Mari épuisé devient voyeur

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Paul est un homme plus âgé que sa femme Juliette, le rythme qu’elle lui impose sexuellement est très épuisant. Après de nombreuses palabres, il la persuade de chercher des amants hommes ou femmes, cela lui est égal et de les amener à la maison. Car son rêve, c’est qu’elle se fasse prendre devant lui. Au début Juliette refuse cette proposition, mais au bout d’un moment l’idée d’être prise par d’autre, l’émoustille et fini par accepter.

Elle déambule dans le parc voisin, à la recherche de proie. Elle porte une jupe très courte et un corsage très échancré. Elle s’assied en face d’un couple qui ne cesse de s’embrasser et de se caresser. L’homme d’un certain âge est très entreprenant, la femme une jeunette d’une vingtaine d’années semble être une amante occasionnelle en quête d’aventure, comme Juliette.

Le duo cesse de s’embrasser et regarde longuement Juliette, elle fait mine de ne pas les voir, elle sort de son sac une revue qu’elle fait semblant de lire. Elle s’amuse à croiser et décroiser les jambes. Les mouvements volontaires font remonter la jupe sur le haut de ses cuisses. La coquine regarde par-dessus sa revue la réaction du couple. Les deux fixent les cuisses admirables de la provocatrice en se parlant doucement.

Juliette décroise ses jambes et écarte lentement ses cuisses, la coquine ne porte pas de culotte. Les yeux du duo s’écarquillent, lorsque Juliette glisse sa main sous sa jupe et commence à se caresser la vulve tout en faisant semblant de lire. Ses doigts s’agitent sur sa fente, soudainement elle pose la revue et ouvre largement les cuisses ses doigts s’enfoncent dans son vagin profondément, elle regarde le duo en grimaçant, elle se fouille rageusement le conduit vaginal en gémissant comme une bête. Elle est sur le point de jouir.

L’homme se lève suivit de la jeune femme. Ils prennent place de chaque côté de Juliette qui ne cesse de se masturber. La femme pose sa main sur celle de la branleuse et l’accompagne dans ses mouvements de va-et-vient. L’homme lui écarte le corsage et lui pétrit les seins rudement. Juliette se cabre, la jeunette a saisi son bouton d’amour et le branle rapidement. Juliette agite son bassin comme une forcenée. Mais le trio doit cesser, car des promeneurs déambulent dans l’allée. La femme rabat la jupe de Juliette, l’homme lui reboutonne son corsage avant que les promeneur s’aperçoivent de quelque chose.

Les trois se mettent à parler ensemble, Juliette avoue pour quelle raison elle se trouve dans le parc. L’homme sourit, la jeune fille éclate de rire et dit :

– Nous sommes toutes les deux les mêmes, à la recherche d’une bonne queue moi, j’ai trouvé monsieur, mais si tu le veux nous pouvons aller chez toi finir, ce que tu as commencé, ton mari sera heureux de nous voir !

Juliette n’en espérer pas tant, elle accepte. Le trio arrive, Paul les reçoit avec le sourire, il ne pensait par voir un couple, mais cela le rend fou de joie. Il emmène le trio de futurs amants au salon et leur sert un verre. Une fois le verre vide, Paul débarrasse la table basse, il regarde sa femme, lui fait un clin d’œil. La coquine sait que les hostilités peuvent commencer.

C’est en souriant que Juliette invite ses invités à se mettre nus, la jeune femme se place devant Juliette et commence à lui dégrafer le corsage, elle lui glisse ses mains sur les épaules et fait tomber le fin tissu sur le sol. Elle fait glisser le zip de la fermeture de la jupe et la descend lentement. Au passage, la bougresse, lui donne de gros baisers sur le ventre. Paul s’installe dans un confortable fauteuil. L’homme a retiré tous ses vêtements et se plaque contre le fessier de Juliette, elle pousse un soupir bruyant. La femme est à genoux devant elle, elle hume avec force les effluves odorantes que la chatte laisse échapper.

