Je me présente brièvement. Je suis Sophie, une veuve de 52 ans. J’étais mariée pendant plus de quinze ans, puis mon homme est décédé d’un accident de la route. Il était commercial et faisait beaucoup de route toute la journée. Il fallait qu’un jour il lui arrive quelque chose. Malheureusement, il n’a pas eu de seconde chance et est mort sur le coup. Il me laissait seul avec son fils Antho que j’ai pris sous mon aile comme mon propre enfant. C’est un charmant garçon, toujours là pour aider sa mère chérie. Il m’a beaucoup soutenu après le décès de son père, ce qui a certainement évité que je m’enfonce dans la dépression. Je sais que tout ce que je vous raconte pour l’instant n’est pas très joyeux. Mais j’ai besoin de bien vous expliquer le contexte dans lequel je vis avec mon beau-fils, pour ne pas que vous me jugiez trop sévèrement, car ce que j’ai fait avec lui est mal, très mal.
Antho est un peu devenu l’homme de la maison. Il m’aidait pour tout, surtout pour l’argent. Il avait beau n’avoir que 18 ans, il me donnait souvent des liasses de billets pour aller faire les courses ou pour réparer la voiture en rade. Je savais très bien au fond de moi que ce n’était certainement pas son salaire d’apprenti boulanger qui pouvait le payer autant, mais je me mettais des œillères. Je refusais de voir la réalité en face. L’absence de mon mari était déjà assez dur pour que je me rajoute des soucis en plus. Antho est un amour de fils, il prend soin de sa mère comme il faut, et je ne peux pas lui en vouloir pour ce qui s’est passé dans la maison familiale entre lui et moi. Mais avant de vous raconter exactement ce qu’il s’est passé, je dois vous expliquer certaines choses. Mon fiston commençait à avoir de mauvaises fréquentations. Il ramenait souvent des copains bizarres à la maison. Je savais très bien qu’il fumait de l’herbe, mais je ne lui disais rien. Il ne m’aurait pas écouté de toute façon, il avait déjà tant de pression sur les épaules. Devoir gérer un foyer à son âge, c’est loin d’être une partie de plaisir. Je me doutais bien qu’il trempait dans des affaires un peu louches. J’avais peur lorsque le facteur sonnait le matin que ce soit la police pour venir le chercher.
Et un beau jour, toutes mes craintes se révélèrent vraies. Les forces de l’ordre sont venues m’enlever mon fils chéri. Il a été placé en détention provisoire avant d’être jugé pour trafic de stupéfiants. Je préférais ça que du vol ou encore pire. Il avait fait une bêtise, et il allait l’assumer comme un grand garçon. Vous vous doutez bien que j’étais effondrée. Je perdais le deuxième homme de ma vie, certes que pour quelques années, mais tout de même. Le choc était dur, mais je devais faire face pour qu’Antho garde espoir. La détention était dure pour lui, et il me confiait souvent au parloir être en manque de femmes. Ce n’est pas le genre de discussion qu’ont une mère et son fils habituellement, mais je me disais que c’était normal dans le contexte carcéral. Au fur et à mesure du temps, il me demandait des choses de plus en plus gênantes pour moi. Je devais lui ramener des livres cochons au parloir, et si je couchais avec un homme, il voulait tout savoir dans les moindres détails. Ça devenait de plus en plus étrange. Je ne voyais plus mon fils comme un enfant innocent, mais comme un homme viril et responsable. La prison lui donnait beaucoup de charme. Je ne peux pas dire qu’à cette période, j’avais déjà de l’attirance sexuelle pour lui, mais il est certain que j’étais assez troublée. Il s’écoula trois années comme ça, où moi et mon fiston avons vécu une relation étrange à travers une vitre, toujours surveillés par un gardien. Les matons pensaient d’ailleurs que j’étais sa petite amie, ce qui rajoutait une couche à la situation. La fin de sa détention approchait, et je redoutais le moment de sa sortie. Il allait bien entendu revenir vivre à la maison, mais j’avais peur qu’il parte en virée pour voir des filles et faire n’importe quoi. Je suis une belle maman hyper protectrice, et je ne veux que du bien pour mon beau-fils. J’essayais de me rassurer en préparant le mieux possible sa venue au domicile. J’avais préparé son plat préféré, et j’avais fait le ménage convenablement. Je lui avais cherché des cigarettes et de la bière pour qu’il n’ait pas envie de sortir en chercher et tenter d’aller aux putes ou autre. Le grand jour est enfin arrivé, et je me rends à la maison d’arrêt pour enfin récupérer Antho.
