Dans la rue piétonne, se promène un couple de personnes d’un certain âge. Il remarque sur un banc une jeune femme toute triste, repliée sur elle-même, elle regarde le sol sans relever la tête. À côté d’elle un gros sac de sport.
Hortense et Charles s’approchent, C’est Hortense qui parle la première :
– Bonjour madame, vous avez besoin d’aide, nous pouvons faire quelque chose pour vous ?
La jeune femme relève la tête, ses yeux sont remplis de larmes, elle ravale sa salive et répond entre deux sanglots :
– Cela fait trois jours que je suis à la rue, mon bailleur m’a fait expulser de l’appartement que je ne pouvais plus payer, j’ai perdue mon travail à cause de la crise, je suis sans aucune ressource pour l’instant, je n’ai nulle part ailleurs ou aller !
Hortense pose sa main sur l’épaule de la femme et lui dit :
– Je suppose que vous avez faim !
La femme opine de la tête affirmativement.
– Venez avec nous nous allons vous aider !
La femme regarde le couple avec des yeux hagards, elle se lève prend son sac et suit le couple. Ils font quelques pas puis, arrivent devant une grosse berline, Charles s’installe au volant et prend la route avec les deux femmes à son bord.
Une demi-heure, après le trio arrive dans le parc d’une immense propriété. Hortense invite la jeune femme à descendre, la porte de la propriété s’ouvre un homme apparait, il ouvre les portières, prend le lourd sac et l’emporte à l’intérieur. Hortense sourit à la jeune invité, elle la prend par la main et entre dans la maison.
– Vous êtes ici chez-vous, quel est votre nom ?
Timidement la femme répond :
– Je m’appelle Valériane madame !
– Pas de madame entre nous, moi, c’est Hortense mon mari, c’est Charles !
Je vais faire préparer un repas, car tu meurs de faim, en attendant si tu le souhaites tu peux prendre un bain !
Valériane accepte, elle est conduite dans la salle d’eau, elle prend une douche et en ressort emmitouflé dans un peignoir. Hortense lui fait un sourire et lui dit :
Je vais te montrer ta chambre viens ma chérie, je peux t’appeler ma chérie ?
Valériane en souriant répond :
– Il ne peut en être autrement vous êtes si gentille avec moi !
La chambre est immense, elle possède une grande coiffeuse. Hortense invite sa protégée d’y prendre place. Elle lui sèche sa longue chevelure puis, les lui brosse longuement. Hortense prend la liberté de donner un baiser bruyant sur la nuque de Valériane. Elle lui pose ensuite ses mains sur les épaules et les masse délicatement.
Valériane soupire tellement le massage est doux. Elle pose ses mains sur celle de sa bienfaitrice et les presse en signe de remerciement. Hortense lui donne un autre petit baiser dans le cou puis, se place face à son invitée. Elle approche dangereusement ses lèvres de celles de Valériane, elle sent son souffle chaud sur son visage. Elle ravale sa salive, ses yeux s’embrument.
Hortense lui dépose un baiser bruyant sur le front comme si c’était sa fille et un second furtif à la commissure de ses lèvres. Valériane pousse un long soupir, il se passe quelque chose d’indescriptible en elle.
L’hôtesse enfile ses mains sous le peignoir et les pose sur les épaules frêles de la jeune femme. Lentement, elle fait glisser le tissu éponge hors des épaules. Une partie de la poitrine de Valériane apparait. Hortense a les yeux qui brillent, avec une main elle dénoue la ceinture du peignoir et en écarte les pans. Elle ne peut s’empêcher de dire :
– Tu es magnifique ma chérie, c’est fou l’effet que tu me fais !
Valériane est tétanisée par les paroles d’Hortense, elle ravale sa salive et ne peut sortir un mot. La dame d’un certain âge prend par les mains sa jeune invité et l’emmène vers le grand lit. Elles s’assoient sur le bord, les deux femmes se regardent longuement, doucement Hortense bascule sa protégée sur le lit, elle s’allonge à côté, elle se penche sur elle et pose ses lèvres sur celles de Valériane qui se sent fondre. Instinctivement, elle ouvre la bouche, les langues se nouent les salives se mêlent. Pendant le baiser la main d’Hortense glisse sur le torse fébrile de sa proie, elle lui palpe les seins et joue avec les mamelons. Les bouts se dressent fièrement au centre des aréoles brunes, ils épaississent et durcissent.
La bouche avide de la vieille femme se pose sur eux et les suce, les tète à n’en plus finir. Valériane, geint elle souffle, ses seins deviennent très sensibles tellement Hortense s’acharne dessus. Sa chatte suinte de plus en plus. Enfin la dévoreuse cesse de lui téter les mamelons.
Rapidement elle retire ses vêtements, elle remonte sur le lit et prend place entre les cuisses de sa chérie. Les deux vulves et les seins se frottent les uns contre les autres. Les deux amantes gémissent fortement. Valériane jouit rapidement. Lentement Hortense glisse sur le corps de la jouisseuse, les baisers brûlants qu’elle donne sur tout le corps de Valériane la font délirer, elle grogne comme un animal.
La bouche avide de la vieille femme, s’insère entre les cuisses tremblantes de Valériane, sa langue glissent entre les grandes lèvres à la recherche du clitoris.
Hortense gobe la boule de chair, elle la suce comme un bonbon. Valériane se cabre en poussant des gémissements terribles. Soudain elle s’arque-boute et jouit fortement. Hortense se régale du jus suave que Valériane lui offre si généreusement. La dévoreuse change de position, elle se met tête bêche sur son amour. C’est mutuellement que les deux femmes se sucent et se fouillent la chatte à grand coup de langue. Valériane ne connaissait pas le lesbianisme, pour, c’est une merveilleuse découverte, la coquine ne rechigne pas d’aspirer les lèvres pendantes de la vieille femme, au contraire, elle les suce le plus fort possible, Hortense geint de plaisir. La bouche de sa protégée la rend folle de plaisir. C’est en même temps que les langues agiles s’enfoncent dans les puits d’amour, les râles sont bruyants, les aspirations puissantes sur les vulves font un bruit étrange comme un clapotis. Les deux femmes sont presque en transes, elles agitent leur bassin comme des forcenées.
Soudain, c’est l’explosion, les deux corps jouissent en même temps ce qui est très rare. Les femmes gavées et repues, se désaccouplent.
Derrière elles, une voix se fait entendre, c’est Charles qui ne les voyant pas redescendre et monter voir ce qui se passe. Il a le sourire, il dit en ne quittant pas des yeux les deux corps nus :
– Oh, oh, il s’en passe des choses ici, je peux me joindre à vous mes salopes !
Hortense se cabre elle fronce les sourcils et réplique :
– Charles tu parles comme un charretier, je te prie d’être correcte dans tes propos outranciers !
– Excuse-moi Hortense, je voulais juste dire mes chéries !
Hortense regarde Valériane qui est rayonnante de bonheur et lui demande :
– Ma chérie, tu veux bien qu’il se joigne à nous, mais je t’avertis il n’est pas endurant, moi je dois faire appel à Firmin pour qu’il me finisse !
Valériane n’ose rien refuser à celle qui l’a fait tant jouir elle lui répond :
– Tu m’as tellement comblée de bonheur, que je ne peux rien te refuser !
Hortense sourit et répond :
– Bon d’accord, mais après le repas, nous ferons participer Firmin aussi.
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