Lentement Juliette écarte les jambes, la bouche de la femme se plaque sur son intimité et sa langue s’enfonce entre les grandes lèvres vaginales. Juliette se cambre davantage pour faciliter l’accès à la femme vorace. L’homme se frotte contre la croupe de Juliette, il ondule du bassin. Lentement son membre se met à prendre du volume. Juliette sent contre son fessier le manche, elle agite doucement sa croupe pour que la verge prenne de l’ampleur.

La femme gobe la perle d’amour et la suce sauvagement Juliette pousse des râles terribles, sa chatte suinte de plus en plus, la tension est telle qu’elle appuie sur la tête de la suceuse pour qu’elle ne se dérobe pas. L’homme fait un va-et vient, sa queue tendue est dure comme du bois, elle glisse entre les deux lobes charnus et bute contre l’anneau ridé. Juliette est sur le point d’exploser, la bouche de la jeune femme lui dévore le clito, comme personne ne lui avait fait avant. Elle pousse un cri en se cabrant et remplit de sa cyprine la bouche de la suceuse qui avale jusqu’à la dernière goutte le précieux liquide. La femme se redresse, l’homme derrière Juliette, fait glisser son membre entre ses cuisses, Juliette se penche légèrement en avant. La queue gorgée de sang pousse sur les grandes lèvres, elles s’écartent, le gland s’engage dans la gaine brulante de la soumise. L’homme tire fortement sur les hanches de Juliette et enfonce son pieu jusqu’à la garde.

Juliette regarde son mari avec des yeux brumeux. Paul l’encourage :

– Donne-toi à fond ma chérie ne te retiens pas, jouis, jouis, mon Dieu je bande comme un âne, c’est merveilleux !

L’homme pilonne la chatte insatiable de Juliette qui geint de plaisir, en regardant toujours son mari. La jeune femme s’approche de Paul elle lui extirpe du pantalon sa queue veineuse tendue comme jamais et la décalotte. La gourmande gobe le gland violacé, le suce, le tète avidement. Paul souffle comme un animal. La femme l’enjambe, elle écarte sa culotte et s’empale sur le manche dressé. Son corps svelte monte et descend sur la queue prête à exploser. Soudain elle se bloque et agite rapidement son bassin, elle pousse un cri qui résonne dans le salon, elle se s’arc-boute et jouit fortement. Paul tire sur ses hanches en donnant de grands coups de reins, il serre les dents donne un coup de reins plus fort que les autres et remplit la chatte de sa cavalière.

Juliette qui n’a rien perdu du spectacle, se désaccouple, elle bascule sur le sol son baiseur, elle saisit sa queue et descend lentement son corps. Le gland s’enfonce entre ses grandes lèvres, Juliette se laisse tomber de tout son poids, l’empalement et totale. La coquine sait se déhancher, elle s’agite sur la queue qui lui remplit le ventre de plus en plus rapidement, elle souffle comme un bœuf elle s’agrippe à sa proie, elle fait faire à son corps souple des mouvements plus amples. Elle geint terriblement, l’homme donne de violents coups reins, il tire sur les hanches de Juliette si fort que son gland bute contre le col de l’utérus de la sauvageonne qui ne cesse de gémir. La cadence augmente ainsi que les râles des deux amants. Juliette grimace la queue puissante qui la fore lui dilate les entrailles. La femme les rejoint, elle roule entre ses doigts fins les mamelons de Juliette qui enflent fortement, ils deviennent énormes. La coquine pose sa bouche dessus et les aspire, sa bouche experte, fait devenir les bouts sensibles. Juliette s’agite en grognant. Elle se cambre en poussant un long râle rauque, sa jouissance est terrible sa cyprine gicle sur le ventre de l’homme qui continu de la pilonner. La femme lui écrase les tétons cela à pour effet de faire jouir plus intensément Juliette s’accroche tant bien que mal a son baiseur. Il se cabre à son tour et remplit les entrailles en ébullitions de Juliette qui ne cesse de geindre.


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