Mon meilleur ami se tenait devant moi, sa bite dure comme de la pierre se dressait fièrement.
Il fit un pas dans ma direction et la bite ballota de haut en bas. Je pense que cela semblait bizarre. Nous nous connaissons si bien que nous pourrions être pratiquement frère et sœur. Bien que j’aie toujours espéré que la première fois, se passerait avec quelqu’un qui m’aime et en qui j’ai confiance, jamais je n’aurai pensé que ça pourrait être avec lui.
Mais il est là, avec sa grosse bite devant moi et je le désire beaucoup. J’ai vu des grosses pines seulement sur Internet. Ces bites semblent massives et exagérées quant à leur taille. Je regarde la bite de mon copain et se n’est pas si intimidant que celles que j’ai vues en ligne. Cependant je me demande comment ça allait marcher.
« Allez, touche-la ! »
Je m’approche de lui et je laisse mes doigts glisser sur sa peau. Je ne suis pas certaine de ce que j’attends, mais je suis surprise par la douceur de la peau recouvrant sa bite. J’enroule mes doigts autour de la hampe, je sens que c’est chaud et lourd dans ma main. Je passe ma main sur sa bite en un mouvement de va et viens. Mon meilleur ami frissonne.
Je saisis sa pine plus fermement et je fais le même mouvement et sa respiration s’accélère. Je continue de le caresser. J’aime la sensation de sa bite dans ma main.
« Tu as une belle bite » dis-je timidement, j’aime la toucher. Il sourit. Il a eu de nombreuses conquêtes et sa confiance est évidente. Je m’agenouille devant lui et je laisse ma main empoigner ses couilles. Je les soupèse. Il pousse un soupir et je lâche ses couilles.
« Non c’est bon » dit mon copain et il guide ma main sur ses couilles.
Je les presse délicatement et il soupire de nouveau. Sa bite bouge par saccade et se trouve à un centimètre de mon visage. Je la prends et je la caresse plusieurs fois. Je sais que les garçons aiment que leur queue soit sucée et je me demande qu’elle goût elle peut avoir. Je me penche en avant et je lèche soigneusement le bout de sa bite avec ma langue. Il pousse un long soupir. Je le regarde et il me fait signe de continuer. Je passe plus longtemps ma langue sur sa bite, ça a un goût salé.
Je prends de l’assurance et j’engoule la pointe de sa queue, je ne sais pas quoi faire, aussi j’essaie de sucer la bite comme on suce un sucre d’orge. Puis je tète la bite et je passe ma langue le long de la hampe, finalement, j’essaie de faire tournoyer ma langue sur son gland et je descends tout au long de sa bite jusqu’à ses poils.
« Oh! Mon Dieu » mon meilleur ami frémit et semble s’étouffer. « Tu vas me faire jouir ».
Soudain il retire sa verge de ma bouche et me prend par la main en direction du canapé, il déboutonne mon short, le baisse sur mes hanches et le laisse tomber par terre. Je tremble lorsque ses mains passent sous mon tee-shirt. Elles caressent ma peau, glissent sur mes côtes. Il fait passer le vêtement au dessus de ma tête. Aussitôt je deviens très timide.
Mon copain ne m’a jamais vue sans vêtements. Soudain je m’inquiète car je pense qu’il pourrait être déçu par ce qu’il voit. Mon corps est plus un corps de garçon qu’un corps de fille. Des années de gymnastique au lycée et à l’université m’ont fait un corps athlétique et je suis mince. Mais bien que mon ventre soit plat, je n’ai pas de forme et je ressemble à un vilain petit canard.
Je bouge pour couvrir ma nudité mais mon meilleur ami prend ma main et me fait tourner lentement en cercle devant lui. Je pense qu’il va me faire des compliments, alors qu’il me regarde sous tous les angles. Lorsque je me retrouve devant lui, il lèche ses lèvres. « J’aime ta petite culotte en dentelle, je ne m’attendais pas à cela. » dit-il. Je mords ma lèvre et je gigote nerveusement. Il me poussa sur le canapé et il s’allonge près de moi. Je peux sentir la pointe de sa bite raide et chaude contre ma cuisse. Il caresse mes jambes nues.
