Je suis Abigaelle, une jeune fille de 18 ans tout juste. J’ai eu mon anniversaire il y a deux semaines, et je dois dire que c’est réel plaisir pour moi d’être enfin majeure. Je peux faire ce que je veux, et surtout je suis libre sur le plan sexuel. J’ai des parents très restrictifs, et ils m’ont longtemps gardé dans leur cocon familial. Je suis toujours en apparence la petite jeune fille timide que j’ai toujours été. Mais quelque chose a changé en moi, quelque chose de bien profond, et seulement moi et le mec de Jess, ma sœur, sommes au courant. De nos jours, la plupart des filles couchent assez jeune avec des garçons. Je n’ai jamais été comme tout le monde, et j’ai toujours voulu offrir ma petite fleur à celui qui partagerait sa vie entière avec moi. Je sais que c’est un peu vieux jeux, mais ne vous en faites pas, tout ceci a bien changé. Je joue encore un peu le jeu pour préserver mes parents, qui ne comprendraient pas pourquoi je fais d’un coup des bêtises.
En fait, ce que je vais vous raconter aujourd’hui dans ce récit, c’est la perte de ma virginité. Oui, j’ai été pucelle jusqu’à mes 18 ans, et j’en suis fière. Mais maintenant, j’ai goûté à un homme, je sais ce que c’est de se faire prendre, et je me sens comme une vraie femme, et non plus comme une adolescente vierge et effarouchée. Ma sœur Jess a toujours été mon opposé. Au contraire de moi, elle collectionne les mecs depuis longtemps. Elle a trois ans de plus que moi, et nous nous entendons assez mal. J’espère que ça va s’arranger avec le temps, mais vous savez comment sont les frères et sœurs ensembles lorsqu’ils vivent sous le même toit. Elle ramenait parfois des copains à la maison, défiant ainsi mes parents et leur système éducatif renfermé. Ma sœur pouvait plus ou moins faire ce que bon lui semblait, étant donné que les vieux misaient tous leurs espoirs sur moi, la gentille petite fille docile. Cette situation dura un long moment, et je voyais les copains de ma sœur défiler les uns après les autres.
Je rigolais bien à les espionner en cachette. Je voyais parfois ma sœur Jess faire une pipe à son mec, et le lendemain, ayant obtenu ce qu’il voulait, le gars ne revenait plus. Ma sœur était vraiment bête et utilisait le sexe pour se faire apprécier des autres, mais les choses sont loin de fonctionner de cette façon. C’était une vraie salope et tous les gars du quartier la prenaient un peu pour une conne. Au fond, je dois avouer que ça me faisait un peu de mal de la voir ainsi traitée. C’était tout de même ma sœur et je l’aimais à ma façon. J’espérais qu’un jour elle rencontre un garçon qui l’aime pour de vrai, et pas juste pour sa bouche et son cul. Mais il faut dire qu’elle faisait tout pour se faire prendre pour une conne, et personne ne la plaignait vraiment. Parfois, je l’entendais même se faire baiser dans la chambre. Au début, cela me dérangeait beaucoup, et je n’arrivais pas à dormir, mais au bout d’un moment, j’étais de plus en plus curieuse. C’est là que Franck a fait son apparition.
C’était un mec génial et Jess est tout de suite tombée amoureuse de lui. Cela semblait réciproque, et j’étais très contente pour elle. Ils vivaient un vrai petit conte de fées tous les deux. Le temps passa et Franck fut de plus en plus accepté par mes parents. Les vieux n’avaient pas l’habitude de voir avec Jess un homme charmant et intelligent, avec de la discussion et une dose d’humour. Ils l’autorisèrent à venir dormir à la maison pour passer plus de temps avec ma sœur, et Franck venait donc tous les weekend dormir à la maison. C’était devenu un membre à part entière de notre famille. C’était mon beau-frère. On s’entendait plutôt bien tous les deux, et nous discutions souvent ensemble de tout et de rien. Nous écoutions parfois de la musique, ou nous regardions un film. Je sentais sur moi son regard protecteur. Il était très musclé, et j’éprouvais un sentiment de sécurité auprès de lui. Je comprenais bien pourquoi ma sœur était tombée amoureuse si rapidement de ce beau jeune homme.
