est son index qui remplaça sa langue. Je fus surprise de la facilité avec laquelle son doigt s’engouffra dans ma rosette. Il l’enfila jusqu’à la garde et l’agita un petit moment dans le conduit anal. Il le fit d’abord coulisser sagement puis se mit rapidement à le faire tourner dans mon derrière, pour m’assouplir le cul. Quand il jugea que ce traitement avait atteint ses limites, il enfila alors un deuxième doigt et reprit son manège. Finalement, je lui demandai moi-même d’y mettre enfin sa queue.
Il me tarauda encore l’anus un petit moment, histoire de bien s’assurer de la dilatation optimale de mon anus. Il ne pouvait guère faire plus avec sa main. Puis, il se recula une dernière fois et posa ses paumes sur mes fesses. Il les écarta tant qu’il pouvait. Je sentis sa bite s’approcher de mon trou, jusqu’à ce que le gland vienne buter tout contre. Il le fit passer tout autour du puits, comme il l’avait fait un peu plus tôt avec sa langue, puis son doigt. Enfin, il se mit à appuyer au centre, très doucement, mais fermement. Je me rappelai alors du bon conseil, qu’il m’avait donné auparavant. Je poussai fort sur mes sphincters, comme si je devais sortir un étron. J’avais heureusement pris la précaution de prendre un lavement avant de me rendre chez Eric.
Mon initiateur profita de la légère ouverture de mon orifice anal pour accentuer la pression et la tête de son braquemart rentra presque sans forcer dans mon fondement. Je le soupçonnai de s’être enduit la tige d’un corps gras quelconque avant de me pénétrer. Il devait aussi s’être branlé un peu car son manche était très gros et fort. Instantanément, je me sentis comblée comme jamais. Cette fois-ci, j’avais vraiment envie de chier et même si je savais que ce n’était qu’une impression due à la pression qui s’exerçait sur les parois des boyaux, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une certaine appréhension.
Eric parvint pourtant à me calmer. Dès qu’il fut bien en place dans mon cul, il se mit à aller et venir très lentement. Il n’y avait pas la moindre violence dans ses gestes. J’avais l’anus qui chauffait et le ventre qui fourmillait. Ce ne fut pas agréable tout de suite. Le plaisir vint doucement, au fur et à mesure que mon corps s’adaptait à l’intromission du membre de mon amant. Heureusement celui-ci continua de se montrer attentionné à mon égard. Il passa une main sous mes cuisses et dirigea ses doigts vers mon entrejambe. Je me frottais le clito contre le lit. Il me força à relever légèrement le bassin et se substitua au frottement des draps sur mon bouton. Il me branla pendant tout le temps qu’il passa dans mes fesses. Le pouce dans ma chatte, il me massait le clito avec son index et son majeur joints. C’était plus qu’il n’en fallait pour me satisfaire. Au fil des minutes, je devenais de plus en plus réactive. Je balançais mes hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur son doigt que sur sa pine. Il n’avait presque plus à remuer, tellement j’étais agitée. Survoltée, je faisais tout mon possible pour me sentir encore mieux remplie. A la fin, il se mit tout de même à accélérer la cadence. Je crois qu’il voulait jouir. Il devait être très excité par le spectacle que je lui donnais, celui d’une femme ivre de sexe et assoiffée de plaisir.
Je ne saurai pas vous dire qui de nous deux à joui en premier. Ce que je sais par contre, c’est que l’orgasme que j’ai eu n’avait rien de commun avec ceux que je ressentais habituellement. Moi d’habitude plus discrète, j’ai crié, j’ai gueulé qu’il me faisait du bien. Quand il est parti, j’ai eu l’impression que sa bite me déchirait le cul, tant ses convulsions étaient intenses. Ensuite, il s’est affalé sur moi et nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de mon anus.
Quand je suis partie, il m’a donné quelques photos numériques en gros plan de mon derrière, qu’il avait prises pendant qu’il me préparait mais aussi quand il était planté en moi. Je l’ai remercié pour cette troublante attention qui me permettra de conserver un souvenir tangible de mon dépucelage anal, ma toute première sodomie.
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