Ce matin-là, après un rendez-vous professionnel important, je regagnais ma voiture lorsqu’un détail attira mon attention : je m’étais garé pile en face d’une boutique de lingerie.
Le hasard fait bien les choses.
Ma femme n’est pas très extravagante côté sous-vêtements. Elle reste classique, même si son corps, lui, ne l’est pas.
Un fessier à faire pâlir n’importe quelle femme, galbé naturellement, sans une minute de sport.
Le genre de courbe qui attire le regard, qui donne envie de la photographier, de la caresser, de la célébrer.
Elle préfère les shortys – et je ne vais pas m’en plaindre.
Je trouve que rien ne met mieux en valeur les fesses d’une femme.
Les strings sont plus directs, mais les shortys… c’est une autre histoire, un équilibre entre pudeur et provocation.
Je dois aussi avouer que je ne suis pas un grand amateur de lingerie en général.
J’aime ma femme au naturel, sans artifice.
Sans soutien-gorge, surtout : elle a une petite poitrine délicate, que j’adore deviner à travers un haut léger.
Elle est antillaise, sublime, et chaque jour je me dis que j’ai une chance incroyable.
Comme il me restait quelques minutes de stationnement, je me suis dit : pourquoi pas ?
C’était le jour de notre anniversaire de mariage, après tout.
J’avais prévu de l’emmener en week-end, sans les enfants. Un moment à deux.
Alors, offrir un ensemble de lingerie serait le petit plus parfait.
Je pousse la porte de la boutique.
Et là, je reste figé.
Derrière le comptoir se tient une femme magnifique.
Un mélange subtil entre Halle Berry et Shakira.
Une beauté métissée, avec des formes harmonieuses, des hanches dessinées, une peau dorée et un regard à la fois doux et perçant.
Son jean moulant devine des courbes parfaites. Un débardeur simple, un soupçon de dentelle, et un éclat argenté attire mon œil : un piercing qui scintille discrètement sous le tissu.
La sensualité incarnée, sans en avoir l’air.
– Bonjour Monsieur, me dit-elle avec un sourire. Si vous avez besoin d’un conseil, je suis là pour vous aider.
– Merci, c’est très gentil, mais je vais regarder un peu d’abord, ai-je répondu, essayant d’avoir l’air détendu.
Au fond de la boutique, une cliente essayait des ensembles dans une cabine.
À travers le rideau entrouvert, j’apercevais un shorty kaki et une silhouette qui ne manquait pas d’arguments.
Je détourne le regard, un peu gêné. Concentre-toi. Tu es là pour ta femme.
Quelques minutes passent, je tourne, je compare, je doute. Trop de choix, trop de dentelles, trop de tentations.
Finalement, je me décide à demander de l’aide.
– Excusez-moi… Je crois que je vais avoir besoin de vous. Il y a trop de modèles, je suis perdu.
Elle sourit.
– C’est pour ça que je suis là.
Sa voix est douce, chaude, presque musicale.
Son sourire me désarme.
– C’est pour un cadeau ? me demande-t-elle. Pour votre femme, peut-être ?
– Oui, pour notre anniversaire de mariage.
– Quelle belle attention. Elle incline la tête. Et quel est son style ? Couleur préférée ?
– Rouge, sans hésiter. Et le kaki lui va aussi très bien.
– Comme moi, alors ? dit-elle en riant. Enfin, elle doit être plus belle que moi, évidemment.
– Je ne saurais dire… mais vous êtes très belle aussi, si je peux me le permettre.
– Merci, c’est un charmant compliment, surtout venant d’un homme aussi poli que vous.
Pendant ce temps, la cliente sort de la cabine. Elle a sûrement tout entendu.
Je sens que la suite de cette visite ne sera pas tout à fait ordinaire…
Partie 2 – Le jeu des regards
La cliente s’approche du comptoir, encore vêtue d’un ensemble kaki qu’elle semble hésiter à acheter.
De près, elle dégage une beauté différente de la vendeuse : plus douce, plus réservée, presque timide. Deux femmes, deux énergies, et moi au milieu, un peu trop conscient de ma chance… ou du piège.
– Monsieur, je peux peut-être vous aider aussi ? me dit-elle avec un sourire malicieux. C’est toujours mieux d’avoir deux avis féminins, non ?
Je ris, un peu pris de court.
– Je crois que je vais finir par en avoir besoin, oui.
Les deux femmes échangent un regard complice.
Je sens que quelque chose flotte dans l’air, un mélange d’audace et de curiosité.
La vendeuse me montre plusieurs modèles.
– Alors, vous êtes plutôt shorty, string ou tanga ?
Je réponds sans hésiter :
– Shorty. Toujours. Je trouve que c’est ce qu’il y a de plus élégant… et de plus troublant.
Elle me lance un regard amusé.
– Nous sommes d’accord. C’est aussi ce que je préfère.
Elle me présente alors deux ensembles : un rouge profond, presque incandescent, et un rose poudré plus doux, plus romantique.
Le contraste me fascine.