« Tu ne dois pas jamais avoir honte de ton corps, chuchote-t-il. Sa voix est rauque. Tu es admirable. Il caresse mon ventre et laisse sa main descendre plus bas, je tâte ses muscles et il glisse ses mains sous l’élastique de ma culotte.
Je sens ses doigts qui passent sur ma mouille entre mes jambes. Il enfonce un doigt dans ma chatte mouillée et frotte délicatement mon clito. La sensation est très forte. J’essaie de le pousser et de le tirer plus près de moi en même temps.
Il baisse maintenant ma petite culotte et je l’enlève avec un très grand plaisir. Il écarte mes jambes et atteint une des parties de mon corps qu’il aime beaucoup. Ses doigts trouvent de nouveau mon clitoris qu’il taquine et caresse avec beaucoup de soin. Je me tords sous la poussée de son doigt sur mon vagin. Lentement il introduit un doigt dans ma foune visqueuse. Je m’arqueboute, lorsqu’il enfonce délicatement un deuxième doigt dans mon vagin, je gémis de plaisir et je m’accroche à ses épaules.
Mon copain rit doucement et murmure tendrement en faisant des vas et viens dans ce canal d’amour.
Je chuchote un « S’il te plait », sans savoir vraiment ce que je désire.
Mon meilleur ami s’assied et me tire pour me faire asseoir sur ses genoux. Je le chevauche et il place sa verge à l’entrée de mon ouverture gluante. Il me serre contre lui et me laisse contrôler la vitesse de la pénétration. Je sens mon corps se contracter autour de sa queue bien raide. Je ressens un plaisir exquis.
« Mon Dieu, tu es si étroite », chuchote-t-il d’une voix rauque.
« Non, tu es trop gros ».
Il sort sa bite presque entièrement de mon sexe et il me baisse pour la seconde fois, mon vagin engloutit sa verge. Il pénètre plus profondément. Je pousse un léger cri. Mon corps s’étire de façon peu confortable pour l’accueillir. Mon minou se détend et serre sa verge. Je suis certaine que ça n’entrera pas. Il me guide et monte et descend de nouveau et il s’enfonce encore plus profondément. Une fois encore je pousse un soupir, c’est presque comme un sanglot et il me remplit entièrement.
Je suis assise sans bouger pendant quelque temps, sentant la verge de mon copain plantée en moi. Les muscles de mon vagin se contractent et palpitent autour de son pénis. Ses mains saisissent fermement ma taille. Il commence à me guider avec ses mains et je met à me balancer et à bouger sur ses genoux. Je monte et je descends sur sa bite sentant qu’il me remplit, me remplit jusqu’au fond….
Je trouve mon rythme et je me balance d’avant en arrière, ses mains caressent mon corps. Il recouvre avec ses mains mes petits seins fermes et caresse mon dos, il me serre dans ses bras et j’écrase mes seins contre lui Je gigote de plus en plus vite sur ses genoux et il dit d’une voix haletante qu’il ne pourra pas tenir davantage. Je respire difficilement et je lui dis que ne pourrai pas non plus. Il m’allonge sur le dos et s’agenouille entre mes jambes, il saisit mes hanches et plonge de nouveau dans mon con.
Il s’enfonce profondément en moi et, lorsque nous jouissons, il semble qu’une vague se brise au dessus de moi. Mon corps s’arqueboute quand je respire et quand je frémis. J’enroule mes jambes autour de la taille de mon meilleur ami et j’enfonce sa bite profondément en moi. Ma chatte se contracte contre sa verge et je me penche contre lui. Il se contracte, sa bite est très raide et il l’enfonce profondément dans mon con où il explose libérant une salve puissante de foutre.
Mon meilleur ami s’effondre sur moi et nous restons là sur le lit pour reprendre notre souffle.
Lorsqu’il se dégage, je sens son foutre couler sur moi. Il caresse mes cheveux et me demande si ça va. Je lui souris et je lui dis que tout a été merveilleux. Je lui dis que j’espère que notre relation ne se dégradera jamais, il rit et il m’assure qu’il n’en est pas question. Puis il me dit que j’ai beaucoup de potentiel, je lui réponds en riant.
Je m’endors, sachant que nous pourrons encore passer du bon temps ensemble, et je me rends compte que je ne pourrais jamais me passer de la bite de mon meilleur ami.
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