À plat ventre sur le lit, dans sa chambre pleine d’une douce pénombre, la croupe légèrement surélevée par un coussin, Géraldine gémissait, sentant s’enfoncer entre ses cuisses, largement écartées, la grosse queue du traiteur qui était venu la dépanner…
Elle avait toujours faim en ce moment, surtout depuis qu’un cuisinier, quasi professionnel, lui avait montré de nouvelles recettes…
Bou…li…mique, elle était devenue boulimique de sexe, surtout que ça, au moins, ça ne faisait pas grossir !
Il en connaissait un rayon, à croire qu’il avait tenu des restaurants toute sa vie.
Celui là qui, doucement, commençait à lui remonter un membre de belle taille vers la chatte n’était pas tout à fait un pro comme l’autre, mais il avait tout de même un bon coup de langue. Un de ces coups de langue qui vous lèche bien la chatte, vous la fait couler copieusement pour préparer le terrain à des intromissions très salaces.
Ce dimanche matin là, Gé attendait avec impatience de continuer son développement de petite salope. Elle avait prit de bonnes résolutions la dernière fois et n’avait pas hésité à raconter, d’abord en l’écrivant, puis en l’oralisant : comment son ventre avait joui avec cette langue qui l’avait bouffée pendant un long moment, lui faisant avoir des frissons sur tout le corps.
Elle avait joui double, d’abord dans l’instant où Germain avait proposé de lui manger la chatte, puis, pendant l’acte lui même où elle pensait à un salaud qui l’avait conduite sur ce chemin de traverse qui la rendait accro au sexe…
Elle avait vite assimilé les leçons, vite apprit à sucer de la queue, vite compris qu’une bonne salope se prenait de bonnes fourettes, que le sexe devenait aussi indispensable à sa vie que le boire et le manger. Gé ne cherchait plus à se poser des questions qui culpabilisent. JP était tout à fait d’accord pour que cette petite salope qu’elle était devenue, celle qu’il avait faite, façonnée, ouverte, remplie, dévergondée, libérée, prenne son pied quand elle en avait envie. D’ailleurs elle savait, pour l’avoir expérimenté, que ce type de situation lui en faisait prendre plein la chatte et de la très grosse, au motif que ce type de situation était très salaud, très salace et que de son coté ça l’excitait aussi, grave…
Donc, Germain, aussitôt rentré, avait commencé à lui bouffer les lèvres pendant que sa main, se glissant sous le string de Géraldine, avait entrepris un massage en règle de sa chatte gonflée par le désir. Elle défaillait, ça y est, elle allait se faire prendre par ce type qui la tripotait depuis des mois, ce type qu’elle avait branlé, sucé. Ce type qui lui avait rentré ses doigts et sa langue dans la vulve.
Elle sentait son sexe couler au contact des doigts qui, doucement, se mettaient à coulisser à l’intérieur. De son autre main il avait commencé à retrousser la mini blanche, cadeau de son autre amant, pour se sentir bien salope, bien pute, se disant qu’elle se ferait prendre par JP, quand il viendrait, en la portant à nouveau et en le lui disant… oui… salope, pute… libidineuse même, à se faire prendre en sachant à quoi pensait l’autre… A savoir qu’elle avait eu les mêmes gestes, les mêmes soupirs, les mêmes coups de rein pour se faire défoncer, les mêmes caresses sur une bite en pensant à l’autre, peut-être plus grosse mais moins longue.
Salope, très salope, elle devenait. De plus en plus jouisseuse, avide de sentir sa chatte s’ouvrir sous des doigts ou des queues, pourvues qu’elles soient raides et vibrantes.
Tournant sur elle même, Gé offrait son dos à Germain qui, aussitôt, lui attrapa les nichons à pleine main, par dessus le chemisier, pour en pincer les pointes qui devinrent rapidement dures et grosses. Lui relevant la mini, il se mit à genoux pour lui embrasser les fesses par dessus son string, tirant dessus pour le faire descendre. Puis, reprenant là où il s’était arrêté ses doigts revinrent investir cette chatte en chaleur, par en dessous pour bien s’enfoncer et en continuer la lubrification.
Les mains appuyées au mur, Gé se laissait investir, tripoter, sentant des frissons lui remplir le ventre.
C’est elle qui dit à Germain : « allons dans ma chambre ». Elle voulait devenir maîtresse du jeu, face à ce queutard qui l’avait trouvée, la fois d’avant, peu investie aux jeux de la queue.
Mais, la fois d’avant c’était pour elle, elle avait décidé qu’elle s’enverrait en l’air toute seule, profitant de la langue de son suceur pour se faire reluire.
Il l’avait suivi tout en se déshabillant, pendant qu’elle faisait sauter son chemisier et sa mini, ne gardant que ses bas auto fixant. Puis, se jetant sur le dos, elle avait attrapé Germain pour qu’il la rejoigne sur le lit en le tirant par le membre qui, dans cette position, était juste à hauteur de sa bouche.
Goulûment, elle se mit à pomper ce dard qui suintait déjà de plaisir, aspirant le gland pour le faire se gorger de sang, prenant les couilles dans ses mains pour les caresser doucement, faisant remonter ses mains sur la hampe pour en expertiser la raideur et donner un mouvement de va et vient. Experte, elle était devenue experte à ce petit jeu. Son coup de langue devenait sa fierté de femme car elle savait qu’il avait le don d’exciter les mâles.
