Cette aventure m’est arrivée alors que j’étais en vacances dans le coin de Palavas, avec ma femme et mes enfants. Après un long apéro et un dîner bien arrosé, ma femme est allée se pieuter vers minuit, mais moi, je n’arrivais pas à dormir. Du coup, je suis parti vers la plage, histoire de me dégourdir les jambes, et faire un peu descendre mon taux d’alcoolémie.
Pas si facile de marcher dans le sable, avec juste le clair de lune pour m’éclairer. Bref. Après vingt bonnes minutes à longer la mer, je commençais à être un peu moins ivre. Je profitais des embruns, de la température à peine plus fraîche qu’en journée. Et là, j’ai entendu un bruit qui venait des dunes. Une espèce de hurlement. J’ai d’abord cru à un animal.
Puis, le bruit s’est répété, et j’arrivais à l’identifier de plus en plus nettement. C’était un cri de femme. Un cri, ou plutôt un beuglement. Je me suis à courir dans la direction de cette nana. Je me demandais si quelqu’un n’était pas en train de se faire agresser. J’ai escaladé la dune et là, surprise : ils étaient six. Trois hommes, trois femmes, entièrement à poil, en train de partouzer tranquillement dans ce petit coin sauvage.
Quand je dis tranquillement, c’est vite dit : en fait, ils baisaient comme des lapins. Je ne voulais pas déranger, mais l’idée de me rincer l’œil avant d’aller au pajot me tentait carrément. Je me suis mis à plat ventre sur la dune pour rester discret. Et quel spectacle ! Une ronde quinqua très brune se faisait niquer en levrette par un jeune black, une midinette blonde chevauchait un type bedonnant tandis qu’une autre brune plus jeune (c’est elle qui beuglait à ameuter tout le quartier) était tout simplement en train de se faire sodomiser par un troisième gars.
Une vraie orgie échangiste, comme on en voit dans les films de cul. Sauf que là, c’était réel, et à quelques mètres de moi. Pas la peine de vous raconter des salades, je bandais comme un âne devant cette superbe partouze. Au bout d’un moment, la jeune brunette s’est dégagée de l’emprise de son enculeur, s’est retournée vers lui, juste à temps pour qu’il puisse éjaculer sur ses seins offerts.
Le gars est tombé dans le sable, vaincu par l’orgasme. La brunette, elle, s’est levée, a pris la direction de la plage, fonçant vers moi entièrement nue. J’ai quand même eu le temps de me planquer un peu et l’ai pu ainsi la regarder se rincer dans les vagues. Puis elle est revenue dans la mêlée, suçant avec la blondinette la grosse queue du black, tandis que la quadra faisait de même avec la bite de celui que j’imaginais être son mari.
Je vous le dis, j’étais en train de me branler quand les deux derniers gars ont giclé à leur tour. Le plus vieux a joui sur le visage de sa femme, le gars antillais a éjaculé sur les seins des deux plus jeunes libertines.
J’étais là, comme un con, planté derrière ma dune, la bite à la main et la jeune brunette en remettait une louche : « oui, toi, le voyeur, on sait que tu es là, viens nous baiser ! ». Je me suis relevé, la queue à l’air, et la brunette m’a adressé un large et franc sourire. Comme dans un geste de défi, je me suis approchée d’elle, dévalant la dune en essayant de ne pas me vautrer.
Quand je suis arrivé à portée de sa main, elle a attrapé mon érection, m’a attiré vers elle et m’a roulé une pelle fantastique. J’avais ses jolis nichons contre mon buste, mais pas pour longtemps. Elle s’est plantée, les genoux dans la sable et a commencé à me sucer. Les autres libertins rigolaient.
Et tandis, qu’elle me pompait le dard avec une dextérité incroyable, le reste du petit groupe a pris la direction de la mer, sans doute pour se rincer. J’ignore combien de temps ça a duré, ni comment je me suis retrouvé entièrement à poil au milieu des dunes, mais quand ils sont revenus, j’étais en train de lécher la chatte épilée de la jeune brune.
Sans hésiter, les autres femmes nous ont rejoints, ainsi que le beau black, qui rebandait déjà. Il a ajusté une capote sur son long chibre et m’a fait signe de me pousser, pour pouvoir tringler le minou que je lui avais pour ainsi dire préparé. Ce fut alors au tour de la quinquagénaire de me pomper le zob – et avec quel talent ! – alors que, de son côté, la petite blonde s’était mis en quête d’une capote qu’un des hommes lui offrit avec le sourire.