Il doit avoir hâte de sortir de cette cage. Comme convenu, je suis devant la prison à l’heure prévue, et Antho vient me trouver avec son sac. Il me serre dans ses bras et dépose un baiser dans mon coup. Je me rends compte qu’il renifle longuement ma peau et mes cheveux. Il me complimente sur mon parfum, nous échangeons un regard complice plein de tendresse et nous montons dans la voiture, direction la maison. Nous arrivons enfin chez nous, et j’aide Antho à décharger ses affaires. Je le laisse s’installer à table et prendre l’apéro pendant que je lance une machine à laver. Je le rejoins ensuite et nous mangeons un bon repas. Je vois bien qu’il en est déjà à sa quatrième bière, mais je ne lui dis rien, il doit en avoir besoin. Il n’a pas bu d’alcool depuis longtemps , et je remarque bien qu’il est assez chaud. Je n’aurais pas dû enfiler une tenue si sexy, le pauvre, lui qui n’a pas vu de femme à part moi depuis si longtemps. C’est alors qu’il commence à me parler de vouloir sortir pour voir des filles.
– Je vais peut-être faire un tour après dans le bar d’à côté, il y a toujours de jolies nanas là-bas.
– Non, hors de question, aujourd’hui, tu restes là !
– Tu ne vas pas m’en empêcher.
– Détrompe-toi, je vais t’en empêcher !!
Mes craintes sont en train de se réaliser. Je le connais, s’il sort dans cet état, ça risque de déraper, et il peut finir à nouveau derrière les barreaux. Je dois tout faire pour le garder auprès de moi, au moins pour aujourd’hui.
– Tu bouges pas ! C’est fini maintenant les conneries, tu restes là !!
Le ton commence à monter doucement. Nous sommes assis à une petite table face à face, et je me lève pour me mettre face à lui.
– On verra bien. Ne reste pas en travers de mon chemin !
– Non non, c’est tout vu, tu restes !
– Attends, ça fait trois ans que j’attends, je suis enfin libre, et c’est pas maintenant que je vais me retenir !
C’est alors qu’il se lève pour aller à la porte, mais je me mets en travers de son chemin, et je lui agrippe les bras.
– Non ! Tu bouges pas ! Tu veux baiser ? C’est ça que tu veux ? Tu veux baiser un coup ?
– Ah ben ça, et comment que j’en ai envie, ça fait trois ans que je me branle !
– Tu veux baiser, et bien on peut certainement s’arranger. Tu sais, je suis ta mère, je dirais rien !
– Quoi ? Mais ça va pas la tête, t’es malade ou quoi ?
– Allez, je te dis qu’on peut s’arranger !
– Comment ?
– Ben à ton avis… Moi je dirai rien.
Il reste pensif un instant et semble lutter contre des démons intérieurs. Je suis de mon côté prête à tout pour qu’il ne sorte pas et risque à nouveau sa liberté dans quelque altercation. Je repense également à ces visites en prison et à l’étrange impression ressentie à ces moments là. Il semble désormais avoir pris une décision et s’avance.
Antho est face à moi et il passe lentement son doigt le long de ma joue en me fixant d’un air vicieux. Je me demande bien ce que je suis en train de faire, je vais certainement le regretter, mais je veux tellement lui faire plaisir.
– Tu vois là j’ai tellement envie de baiser que ma mère ou quelqu’un d’autre je m’en fout totalement.
– Oui je le sais bien ça, alors viens maintenant, te gêne pas, je ne dirai rien à personne.
Je le prends alors par la main et je l’emmène au salon où nous serons plus à l’aise pour ce qui risque de suivre.
– Aller viens avec moi, viens tirer ton coup, tu en as trop besoin. Tu pourras mieux réfléchir avec les couilles vides.
– Tu me fais bander maman.
– N’en rajoutes pas Antho, et fais doucement s’il te plaît.
– Je ne peux rien te promettre, la douceur n’est pas mon fort.