– Difficile de choisir entre passion et tendresse… dis-je en souriant.
– Alors prenez les deux, murmure la vendeuse, il faut savoir s’offrir toutes les nuances du désir.
Sa phrase reste suspendue, légère et pourtant lourde de sous-entendus.
La cliente intervient à son tour, espiègle :
– C’est toujours compliqué de se projeter sans essayer. Si ça ne vous dérange pas, Madame, dit-elle à la vendeuse, je pourrais enfiler un des modèles, juste pour aider ce Monsieur à visualiser.
– Excellente idée, répond la vendeuse, sourire en coin. Je vais en essayer un aussi, pour que le choix soit complet.
Elles s’échangent un regard entendu avant de disparaître derrière les cabines.
Je reste seul quelques instants, le cœur battant un peu trop fort.
Des rires étouffés me parviennent, le bruissement du tissu, le cliquetis d’un cintre.
L’atmosphère devient plus dense, plus chaude.
La porte de la première cabine s’entrouvre légèrement – assez pour deviner une silhouette qui se tourne, un reflet dans le miroir, un éclat de peau.
J’aperçois qu’elle a un tatouage sur la fesse gauche.
Un tatouage sur les fesses c’est un fantasme pour moi.
Pendant ce temps , je commence avoir une jolie bosse dans mon pantalon et j’ai chaud.
Je détourne les yeux, gêné… ou du moins, j’essaie.
Quelques secondes plus tard, la cliente ressort la première.
Le shorty rose épouse ses courbes à la perfection. Elle ne dit rien, se contente de me regarder, comme pour lire ma réaction dans mes yeux.
Je bafouille un compliment maladroit.
Elle rit doucement.
– Merci. Je n’étais pas sûre de moi ces derniers temps… Vous venez de me redonner un peu de confiance.
Puis la vendeuse réapparaît.
Elle porte l’ensemble rouge.
Et là, plus rien n’existe.
Le rouge glisse sur sa peau mate comme une flamme qui danse.
Elle s’avance lentement, le regard fixe, sûr d’elle, captivant.
– Alors, Monsieur ? Rouge ou rose ?
Je déglutis.
– Je crois… que le rouge a gagné.
– Bonne réponse, souffle-t-elle.
La cliente approuve, amusée.
– C’est vrai, le rouge… ça fait battre le cœur plus vite.
Elles rient toutes les deux, et ce rire résonne comme une mélodie.
L’air semble vibrer d’une tension étrange, douce et brûlante à la fois.
Je ne sais plus très bien si je suis encore dans une boutique ou dans un rêve éveillé.
J’imagine ma femme avec les tenues. Et là j’ai une érection. Compliqué.
Oui j’ai la chance d’être très bien membré en tout les cas mes partenaires me l’ont toujours fait savoir.
Je finis par trancher, un peu trop vite sans doute :
– Je prends les deux ensembles. Impossible de choisir.
La vendeuse me sourit. Mais la cliente est mécontente.
– Ah si monsieur , vous devez faire un choix . Et si vous voulez je peux même vous aider.
Décidément, on me prépare quoi encore …
Partie 3 le corps de la femme …
La cliente s’avance et fait un tour complet
Me fait comprendre qu’elle veut gagner, elle se cambre dos à moi pour montrer le potentiel du shorty …
Mamamia, le bonheur, une femme se cambre sans que je lui demande, et j’ai l’impression que ce n’est juste le début.
La vendeuse se rapproche et fait de même , tiens une bonne idée.
J’ai deux femmes en face de moi en sous vêtements qui me montre leurs corps et surtout les fesses.
Mes mains tremblantes, pas sûr de soi , je me dirige et tend mes mains en leurs disant
-Dites moi mesdames c’est une demande un peu particulière mais est-ce que je peux mettre mes mains autour de vos hanches pour vraiment me projeter.
Oui ? Non ? Est ce que tout va s’arrêter et je vais me réveiller enfin …
Elles me font un tout simplement un clin d’œil.
Je m’approche dans un premier temps de la cliente, je pose mes mains et je vois que cela lui procure une sensation. Elle a un petit grain de beauté sur la fesse droite et là je ne sais pas ce qu’il m’arrive je lui fait un bisou sur la fesse.
Je me dirige ensuite sur la vendeuse. Je ne sais pas pourquoi, mais elle me fait énormément d’effet. La prestance de la personne, son physique…
Je fais de même et j’embrasse son tatouage en lui disant très jolie, je suis très fan.
Les deux belles femmes se retournent et me disent merci pour les compliments mais elles aussi aimeraient voir ce qu’il se cache sous mon jean, vu la grosseur.
Heureusement, je m’entretiens et je fais toujours attention au boxer.
Là il s’agissait d’un boxer Calvin Klein blanc mettant en avant la silhouette.
Mais cela ne suffisait pas, elles voulaient en voir davantage.
J’exécute, je ne me fais pas attendre. Je montre un sexe en forme de banane circoncis en pleine forme .