Le Germain soufflait comme un phoque, donnant des coups de ventre en avant pour que sa queue s’enfonce dans la bouche goulue qui lui suçait le dard. Il devenait fébrile et Gé sentit que le moment viendrait où elle allait se faire prendre comme une belle salope. Basculant sur le lit, il se coucha à coté d’elle, commençant à lui sucer les seins, tout en laissant ses doigts repartir à l’assaut de cette vulve enfiévrée, pendant que de sa main gauche elle continuait à masser la hampe de cette longue bite.
Contrairement à son attente, il ne se mit pas sur elle, mais la fit monter sur lui… Ooooooooooh le salaud… Exactement ce qu’elle aimait le plus… Être dessus.
Dans son tiroir Gé avait saisi une capote anallergique et l’avait rapidement enfilée sur la queue raide qu’elle avait devant les yeux puis, sans hésiter, s’était avancée pour se positionner juste au dessus de ce bâton de chair et dans un grand soupir s’était laissée tomber dessus.
Trempée comme elle était, la longue queue était rentrée sans coup férir, jusqu’au fond de sa chatte en chaleur. Elle avait poussé sur ses genoux pour remonter et de nouveau était redescendue. Fabuleux, c’était fabuleux. Salope, ouiiiiiiiii, salope, en plein…
Elle se sentait salope à bloc se faisant sauter, en sachant que son amant était au courant et qu’en ce moment il devait astiquer sa grosse bite en pensant à ce qu’elle faisait. Peut-être même qu’il tirait sa salope de femme en pensant à elle, en train de jouir, avec une autre bite planté dans le ventre. Ouiiiiiiiiiiii, oooooooooooh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, elle jouissait de cette situation. La chatte pleine, elle pensait à son salaud de baiseur qui l’avait amenée là. Si elle avait eu du retard, aujourd’hui elle prenait de l’avance sur toutes ces connes qui n’étaient pas capables, comme elle, de baiser avec deux mecs, certes séparément, mais tout de même au courant. Quelle jouissance c’était de s’en prendre plein la motte, copieusement, salacement, vicieusement et pour son pied à elle.
Le Germain n’en revenait pas de voir Géraldine monter et descendre à toute allure sur sa queue qu’il sentait taper au fond de cette vulve trempée. Ses mains tiraient les pointasses des nibards, puis passaient sur la croupe ronde et pleine pour bien l’abuter sur l’embase de son braquemard.
Dans un long cri, Gé prit son pied. Tant pis pour les voisins. Après tout, rien à cirer qu’ils l’entendent baiser tout son soûl.
La faisant rouler sur le lit Germain mit Gé à plat ventre, pour lui écarter les cuisses et se positionnant derrière il lui releva légèrement la croupe en la prenant à pleine main. C’est là que Gé sentit que sa vie de femme changeait. Elle devenait LA femelle, La salope de deux types, obsédés par sa chatte, sa bouche, son ventre, sa chatte, ses nichons aux grosses pointes, son cul et sa croupe qui étaient tous visiblement faits pour la baise. « Ouiuuiuiuiuiuiuiueeee,
âââââaaaaaaah, saaaaloooooooooope, je suis une salope, râlait-elle de sa voix de femelle en rut… ». « Je me fais prendre… Ouiiiiiiiiiiii, prendre… Noooooon,
nooooooooooooooon, c’est moi qui me donne, c’est moi qui prend, c’est moi qui décide quand et avec qui… Et celui làaaaaaaaaaaa, je veux qu’il m’en mette plein la motte… Ce salaud est venu pour me faire jouiiiiiiiiiiiiiiiir… Je vais jouir du ventre et de la tête… Aââââââah.
La queue de Germain finissait de coulisser entre les cuisses trempées de Géraldine pour venir butter contre les lèvres de sa chatte qui aspira d’un coup le gland noueux pour l’attirer jusqu’au fond. Les mains cramponnées à la croupe il donnait maintenant de puissants et longs coups de rein, en poussant des : « han, han, han », comme un bûcheron.
Gé sentait son ventre investi par ce manche et elle défaillait de bonheur en criant que : « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiuiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, encore, encore, vas yyyyyyyyyyyy, vas yyyyyyyyyyyyyyy, encore… Aââââââ…
Elle sentait la queue qui la pilonnait grossir encore plus, (comme avec JP quand il est excité un max) ; les mains sur ses hanches la tenaient fermement et elle en profita pour glisser les siennes dessous et venir s’attraper le clitoris pour le branler comme pendant ses séances solitaires.
Devinant ce qu’elle faisait, en sentant des doigts contre sa bite, Germain devint fou d’excitation : « salooooope, ouiii, saloooope, tu es salope… En plus de la queue, il te faut des doigts… Et un autre mec pendant que tu y es ça te plairait pas ???
Le piston de la bite de son copuleur ne faiblissait pas et Gé se mit à partir de plaisir en criant à nouveau. Ce que, sentant et entendant fit faire de même à Germain, qui déchargea tout son foutre dans la capote avant de retomber sur le coté anéanti.
Gé se sentait femelle remplie, sachant que sous peu sa chatte allait en reprendre et de la grosse !!!!!!!!
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