Notre relation était très agréable, très amicale. Jusqu’au jour où tout a changé. C’était un samedi soir je crois, et mes parents étaient partis chercher Jess à son travail. Franck était venu à la maison une heure plus tôt. Il venait en train et cela arrivait parfois qu’il vienne avant que Jess et mes parents ne soient là. Il avait l’autorisation de rester seul avec moi, la petite dernière, car mes parents avaient une totale confiance en lui. J’étais donc seule à la maison avec Franck, et je regardais Secret Story à la télévision. Je montais ensuite à l’étage car je devais chercher un truc dans ma chambre. Je passais pour l’occasion devant la salle de bains. La porte était légèrement ouverte et il y avait de la lumière. Je savais que c’était Franck, mais que faisait-il ? J’hallucinais lorsque je le voyais avec une de mes culottes en main. Je l’ai reconnue car c’était ma culotte préférée, celle avec les cœurs dessus.
Franck était là, tranquillement installé, en train de renifler la culotte de la petite sœur à sa copine, et il avait plutôt l’air d’aimer ça. Il était un peu de dos par rapport à moi, et je voyais son épaule bouger étrangement. Cela faisait comme des saccades rapides. Il se tourna un peu vers moi, sans me voir, et je compris tout de suite ce qu’il était en train de faire. Le salaud se branlait ! C’était la première fois que je voyais un homme se branler en vrai, et je ne pu m’empêcher de ne pas regarder. Je savais que c’était mal, que c’était mon beau-frère, et que je ne devais pas. Mais malgré toute la morale du monde, je ne pouvais pas détourner mon regard innocent et prude de cette verge tendue. Et puis, après tout, je ne l’avais pas cherché. C’était lui qui était en train de renifler une de mes culottes sales. J’avais peur qu’il me voie en train de le mater, et je redescendis en bas, devant mon émission préférée. J’étais très troublée par la situation qui venait de se dérouler sous mes yeux, et je ressentais des sensations nouvelles mais pas désagréables dans le bas du ventre. J’étais rouge, j’avais chaud. Je ne savais pas mettre des mots sur ce que je sentais en moi, mais avec le recul, il est clair que j’avais très envie de lui.
Franck descendit l’air de rien quelques minutes plus tard. J’étais un peu gênée, mais je ne laissai rien paraître. Ce petit jeu continua quelque temps, et il m’arrivait souvent de surprendre mon beau-frère en train de se masturber. Un jour, je l’ai même vu éjaculer dans ma culotte, le rouler en boule et la remettre dans le bac à linge sale. C’était un véritable pervers et je m’étonnais d’apprécier ça. Il m’attirait de plus en plus, mais j’étais si jeune, et je ne savais pas comment faire. Je ne savais pas si je voulais franchir réellement le cap, et je me contentais très bien de me masturber mon petit clito en pensant à Franck. J’avais de bons orgasmes, mais je me doutais qu’avec une vraie bite, ça allait être un cran au-dessus. Un jour, alors que la configuration était la même, c’est-à-dire que Franck et moi étions seuls ensembles à la maison familiale, tout allait se précipiter, et j’allais commettre une grosse trahison envers ma sœur. J’étais assise au salon avec Franck lorsque ce dernier annonça devoir monter aux toilettes.
Je savais déjà ce qu’il allait faire dans la salle de bains, et j’attendis quelques minutes pour monter le mater en train de se masturber. La porte était un peu plus ouverte que d’habitude, mais je n’y ai pas fait spécialement attention. Franck était là à se branler sur une culotte que j’avais portée hier pour faire du sport au lycée. Elle devait sentir plutôt fort et ça avait l’air de lui plaire à fond. Il se branlait fort, et moi je glissai ma main entre mes cuisses. J’étais en legging, et mes doigts ont facilement glissé jusqu’à ma chatte. Je mouillais bien. À un moment, le plaisir étant vraiment grand, je lâchai un petit gémissement sans m’en rendre compte.
Franck se retourna aussitôt. J’étais prise la main dans la culotte, et lui la queue à l’air.
Je pensais qu’il allait m’engueuler et me dire de dégager, mais au contraire, il fit un sourire et continua de se branler. Il me dit que ça tombait bien, car j’avais enfin mes 18 ans, et qu’il attendait ce moment depuis longtemps. Il savait très bien que je l’observais souvent le salopard. J’étais prise au piège.
