Les sœurs en chaleur

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En mission depuis trois mois dans un grand pays francophone d’Afrique de l’Ouest pour le compte d’un organisme européen d’aide au développement, je profite de mon temps libre pour assouvir mon énorme appétit pour le sexe. Cette profonde addiction a été causée principalement par la perversité de certains membres de ma famille qui, malgré mon très jeune âge (j’avais 11 ans quand ils commencé), n’ont eu de cesse à m’utiliser dans leurs jeux érotiques et sexuels. Mais cela fera, je l’espère bien, l’objet d’une autre publication.

 

Avant tout, je voudrais préciser que j’ai toujours mis un point d’honneur à ne jamais acquérir ou négocier une quelconque « bienveillance charnelle » contre de l’argent pour convenance personnelle, en dépit de l’extrême pauvreté qui caractérise ces zones dans lesquelles j’ai vécu. Et pourtant, c’était presque normal, tous les expatriés avaient la possibilité de batifoler avec de jolies nymphes à peine sorties de la puberté moyennant quelques billets et personne ne s’en privait …

Depuis mon arrivée ici je multiplie les conquêtes et les aventures avec des collègues (des autochtones mais aussi des expatriées dans la plus grande confidentialité), des serveuses, une femme médecin, une élève officier de Police et la liste est loin d’être exhaustive. Elles m’ont toutes demandé mes intentions dès le départ, je ne suis pas allé par quatre chemin, je leur ai toutes dit que c’était juste pour du fun, pour se donner du plaisir mutuellement. Sept femmes sur dix m’ont clairement fait comprendre qu’elles voulaient une relation sérieuse et m’ont gentiment congédié (le pays est majoritairement musulman) et pour les autres ce fut des sourires encourageants et « des pourquoi pas ».

 

J’habite dans un quartier assez huppé de la capitale, dans une très belle villa avec piscine. J’ai à mon service, outre le vigile (un grand homme élancé et athlétique), une cuisinière et une femme de ménage, deux sœurs prénommées Anta et Rama, respectivement âgées de 23 et 21 ans, teint noir foncé, plus ou moins 1 mètre septante toutes les deux, petites poitrines, silhouette assez mince mais des paires de fesses particulièrement avantageuses. Un de nos chauffeurs à l’Agence me les a recommandées en m’expliquant qu’il est leur oncle et qu’il les a recueillies chez lui depuis qu’elles sont adolescentes, à la suite du décès de leurs parents dans un accident de la circulation. Il m’a également précisé qu’elles étaient très propres et savaient s’occuper très bien d’un homme (je n’avais très bien saisi le pourquoi de cette précision à l’époque).

C’est ainsi que je les ai contactées et embauchées de suite. Et effectivement elles étaient très propres et toujours aux petits soins avec moi. La maison étant très grande, je leur ai laissé une chambre bien équipée avec salle de bain en leur demandant de se faire discrètes si je recevais des filles à la maison. Pendant 2 mois tout s’est très bien passé et l’idée d’entretenir une quelconque relation avec l’une d’elle ne m’a jamais traversé l’esprit jusqu’au jour où, suivant un match de foot dans mon salon, Anta l’aînée, déboulant du couloir et marchant d’un pas lent, ne portant qu’une minijupe rouge et un soutien-gorge laissant clairement apparaitre ses seins et inhabituellement maquillée est venue me trouver pour me demander si « j’avais pas un film hot à leur prêter parce qu’elles s’ennuyaient dans leurs chambres » ?! Ma surprise fut grande, et je ne savais pas trop quoi répondre …

Et elle ajouta « Rama et moi voulons nous amuser ».

Remettant promptement de l’ordre dans mes idées, je décide de contre attaquer. Je lui réponds avec le sourire que je n’ai pas de cassette porno mais je sais comment divertir des filles qui s’ennuient.

Anta s’esclaffa et me dit en langue locale « Kaay » qui veut dire vient, en me tenant la main, je me suis levé et je la suivais.

 

Arrivés devant la chambre, elle toqua à la porte et sa sœur Rama lança « Entrez » en chantonnant, le timbre de sa voix en disait long sur son état, c’était la voix d’une fille excitée …. La porte ouverte je l’aperçois, dans la pénombre, couchée sur le lit, jambes écartées, les yeux rivés sur son portable. Elle ne fait guère attention à notre présence, sa sœur avance et lui dit « Anta pose ça et regarde qui est là », elle se tourne vers moi, fais mine d’être gênée par ma présence en se couvrant les cuisses et me dit « O monsieur M. comment ça va », bien lui répondis-je et toi, tu fais quoi ? « Je regarde la vidéo d’une africaine chanceuse qui fait l’amour avec un beau blanc. Et je trouve que tu ressembles beaucoup à ce type.. » dit-elle en me montrant son portable. Elle regardait une vidéo dite « interraciale » sur une célèbre plateforme de porno. Je luis dis que j’étais plus beau que ce gars et que probablement je baisais mieux que lui (au diable le langage distingué). La grande de rétorquer « alors prouve le, tu as deux sœurs en chaleur qui n’ont jamais baisé avec un Tubaab (un blanc en langue locale) et qui ne rêvent que de ça ». Elle me lançait ces mots en se trémoussant et se déshabillant.