Les deux belles créatures se rapprochent et disent en cœur
On va bien s’amuser…
Partie 4 Elles ont gagné…
La vendeuse embrasse la cliente avec la langue et m’attrape les testicules pour les lécher pendant ce temps là cliente prend mon sexe en main pour le lécher.
Un vrai bonheur , en plus j’adore la fellation surtout quand la partenaire lèche plus que sucer. Aime baver sur le sexe, prend son temps.
Elles alternent, elles s’embrassent, se touchent
J’avais fait l’amour le matin avant d’aller au travail donc je sais que je vais pouvoir être résistant.
Je me propose après avoir reçu une fellation double langue de faire un cunni.
C’est ma spécialité, je préfère donner que recevoir.
J’adore m’occuper du sexe féminin et là j’en ai deux.
Ma femme me dit souvent que je sais exactement où est le point G.
Je m’occupe en premier de la vendeuse. Elle s’assoit sur une banquette d’une cabine et je commence mon travail.
Je vois un sexe avec des lèvres parfaites, une petite toisons bien épilé.
Je lèche tout en faisant des cercles, j’aspire son jus, je l’entend dire à la cliente “mais putain, que c’est bon”.
Je sens qu’un jus plus abondant va arriver. Elle respire de plus en plus fort. Commence à dire : “vas-y vas-y ne t’arrête pas”.
En même temps je lui met deux petit doigts. Feu d’artifice, madame est fontaine mais pas du tout confuse, je me fait arroser.
Ses lèvres deviennent très sensibles.
À ce moment là je me retire et c’est au tour de mon petit bonbon rose.
La vendeuse n’hésite pas à dire à la cliente “c’est incroyable, vous allez adorer”.
Mais je sent une petite gêne de la cliente, un petit recul.
Peut être qu’elle souhaite tout simplement arrêter.
Mais non , elle me dit qu’elle n’a pas l’habitude au cunni, que son mari ne lui fait pas . Me demande juste de faire en douceur.
Le but c’est de faire du bien et non du mal. Si elle souhaite s’arrêter qu’elle n’hésite surtout pas de me le dire.
C’est important de comprendre la partenaire en face, le sexe ce n’est pas juste donner. C’est 50/50.
Je ne suis pas une personne brutale, j’aime prendre mon temps, limite je préfère de longs préliminaires que la pénétration.
Je lui retire son shorty et là je vois un pubis nue, sans poils. Une odeur de savon Marseille lavande.
La cliente mouillée déjà, car pendant que je m’occupait de la vendeuse elle touchait son sexe .
J’écarte avec deux doigts les lèvres et je commence à lécher, sucer son clito.
Elle s’aperçoit qu’elle adore.
Elle commence à me dire, “par pitié ne vous arrêtez pas” et en même temps elle prend les tétons de la vendeuse et joue avec.
J’adore, je suis également en excitation.
La vendeuse s’approche de moi, prend mon sexe et fait des mouvements, mouilles ses doigts et continue. J’adore la bave.
À ce moment, la cliente gémi très fortement et un orgasme lui arrive.
Elle me remercie, m’annonce qu’elle vient de se réconcilier avec le cunni. Elle en veut encore et encore.
N’ayant pas de préservatif sur nous, nous avons préféré de réaliser que des préliminaires.
Pour me remercier et pour finir , elles m’ont réalisé à deux une fellation royale.
J’ai même eu droit à un petit doigt dans les fesses. D’ailleurs cela m’a surpris mais pas dérangé tant que ça.
Je préviens les filles que je vais jouir mais cela ne les arrête pas. Elles veulent ma semence.
Je suis un gros gicleur, ma femme me le dit souvent .
Elles jouent avec mon sperme, se l’échangent en s’embrassant.
La cliente continue de nettoyer mon sexe. Il reste plus une goutte, du vrai lustrage .
Elles m’ont complètement vidé.
Tout le monde se rhabille, mais avec la tête dans les nuages.
Je confirme à la vendeuse que personne n’a gagner et je vais prendre les deux.
– Alors je vous fais un cadeau : vous n’en paierez qu’un.
Ses yeux accrochent les miens.
– Mais vous reviendrez me dire lequel elle a préféré, d’accord ?
– Promis.
Je tends ma carte, nos doigts se frôlent. Une décharge me traverse.
Elle me tend le petit sac avec un sourire presque complice.
– Et… joyeux anniversaire de mariage, Monsieur.
Je sors de la boutique, un peu étourdi.
L’air frais me frappe le visage.
Sur le siège passager, le petit sac trône, léger mais chargé d’une promesse.
Je souris.
Ce soir, j’offrirai ce cadeau à ma femme.
Mais dans un coin de ma tête, la scène de la boutique continue de tourner, comme un film dont on connaît la fin… mais qu’on a déjà envie de revoir.
J’ai sur moi mon petit sac prêt à offrir à ma femme et passer une agréable soirée.
J’arrive à la maison, ma femme avait mis les enfants chez les grands-parents et donc prêt à passer une soirée inoubliable.


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