Quand elle revint vers nous, elle retira ma bite de la bouche de ma suceuse et y appliqua le préservatif. J’étais agenouillé sur le sable, il ne lui restait plus qu’à s’empaler sur ma queue raide. Là, alors que la plus vieille des trois libertines m’embrassait à pleine bouche, la blondinette me chevauchait, semblant à tout instant sur le point de jouir comme une dingue.
L’antillais baisait sa partenaire en levrette, et les deux autres gars se reposaient tranquillement, jouissant du spectacle de notre partouse. Ce fut la brunette qui jouit la première, défoncée qu’elle était par son étalon noir. Puis ce fut au tour de ma blondinette, qui tortillait du cul comme une diablesse sur mon vit dressé.
Elle reprit ses esprits et céda la place à la couguar libertine. La capote sur ma bite était gluante de cyprine et j’étais dur comme rarement je l’avais été auparavant. J’allais pouvoir pénétrer une deuxième chatte, ce qui ne m’était jamais arrivé dans ma vie sexuelle depuis mes jeunes années estudiantines.
Sauf que la belle brune – qui, oui, devait avoir passé ses 50 piges depuis un bon moment – avait autre chose en tête : elle s’approcha de moi à reculons, me tendant ses larges fesses. Elle prit chacun de ses globes dans une main, les écarta et vint s’empaler sur ma virilité. Ma bite s’enfonça dans son anus comme si ça avait été une chatte.
Déjà, les deux autres hommes libertins reprenaient des couleurs, et de l’ardeur. La partouze n’était sans doute pas finie. Comment allais-je expliquer ça à ma femme ?
J’en étais là, agrippé aux hanches larges d’une quinquagénaire bien foutue et très lubrique, à limer son anus qu’elle m’offrait totalement, à quatre pattes sur sable de cette dune. Autour de moi, tout n’était que vice : la blondinette pelotait les seins lourds de ma partenaire tout en pompant le dard du mari de celle-ci, tandis que, à moins de deux mètres de nous, le grand antillais m’avait imité, et s’était mis à enculer l’autre brune, la jeune, pendant qu’elle branlait et suçait celui qui devait être le petit ami de la jeune blonde.
Alors que je ramonais comme un beau diable, une pensée me traversa l’esprit : et si la gendarmerie nous surprenait ? Comment je pourrais bien expliquer cette situation à ma femme, qui devait être en train de pioncer comme une bienheureuse dans notre location de vacances ?
Cette hypothèse ne m’assombrit pas l’esprit bien longtemps, d’autant que ni la blonde, ni la vieille n’en avaient fini avec moi. Elles se calaient l’une à côté de l’autre, à quatre pattes, me tendant toutes les deux leurs croupes ouvertes, me réclamant d’alterner entre le petit trou de l’une et celui de l’autre.
On entendit un nouveau râle de plaisir, un râle masculin celui-là. Le grand black se répandait à nouveau sur le dos nus de la petite brune. De leur côté, les deux autres gars ne furent pas bien longs non plus à éjaculer à nouveau. Tant et si bien que je me suis retrouvé à sodomiser la femme mûre et la jeune blonde sous les yeux des trois mecs, mais aussi sous ceux de la jolie brune.
Une fois sur le point de jouir à mon tour, je me suis retiré, puis je me suis affalé sur le sable. L’une et l’autre sont alors venus me sucer. Quand la première tétait mon gland, l’autre me léchait les burnes et vice versa. J’étais comme dans une sorte de paradis de la lubricité. Mais vous savez peut-être ce que c’est : plus on en a, plus on en veut…
Ce n’est donc que quand la plus jeune brune est venue à son tour s’occuper de ma queue, pendant que les autres avaient pris chacune une couille en bouche, que j’ai enfin giclé dans sa bouche vicieuse. Je me suis alors rendu compte que le petit jour pointait, il fallait que je rentre auprès de ma femme au plus vite.
J’ai donc pris congé de mes amis de la nuit pour rejoindre à grandes enjambées la location familiale. Là, j’ai trouvé ma femme endormie : elle était belle, entièrement nue (il faisait chaud cette nuit là dans le sud de la France), elle avait l’air sereine et confiante, et un remord me prit.
En même temps, quel homme, à ma place, aurait refusé de participer à cette orgie ? Comme on dit, je ne suis pas de bois. A vrai dire, je suis même retourné plusieurs fois, cet été là, vers ces dunes. Mais jamais je ne suis retombé sur mes six partouzeurs.
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