 

Elle ôta sa jupe, je vis qu’elle portait un string blanc immaculé et détacha son soutien-gorge. Je vis ses jolis petits seins saillants … et son corps quasi parfait à tout point de vue m’excita vraiment.

 

Sa sœur bondit du lit et me demanda de m’asseoir ce que je fis. Elle était nue elle aussi, et s’avança vers sa grande sœur avant de lui rouler de ces pelles 😉 j’ai remarqué qu’elles se ressemblaient beaucoup mais Rama la petite avait un cul plus rebondi. Mon érection était évidente, et les voir s’embrasser en se trémoussant le cul n’arrangeait rien. Elles continuaient de s’embrasser en venant vers moi, langoureusement, lentement. Arrivées au-dessus de moi, la grande monta sur le lit et se mit juste derrière moi et la petite s’accroupit, tira mon short faisant découvrir mon pénis en érection, et le fourra dans sa bouche pendant que Anta tirait mon tee shirt pour me le faire enlever. Elle me poussa un peu pour que je m’étende sur le lit et elle se mit à m’embrasser pendant que sa sœur astiquait bruyamment mon sexe. Après quelques minutes, elle s’étend complétement à son tour sur le lit, écarta les jambes, la petite arrête de me sucer et va chercher du fond d’un tiroir un gode, il était énorme, rose et une bouteille (sans doute un lubrifiant). Pendant que je caressais le clitoris de sa grande sœur couchée à mes côtés, je l’observais. Elle se baisse, enduit le gode du liquide contenu dans le bouteille et le fourra sans ménagement et sans préparation dans ses fesses, j’en restai coi.

 

Je continuais de caresser le clitoris d’Anta en faisant quelques petites incursions dans le vagin. Elle mouillait abondamment. Je monte sur elle, et lui fourra mon pénis en érection, elle laissa échapper un bruit sourd. Je faisais des va et vient non sans détourner du regard la scène invraisemblable mais super excitante à coté, Rama enfonçait le gode dans ses fesses en hurlant en langue locale des choses que je ne parvenais pas à déchiffrer. À chaque mouvement, Anta me poussait plus en elle en m’agrippant, ses gémissements étaient de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés mais je ne voulais surtout pas éjaculer, je veux me réserver pour sa petite sœur. C’est ainsi que je me suis détaché d’elle d’un seul coup pour me diriger vers sa sœur je sentis qu’elle en voulait encore mais voir le joli cul de sa sœur se faire démolir par le gode me rendait fou, je voulais ma part. Elle n’a même pas le temps de se retourner que je l’entrainais dans le coin, la poussais énergiquement à se pencher davantage avant de pénétrer cet anus dilaté. Je pensais que la pénétration serait facile mais que nenni, apparemment j’avais sous-estimé la circonférence de mon pénis, la première tentative échoua.

Je ne prêtais même plus attention à sœur sur le lit qui nous fixait du regard, les doigts dans le vagin. Rama la fille de 21 ans semblait me défiait en me collant ses fesses et en me lançant des « défonce-moi ». J’écartais ses fesses et poussais d’un coup sec mon pénis qui entre difficilement, elle poussa un « ahhhhhhh » qui me revigora encore. Seul le tiers de mon manche était entré et déjà elle couinait la salope, tu m’as défié tu vas voir me dis-je en mon for intérieur. Je la plaquais contre le mur et poussait encore et encore, ses gémissements se transformaient en hurlements, sa sœur se leva brusquement et se dirigea vers nous, marchant la main entre ses cuisses, « démolis la, elle adore être sodomisée la thiaga (la pute) » me dit-elle. L’étroitesse de son anus décuplait mon plaisir. Tout à coup elle s’affala, ne pouvant plus supporter mes coups de boutoirs. Je la poursuivais et la plaquais contre la moquette ne lui laissant même pas le temps de souffler. Sa sœur m’aidait à la maitriser et la bloqua de sorte que sa croupe se donnait à moi généreusement, je l’enfilais pour la énième fois, violemment, elle hurlait, j’accélère et à chaque fois je veille à ce que la pénétration soit profonde. Les mouvements de ses fesses quand je les heurtais, les pleurs et hurlements de la petite augmentèrent mon plaisir à telle enseigne que je ne pouvais plus me retenir. Je sentais le sperme arriver et j’accélérai encore et encore jusqu’à perdre haleine.

Elle sentait mon pénis se durcir et sut que la délivrance était proche, elle empoigna chacune de ses fesses en les écartelant pour mieux recevoir ma semence. J’arrosais son intérieur par des jets successifs de sperme tout chaud avant de me retirer. Rama restait couchée et ne bougeait plus. Sa grande sœur se leva avec moi et m’agrippa, je la repousse et elle me lance « et moi dans tout ça ? » je sortais de chambre laissant la petite toujours couchée à même le sol et la grande au seuil de la porte, je marchais vers mes appartements sans me retourner et je sentais sur moi le regard frustré d’Anta sur moi, mais j’étais trop fatigué …

 

Merci à Alessandro pour son histoire !


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