L’image de ma sœur apparut devant mes yeux. Je ne pouvais pas lui faire ça, mais j’étais comme dans un état second. Il s’approcha de moi, le sexe toujours dehors, et il me demanda ce que ça faisait pour une pucelle comme moi de voir une vraie queue en chair et en os. Je n’osai rien dire. J’avais envie de lui, mais j’étais vierge, c’était mon beau-frère, et de plus, les autres membres de la famille risquaient de venir à n’importe quel moment. Cela faisait beaucoup pour une jeune fille comme moi, qui n’avait jamais transgressé une seule règle sous ce toit. Franck sentit bien que je n’osais pas trop me laisser aller, et il prit les choses en main. Il me souleva par les hanches et me posa sur la machine à laver. Il baissa mon legging et ma culotte en me disant des compliments. Je me laissais faire et essayais d’apprécier ce moment unique. Ma moule tendre et sans poil lui était maintenant offerte.
Il passa un long moment à me contempler l’abricot, me disant plusieurs fois qu’il n’avait jamais vu une chatte aussi belle. C’est vrai que ma fente était superbe et un peu bombée. Mes petites lèvres étaient quasiment inexistantes, et rien ne dépassait de ma vulve. Elle était lisse comme une pêche. Il s’approcha encore plus près et lui fit des bisous. Sa bouche sur mon sexe me plongea dans un état d’extase. Il avait une barbe de plusieurs jours mais j’adorais cette sensation. Je dégoulinais largement et il se mit à me lécher de bas en haut. Il savait ajuster la pression de sa bouche sur mon sexe, ni trop fort, ni pas assez. Chaque fois que sa langue finissait sa course sur mon clitoris, je vibrais de tout mon corps. Je n’avais pas trop d’éléments de comparaison, mais je pouvais affirmer qu’il léchait bien, et que ma sœur avait de la chance. Il essaya d’entrer un peu son doigt en moi pendant qu’il travaillait sur mon clitoris, mais ça avait du mal à rentrer. J’essayais de l’aider en écartant les cuisses au maximum.
Il me suçait le sexe depuis maintenant un quart d’heure, et je n’en pouvais plus. Il le sentait bien et me proposa de me baiser. Je lui confirmais que j’étais encore vierge et j’avais très peur d’avoir mal. Il me proposa d’aller sur mon lit de jeune fille, que ça serait sans doute mieux que la machine à laver. J’acceptais de le suivre. Il s’y connaissait en sexe, au contraire de moi qui n’avais rien fait d’autre que me toucher le clitoris. Nous allâmes sur mon lit. J’étais nue des hanches jusqu’aux pieds. Il m’installa sur le dos et me demanda d’écarter les cuisses. J’étais très docile, je voulais vite le sentir en moi. Il se plaça au-dessus. Je le regardais dans les yeux et je sentais qu’il passait son sexe sur le mien. Il m’avertit qu’il allait me pénétrer. Je lui demandai de faire doucement. Je sentais son sexe rentrer avec peine. Ma chatte était très serrée, mais Franck était doux et gentil.
J’étais à l’aise et détendue. Je sentis d’un coup quelque chose craquer en moi, et un liquide chaud couler par ma vulve. Franck me rassura, et ça ne faisait pas mal. Il commença alors à me pénétrer plus profondément, et débuta une série de va-et-vient lents et profonds. Je gémissais fortement, et Franck avait l’air d’apprécier la sitution. Il bandait fort, et je sentais chaque millimètre de sa verge me ramoner la grotte. Je mouillais bien et glissait en faisant des bruits humides. Je sentais que j’étais enfin devenue une femme. Ce qui m’excitait le plus, je crois bien que c’était le fait que j’étais en train de me taper le mec de ma sœur. Il me baisait bien et je crois que j’ai eu un orgasme au bout d’un moment, mais je n’en suis pas certaine. Le bas de son pubis poilu me frottait le clito à chaque fois qu’il arrivait en fin de course, et j’adorais cette sensation. Je sentais également ses testicules claquer avec douceur sur mes fesses et le bas de ma chatte.
Elles avaient l’air lourdes et pleines. Il accéléra d’un coup ses coups de reins et se retira sans rien me dire, tout en se branlant frénétiquement. Je restai là à le regarder, ne sachant quoi faire. Je me souvenais d’un film porno, et je pensais qu’il éjaculait. J’avais raison. Une grosse giclée de liquide blanc sortit avec force du bout de son gland et s’étala hasardeusement sur mon petit ventre. Il lâcha encore plusieurs lampées de sperme tout en poussant des râles à peine contenus. Je pris une goutte du bout du doigt et la portai à ma bouche pour en connaître le goût. C’était un peu salé mais pas désagréable.
Ma sœur ne devait plus tarder maintenant, et je me rhabillai en vitesse. Depuis cet instant, je n’ai pas encore revu Franck, mais il doit venir à la maison ce weekend, et peut-être que l’on va remettre ça. Je vous raconterai, si jamais !
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