Pour mon cadeau d’anniversaire, mon homme ne s’est vraiment pas fichu de moi. Je dois absolument vous raconter cet épisode de ma vie, qui a fait vibrer la plupart des copines auxquelles je l’ai avoué.
C’était donc au printemps, les fleurs fleurissaient, les oiseaux gazouillaient et tout le tralala. Bref, j’étais d’humeur radieuse. Toute la journée avait été parfaite, tout simplement par ce que mon compagnon m’avait annoncé que, une fois rentrée du boulot, j’aurais droit à une surprise très spéciale.
Et effectivement, quand je suis arrivée à la maison, je me suis aperçue qu’il avait mis les petits plats dans les grands. Musique d’ambiance, diner aux chandelles, 35 ans, ça se fête ! Moi qui craignais une grosse fête avec tous les potes, j’étais ravie. Le dîner était succulent. En plus, il n’avait pas fait appel à un traiteur, mais avait pris une journée de RTT pour me concocter un menu à tomber à la renverse. Tous les plats étaient à mes goûts, y compris le vin, que mon chéri me resservait régulièrement avec un empressement qui aurait du me mettre la puce à l’oreille.
J’étais un peu pompette, mais heureuse, quand arriva l’heure du dessert. Me déposant un doux baiser sur les lèvres, il m’annonça que le dessert était aussi mon cadeau, et qu’il avait besoin de s’absenter en cuisine pour finir de tout préparer. Mais là, au bout de quelques minutes, on sonna à la porte. Aïe ! Ma soirée d’anniversaire allait être gâchée par le voisin ronchon du 3ème, c’était plié ! Je me suis levée, donc, et j’ai pris la direction de la porte d’entrée. C’est quand j’ai ouvert que j’ai découvert ma surprise : un bel homme, très grand, très brun, était là planté, habillé en chippendale.
Il a pris ma main, y a déposé un baiser, tandis que dans le salon résonnait, à la place de la musique d’ambiance, le fameux « You can leave your hat on ». Le jeune homme – il ne devait pas voir 25 ans – m’entraîna à sa suite jusqu’au salon, où il me fit m’asseoir sur le canapé. Mon homme restait dans l’embrasure de la porte menant à la cuisine, observant discrètement la scène. Le gars était en fait un arabe, grand, longiligne tout en étant musclé, avec de beaux yeux noirs comme du charbon, des cheveux légèrement gominés. Mon mec savait bien que, depuis toujours, je fantasmais sur les rebeus, les grands types méditerranéens aux traits élégants. Il a commencé à se déshabiller en musique devant moi, venant se coller de temps à autre. J’étais toute chose.
J’étais tellement excitée par son numéro – certes un peu gauche parfois, mais si coquin – que je craignais juste que mon mec n’en prenne ombrage. Mais non, il avait l’air heureux de me voir si émoustillée. Le beau et jeune rebeu se retrouva en slip, qu’il arracha. Il portait un string qui dévoilait tout de ses belles fesses fermes. J’étais prête à applaudir à tout rompre, pensant le show terminé. Mais il retira aussi son string, dévoilant une belle verge brune en demi-érection. Le spectacle ne devait pas être fini.
Et effectivement, le spectacle était loin de s’achever et cet anniversaire s’annonçait plus érotique que prévu !
Le rebeu se tenait devant moi, entièrement nu, un large sourire aux lèvres, qui dissimulait tout de même assez mal une certaine gêne. Il me fit un clin d’œil et, du doigt, me fit signe de le rejoindre au milieu de la pièce. Je jetais un regard vers mon mec, qui hocha la tête. Où cela allait-il nous conduire, je ne le savais pas, et je crois que les deux hommes n’en étaient pas bien certains eux non plus.
Une fois debout face à lui, il m’attira dans ses bras, contre son corps nu, et tenta de m’embrasser sur la bouche. J’avais envie de le laisser faire. Ce que je fis. Et alors qu’il m’embrassait voluptueusement, il posa chacune de ses mains sur chacune de mes fesses. Après quelques secondes, je sentis que mon homme venait se coller derrière moi. Le rebeu retira ses mains. L’une vint caresser mes cheveux, l’autre mon sein gauche. Mon homme se serra encore un peu plus contre moi et je sentais déjà son érection sur mes fesses, à travers le tissu de ma jupe et de son pantalon. Il m’offrait un trio d’anniversaire !
Quand j’eus finalement compris ce dont il retournait, je m’enhardis. J’ai tourné la tête vers la bouche de mon homme pour l’embrasser à son tour, et, de la main, j’ai pris la bite du rebeu et j’ai commencé à le masser lentement. Il bandait dur, et me déposait quelques baisers dans le cou. J’avais l’impression de m’envoler. J’étais tellement chaude que je sentais distinctement l’humidité de ma chatte. J’avais envie de mon homme, j’avais envie du jeune arabe, je les voulais tous les deux pour moi.
Après s’être déshabillé, et m’avoir déshabillée à mon tour, mon mec m’a installée de nouveau dans le canapé, assise tout au bord. Il s’est placé entre mes cuisses et m’a offert un sublime cunnilingus, alors que le jeune rebeu me caressait les seins, et que je touchais son magnifique corps basané.
Quand une première vague de jouissance s’est emparée de mon bas-ventre, je me suis pliée dans tous les sens pour pouvoir prendre sa belle bite bronzée dans ma bouche. Ainsi, tout en le suçant, j’ai joui une première fois. Mais c’était loin d’être la dernière de cette nuit, qui s’annonçait torride.
Les deux mecs avaient décidé de se laisser porter par mes fantasmes. C’est ainsi que mon homme me prit en levrette alors que j’avais toujours la belle gaule de l’arabe dans ma bouche. Puis ils inversèrent les rôles. Je ne sais combien de positions sexuelles nous avons pratiquées cette nuit là, mais j’ai l’impression d’avoir tourné les pages d’un étrange Kâma-Sûtra spécial triolisme.
Une fois n’est pas coutume, j’ai autorisé mon homme à me prendre par derrière. Plus exactement, c’est moi qui me suis empalée sur sa queue. Et qui ai demandé au jeune mec de me prendre en même temps par le minou. A peine avait-il rejoint mon mec dans cette double pénétration qu’un ultime orgasme s’est emparé de moi, me laissant, à la fin, à l’extrême limite de l’inconscience.
Dans un mois, c’est l’anniversaire de mon homme, il va falloir que je me montre à la hauteur de son magnifique cadeau. Il aime les rousses
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