Je sens alors que mon beau-fils entre dans un état de transe. Il est comme obsédé, et si je me refuse à lui maintenant, je ne suis même pas sûr qu’il puisse encore réfréner ses pulsions. C’est le point de non-retour. Je n’aurai pas dû le provoquer, c’est trop tard maintenant. Il a déjà ses mains sous mon pull et il me pelote les nichons. Il presse fort sur mes seins, on sent qu’il n’a pas touché une femme depuis des années. Il me tourne maintenant assez brusquement. Je me retrouve en levrette, totalement impuissante face aux attouchements de mon fiston. Il lève ma jupe et dévoile mon cul en string. Je suis outrée par une telle attitude, c’est une vraie bête, mais je ne peux pas résister. Je suis moi aussi excitée par la situation. Je me rends enfin compte que j’ai envie de sa queue depuis très longtemps. Et puis il ressemble tellement à son père… Il prend mes fesses à pleines mains et me masse le fessier comme jamais. Il me claque le derrière fortement. J’ai mal, mais j’aime ça. À ce moment là je suis juste une petite salope qui se livre à son fils en manque de sexe. Il me malaxe les fesses et passe ses doigts sur ma vulve. Il écarte mon string d’un grand coup et expose mon anus et ma chatte. Il peut faire ce qu’il veut de moi, je suis sa proie, sa chose, sa petite pute sans défense. Il fouille ma raie avec ses doigts, puis m’en fiche un dans la chatte et un autre directement dans l’anus. Je n’ai pas baisé depuis des semaines, ça fait bizarre de sentir à nouveau un truc dur dans mes orifices. Antho est très brutal, il me crache dans la raie pour humidifier mes trous. Je me sens rabaissée et humiliée par une telle attitude, mais que puis-je attendre d’un ancien détenu tout droit sorti de prison ? Rien d’autre que du sexe hard et violent…
Je veux maintenant le sucer. Je lui propose et il accepte tout de suite de me présenter sa queue. C’est la première fois que je suis face au sexe de mon beau-fils, et il est si viril. Je ne tiens pas longtemps avant de le mettre en bouche et de le sucer lentement comme une glace. Il a un goût particulier, le même que la queue de son père. Je sens que je mouille bien. J’ai les cuisses qui collent. J’ai le clitoris en feu, je veux prendre une raclée, une vraie baise intense et sans précautions. Rien que de la baise profonde. Il m’insulte et me tire par les cheveux pour enfoncer ma tête encore plus loin sur son sexe. Il m’embroche complètement. Je ne respire presque plus. Son calibre énorme rempli toute ma gorge et me comble les voies respiratoires. Au secours, laisse moi reprendre mon souffle ! Il relâche la pression, je prends un grand bol d’air, puis il m’embroche la tête à nouveau, encore plus loin qu’avant. J’aspire de toutes mes forces. Je veux son jus, je veux lui purger les couilles, ses si belles boules pleines de sperme. Mais d’abord, il faut qu’il me pète la chatte. Je n’arrive plus à le pomper, j’ai la bouche endolorie. Je lui demande de me faire du bien avec son engin. Il me pose comme un objet sur le bureau du salon et s’empale en moi jusqu’au fond. Je sens bien sa bite. Ma chatte est écartée à fond. Il commence à me ramoner, je n’en peux déjà plus. Le bas de son ventre tape à chaque fois sur mon clito et ça me procure plusieurs orgasmes d’affilés. Il me baise le vagin de longues minutes, presque une heure entière. Il tient bien la cadence le jeunot. Je veux le sentir dans mon derche.
– Baise-moi le cul, je ne tiens plus, je t’en supplie.
Il me retourne à nouveau, comme une vulgaire pute, et m’encule sauvagement à sec. Putain que c’est bon. Sa queue est taillée pour mon petit trou. Il me laboure la motte en me disant des mots crus. Je mouille encore plus sous l’action de son langage déplorable. Je sens ses grosses burnes s’écraser sur ma raie des fesses. Elles ont l’air d’être remplies à ras-bord. J’ai hâte de le purger, de lui procurer un réel orgasme digne de ce nom. Le pauvre, tout ce temps passé en cellule à se masturber en pensant au jour de sa sortie. Maintenant il est là, dans mon cul, et il me baise l’anus comme un forcené. Je l’aide un peu en poussant mon derrière vers lui, en harmonie avec ses coups de queue, pour qu’il aille encore plus au fond. C’est à cet instant que j’entends ses râles. Il est en train de jouir en moi. Je reste bien le derrière vissé sur sa queue pour ne pas lui couper la jouissance.
Ma grotte se rempli rapidement de plusieurs lampées de semence. Mon fiston me gicle dedans comme un sagouin. Il jouit dans sa belle maman. C’est interdit par la morale, mais nous adorons tout deux cet instant. Je me retire maintenant de son glaive, et de grosses doses de sperme s’échappent de mon cul pour couler sur le sol. Quelle scène de cul hard, sans artifices, rien que de la bonne baise en famille. Depuis ce jour, moi et Antho sommes encore plus proches, et ils nous arrive souvent d’être beaucoup plus qu’une mère et son fils…
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